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Citations de Charb (120)


[ Dieu, à Satan ]
- Impossible de bosser au paradis avec tous ces casse-couilles de croyants !
- Viens bosser chez moi, y a que des athées !
(p. 71)
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- Tu as beau être athée, je t'apprécie. Tu n'as jamais dit du mal de Dieu !
- Comment je pourrais me moquer de ce qui n'existe pas !?
- BLASPHÈME !
(p. 29)
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Ce qui fait la supériorité du cafard sur l'homme, c'est que jamais il n'y aura un cafard ministre de l'identité nationale
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Au centre du néant
Il y a le milieu de nulle part
BAYROU
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la différence entre un kamikaze et un fumeur, c'est qu'un kamikaze sait pourquoi il tue son entourage.

(
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- Après nous avoir fait croire qu’il fallait bosser plus longtemps parce que la durée de la vie s’allongeait, on va nous faire croire quoi?
- Qu’il y a une vie après la mort.
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- Je suis le remplaçant du prof de philo.
- Tu viens d’où ?
- De Pôle Emploi.
- Tu faisais quoi avant ?
- Coiffeur.
- Quel rapport avec la philo?
- Comme les philosophes, on a l’habitude de couper les cheveux en quatre. Ah ah ah! C’est pas de moi, c’est de Jacques Dessange.
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" Mort à ceux qui ont peur de mourir !

J'ai peur de la mort, je ne veux pas mourir et gnagnagna... Non, mais quelle prétention ! Et pourquoi tu ne mourrais pas comme tout le monde ? Qu'est-ce qu'elle a de si extraordinaire, ta vie, pour que tu t'y accroches comme un morpion ? T'en as qu'une, on le sait que t'en as qu'une ! Pourquoi il t'en faudrait plus ? Pour vivre une deuxième fois les conneries que tu as déjà vécues une fois et pour à la fin pleurnicher de nouveau que tu ne veux pas disparaître ? Mauvais joueur ! A chaque tour de manège, t'es du genre à vouloir décrocher la queue du Mickey, toi, sinon tu piques une crise ! Il faut grandir, mon vieux, et, oui, mourir. Que tu aies peur du moment qui précède la mort, je veux bien, il y a des agonies qui ne sont pas rigolotes, mais, avec une bonne piquouse dans les miches, maintenant, tu ne te rends compte de rien. Tiens, t'as eu mal au ventre avant l'oral du bac ? Et bien, la mort ne devrait pas t'effrayer plus qu'un oral du bac. Et dans le bac, ce qu'il y a d'angoissant, c'est qu'on peut le rater, alors qu'avec la mort, pas de surprise, on est sûr de l'avoir. C'est ce saut dans l'inconnu qui te fout les jetons ? Mais le néant, ce n'est pas l'inconnu, c'est le néant. Le néant, c'est, comment te dire ? Tu vois ton boulot à la poste ? Bon, bah, c'est pareil en moins chiant. Et puis, ta vie, je te rappelle, tu l'as eu gratos. Quand tu tombes sur un billet de 100 euros dans la rue, tu l'empoches et tu fermes ta gueule. Au moment où tu le ramasses, tu penses déjà à la manière dont tu vas le dépenser, non ? Tu sais très bien que le billet ne sera pas éternel et tu l'acceptes. Ta vie, c'est ce billet de 100 euros. Disons 500, si ça peut te faire plaisir. Et encore, la vie, tu n'as même pas eu à faire l'effort de te baisser pour la ramasser. Feignasse !

Je crois que vous en serez d'accord, il faut pousser au suicide celui qui a peur de la mort en ne lui projetant du film de sa vie que les scènes où il fait la vaisselle. Amen. "
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" Mort aux étiqueteurs de pommes !

