Apprendre à philosopher

Saint Thomas vicut au treisième siècle, une époque particulièrement agitée. Les érudits mettent généralement en exergue l'irruption, à cette époque, de deux mouvements à l'influence phénomènale qui semblaient capable de déclencherr une véritable révolutioon à même de mettre un terme à l'ordre pécaire hérité des siècles précédents. D'un côté sont apparus les ordres mendiants, qui défendaient une religiosité du renoncement et de lla pauvreté radicale, [noote de Pégase SHiatsu voir la dispute dans le nom de la Rose, excellent film, où deux ordres de moines se disputent pour savoir si le Christ possédait ou non son manteau.] et de l'autre ont été réhabilité les ouvrages d'Aristote, qui étaint parfaitement inconnus en EUrope.

Les préjugés s'éffacent quand l'ignorence est surmontée.[note de Pégase Shiatsu : cela veux dire accpeter la justesse d'un propos, et âs sous noter des livres parce qu'on cherchait autre chose que ce qui s'y trouve... cela commence à bien faire... quand on veux rester étroit d'esprit on ne lit pas... ou du moins on ne juge pas on ne s'exprime pas!! Parfois même la critique est élogieuse et on a une ou deux étoiles... mais c'est notation devrait être réservé à des oeuvres dont on se demande pouyrquoi elles sont édité, pas mis par jalousie enverrs la réussite de l'écrivain et pour s'entêter sur des aprioris débiles, cette fois c'est les Quattres filles du Docteurs Martch... un grand classique pour les filles et les inciter à être indépendante malgré une société encore sectaire.... malgré les progrès moderne... et bien il y en a marre... Quand on ne veux pas s'ouvrir on ne lit pas!! ou au moins on ne s'exprime pas... on en a marre de ces gens là qui réglent leur médiiocrité et leur laxisme en s'en prennant à des gens de talent!! Merci à Babelio qui soutient cela alors que cela engendre du chomage d'universitaire... et démolit notre littérature... et notre cinéma... à la fin il y en a marre... ne pas utiliser sa tête cela ne veut pas dire être un sage!! Un sage est forcément un léttré... et après c'est des gens ouverrts que l'on accuse d'être étroit d'espirt... et bien il y en a marre... au XXIe siècle on ne devrait plus pronner la liberté du droit au crétinisme... cela commence à bien faire....]

Dans mille ans, que penseront de nous les historiens du futur qui, pour nous cerner se baseront uniquement sur les nootes consignées dans un carnet par un détenu d'AUschwitz pour raconter son emprisonnement ? A l'évidence, les oeuvres de la trempe du Journal d'Anne Franck ne parviennent pas à saisirr la complexité d'un siècle agité et pétri de contradiction comme l'a été le XXe siècle. [...]
C'est pourtant ce dont est victime le Moyen Âge, à peu de chose près. Il est étonnant de constater que les poncifs typiques des films et séries de seconde zone se soont également immisciés dans les manuels scolaires ou autres ouvrages en apparence rigoureux, qui dépeignent un Moyen Âge lugubre, nauséabond et obscur (uniquement éclairé par les brasiers où sont brûlées les victimes de l'inquisition et où règne la barbarie. Un Moyen Âge ou les rats et la peste noir prolifère où le poid terrible du christianisme étouffe chaque embryon de réflexion et entrave toute manifestation véritablement humaine. [...]
Se familiariser avec Saint Thomas d'Aquin peut aider à se débarasser de ses lieux communs réducteurs. [note de Pégase SHiatsu : on pourrait aussi citer Saint François d'Assise]

Il affirme le caractère déterminant du choix : les divers pseudonymes offrent les modes e vie antagonistes ente lesquels chacun eut prendre parti. Kierkegaard préféra ne pas signer ce que sa propre mains avait écit, justement pour cette raison : c'est le chois qui est fondamental et logiqueent, ce choix est personnel.

C'est comme si les pseudonymes avaient pour foonction de nous égarer dans note recheche du véritable auteur, à seule fin de donner la primauté à ce qui est écrit.

