Apprendre à philosopher

C'est aussi le système le plus fort et le plus efficace à conditioon que les citoyens soient actifs et responsables. [note de Pégase Shiatsu dernière condition de responsabllité pas respecter en tant que droit des handicapés, droit des femmes, et droit des diplômés actuellement... a force de promouvoir le crétin et la prostitué légale!]

Spinoza met expressement en garde contre l'arrogance, le faste et l'impunité des puissants de la vieille école, qui profitent non seulement du travail d'autrui mais aussi de l'ignorance dans laquelle ils maintiennent la majorité des gens. Ils contraignent la plèbe à une vie abrutissante pour lui reprocher ensuite avec cynisme ses réactions prrimaires ou son manque de jugement ou de pondération, comme si elle avait d'autres options. [note de Pégase Shiatsu, c'est ce qui se passe hélas pour les handicapés aujourd'hui, surtout ceux que la société, plus particulièrement les psy fabriquent... en favorisant l'avancement de gens à instruction réduite : bac pro CAP et j''ai le regret de vous le dire : les infirmières au détriment des handicapés que le bourrent d'antidépresseur et que lon empêchent d'avoir accès à l'emploi et aux formations proffessionnelles sous prétexte de les soigner... sans les soigner... le milieu médical est actuelleement très coupable de ce genre d'exaction.]

Spinoza propose des modèles institutionnels concrets pour chacun des trois régimes politiques les plus fréquents : monarchie, aristocratie et démocratie. Malheureusement, sa mort interrompit son travail avant qu'il n'ait pu achever la présentation du régime démocrate. Dans son analyse, il n'écarte aucune des options, car elles eixstent dans les faits et peuvent être utiles si elles respectent les préceptent fondamentaux [a comparer avec la vision d'un roi juste par Lao Tseu et Confucius qui va fournir au peuple l'essentiel de ses besoins fondamentaux.] et sont suffisament soutenues.

Pour saint THomas, l'être humain ne doit jamais être instrumentalisé par la science ou la technique : c'est même le contraire, autrement dit le but même de la recherche scientifique est de servir l'humain pour qu''il puisse s'améliorer et tendre vers son objectif ultime. D'après le philosophe, la science doit être au service de l'humain, et non pas l'inverse.

Partant de cette philosophie de l'être comme fil conducteur, le cinquième chapitre se penche sur la façon dont saint THomas aborde le mystère de Dieu, notamment à travers les fameuses cinq voies. Pour en comprendre lle sens, nous analyseroons la double coonviction à partir de laquelle le philosophe déploie sa théorie sur l'existence et les attributs divins : tout en insistant sur la valeur de lla aison humaine, il défeend le caractère surnaturel d'un mystère quil s'avère impossible de réduire à des raisons nécessaires.

A la fermeture du Lycée (école philosophhique fondée par Aristote), les savants grecs étaient partis pour la Syrie, puis s'étient vu forcés de s'exiler en Perse, emportant avec eux les oeuvres du maître. L'invasion arabe les prit de cours, et les travaux d'Aristote tombèrent dans l'escarcelle du monde musulman, qui les copia et les comenta durant des siècles à Bagdad. Les grands centres de traductioon occidentaus des XIIe et XIIIe siècle, Tolède et Palerme en tête, ne purent initialement mettre la main sur les originaux en grec d'Aristote, et durent presque toujours travailler à partir des versions de traducteurs et d'exègètes arabes et juifs.

La quête de vérité n'était pas un jeu : saint Thomas était bien décidé à abattre toutes ses cartes, et n'avait aucunement l'intention d'accpepter des réglementations restrictives qui l'empêchaient d'aller aussi loin que possible. "Je n'étudie pas la philosophie pour savoir ce qu'on dit les hommes, mais pour me rapporcher de la vérité des choses", écrit-il au début de ses oeuvres.

Pourquoi lire Thomas d'Aquin aujourd'hui ? Outre la raison susmentionnée, [combattre aprioris et ignorences sur le Moyen äge] qui est entièrement étrangère à l'oeuvre, soulignons que celle-ci est probablement la plus belle tentative de réconciliation de la philosophie greque et de la religion chrétienne. La Grèce et le christianisme étant peut être les deux pilliers essentiels sur lesquels repose la culture occidentale, faire de saint Thomas l'un des artisans de ce métissage va de soi.

Socrate avait été le taon d'Athène, Kierkegaard fut celui de Copenhague. Tous deux piquèrent de leur dard lesconsciences de leurs contemporains, usant de l'ironie et d'une dialectique déconcertante.

Incomprit de ces contemporains, il |Kierkegaard] entretint avec eux un perpétuel conflit intellectuel et existentiel. A de nombreux moment au cours de sa vie, il eut à souffrir le mépris de l'opinion publique, "la tourbe" comme il la nomme. Cette mésestime le conduisit à se replier sur lui-même et surr son activité d'écrivain.

