Takamichi

Ce manga à l'ambiance étrange démarre in medias res : on ne sait pas grand chose des deux héroïnes ni comment elles sont arrivées là. Si leur rôle de débuggeuses pour l'entreprise Klein Software est rapidement expliqué (elles traquent les bugs dans les jeux vidéo), le lieu où elles ont été propulsées reste bien mystérieux... Comme dans le film Cube, ce bâtiment labyrinthique défie toutes les lois de la logique : l'escalier est sans fin, "chaque fenêtre et chaque porte donnent sur un lieu différent", "c'est tellement n'importe quoi qu'on sait même plus dans quel sens aller".



Les réactions des étudiantes en disent long sur leur personnalité, aux antipodes l'une de l'autre. Si Yôko la sumo au visage ingrat ronchonne tout le temps ("si c'est un jeu, il est sévèrement naze!"), Reika "s'amuse comme une petite folle". C'est vrai que l'aventure a des airs de jeu vidéo, avec ces objets anodins qui peuvent se révéler utiles, ou ces décors synchronisés qui se dédoublent à l'infini. Maligne, Reika a l’œil observateur et l'art de débloquer les situations. Yôko est plus pragmatique mais son amie peut compter sur elle. Leur complémentarité leur permet de passer différentes étapes et aussi de combattre des monstres. Plus l'histoire avance, plus Reika se montre enthousiaste, "presque plus à l'aise ici que dans le vrai monde".



Il semblerait en effet que les deux jeunes femmes se trouvent "côté face" du monde réel, sorte d'univers parallèle engendré par un bug... Mais peuvent-elles se fier aux propos de Tagami, le concepteur de jeux vidéo soi-disant enfermé lui aussi quelque part dans le bâtiment ? Et surtout, comment sortir de là ? Reika, qui "aspire simplement au rêve et à l'aventure", n'est pas au bout de ses surprises !
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Très spécial, et en même temps hyper bien pensé. Pour les fans de jeux vidéos et de SF. Je me suis sentie comme quand je regarde la saga "Cube" : mal à l'aise, angoissée, et en même temps subjuguée.

Vivement la suite !

Reika et Yôko vont un jour se retrouver dans un grand labyrinthe sans fin. Un seul indice ce message laissé par un certain Tagami créateur de jeux vidéos.



J'ai détesté ce manga de A à Z car les dessins sont mal faits et l'histoire banale. Dans ce livre il ne se passe rien ou très. A un moment quand même on voit deux monstres aux quels elles vont rechaper en se cachant une sous un matelas et l'autre derrière un pot de fleur. PALPITANT!!!!!!! (Je rigole). Sinon les "héroïnes" mangent se baignent et cherchent du réseau. (on s'amuse). L'auteur n'a tellement pas d'imagination qu'il na fait que deux tomes.

Je n'ai pas apprécier ce deuxième tome car outre les mauvais dessein( erreurs de proportion) l'histoire est bâclé par l'auteur, il y avait beaucoup cet univers fictif aurais put être tellement plus développé car cette univers n'a aucune limite. en Effets la création d'un monde indique une totale liberté sur ce qu'il s'y passe. L'Espèce des "Braconniers" et elle aussi bâclé et peu développée

en conclusion une fin peu satisfaisante qui aurais mérité plus de temps.

Un superbe manga en couleur, mais sans aucune intrigue.

C'est un plaisir de parcourir ce manga à la française, vivant et coloré, qui évoque tous ces petits moments entre amies qui font la joie du quotidien. C'est frais, c'est gai, c'est léger ! Un peu trop d'ailleurs... Quand on se trouve incapable de résumer l'histoire, c'est qu'il n'y a pas grand chose à en dire ! En fait c'est une succession de saynètes sans véritable lien entre elles. Parfois c'est drôle (ma préférée, c'est celle où Misaki, à vélo, tente de passer sous les pigeons sans se prendre de fiente - c'est dire le niveau du livre !..), parfois la fin laisse perplexe, la plupart du temps c'est sans intérêt. A réserver aux amateurs !
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Voici le premier tome d'un très bon diptyque.

Via les aventures de Reika et Yoko, on entre dans un univers plutôt original. Les 2 étudiantes se retrouvent enfermées dans un dédale dont les régles se rapprochent de celles d'un jeu vidéo.

