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Critiques de A. Zavarelli (96)
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La cité du vice, tome 1 : Confession

J'ai été absorbée à 100% par cette romance. Le gros point positif, c'est que l'on n'est certain de rien. On est constamment dans le doute quant à la finalité de cette histoire. On passe par beaucoup d'émotions ; joie, tristesse...

La tension entre nos protagonistes est très palpable. La sensualité dans ce roman est de mise. Quand il y a une scène érotique, les choses sont érotiques à 100%. Rien n'est mis de côté. Pour aimer cette romance cependant, il faut aimer le sexe qui n'est pas toujours rose. On s'approche pas mal d'une petite dark romance. Mais les personnages sont très attachants. Et un second tome est en prévision visiblement. Celui-ci sera consacré à la sœur de notre protagoniste et Ace, un personnage introduit dans ce premier tome.
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Les gangs de Boston, tome 1 : Le corbeau

Le résumé était prometteur et promettait quelque chose d'intense et de dur à la fois, le tout mêlé à des sentiments forts. La mafia irlandaise, des règlements de compte, des tueries, la vengeance, l'honneur entre les Irlandais, les Russes et les Arméniens sur fond poussif d'une disparition.

Bref ! Le début était sympa, le milieu, on tient le coup, car tous les prétextes sont bons pour s'envoyer en l'air et à la longue, ça épuise. Quant à la fin, ça part dans tous les sens, trop fouillis. Et moi, ben, on m'a perdu dans l'histoire.

Malgré tout, je lirai sans problème le tome 2, pour le personnage secondaire que j'ai trouvé très intrigant dans ce premier opus.
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Le Rapt de Cendrillon

Je n'ai pas pour habitude de lire des versions revisitées des contes, car je n'aime pas ça. Mais cette fois-ci, j'ai décidé de faire une exception vu tout l'engouement que je pouvais voir autour de celle-ci.

Connaissant l'auteure, je savais qu'elle était capable de faire quelque chose de sombre autour de cette histoire et des personnages. Cela n'a pas manqué ; les personnages sont traumatisés par le passé, la violence est omniprésente et la psychologie en est tout aussi complexe.

J'avoue être ressortie de cette histoire avec un avis mitigé, car d'un côté, je sais pertinemment à quoi on doit s'attendre en lisant de la Dark romance, mais pour autant, certaines actions me laissaient perplexe. Cela dit, en y réfléchissant attentivement, je me dis que l'auteure, comme beaucoup d'autres avant elles, a eu recours au syndrome de Stockholm. C'est la seule explication que j'ai pu trouver pour expliquer les sentiments des personnages qui sortent un peu de nulle part. On comprend très bien qu'Ella, par exemple, à besoin d'attention, mais qu'elle est capable de trouver du réconfort dans la douleur. Elle dit elle-même se trouver tordue. Là n'est pas le problème selon moi, le problème réside dans le fait qu'elle ne remet à aucun moment en question les actions du prince. Certes, elle veut s'échapper au début, sauf que cette tentative sera la seule et unique.

L'auteure avait réellement du potentiel avec cette histoire, mais je trouve qu'elle ne l'a pas exploité suffisamment. Certes, on comprend, tout en avance dans l'histoire, les personnages et la complexité qui va avec, mais ce n'était pas suffisant. L'auteure est restée beaucoup trop en surface, ce que je regrette profondément. J'aurais voulu mieux connaître le prince ; avoir plus de flashbacks si besoin, de vraies conversations, un affrontement ultime avec son père, des explications supplémentaires sur son passé, ...

En somme, je n'ai pas vu passer le temps dans cette lecture, mais j'en suis ressortie déçue tout de même. Je peux conseiller cette dark romance aux personnes qui n'ont pas besoin d'un réel approfondissement des personnages pour aimer leurs lectures.
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Les gangs de Boston, tome 3 : Le fantôme

Talya s'est totalement fait avoir par son soi-disant petit ami.