Toujous est-il qu'à son retour [d'un voyage pour rendontrer Condée qu'il n'a pas vu, pour dicerter philosophie] il dut affronter les repproches populaires et fut acccusé d'ête un espion. Sans doute était-il déjà conscient à cette époque qu'il était facile de manipuler les gens mal informés, même si ce ne fut que plus tard, lors du lynchage par la foule des frères Johan et Cornelius de Witt, qu'il put mesurer la haine du peuple contre les libéraux et l'étendue e son ingratitude à l'égard de ses bienfaiteurs d'hier.

La sympathie de Spinoza pour le pouvoir en place, ses recommandations àsystématiquement choisir le moindre mal, compte tenu des circonstances, ne doivent pas occulter ses opinions perrsonnelles plus audacieuses et plus démocratiques.

Le penseur [Spinoza] affirme cependant que la plupart des gens sont ignorants et égoïstes, mais il garde un as dans la manche : le trait caractéristique et distinctif de la nature humaine, c'est la possibilité d'atteindre un niveau de connaissance du bien suprême qui est Dieu. [note de Pégase Shiatsu : c'est ce qu''entendent les Bouddhistes quand ils disent que tous les hommes sont bons par eux même, c'est à dire quand ils veulent bien détourner leurs loirirs égoïstes et futils, pour faire le bien dans le même but : le bonheur.... pour moi... Spinoza rejoint les bouddhistes.... surtout les tibétains qui incistent sur le travail intellectuel en parrallèle avec le travail spirituel en alternant les deux. La théorie de Spinoza, qui visiblement ne connaissait rien du bouddhisme, arrive par l'obserrvation au même conclusion : obsever les raisonnements (pensées positives des bouddhistes) et les différencier des émotions (pensées négatives des bouddhistes) Lire la médition du Dragon de Gyawang Drukpa pour bien comprendre.]

P 105
Spinoza dénonce la facilité avec laquelle le sujet renonce à être rationnellement autonome, au m, au moment même où il devrait l'être, pour se livrer à la superstition au consolation trompeuses où à l'emprise de soit disant proteccteur.

L'originalité de son propos est qu'il ne propose pas de gouverner nos désirs particuoliers par la volonté, mais laisser le désir essentiel qui définit l'être humain par la volonté, mais de laisser guider par notre propre nature. Cette pespective change le rapport des forces : au lieu d'essayer d'échapper à certains stimulli - ou.en produire d''autres grâce à la connaissance. [note de Pégase - Shiatsu : c'est sous entendu par lidée d'exception dans le bouddhisme, sans jamais être exprimé, et qui donne lieu à des repas festifs, où l'on distribue toute sorte de nouriture, y compris du vin coupé de jus de fruit et un peu de viande normalement prohibés dans un centre bouddhiste : l'exception qui nous permet de nous accordez une exception du moment qu'elle est réfléchit, et nous fait ne pas juger l'aute, vus que nous ne connaissons pas les raisons... donc oui ce n'est pas expliqué... mais c'est expérimenté dans le bouddhiste : acepter ce que l'on aime, et ce que l'on aime pas comme offrande à manger... expérimentation souvent à la fin d'une retraite...]

Dans le premier cas, la connaissance rationnelle procure discernement et bien être, certitude et calme [ on a trouver comment faire ce qu'il y avait à faire sans obstacle extérieur, de moins en moins possible aujourd'hui (manipulation publicitaire, pseudo science, intox qui poussent les gens à vous imposer une solution irationnelle)] dans le second, l'imagination [trompeuse, on se le rappelle, excès de positivisme sans action qui ne sert à rien, échec / limite de la méthode Coué si pas action possible] ne suffit pas à apporter la stabilité, même s'il peut y avoir des passions joyeuses, utiles par moments mais, en fin de compte, passagères et hasardeuses.

Le désir se construit à l'intersection de la Natue, de la cultue et de l'histoire de lindividu ; il est le résultat de toutes les informations antérieures accumulées. [niveau de conscience de faux besoins supperflus, et besoins minimaux vitaux] Le sujet définit son caractère affectif et son mode de vie tout au long de son existence. [note de Pégase Shiatsu : le Bouddhisme réduira ses désirs au juste superrflu, l''occidental, accentura la soufrance, en justifaint toujours plus de dépense pour justifier des augmentations de salaire, achat bien souvent sans but, juste pour justifier le salaire malgré le manque d'éthique au travail, ce qui générera violence, calomnie par la colère, voir le film Fight Club, voir illusions et hallucinations]

