Biberonné à Dragon Ball et Saiyuki, tout produit dérivé de La Pérégrination vers l'Ouest attise très vite ma curiosité. Mettez un singe avec un baton et un nuage dans votre histoire et vous avez déjà gagné mon intérêt. Ici, la qualité du dessin, dès les premières pages, a fini de me convaincre : les images sont colorées, les visages sont expressifs, les mouvements sont bien retranscrits. Excellente adaptation. Seul point que j’ai trouvé un peu étrange : quelques transitions un peu trop brutales donnent l’impression d’avoir loupé une page.
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Cette BD raconte l'histoire d'un singe, devenu roi de son peuple grâce à son courage, qui se confronte aux dieux, et parviens à leur tenir tête, jusqu'à ce que ....
La lecture de ce premier tome est très surprenant. Je ne suis pas fan des dessins mais l'histoire est très intéressante. Elle est d'ailleurs inspirée d'un célèbre roman chinois de Wu Chengen.
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Reprise dessinée plutôt sage et centrée sur les personnages des célèbres romans de JF Parot, peu d'exploitation des décors. L'intrigue d'origine est bien reprise mais Il manque un petit quelque chose : peut être les digressions gastronomiques???
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Premier tome d'une adaptation en bande dessinée du grand roman classique chinois, Les périgrinations vers l'ouest, plus connu pour la première partie du roman qui raconte les déboires et la recherche de puissance et l'immortalité d'un singe exceptionnel...
L'adaptation est vraiment réussie, les illustrations sont magnifiques, l'histoire totalement respectée, on n'est jamais perdu malgré les très nombreuses références à des aspects de la culture chinoise pas toujours connus du public français.
Une lecture très agréable, à découvrir absolument pour tous les amateurs et passionnés de la Chine !
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Cette BD m’a permis de me replonger dans cet illustre roman d’Agatha Christie.
L’histoire y est fidèle et les dessins sont très réussis.
C’est une belle adaptation graphique de ce roman.
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Fidèle lecteur des romans historiques de Jean-François Parot la curiosité m'a poussé à acheter l'adaptation en BD. Je n'ai pas été déçu par le résultat J'y ai retrouvé tous les atouts du polar historique : intrigue, suspense, références historiques. Les amateurs d’histoire de Paris y plongeront aussi avec délice, retrouvant, sous le crayon du dessinateur Chaiko, les monuments, rues et places parisiennes du Siècle des Lumières reconstituées avec un souci du détail saisissant. Vous trouverez également des personnages historiques tel que Charles Henri Sanson « exécuteur des hautes œuvres », bourreau de père en fils.
Une vraie réussite.
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Le roi singe, tome 1/4 : Pagaille au palais céleste, de Chaiko, aux éditions Paquet.
En résumé : Bande dessinée. La mise en image de la légende de Sun Wukong, le roi singe né d’un rocher et qui ne compte pas rester éternellement dans sa forêt.
En détail :
Notre héros n’est pas un singe parmi tant d’autres. Né d’un rocher frappé par la foudre, ce singe particulièrement malin met son intelligence au service de son peuple pour lui offrir une vie meilleure. Mais la question de sa mortalité va le travailler et bientôt, il va prendre la route et entamer une formation auprès d’un maître pour apprendre l’art du rajeunissement perpétuel, les soixante-douze transformations et le pouvoir de chevaucher les nuages.
Sa quête de pouvoir ne va pas s’arrêter là, Sun Wukong fait preuve de courage, d’ambition et de malice mais il a également un côté insolent et querelleur. Ce mélange détonant va lui permettre d’acquérir des compétences de plus en plus exceptionnelles, mais aussi lui attirer pas mal d’ennuis, notamment quand il va frayer avec les dieux au Palais Céleste.
Sun Wukong est un personnage attachant, il est plaisant de le voir obtenir ce qu'il veut et de le plaindre lorsqu'il s'attire des problèmes. Il n'est pas sage et se comporte souvent comme un enfant capricieux, mais on ne peut s'empêcher de vouloir qu'il s'en sorte et d'en vouloir à ses persécuteurs. Son caractère le pousse en avant et il est impossible pour lui de se contenter de sa vie au mont des fleurs et des fruits.
Une histoire pleine d’aventure et drôle, servie par des dessins vifs et colorés. Les planches sont variées, les scènes de combats sont aériennes et la bouille de ce petit singe est à croquer. Je ne connaissais pas cette légende chinoise, mais j’ai hâte d’en connaître la fin.