Elle va se retrouver emprisonnée dans le sous-sol d'une maison, droguée, battue, violée, sans aucune issue possible, sauf la mort qu'elle attend avec impatience et qu'elle n'hésite pas à provoquer.

Son salut viendra d'Alexei, le second du chef de la mafia russe, qui n'est pas là par hasard. Mack lui ayant demandé une faveur, retrouver sa meilleure amie.

Il va la ramener chez lui sous forme de monnaie d'échange, mais a bien l'intention de la garder. Ce n’est pas un ange, loin de là, mais avec l'aide de Magda, sa nourrice, il va essayer de la remettre sur pied, Talya n’est plus que l’ombre d’elle-même après tous ces mois de maltraitance. Mais arrivera-t-il à la sauver de son passé qui comme par hasard ressemble drôlement au sien. Deux êtres brisés et piétinés qui arriveront peut-être à s'en sortir ensemble.



Une dark romance avec un début très dur, mais le récit est tellement bien écrit, sans trop de détails glauques, que cela se lit facilement, mais je n’irais pas jusqu'à dire que ça passe tout seul, c’est quand même un moment de lecture relativement difficile.

Nous avons des personnages principaux aux caractères fort et très durs, des personnages secondaires très importants, des anciens qui font une apparition et des nouveaux qui auront leur propre histoire.

Une saga addictive que je ne me lasse pas de découvrir et de sûrement redécouvrir plus tard.
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Les gangs de Boston, tome 3 : Le fantôme

Elle a été vendue par son « soit disant petit copain ». Elle a vécu l’enfer pendant de nombreux mois, au point que sa mort aurait été préférable.





Il l’a cherchée, trouvée et ramenée. Il est le fantôme. Celui qui agit dans l’ombre, main droite du plus puissant gang de mafieux de Boston. Il la veut, la retient. Elle éveille ce sentiment étrange de protection absolue. Elle sera sa résilience, sa chance de se rattraper, de se pardonner à cause de sa différence, de sa faiblesse.





Elle ne veut plus vivre. Elle souhaite s’envoler, partir, pour ne plus se souvenir, ne plus sentir l’odeur âcre de la pourriture. Elle veut les rejoindre, trouver enfin la paix qu’elle souhaite de tout cœur.





Oui mais … rien ne va se passer comme prévu !





Une lecture totalement influencée par booktok et ça été un pur régal. Je découvre par la même occasion cette autrice et cette maison d’éditions. Nous sommes loin d’une pseudo dark romance : violence, viol, manipulation, scènes « vanille épicée » (voire davantage). Une dark romance bien sombre, bien gore comme je les aime. L’univers de la mafia est scrupuleusement maîtrisé. La psychologie des personnages collent à la perfection. On assiste donc à une évolution douloureuse de cette relation inédite. L’autrice ne nous épargne pas : cris, larmes, blessures, manipulation, trahison. Tout un lot de rebondissements nous enchaine à cette histoire tout aussi captivante qu’envoûtante. Une intrigue bien ficelée qui joue sur les apparences. La plume de A. Zavarelli (et la traduction) est totalement addictive dès les premières pages, la magie opère.





A lire absolument si vous êtes une adepte du genre. Attention tout de même au TW !





Une lecture qui m’a secouée. J’ai adorée ! Plus que 5 tomes à découvrir !
Lien : https://misschocolatinebouqu..
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Les gangs de Boston, tome 4 : Le saint

Scarlett est une ancienne prostituée au lourd passé, mais l’heure de la vengeance est enfin arrivée, car elle n’est pas celle qu’elle nous laisse bien voir.

La vengeance est un plat qui se mange froid, elle a bien pris son temps pour arriver à ses fins, et quand on apprend ce qu'elle a vécu on est content de voir son objectif enfin atteint.

Même si elle ne veut pas de Rory dans sa vie, elle va se servir de lui pour atteindre son but, mais il pourrait bien y avoir du changement dans sa vie.

Car depuis que Rory a rencontré Scarlett, il ne voit plus qu’elle a ses côtés.

