Apprendre à philosopher

Lorsque je passe de la sensation à la perception, je commence à distinguer entre les aspects essentiels et inessentiels de ce que je perçois grâce à mes sens, entre la partie importante de ce dont je veux parler et la partie chageante, à savoir les propriétés que possède cette chose dont je parle : aujourd'hui mon jardin est en brouissaille, demain il sera soigné, mais il est toujours mon jardin. Si je le vends, il cesse de m'appartenir, mais il ne cesse pas d'être un jardin. Je parle d'une "chose" (l'arbre le jardin) doté de "propriété" (être jeune, vieux, en boussaille, soigné, mién) qui ne modifient pas son essence (indépendamment de leur aspect boussailleux ou soigné ou du fait qu'il m'appartiennent ou t'appartiennent, ils sont un arbre et un jardin). [note de Pégase SHiatsu : à comparer avec les mutations, les cinq éléments chinois, ainsi qu'avec l'imperrmanence et le non attachement des bouddhistes.]

Selon Hegel, cette perspective traditionnelle [connaitre la méthode avant de connaitre la réalité de Descartes] est due à une peur de l'erreur qui, examinée plus en profondeur s'avère être la vérité.
Une fois dépassée cette peur, on retrace le chemin parcouru pr la culture elle-même, qui dépasse les perspectives partielles - dont certaines peuvent être paralysantes, comme le doute permanent du sceptique ou le desespoir du croyant, qui vit sans vive en soi -jusqu'à atteindre le savoir. [note de Pégase SHiatsu : c'est très proche des philosophies asiatiques, dit légérement différemment, vue par l'oeil de quelqu'un qui est passer par le Catholiscisme et la philosophie occidentale, mais c'est très proche comme consception.]

La dialectique n'est pas une méthode dans le sens banal du terme, un outil qui permettrait de connaître ce qui nous est extérieur ; elle l'est dans le sens étymologique en tant que chemin. [note de Pégase Shiatsu : à raprocher des études qui autrefois en France faisait apprendre le Greque et le Latin, de Tolkien qui rapprochait l'évolution de langue et des intéractions avec les autres langues, de l'histoire.... l'histoire inscrit dans la langue... et qui forme une cerrtaine rélflectionn spécifique à chaque culture... et des sons qui ont un impact émotionnel et intellectuel différent d'une culture à l'autre.]

Il ne s'agit pas d'une simple donnée mais aussi d'une expérience, celle du travail de la raison, qui doit contribuer à donner un sens à notre vie ou à en reconnaitre le sens. [note de Pégase Shiatsu : à rapprocher du Bouddhisme qui alterne travail méditatif pour une compréhension transcendentale, et tâche quotidienne pour le bien de la société... en ayant le sens trancendentale et matériellement utile en tête...]

Il faut constament garder cela en tête lorsque Hegel parle d'"Esprit", l'esprit est l'union de la comprehension et de l'activité.

Il propose aussi une phiilosophiie politique qui évite le conservatisme autant que la révolutioon (qui va bientôt le décevoir). [note de Pégase Shiatsu : je ne sais pas si c'est équivalent, mais le grand livre des mutations des CHinois, ne propose rien d'autre : la mutation entre révolution et conservatisme... à mettre en relation les deux si vous lisez Hegel.]

EN effet, face à la vision scindée, commune à Kant et Fichte, de l'opposition entre la nature, règne de la nécessité, et le domaine de la liberté, Hegel adopte la nouvelle philosophie de l'identité que Schelling est en train d'élaborer. L'approche de ce dernier considère que la nature est animée du même principe qui agit en l'homme, à savoir l'esprit. Quel sens donner à ce terme ?

La Vérité et la Bonté ne s'allient que dans la Beauté.
Le plus Ancien Programme systhématique de l''idéalisme Allemand.

Ainsi se rejoignent, dans l'esprit de Hegel, le patriotisme, l''éthiique et la beauté. Schiller l'exprime d'une manière lyrique dans son poème Les Dieux de la Grèce (1788) :
Là où, comme nos sages le disent,
se meut un globe de feu sans vie,
Hélios conduisait majestueusement son char doré [...]
La gravité sombre, l'austère abstinence
étaient bannies de votre joyeuse religion;
tous les coeurs devaient ête heureux,
car le mortel heureux était votre allié.
Alors rien n'était sacré que le beau,
le Dieu n'avait honte d'aucune joie,
quand la pudique Thiémone,
quand la Grâce ordonnait. [...]
Monde riant, où es-tu? reviens, âge fleuri de la nature.