C'est la sorcière de Blanche-Neige qui a gagné. Les pommes polluées aux pesticides réduisent autant notre espérance de vie que le nombre de spermatos vivaces dans nos couilles. Tout le monde guette la catastrophe nucléaire avec angoisse, et c'est la pomme, la bête pomme, qui viendra à bout de l'humanité. Si on ne veut pas s'empoisonner, il faut laver sa royal gala à l'eau de javel et la peler jusqu'aux pépins. C'est trop chiant. La vie est trop courte pour s'emmerder à éplucher des pommes. Partir chasser la pomme bio est encore plus pénible. Mais alors, pourquoi bouffer des pommes ? Parce que c'est obligatoire. Il faut manger cinq fruits et légumes par jour pour prolonger sa vie jusqu'au cancer. Sinon, on meurt d'une maladie cardio-vasculaire, et là, c'est la honte. Dans les cinq fruits obligatoires, on est forcément confronté à un moment à la pomme. Va pour croquer à belles dents les pesticides, mais il faut avant ça enlever l'étiquette collée sur le fruit. Le producteur a mis sa marque. Autant les pesticides n'ont pas de goût et se digèrent bien, autant ce putain d'autocollant est imbouffable. Et vas-y, essaie de le décoller ! ça résiste. Tes ongles finissent par s'enfoncer dans cette peau que tu ne voulais pas peler, et, quand tu es venu à bout du papelard, il reste à sa place une tache de colle méga-poisseuse. Le plaisir de manger une pomme empoisonnée est gâché par cette manie que le gros péquenot a prise à l'industriel : apposer son logo sur son produit. Quand il va aux chiottes, je parie qu'il emporte avec lui une provision d'autocollants afin de marquer ce qui tombe de son sale cul ! Si l'on ne trouve plus de vers dans les pommes, ce n'est pas à cause des produits toxiques que les paysans déversent dans les champs, mais parce que les bestioles ne supportent plus la proximité de ces abrutis.

Je crois que vous en serez d'accord, il faut obliger les étiqueteurs de pommes à avaler le contenu d'une centaine de bâtons de colle Uhu. Amen."
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Mort aux pubis "à la française"
Comme il y a des jardins à la française ,il y a des pubis à la française . Pas un poil ne dépasse du buisson. Un buisson réduit le plus souvent à un carré de gazon coupé ras, en fait.
C'est..... Non , vous n'avez pas la berlue, la moustache de Hitler!!
Vous allez pour pique niquer dans le slip de cette charmante fille et vous tombez nez à nez avec le Führer! le choc!! vous alliez rouler une pelle au criminel nazi......
Je ris de ce que je veux quand je veux!
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Aujourd’hui, le journaliste qui demande à un musulman de commenter la « montée de l’islamophobie » ne lui demande finalement rien d’autre que de commenter ce que les médias ont eux-mêmes créé. En résumé, il contribue à amplifier un problème et fait ensuite semblant de s’étonner de l’existence et de la persistance de ce problème. Le responsable musulman à qui le présentateur du 20 heures réclame d’exprimer son sentiment sur cette fameuse « montée de l’islamophobie » devrait lui cracher à la gueule. Il a en face de lui le promoteur de la trouille que suscite l’islam.
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Un jeune type bourré à son copain bourré qui vient d'essayer de piquer dans le sac d'une femme :
« Arrête tes conneries, quand t'es bourré, t'es bon à rien ! Excusez-le, madame. »
(p. 175)
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Un type en bleu de travail à la caissière :
« Oui, j'ai de la monnaie, mais au fond de ma poche. Servez-vous... »
(p. 142)
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Un gros con à moustache à son fils qui regarde la devanture d'un magasin de chaussures :
« Prends-en des costauds avec une coque en fer, pour filer des coups de pied aux couilles, c'est mieux. »
(p. 116)
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Une maman plutôt âgée à son jeune fils :
« Si tu m'appelles encore 'Mémé', je te donne à garder à Grand-mère, et là, tu verras ce que c'est qu'une vieille ! »
(p. 114)
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Un moustachu grisonnant à un jeune chauve :
« Si un jour t'as des problèmes dans ton couple, hésite pas à m'en parler. Tu sais, ça fait vingt-trois ans que je suis marié, alors, la femme, je la connais. Oui, enfin, bon, je veux dire ma femme. Mais c'est toutes les mêmes, des chieuses. Enfin, la mienne... »
(p. 76)
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Une dame (...) :
« Jospin a été prof, il paraît. Ah ! J'aurais bien aimé le voir devant une classe de cinquième en banlieue ! S'il avait vécu ça, il aurait voté Le Pen ! »
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Un jeune rebelle de banlieue avec un bonnet enfoncé jusqu'aux yeux, à son copain en uniforme Adidas :
« Arrête, hé ! Je t'ai vu au rayon livres de la Fnac ! Ah, le ringard ! Au rayon livres ! »
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Un jeune qui zozote à son frère jumeau en plus moche :
« Si tu confonds la salope et l'allumeuse, alors c'est que t'as rien compris aux meufs ! »
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Une jeune femme à sa copine :
« Si on autorisait les buralistes à accepter les Tickets-resto pour les clopes, les ventes baisseraient pas autant. C'est un buraliste qui m'a dit ça. »
(p. 13)
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