Les deux jeunes femmes présentent des profils complémentaires et originaux qui les rendent attachantes.

Le titre est original par son absence de glauque, ses personnages enthousiastes (particulièrement Reiko) et nous présente une histoire prenante.

Reika et Yokô réussissent à traverser un portail qui les mènent dans un nouveau monde ressemblant étrangement au monde réel. Mais là encore, certains bugs mettent nos deux héroïnes sur la piste pour découvrir où elles sont et pourquoi sont-elles là. La partie est loin d'être finie... Ce dernier tome est tout aussi captivant que le premier, il est riche en rebondissements et en découvertes. Takamichi a réussi à mener le suspense jusqu'au bout. C'était vraiment un régal de lire ce dyptique tant dans le dessin que dans le scénario. Je pense que je vais aller jeter un oeil, voire les deux, dans sa biblio!

Reika est une mordue de jeux vidéos, c'est sa réalité à elle, et ce qu'elle préfère par dessus tout, ce sont les bugs présents dans ces jeux. Alors le jour où elle se retrouve réellement bloquée dans ce qui ressemble à un jeu vidéo truffé de bugs, imaginez un peu son excitation... Un matin Reika et sa coloc Yôko, qui joue également aux jeux, se réveillent dans cette réalité virtuelle. Pour en sortir elles doivent trouver des items, découvrir les caractéristiques de ce monde et faire face à d'étranges créatures. Le récit est palpitant et les personnages très attachants. Je ne suis pas du tout amatrice de jeux vidéos et pourtant Takamichi a réussi à m'immerger totalement dans ce dédale. Le cliffhanger est très bon, j'ai vraiment hâte de lire le deuxième tome et je suis presque déçue qu'il n'en ait que deux!

Fraîcheur été le retour :)

Nobi nobi nous embarque cette fois ci dans une lecture feel good, sans prise de tête, on nous invite à partager de brefs instants de vie de 3 amies.

Les scénettes vont très vite, cela fait juste quelques pages, j'ai d'abord été surprise.

Le manga est un peu lourd (son poids), et coloré. Il est tout en couleurs, le texte a des changements de couleurs, les bulles aussi.

Les graphiques sont agréables et on apprend à connaître ces 3 jeunes femmes, amies pour le meilleur et pour le pire XD

Bref, si vous voulez du tranche de vie avec des petites histoires, de l'amitié, qui fleure bon le soleil, l'été, s'amuser, du rire, la vie, venez embarqué pour cette petite série de 3 tomes, et sinon passez votre chemin.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..

C’était une agréable surprise. J’y ai découvert un univers très rythmé avec beaucoup de références aux codes du jeu vidéo. Je ne suis pas une énorme fan de jeux vidéos. J’aime bien ça mais sans plus. Je peux passer facilement une année sans jouer à quoi que ce soit. Les codes de jeux vidéos sont très faciles d’accès. Il y a des références je pense mais je suis pas assez calée sur le sujet et honnêtement ça ne m’a posé aucun soucis. Ce sont surtout des petits clins d’oeil que tout un chacun peut comprendre. De plus, les héroïnes sont des gameuses qui travaillent dans une entreprise de jeux vidéos et l’univers dans lequel elles sont retenues peut faire penser à un niveau de jeu. Il y a des boss, des monstres, des quêtes. Il y a même des objets cachés qu’il faut trouver pour avoir une aide dans la résolution d’une quête. Honnêtement, j’ai vu mon mini Link progresser dans mon jeu Zelda avec sa cape et ses bottes hyper rapides ! Bref, il y a tout ce qui peut rythmer un bon jeu et j’ai adoré!
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L’aventure reprend de plus belle, et ne cesse de se renouveler ! Ce second et dernier tome tient ses promesses, maintient sa cohérence et sa qualité graphique jusqu’au bout, et nous offre une fin largement satisfaisante.

Un manga vraiment emballant et au dessin impeccable ! Deux jeunes femmes, débuggeuses de jeux vidéo, se retrouvent enfermées dans un immeuble dont l’agencement des pièces forme un bien étrange dédale. Les deux héroïnes sont attachantes et n’ont que leur intrépidité et leur esprit de déduction pour tenter de s’en échapper. Et plus elles avancent, plus ça se complique. On passe de mystères en révélations, et le livre n’est lâché que pour être remplacé par le second tome.