J’aime lire ce genre de romance, avec une atmosphère dangereuse, un peu d’action, des mafieux qui peuvent être aussi bien sans pitié qu’avec un cœur énorme, cette ambiance un peu dark sans aller dans le trop dégoûtant.

C’est une histoire très fluide, avec un bon fil conducteur, et un but à atteindre pour Scarlett qui ne se laissera pas dérouter.

J’aime toujours autant recroiser au fil des pages, les anciens personnages, et voir leur évolution. Une romance torride et sanglante, qui se lit facilement sous le plaid.

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Les fils souverains, tome 1 : Le requiem d'..

Natasha Knight et Anna Zavarelli sont incontestablement mes deux auteures favorites de dark romance, autant pour leurs plumes respectives, la psychologie des personnages, les univers où ils évoluent. Et ici, pas de demi-mesure, nous sommes dans de la pure dark !



Si j'avais moins accroché à leur précédent quatre mains que je trouvais trop peu développé, ici, tout y est. On entre dans le sombre université de la Société des Fils Souverains, IVI. Même si c'est différent des univers mafieux de Natasha Knight, j'y ai vraiment retrouvé sa patte et son atmosphérique.



Du jour au lendemain, Ivy apprend qu'elle sera mariée à Santiago de la Rosa, un membre très haut placé dans la Société. Elle l'ignore encore, mais l'objectif de cette union pour celui-ci est la vengeance - en effet le père d'Ivy aurait participé à l'explosion qui aurait tué la plupart des membres de la famille De la Rosa et qui aurait provoqué les brûlures partout sur le corps de Santiago. Une union qui démarre sous de mauvais auspices...



Tout est sombre, difficile pour Ivy, entre ses obligations et les rites archaïques imposées par la Société, le traitement que lui inflige Santiago, sa propre famille qui la rejette, les scènes érotiques violentes, ce n'est clairement pas à mettre dans toutes les mains.



Malgré tout, la plume des deux auteures rend le tout très addictif et vraiment fascinant. J'ai été plongée dans cet univers si sombre et dérangeant, même si c'était parfois difficile d'imaginer comment Ivy peut encaisser tout ça.
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Les fils souverains, tome 1 : Le requiem d'..

Mon résumé de l’histoire :

Ivy n’a pas une vie facile dès le début de l’histoire mais tout va empirer une fois mariée à Santiago De La Rosa.

Santiago lui n’a qu’un mot en tête : vengeance mais, tout au long de l’histoire nous allons en apprendre plus sur lui et bien que détestable, il reste charismatique et craquant.



Mon avis :

J’ai agréablement été surprise au début de ma lecture, l’écriture est fluide et prenante, je n’arrivais pas à me détacher de l’histoire. Les personnages sont incroyables et bien construit, Santiago à deux facettes une détestable et l’autre touchante, Ivy elle est bien plus forte qu’on peut le croire et arrive à nous toucher.



L’histoire est remplie de trahisons, de haine, de rebondissements et de révélations. Les auteures n’ont pas eu de mal à jouer avec les émotions et n’ont pas hésitées à mettre nos nerfs à rudes épreuves !



Après cette lecture, je n’ai qu’une hâte : découvrir la suite et suivre les aventures des personnages.



C’est une dark romance bien construite avec une relation explosive que je recommande bien évidemment !

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Le diable du campus

C'est une romance prof élève sur fond de dark, qui change des autres romans d'Anna Zavarelli puisque prend place dans une académie.



Comme dans chacun de ses romans, le style de l'auteure est impeccable, les personnages bien construits, ça se lit vite et bien.



Par contre, je dois avouer avoir moins aimé ce roman que les autres pour les motivations de Sebastian à agir ainsi envers Stella. Elles sont assez stupides, de mon point de vue. Ensuite, la romance prend une tournure assez déroutante et un peu irréaliste, qui contraste avec la manière dont elle a commencé. C'est trop mièvre, convenu.