Il s'agit [...] de trouver l'idée pour laquelle je veux vivre et mouurir.
Journal

Soren Kierkegaard était un enfant chétif et malingre, affecté par une difformité physique due à une chutte dans la cour de l'école, qui lui avait laissé une légère claudicatioon et un dos un peu voûté. C'est sans doute pour cela, et en raison de l'influence de son père qu'il accompagnait aux débats l'opposant à des théologiens et des penseurs de COpenhague, qu'il préféra toujours les jeux dialectiques à ceux des enfants de son âge.

Chapitre 1 Une philosophie pour la vie
Le grand objectif de Kierkegaard fut de sauver l'homme de l'excès de rationalisme qui régnait à son époque. Il incarna lui(même cet individu luttant pour affirmer son individualité, au risque de susciter l'incompréhension et de sombrer dans la mélancolie, car une philosophie qui ne peut être vécue, ne sert à rien.

Nous annalyserons ensuite deux concepts que Kierkegaard a légués à l'histoire de la philosophie, mais aussi à la psychologie. Il s'agit de "l'angoisse" et du "desespoir", deux sentiments qui mettent en évidence la fragilité de l'être humain tout en annonçant sa grandeur, car seul l'être libre peut être déchiré par l'angooisse et succomber au désespoir. [note de Pégase SHiatsu : sujet actuel... on confond peur irraisonnée qui rend violant ou égoîste sous la pulsioon d'une imagination troompeuse (voir Spinoza) et l'angoisse et le désespoir, de l'être libre qui a choisit l'éthique et s'aperçoit que cela lui coûte si cher dans la société, car la liberté n'est pas l'obtention de l'agent pour financer ce que l'on veut, c'est la liberté de penser de façon éthique... très actuel comme sujet.]

A l'instar de Socrate - une référence pour Kierkegaard -, qui n'écrivit rien, ne pas signer ses oeuvres était un message adressé au lecteur avind qu'il entende, non point tant l'auteur, mais s'écoute lui-même.

Kierkegard est un philosophe sui generis. Il raconte avoir eut l'idée de se consacrer à la philosophie un jour de 1842, où, s'étant avisé que tout le monde se péocupait d'avoir une vie facile, il décida de prendre le contre-pied. TOute sa vie et de toute ses forces, il entreprit de recherrcher la difficulté, de refuser le compromis, de maintenir les esprits en alerte, d'aiguilloner les consciences, de dégourdir les cerveaux, d'inquiéter les coeurs, de démontrer "l'ordre établi" et de dynamiter les certitudes.

Inévitablement, la pensée et l'oeuvre de Kierkegard sont indissociables de son existence. Il refusait le qualificatif de "philosoophe" et préférait être un libre penseur " commen un oiseau sur la branche". Il n'appartint jamais à aucune éccole, ne se créa aucun systhème philosophique, mais défendit inlassablement la singularité de l'individu contre toutes les institutions qui l'entravaient. Voir le documentaire, bête de guere https://histoire.fr/actualit%C3%A9s/b%C3%AAtes-de-guerre|encore d'actualité aujourd'hui, surtout au niveau de l'emploi qui nie l'individualité des coméptances, à comparer avec la mauvaise mise en application du dressage des chiens en France, qui voulait des chiens bon à tout quand les anglais plus pragmatique, les sélectionnaient en fonction de leur aptitude... nous avons le même énorme problème en terme d'emploi : un individu ou un autre qu'importe... ce qui est important, qui est disponible... et c'est comme cela que sans prévenir l'intérimaire, on l'envoit sur un poste de couture sur machine... alors que ne sait pas se servir d'une machine à coudre ou à oublier (authantique!!)]. Il trempa sa plume dans l'ironie, la passion et la subjectivité pour défier ave brioo l'ordre établi par les grands philosophes et théologiens de son temps. Ces premisses posées, la lecture de ses oeuvres s'avère surprenante et passionnante.

L'oeuvre de ce philosophe [Hegel] est aussi riche que les différentes lectues possibles en sont nombreuses, on parce qu'il serait un auteur amibigu, loin de là, mais parce que son oeuvre comprote un tel fonctionnement d'idées et de perspectives que chacun peut sélectioonner la partie qui lui plaït plus ou moins, pour perpétuer ou attaquer, selon les positions, l'oeuvre du maïtre.

Le peuple estcette partie de l'Etat qui ne sait pas ce qu'elle veut.
Principe de la philosophie du droit.

C'est ainsi que l'ambition de César entraîna l'expansion de la culture et du droit romains, alors qu'il n'était mû que par la recherche de la gloire et de la renommée. C'est aussi grâce à la "ruse de la raison" que les idées des révoluttionnaires français se diffusèrent dans tout l'Occident par le biais des armées napoléoniennes, qui n'avaient pas non plus l'intention de voir les esclaves de la colonie française d'Haïtit déclencher leur propre révolution.