Nobi nobi nous embarque cette fois ci dans une lecture feel good, sans prise de tête, on nous invite à partager de brefs instants de vie de 3 amies.

Les scénettes vont très vite, cela fait juste quelques pages, j'ai d'abord été surprise.

Le manga est un peu lourd, et coloré. Il est tout en couleurs, le texte a des changements de couleurs, les bulles aussi.

Les graphiques sont agréables et on apprend à connaître ces 3 jeunes femmes, amies pour le meilleur et pour le pire XD

Bref, si vous voulez du tranche de vie avec des petites histoires, de l'amitié, qui fleure bon le soleil, l'été, s'amuser, du rire, la vie, venez embarqué pour cette petite série de 3 tomes, et sinon passez votre chemin.
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J'ai souvent du mal à me plonger dans un manga, malgré mes multiples essais, je n'arrive pas à m'habituer au sens de lecture et je me perds souvent dans l'histoire. Rien de tout ça avec celui-ci, dans lequel je me suis tout de suite laissée entrainer.

Reika et Yoko, co-locataires qui travaillent pour une société de jeux vidéos, se retrouvent, sans trop savoir comment, enfermées dans un monde sans queue ni tête, où les escaliers n'ont pas de fin, où les objets semblent clonés, sans autre être humain qu'elles deux. Enfin, pas tout à fait, elles vont tout de même finir par réussir à établir un contact. Mais ce qu'elles vont apprendre sur ce monde mystérieux ne va pas beaucoup les rassurer.

Deux personnages, des dessins clairs, un manga vraiment accessible pour ceux qui débutent dans ce genre littéraire. On s'attache très vite à Reika, jeune fille assez loufoque, aussi asociale dans la vraie vie que téméraire dans ce monde virtuel-parallèle.

Je suis sûre que nos collégiens vont adorer et adhérer à cette nouvelle série. J'ai même hâte de lire la suite !

Reika et Yôko ont enfin trouvé un moyen de sortir du labyrinthe et elles se retrouvent dans leur quartier. Pourtant, les gens ont des comportements étranges, et en fait elles se rendent rapidement compte qu'ils ne les voient pas ! Elles sont invisibles ! Seraient-elles donc encore coincées dans un monde parallèle ? Et comment en sortir ? Le mystère s'épaissit...

J'ai bien aimé ce deuxième tome pendant lequel les deux filles tentent de comprendre ce qui leur arrive en élaborant diverses théories. Les explications sont parfois un peu alambiquées, mais l'histoire est tout de même très originale et la fin est inattendue. Ce manga pose finalement cette question : pourquoi certains humains ne semblent-ils pas adaptés à notre monde et pourquoi certains préfèrent-ils se réfugier dans des réalités virtuelles ? J'ai trouvé intéressant qu'un personnage socialement inadapté comme l'est Reika soit mis en avant et valorisé dans cette aventure.

Bienvenue dans le Dédale ! Voici un manga inclassable, sans bastons ni mièvreries, un objet difficile à identifier, tout comme le dédale dans lequel sont enfermées les deux héroïnes. Reika et Yôko, deux étudiantes spécialisées dans le "débuggage" de jeux vidéos se retrouvent dans un gigantesque immeuble labyrinthique. Totalement perdues au début, elles ne cèdent pourtant pas à la panique et tentent de mettre en place une stratégie pour découvrir où elles sont, ce qu'elles y fond et comment elles peuvent en sortir. C'est justement cela que j'ai trouvé intéressant : les deux filles enquêtent, et avancent dans cet univers étrange en faisant diverses expériences pour essayer de le comprendre. C'est grâce à leur logique, leurs connaissances et leur instinct qu'elles vont enfin réussir à survivre, et même dans un certain confort, et puis à trouver des indices pour se sortir de cette situation. A aucun moment elles ne se découragent, leur tandem fonctionne parfaitement, le suspens et l'envie de découvrir la suite sont permanents. En plus c'est une histoire en seulement 2 tomes, ce qui est bien appréciable quand on n'a pas envie de se lancer dans une grande série. Un excellent manga qui peut plaire aussi aux non amateurs de mangas :)

Ce manga est génial on ne sais jamais ce qu'il va se passer

je trouve que le 2 est mieux que le premier

Reika et Yôko, deux colocataires bossant pour la même boites de jeux vidéos, se réveillent dans un bâtiment qu’elles ne connaissent pas et qui, après une rapide inspection, semble ne jamais avoir de fin.