Au-delà de ses défauts, cette romance reste une bonne lecture.
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La bête

La couverture, le titre, tout dans ce roman fait penser au célèbre conte que l’on connaît. Si effectivement quelques petites touches y font un rappel, il ne m’a pas vraiment semblé lire une adaptation, loin de là même.



Et ce que je tiens à dire en premier lieu c’est qu’en recevant ce livre, un avertissement y était joint. Je me disais qu’il était normal que la maison d’éditions prévienne lorsqu’une Dark Romance se retrouvait entre nos mains, mais je ne pensais absolument pas que l’autrice arriverait à me repousser si loin dans mes limites. C’est bien simple certains passages ont été si durs à lire que j’ai dû faire plusieurs pauses afin de ne pas flancher. Vous allez peut-être vous dire que j’exagère, que ça ne peut pas aller si loin que cela et pourtant, je me suis retrouvée à lutter contre ce texte pour ne pas le mettre définitivement de côté.



” La rage consume tout ce qui est bon, ne laissant que l’amertume dans son sillage.”



En effet, les faits exposés sont loin d’être anodins et ils ressemblent sans nul doute à ce que vous avez déjà pu lire par le passé pour peu que vous soyez adepte du genre. Toutefois, les rapports qu’entretiennent Isabella et Javier dépassent l’entendement et j’ai personnellement eu beaucoup de mal à y trouver des notes positives. Ce n’était pas par dépit mais sincèrement je ne pensais pas lire une histoire de la sorte un jour.



” Les belles choses sont faites pour être détruites. “



Pour commencer, le conditionnement de Javier, les horreurs qu’il a vécues et la personne qu’il est devenu font qu’il ne peut pas être autre chose que cet être empli de rage que l’autrice nous expose. Au plus profond de lui-même, de ses pensées à ses agissements, tout concorde avec ce qu’il a enduré et qui l’a formaté. C’est un monstre, un vrai, un homme dont on ne souhaiterait jamais croiser le regard. Je n’ai ressenti aucune compassion en lui ni pour lui d’ailleurs, au point qu’à aucun moment je n’ai réussi à m’attacher à ce colosse. Et ce n’est pas ce qu’il fait subir a Bella qui a changé la donne.



” Cet homme est mon tourmenteur, ma plus grande source de douleur et de peur. Mais d’une certaine manière, il est aussi devenu mon sanctuaire. “



Je vous le disais, leur relation m’en a fait voir de toutes les couleurs, toutes plus sombres les unes que les autres. Un dégradé de noirceur qui m’a fait mal au cœur. A Zavarelli a rendu si réel son texte, ce qu’elle a fait de ses personnages est si éprouvant que j’ai continué malgré mes difficultés à lire, à retenir mon souffle et à prier pour que tout s’arrête. Si certains de mes espoirs ont été entendus, la plupart ont été dévastés si vite que je me suis retrouvée les bras ballants, ne sachant plus quoi faire de moi.



Jusqu’au bout, l’autrice a gardé sa ligne de mire. Jusqu’à la dernière ligne elle fait monter la pression et ajoute des événements qui menacent de tout faire basculer. Les deux épilogues consécutifs sont particulièrement, j’allais dire touchant mais ce n’est pas le mot exact. Disons que l’on observe certaines facettes des protagonistes que l’on avait pas encore vu et qu’ils me confortent dans le fait qu’il y a bien un avant et un après pour chacun d’entre eux.



La bête est un livre à ne pas prendre à la légère. Il ne doit pas être ouvert en pensant y trouver du bon. Il est violent, féroce, sauvage. Isabella et Javier n’ont rien d’un couple ordinaire et trouve leur plaisir dans un amour qui nous dépasse. Néanmoins, si vous êtes prêts à assister à la naissance d’une histoire torturée, à faire la connaissance de deux personnes brisées, alors je n’ai aucun doute sur le fait que ce roman est le roman parfait pour vous.
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Un roi en disgrâce

Natalia, jeune femme pratiquement muette à cause d’un accident, va être embauchée comme nounou pour garder un petit garçon adorable, adjectif qui ne convient pas du tout à son père. Alessio est un homme froid et sombre, c'est un redoutable tueur, qui pour arriver à faire cracher tous les secrets de ses victimes, s'adonne à la torture avec une grande efficacité.

