Dès les premières pages du livre, je ne peux qu'être séduite par le côté univerrsel de
Spinoza, ce qui m'a tout de suite sécuite chez les philosophes asiatiques.
Spinoza prône une méthode bien plus intelligente que celle de Décartes, et si proche de ce que prônent les asiatiques : l'indépendance de jugement par l'acquisition de trois domaines : la raison (dont il ne faut cependant pas abuser, ce qui m'a très jeune moi-même découragé de lire Décartes) , l'imagination et ce qui est le plus difficile à bbotenir (comme Spinoa à raison de le préciser!) : l'intuition. Ce n'est que comme cela que l'individu va se libérer d'une morale trop rigoriste... et l'on s'étonne que sans faire lire
Spinoza, on ne prenne pas une heure ou deux en seconde (en plus d'une lecture du très divertissant banquet de Plaon... pour comparaison...) pour explique un peu les fondements de
Spinoza... La philosophie nous apparraitrait moins dure en terminale... sutout avec deux ou trois mots sur
Rousseau en première... et là on arriverait sans doute à combattre les notes catastrophiques en philo au bac, surtout si on allège le programme totalement ingérable en 30 heures dans l'année....
Ce que j'aime bien dans cette série de livre Apprendre à Philosopher, c'est que comme
Luc Ferry, dans son Histoire de la Philosophie pour les nuls va à l'essentiel... Et si les éditions RBA d'habitude cherche à faire des publications très ddécoré, la la moderrnité et la simplicité est de mise sans doute pour nous faire nous concentrer sur la réflection plus que sur le vagabondage de l'Esprit lors de la lecture d'un roman, lecture plus intuitive... parfois sans réflection... Réflection qui viendra peut être plus tard ou pas du tout suivant le lecteur... La philosophie est une matière de réflextion... avant tout... Mais là
Spinoza nous fait entre la créativité et l'intuition comme étant aussi important... comme le ferrait un philosophe chinois... et pourtant Juif d'origine en période troublé, nourrit par le puritanisme de son pays cela pourrait surprendre... mais les aprioris s'écroulent bien vite...
En fait
Spinoza est né dans une situation très libérale... qui accepte les juifs... presque qu'autant que les puritains, mais ce libéralisme,va peut à peu se dégrader, surtout avec l'arrivée au pouvoir de Guillaume III d'orange, à la fin de la vie de Spinoa, après un diigeant éclairé. Donc déjà il y a un support favorable pour que
Spinoza se démarque de son époque... Et en plus il sera, après des études juives mis à l'écart de la société juives car fréquentant des natualistes, qui voient en Dieu la natue elle même, un sacrilège pour bien des religions occidentales... mais qui ne choquerait pas d'autres parties du monde... ALors oui, si vous aimez
Descartes, mais franchement... lisez un de ses détracteurs à peine plus jeune,
Spinoza, sa modernité et son universalité vale vraiment qu'on y jette un coup d'oeil... Ce livre est sans doute au moment où j'écrit ses lignes encore chez votre marchand de journaux... Une méthode simple à compendre même si parsemer d'embûche... une conception de Dieu très naturaliste, uneacquisition de la liberté par une compréhensioon de
l'éthique plus que par une morale rigide et apliquée sans réfléchir (et c'est certainement la partie la plus difficile mais c'est si formateur, et se la remplit à un point de paix et de joie intérieure!) et la politique qui ne sert que de partage et d'équilibre des pouvoir... Car oui, il faut mêttre les gens peut compétents à l'écart du pouvoir, pour gérer les difficultés difficultés perrsonnels du citoyens, et promouvoir la liberté d'expression parmis des gens formés à
l'éthique (en perte de vitesse parce qu'on la confond avec une morale rigoiste basée sur le par coeur... et du coup un peu idiote...) DOnc malgré le context un peu puritan, on n'est pas étonné finalement, qu'un
Spinoza qui a préféré
l'éthique jusqu'à la pauvreté et la non réalisation d'une vie personnelle pour réalisé l'essentielle menant à sa réalisation personnelle parfaite, sans mariage ni enfant... Ce livre nous fait vraiment aimer Spinoa, et comprendre comment il a pu émergé... car il a eut de nombreuses inspiations (de l'Angletterre à l'Espagne et bien sûr au sein même des Pays Bas) pour faire émerrger sa pensée en lui... grâce à son ouvertue d'esprit... et une peu de raison qui ne prend pas trop le dessus... Même si vous n'êtes pas philosophe, il suffit d'être épris de liberté individuel pour aimez les commentaies sur l'oeuvre de
Spinoza... un des philosophe les plus universelle du monde occidental....