Rapidement elles vont se demander si elles sont dans la réalité ou dans un jeux, leur boulot consistant à traquer les bugs dans ces derniers. Mais force est de constater que s’il s’agit d’un jeu il est foutrement réaliste.

Les deux filles vont alors se lancer à la recherche d’une sortie, découvrant au cours de leur route les réactions étranges de certains objets, des répétitions dans le décor, un manque complet de logique de l’univers dans lequel elles viennent de tomber et… des espèces de bestioles dévorant tout sur leur passage et au look assez inquiétant qu’elles vont tenter d’éviter.



Les voir crapahuter dans ce monde fait d’appartements empilés les uns sur les autres de façon apparemment anarchique et découvrir des choses sur l’endroit qu’elles parcourent mais aussi sur ce qui s’est passé dans le vrai monde est carrément addictif.

La relation entre les deux colocataires et amies est intéressante et plus on en apprend sur Reika plus on comprend sa façon de fonctionner.



Les deux héroïnes, très différentes l’une de l’autre, n’ont pas la même façon d’aborder ce qui leur arrive. Et si Yôko aimerait retourner à une vie normale dans le vrai monde il est rapidement évident que Reika voit les choses d’un tout autre œil et qu’elle s’éclate comme jamais dans la simulation.

(lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/dedale-..

Un manga court, puisqu’il ne comporte que 2 tomes, mais qui réussit à faire le tour de son sujet. Un sujet par ailleurs original, mêlant deux notions que l’on retrouve régulièrement dans la science-fiction : les jeux vidéos et les extra-terrestres.

Un manga qui n’oublie pas non plus d’être sentimental à souhait, n’en déplaise à certaines personnes (dont moi, d’ailleurs !) mais bon, comme cela ne s’étale pas sur 20 ou 40 volumes, cela reste acceptable.

Les deux personnages principaux sont attachants et j’aurais bien aimé finalement que le 3ème personnage soit un tout petit peu plus exploité, je trouve qu’il ne sert que de faire-valoir aux explications largement simplistes du contexte (une boîte noire qui lui permet de voyager de la terre au vaisseau des extra-terrestres, une autre race d’aliens qui l’auraient contacté pour le mettre en garde contre l’invasion, laquelle autre race n’intervient pourtant pas du tout dans l’histoire malgré leur rôle de « shériff », un passé brièvement évoqué, ce qui n’est pas habituel des mangas pourtant, et un événement « déclencheur » très banal, etc.)

La fin est abordée un peu vite, on sent qu’il fallait tenir dans le nombre de pages imparti, mais bon, sans nuire de trop à l’histoire, ça reste acceptable.

Ce fut donc un bon divertissement, sans être non plus la découverte de la décennie.

Un manga court, puisqu'il ne comporte que 2 tomes, mais qui réussit à faire le tour de son sujet. Un sujet par ailleurs original, mêlant deux notions que l'on retrouve régulièrement dans la science-fiction (attention, en choisissant de dévoiler le texte masqué, vous dévoilerez les deux zones masquées simultanément): les jeux vidéos et les extra-terrestres.

Un manga qui n'oublie pas non plus d'être sentimental à souhait, n'en déplaise à certaines personnes (dont moi, d'ailleurs !) mais bon, comme cela ne s'étale pas sur 20 ou 40 volumes, cela reste acceptable.

Les deux personnages principaux sont attachants et j'aurais bien aimé finalement que le 3ème personnage soit un tout petit peu plus exploité, je trouve qu'il ne sert que de faire-valoir aux explications largement simplistes du contexte (une boîte noire qui lui permet de voyager de la terre au vaisseau des extra-terrestres, une autre race d'aliens qui l'auraient contacté pour le mettre en garde contre l'invasion, laquelle autre race n'intervient pourtant pas du tout dans l'histoire malgré leur rôle de « shériff », un passé brièvement évoqué, ce qui n'est pas habituel des mangas pourtant, et un événement « déclencheur » très banal, etc.)

La fin est abordée un peu vite, on sent qu'il fallait tenir dans le nombre de pages imparti, mais bon, sans nuire de trop à l'histoire, ça reste acceptable.

Ce fut donc un bon divertissement, sans être non plus la découverte de la décennie.