L'éthique est, en fin de compte, l'intelligence théorique et pratique qui permet d'accomplir ces objectifs. [note de Pégase Shiatsu : et de sortir de la mécanique d'apprentissage sans réfléchir appliquée de l'enfance]

Cette identification entre "ête" et "pouvoir" acquiert un aute sens dans "l'état de civilisation", ou état de consencus, où sont créées et mises en place des normes et des lois censées bénéficier à tous, comme les critères du juste et de l'injuste [biaisé au XXe siècle par les notions de manipulations, de plus en plus justifié par l'appat du gain, et l'ascension sociale du crétin au détriment du lettré. Problème : nous n'avons pas su voir les limites du système en terme d'évolution socaile... en oubliant que Hegel et Spinoza parlent non pas de tous les individus, mais des individus qui aceptent un minimum d'éthique et d'instruction... pour Spinoza la Raison est tout... bien que peut accessible à l'enfant qui apprend par l'imagination, et le parcoeur en absorbant tout sans comprendre, ou du moins sans avoir une indépendance de raisonnement... du coup : échec de bien des scolarités en refusant les questions (parents qui ne savent que répondre ou répondent n'imorte quoi) et par mépris de la tâche répétitive pourtant génératrice de perfoectionnement, de méditation sur un point, d'application, nécessaire à l'enfant pour une pas devenir un automate qui n'a pas grandit qui dans l'usine fait des gestes répétitifs sans l'aplication demander à l'école pour l'écriture, la grammaire, et le calcul mental.]

P 91
L'ermite est d'oopposer nécessité et liberté comme s'il s'agissait de notions monolithiques, édictées en dehors de l'univers. Pour Spinoza, elles ne sont qu'une seule et même chose et doivent être comprise depuis l'intérieur. [note de Pégase Shiatsu : à comparer avec l'idée de la liberté du prisonnier dans le BOuddhisme : la liberté au fond de soit même en prison.]

Premièrement il faut entendre la perfection comme une réalité [note de Pégase à Shiatsu à comparer avec le paradis sur terre des Bouddhistes] [...] Deuxièmement, l'individu se fortifie à la faveur d'un contact fluide avec le monde, fait d'interactions, de heurts et de compositions. |note de Pégase Shiatsu à comparer à la liberté de l'individu dans le bouddhisme, de faire des concessions sur les 5 voeux bouddhistes, pour générer, d'après son entendement personnel, le moins de karma dans une situation difficile, où aucun choix parfais n'est possible.}
[...]
l'objectif ultime - la perfection humaine- peut être atteint, en se servant de l'éthique comme guide. [à comparer avec la notion d'éthique et des 5 voeux dans le bouddhisme]

Bien que les axes de sa pensée soit clair, on ne saurait dire que Spinoa s'inscrit dans un courant culturel bien défini. Sa bibliothèque personnelle témoigne de la diversité de ses intérêts. Elle contenait 159 ouvrages, des oeuvres de penseurs grecs, d'historien et d'auteurs politiques romains, de quelques écrivains juifs, de grands scientifiques contemporain, ainsi que les classiques de la littérature latine t les chefs d'oeuvre du Siècle d'or espagnol. [note de Pégase Shiatsu : dans un pays, les Pays Bas où l'imprimerie marchait bien!]

P 85
Malgré sa sympathie pour les groupuscules reilgieux d'inspiration pacifique, le philosophe [Spinoza] était conscien que la situation exigeait pafois de recourir à la force pour défendre les libertés, que ce soit contre les puissances étrangères ou les popriétaies fonciers du parti de la maison d'Orange. [à méditer dans le modne d'aujourd'hui où le simple citoyens est de plus en plus confronterr à la manipulation l'empêchant de gangner sa vie en tant qu''honnête homme, et de plus en plus mis en danger par le terrorisme internationnal.]

La véritévest indépendante des désirs humains, aussi légitimes soient-ils sur un plan soicail. [...]
Il n'est pas question de renoncer à savoir ce qui permet d'améliorer la vie et d'être plus libe mais il faut l'envisager de la bonne manière pour porter ses fruits, ce qui exige dassumer la position condtionnelle de l'homme.

Le penseur ne s'en prend pas à la sphère pivée e la morale et de la religioon, et va même jusqu'à reconnaître à celle-ci une importante fonction stabilisatrice de la vie sociale.