Ce conte a en partie inspiré le personnage de Son Goku dans le manga Dragon Ball d'Akira Toriyama. Ce petit garçon nait avec une queue de singe et va également disposer d'un bâton qui peut changer de taille.
A suivre donc, heureusement les quatre tomes sont déjà publiés !
Du même auteur : Mulan - la légende Hua Mulan
Dans le même genre : Okko (en 10 tomes), de Hub
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C'est de loin l'œuvre dont je me rappelle le plus d'Agatha Christie. Je me suis ainsi empressée de l'emprunter dès que je l'ai vue en BD. J'aime toujours le graphisme de l'auteur, je ne suis jamais déçue de ce style qui je trouve, convient bien aux œuvres d'Agatha Christie. Pas besoin de vous en faire un résumé.. le crime de l'Orient-Express est l'histoire où tous les personnages sont suspects, de près comme de loin mais qui est donc le réel meurtrier ?
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Les périodes du Moyen-Âge et de la Renaissance ne sont pas mes préférés mais j'essaye de découvrir ces parties de l'histoire de France grâce à des ouvrages simples et clairs.
Et bien malgré la qualité de cette collection « ils ont fait l'histoire », je suis très déçu du traitement de la vie de François Ier. Alors comme je l'ai dit, je ne suis pas forcément bon public pour le sujet mais il faut reconnaître que la royauté est marqué par des histoires de cour, d'alliance, de trahison, de batailles, de guerres, de royaumes, de duels, de fierté… bref c'est difficile de suivre ce dédale de personnages amis/ennemis et de rapports de force qui changent constamment.
Le récit est lent, avec de nombreux phylactères, bref ça n’aide pas à entrer dans l’histoire. La lecture en devient indigeste ; dommage, cela ne m'aura pas permit de mieux découvrir ce Roi, l'un des plus populaire de France.
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"Ah ! C'est encore ce maudit singe qui ne peut pas laisser les gens vivre en paix"
"La pérégrination vers l'Ouest", l'un des "Quatre livres extraordinaires" de la littérature chinoise, est ici brillamment adapté en bandes dessinées.
L'histoire du Roi Singe Sun Wukong a inspiré un nombre incalculable d'œuvres parmi lesquelles le manga Dragon Ball.
Ce premier tome (sur quatre) raconte l'ascension d'un singe immortel, agaçant, turbulent et ambitieux, qui va se mettre à dos plus de divinités qu'il n'a de poils sur le corps ! Sun Wukong est une vraie tornade que rien ne semble pouvoir arrêter et pourtant, seul la véritable sagesse pourra donner un véritable sens à son existence.
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Je ne connais pas les romans dont cette BD constitue l'adaptation. Je suis donc un peu comme de spectateur qui voit un film sans avoir lu le roman dont il est tiré... Il trouve le film sympa, et devient curieux du roman.
J'en suis là par rapport aux romans de Hohlbein.
Le scénario de la BD est somptueux de rebondissements. On démarre sur le bateau emportant les esclaves et on termine entouré de cadavres empalés par Vlad Draculea, chef de guerre se dressant entre l'Ottoman et le Magyar, et cherchant le secret des buveurs de sang. Les alliances se font et se défont. L'Ordre des Dragons fait son apparition. Dans l'entourage de l'Inquisiteur, les chevaliers d'or, vampyres eux aussi, songent à de nouvelles collaborations...
Par contre, je m'étais vraiment habitué aux dessins (aux peintures, presque) de Von Kummant... et je trouve le trait de Chaiko très conventionnel. Trop conventionnel. Chaiko dessine très bien, il ne faut pas mal me comprendre. C'est nickel. Trop net et trop nickel, pour le propos extrêmement glauque et malsain du scénario. Ce trait ramène la Chronique des Immortels à une énième BD d'heroic fantasy. Sans doute pas l'idéal.
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j'ai découvert cette bande dessinée par hasard dans une bouquinerie. la qualité des dessins est superbe. Les couleurs sont aussi trés sensibles.
par contre, je n'ai pas forcément tout compris à l'histoire. il y a un croisement de personnages que je n'ai pas réussi à suivre (pourtant il n'y a moins de 100 pages);
j'ai aimé cette bande dessinée chinoise qui est plus douce que les mangas japonais dont le trait est parfois trop gros. c'est tout en douceur.
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