Natalia, sait-elle chez qui elle est tombée ? Alessio n'est peut-être pas le seul à cacher des cadavres dans son congélo.

Une histoire palpitante, très bien rythmée, quand on pense que l'on sait déjà tout, un nouvel élément est découvert et relance le rythme.

C'est une romance obscure et passionnante, avec des détails sanglants et assez sordides, à ne pas mettre entre toutes les mains.

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La bête

Cette dark romance contient des scènes atroces et choquantes .Elle est destinée pour un public averti⚠️

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‹‹ 𝙲𝚊𝚛 𝚞𝚗𝚎 𝚛𝚘𝚜𝚎 𝚙𝚎𝚞𝚝 𝚏𝚊𝚗𝚎𝚛 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚝é𝚗è𝚋𝚛𝚎𝚜, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚋𝚛û𝚕𝚎𝚛 à 𝚕𝚊 𝚕𝚞𝚖𝚒è𝚛𝚎. ››

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Isabella est naïve, vierge et d'une beauté à couper le souffle.

◦•●◉✿Elle est la Belle✿◉●•◦

Javier est un psychopathe, un monstre, son ravisseur.

◦•●◉✿Il est la Bête✿◉●•◦

Ajoutez à cela un manoir et des roses rouges pour avoir une ressemblance avec "La Belle et la Bête". Mais on est loin du conte, vraiment loin...

D'ailleurs au bout d'environ cent pages j'ai failli abandonné ma lecture à causes de la violence des scènes mais grâce aux encouragements de lectrices, j'ai persévéré.

Eh bien heureusement ! La "relation" entre les protagonistes est malsaine, complètement tordue mais il se passe quelque chose qui nous pousse à découvrir la suite. La curiosité ? L'espoir ? Franchement, je pense que c'est un peu des deux.

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L'emprise psychologique est forte, elle passe par des actes horribles et inhumains, un véritable conditionnement qui permet au tortionnaire de jouer à sa guise avec sa proie. Oui, car c'est de ça qu'il s'agit.

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Je ne me suis pas attachée aux personnages mais à un moment donné j'ai éprouvé de la peine pour Javier. Je ne cautionne absolument pas ses actes mais je comprends pourquoi il en est arrivé à être ce monstre.

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Le côté thriller m'a plu car il ajoute du suspense à l'intrigue principale. Les rebondissements sont excellents et surprenants. Ce n'est pas le roman que je préfère de cette auteure mais au final j'ai passé un super moment de lecture et j'espère qu'un spin-off est prévu.
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La cité du vice, tome 1 : Confession

Quand j'ai vu que A. Zavarelli revenait avec un nouveau livre j'ai sauté dessus car j'avais eu un véritable coup de foudre pour sa dernière série.

Elle revient avec ce livre et elle a encore su me surprendre car je trouve l'histoire plutôt différente de ce qu'elle a l'habitude d'écrire.

Cette histoire n'est pas selon moi un dark romance mais une romance contemporaine où nos émotions font les montagnes russes. Je suis passée par différents états émotionnels tout au long de ma lecture et je peux vous dire que vous ne serez pas épargnés car le livre fait pas loin de 600 pages.

L'intrigue m'a captivé et l'auteure à encore une fois su me rendre complètement addict à son histoire : j'ai retenu mon souffle, j'ai été émue aux larmes, j'ai souri et j'ai ressentie de l'affection pour ces deux âmes en peine.

Gypsy et Lucian m'ont bouleversé et j'ai particulièrement aimé le personnage de Gypsy. Son évolution est surprenante et j'ai adoré cette force qui la caractérise. Quant à Lucian, j'aurai juste un bémol, je trouve que sa personnalité n'est pas toujours cohérente et en adéquation avec ce qui est dit de lui. Je n'en dirai pas plus de peur de spoiler mais sachez que ce n'est qu'un détail et qui n'enlève en rien mon ressenti plus que positif.

