J'ai du me forcer pour finir ce livre (acheté sur conseil d'un critique dans un magasine féminin!), ce qui m'arrive très rarement.
Lent, des héros qui n'ont vraiment rien de sympatique, pas d'histoire, du fantastique sur la fin qui n'a rien à faire là. Bref à éviter ! Et ne vous forcez pas , comme moi , à le finir, ça n'en vaut pas la peine.
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bien que très prometteur ce livre a été extrêmement long à lire. Pour celles et ceux qui connaissent steve Berry, bah c est le même genre donc bcp de rappels historiques à travers tout le livre mais la c est à la sauce suédoise et en fait c est très long, trop long. Seule la dernière partie du livre nous épargne enfin ces longues leçons.
L histoire en elle même aurait pu être sympa mais finalement je n aîpas vraiment apprécié la façon dont elle a été exploitée et je passe à côté donc là aussi pas de chance. Les personnages ne sont pas forcément attachants donc là aussi c est pas cool. L'apparition de fantastique est également totalement inutile et franchement ça m a même gonflée.
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Quel ennui ! Un roman plein de longueur, très mou et des personnages creux, insipides. On passe 600 pages avec des personnages qui n'ont aucune profondeur, aucun caractère. On ne peut pas dire qu'ils sont construits, ils sont posés là et de temps en temps, il leur arrive des trucs dont on ne comprends pas toujours la cohérence.
La fin était divertissante mais comme je n'ai pas cru à ce que je lisais avant, je n'ai pas vraiment adhéré à la proposition de l'auteur.
J'avais pris ce livre dans une boite à livre, il va y retourner !
Si vous aimez le thriller, le roman policier et le bon roman d'aventure, passez votre chemin. Je suis ravie d'avoir enfin terminé ce roman, tout en me demandant pourquoi je me suis infligée cette lecture en entier.
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Tel un culturiste, à la fois massif et anguleux, il transportait sur son dos trois sacs de plongée. Il n'y avait donc rien d'étonnant à ce que la mousse détrempée cède sous lui. Ce qui était curieux, c'est la rapidité avec laquelle la forêt avait plongé dans l'obscurité depuis qu'il avait refermé le coffre de sa voiture garée sur une aire de repos. À ce moment-là, tandis qu'il posait son regard au-delà du fossé, la lisière de la forêt lui était apparue lumineuse et accueillante. Après environ une heure de marche pénible, il flottait comme une brume laiteuse à travers les fourrés. Pourtant, il ne regrettait pas son entreprise.
Très tenté de le lire, ce livre ce révèle un sous Da vinci code que j'ai trouvé brouillon, la fin est absurde et le contexte historique qui aurait pu être intéressant est raté. bref une déception
Il régnait un froid humide, exactement comme la veille, lorsqu'il était parvenu pour la première fois à localiser cette mine désaffectée. La lourde caisse contenant l'attirail de plongée était bien là où il l'avait déposée, et il subsistait toujours cette même puanteur. Il inspira par les narines et se dit qu'il y avait sans doute quelque chose qui pourrissait dans le coin. Peut-être un chevreuil mort, en décomposition.
Lorsqu'il entrevit la clairière au-delà de la dernière ligne d'arbres, il s'arrêta et sembla douter un instant. C'est alors qu'il découvrit les restes de la vieille barrière. Ses bouts de bois décomposés ressemblaient à autant de doigts invitant à la prudence, juste avant la pente menant à l'entrée du puits d'extraction.
Traversant les voiles blancs de brume, il parcourut les dernières enjambées en contrôlant ses glissades sur la pente herbeuse jusqu'à se retrouver à hauteur de la bouche du puits. Il éteignit son GPS et se débarrassa de la charge qu'il transportait. Il s'étira le dos, faisant craquer ses vertèbres endolories.
Interview de Jan Wallentin : L’Étoile de Strindberg