L'effort colossal de Kant pour préserver la raison des conclusions sceptiques dérivées de Humes fut couronné de succès, mais au prix d'une position humble face à nos possibilités : nous sommes des êtres rationnels, mais limités, et notre raison l'et également. Elle a des limites qui définissent un territoire sur lequel nous pouuvons exercer la science, et un aute qui échappe au scientifique, à ce que nous pouvons affirmer ou nier avec certitude. Dans ce domaine qui se situe au-delà de nos possiblilités se trouve le discours sur la totalité du réel (le monde) sur la protagoniste de nos actions (lâme) et sur Dieu entant qu'Absolu.

Herder conteste le projet voltairien de mise en évidence d''une tendance au progrès de l'humanité en comparant l'évolution des coutumes au sein des divers peuples et nations. Il soutient ainsi que chaque culture possède ses normes spécifiques et sa conception propre de valeurs telles que le bonheur ou le pogrès. En outre, il défend la fonction des traditions comme un réservoir de connaissances accumulées durant des siècles.

Le mythe, dont l'objet est de faire surgir une vérité ou d'amener des esprits peu porter à la réflexion à s'en rapprocher, est donc une première étape incontournable de la connaissance. C'est la mission même du poète, comme l'était Homère, que de reprendre et interpréter le savoir ancien pour laisser surgir la vérité première et conduire ceux qui ne sont pas savants grâce à une image forte, de nature à mobiliser non seulement la raison, mais aussi les émotions. [Note de Pégase-Shiatsu cette citation est particulièrement importante ici, sur un site où l'on dit ce que l'on pense des livres! Si le spectateur peut être passif sans vraiment réagir c'est son choix, par contre, l'artiste ou le critique n'est pas sensé parler à tord et à travers, mais doit s'efforcer de faire réagir son auditoire, pour mener les spectateurs les plus conciliants vers la connaissance, je suis contente, que Platon, bien meilleur philosophe que je ne le suis, pense la même chose de l'art qui n'est pas juste une façon d'exprimer de l'esthétique ou pour faire ressurgir des sentiments comme le disent bien des pseudo-artistes, mais belle et bien de faire progresser la raison du spectateur pour peu que celui-ci l'accepte consciemment, ou bien soit porter inconsciemment vers quelques choses... Bref, si on ne cherche pas à comprendre ce qu'on lir, on devrait normalement s'abstenir d'énoncer la moindre critique... Même sur les livres, ... car la critique, c'est déjà de l'art en soit, même pour un amateur! Merci.]

La vie du philosophe n'est pas facile et mérite donc une récompense : de même, le choix de la sensualité doit finir par être puni. Dans la perspective de Platon, l'âme sans vertu, celle qui n'a pas appris à maitriser le corps, est socialement irresponsable et dangereuse. Intimement liées, l'âme pure, la Cité et la vertu se renforcent mutuellement.

En politique, les gens se préoccupent de leur propre bien, sans comprendre ce que signifie le mot "bien", et chacun a sa propre opinion sur ce qui est juste et injuste sans comprendre ce qu'est en réalité la justice elle-même.

Les grands thèmes de la pensée platonicienne sont abordé dans ce que l'on appelle les dialogues "de la maturité", parmi lesquels des œuvres maitresses, comme le Banquet, Phèdre, Phédon et la République. Ces textes sont d'une grande clarté, et leur lecture est étonnamment aisée. Aujourd'hui plus que jamais, l'Œuvre de Platon surprend le lecteur par sa facilité d'accès.

Selon Epicure, s'entourer d'amis, analyser sa propre vie et être autosuffisant sont les trois composantes fondamentales d'une existence heureuse.

Imagination : capacité mentale de produire des idées qui expriment des affections, c'est-à-dire des sensations, des perceptions, des souvenirs, des émotions, des dispositions, des inventions... Ce sont des idées utiles, quoique confuses et partiales. [note de Pégase Shiatsu : comme ce qui se passe chez les gens qui croient tout connaitre d'une personne, la jugeant bonne ou mauvaise... en 5 minutes... c'est un apriori du aux critières de cette définition, qui n'a rien de réel, c'est une prrojection de l'esprit à partir d'une sensation fugitive... alors qu'on ne connait vraiment quelqu'un qu'avec le temps...]

Connaissance : la capacité de comprendre est la meilleure qualité de l'être humain, car elle permet de savoir à quoi s'en tenir, dans tout les sens du terme. De plus, elle produit la joie et guide l'homme dans sa coonduite, le reliant de manière consciente à DIeu.

Action (actio): le sujet est actif quand il comprend la situation qu'il vit et devient la cause qui produit des effets pour lui-même, prenant l'initiative sur le plant intellectuel émotionnel et / ou pratique.

Il [Spinoa] s'employa actvement à prouver par une méthode rigoureuse que l'ensemble de ce qui existe constitue un tout assujetti aux lois naturelles, en délimitant avec soin le domaine des choses exclusivement humaines et en préconisant la souplesse necessaire pour y faire face. [...] Il n'est pas exagéré de le présenter comme un précurseur exceptionnellement courageux et percutant des Lumières et des droits civiques.