En conclusion, j'ai passé un excellent moment et j'ai hâte de lire l'histoire de Birdie et Ace, je suis certaine que A. Zavarelli nous promet encore de bonnes surprises.
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Les gangs de Boston, tome 1 : Le corbeau

Mack vient des bas fonds de Boston, livrée à elle-même depuis la mort de son père à l'âge de 13 ans, elle survit. Son unique attache est son amie de foyer d'accueil Talya, et celle-ci a disparu depuis 1 an

Elle va tout faire pour la retrouver, quitte à s'infiltrer dans la mafia irlandaise au péril de sa vie.

Mais le beau et ténébreux Lachlan va se trouver au milieu de sa route et surtout de son but.

Il est le second du clan, il n'a peur de rien, il ferait tout pour les siens, et ne se gêne pas pour éliminer ceux qui entravent son chemin.

Même si ce livre me fait penser à la série de Manon Donaldson, c'est vraiment le genre de lecture que j'adore, et ce malgré quelques clichés un peu exagérés comme la jeune fille vierge à 22 ans, qui une fois devant le fait accompli, paraît avoir 15 ans d'expérience dans ce domaine.

Une belle romance impossible, au milieu de la violence des gangs, des mâles dominants avec des femmes prêtent à tout pour être dans leur lit, et des secrets bien gardés qui rendent ce livre très addictif.

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Le Rapt de Cendrillon

~ Je découvre la plume de l’autrice, avec ce roman et je suis ravie de ma découverte. Le rapt de Cendrillon est en fait, une revisite du conte mais en version Dark. C’est un livre à ne pas mettre entre toute les mains, je pense que pas avant 18 ans c’est mieux et qu’il aurait été judicieux de le mentionner. Accrochez vous, car vous allez faire la connaissance d’Ella ainsi que de Thor et leur famille respective.



~ Depuis la mort de son père, Ella vit sous le joug de sa belle-mère, et de ses deux belle-sœur, son seul plaisir et de rendre visite à son amie Olivia qui tient un refuge pour les animaux. C’est pour aider son amie Olivia, ainsi que le refuge, qu’elle se retrouve au bal, pour plaider la cause auprès du prince.

Malheureusement pour elle, c’est un bal masqué et en aucun cas elle ne s’adressera au bon prince. Elle va alors se retrouver embarquer pour la Norvège ou elle va devoir se plier aux exigences du prince Thorsen. Si de premier abord il lui fait peur, rapidement elle sera sous son charme et son aura sombre trouvera écho en elle. Elle a vécu de nombreuses épreuves tout au long de sa vie et ce n’est pas fini, les monstres l’a rattrape et se charge de la faire souffrir de nouveau. Au début je l’a trouvé un peu trop passive et naïve, mais elle a su évoluer au fil des chapitres.



~ Thorsen est un prince assez sombre, froid, taciturne, intense, qui a énormément de mal avec les autres être humain. Seul son frère jumeau et sa mère trouvent grâce à ses yeux, mais une rencontre au bal va chambouler son monde. Mais lui qui ne sait pas interagir normalement, va réagir de la seul façon qu’il connaisse et enlever Ella, pour la retenir captive auprès de lui. Il est bien décidé à ne pas changer son mode de fonctionnement pour elle, sa cruauté et sa rage lui seront destinés, mais alors pourquoi cela l’ébranle t il à chaque fois. Derrière le masque de cruauté, se cache un homme blessé, meurtri qui a su toucher Ella, elle a fendillée son armure et s’infiltrer partout en lui. Son changement sera progressif, petit à petit on découvre l’ampleur des dégâts et on ne peu que s’attacher à lui.



~ Une Dark romance que j’ai apprécié même si parfois, le langage cru ne m’a pas plu, on passe outre ce point. Une belle revisite du conte de Cendrillon, dans une version Dark très bien abouti. Une jeune femme exploitée toute sa vie, un prince cruel et torturé une combinaison qui m’a ravie. Une très belle découverte il me tarde de découvrir la revisite de la Belle et la Bête.
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Les fils souverains, tome 2 : Le prix du péché

Un tome aussi sombre que le précédent, voire plus.



Ivy est arrêtée, car accusée d'avoir empoisonné Santiago. Si le lecteur sait tout de suite qu'elle est innocente, ce n'est pas le cas de son mari qui refuse de l'écouter et se persuade de sa culpabilité, malgré les doutes émis par son entourage. Les chapitres oscillent entre les punitions que reçois Ivy pour son crime, ses timides rapprochements/réconciliations avec Santiago et l'avancée de l'enquête sur l'empoisonnement de celui-ci.



J'ai apprécié le côté sombre, toujours aussi envoûtant. L'atmosphère est vraiment bien retranscrite ! Ivy est naïve, à s'accrocher à Santiago, mais dans son cas il serait difficile de faire autrement à moins de se laisser définitivement aller. Néanmoins, ce qu'elle subit de la part de Santiago atteint parfois le point de non-retour et je me demande comment ils pourront arriver à un happy-end dans le tome 3. Le bémol selon moi est Santiago, qui semble avoir des œillères sur le visage et est incapable de voir l'évidence. J'ai du mal à l'apprécier, à voir son évolution dans le tome 3.



Une très bonne trilogie, mais à ne vraiment pas mettre entre toutes les mains.
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Le diable du campus

Je lis A.Zavarelli depuis des années et j’adore ses histoires. Elle écrit aussi bien de la Dark Romance que de la New Adult. Lorsque j’ai vu que « Le diable du campus » était une sorte de mixte des deux, que l’auteure appelle « romance d’intimidation », j’ai été très intriguée et je voulais absolument savoir ce que cette histoire allait donner. J’ai frôlé le coup de cœur, vraiment, mais il m’a manqué l’étincelle entre les deux protagonistes. Bien qu’il s’agisse d’une romance étudiante-professeur sexy, les sentiments « d’amour » n’étaient pas aussi forts que je l’aurai souhaité.



Stella a à peine 18 ans lorsqu’elle commence sa dernière année dans un internat du nom de Loyola. Son chemin semble tout tracé par ses parents. Seule, elle s’adapte, se lutte pour ce qu’elle pense être le mieux pour elle. Cette jeune femme est une battante, elle ne lâche jamais rien. On ressent bien sa douleur. Lorsqu’elle rencontre son nouveau professeur, sa vie bascule. Sébastian est toujours de mauvaise humeur et cruel. Il est à la recherche de l’étudiant(e) qui saura défendre ses envies, ses passions et ses rêves. Stella est la candidate parfaite et lorsqu’il est sûr de lui, le jeu peut alors commencer. La jeune fille va venir contrecarrer ses plans lorsqu’il se rendra compte qu’elle réussit à éclaircir ses ténèbres. Il redoublera alors de stratégie et la douleur qu’il infligera à Stella sera cruelle. Mais à trop jouer avec le feu, nos deux héros risquent de se brûler.



Ce livre est une romance torride avec une touche de suspense. L’auteure aborde des sujets comme la loyauté, la possessivité et le déni. Nous ne sommes pas en présence d’une histoire d’amour à l’eau de rose, c’est brutal et les sensations ressenties sont diverses. On aime, on souffre, on déteste, mais par-dessus tout on cherche à comprendre « pourquoi ». L’intrigue est bien menée et on se demande tout du long à quel moment les personnages vont ouvrir les yeux.



JJ’ai vraiment adoré ce livre et même si c’était loin d’être parfait, l’originalité de l’histoire a rendu ma lecture addictive. Attention, ce roman ne sera pas pour tout le monde. Il y a énormément d’avis partagés dessus. Pour ma part, j’avoue avoir réfléchi un petit moment à la note que j’allais lui attribuer. Par moment, j’ai frôlé le coup de cœur, et à d’autres, j’étais déçu, j’ai donc tranché pour un 5/5. Maintenant, à vous de vous faire votre propre avis !



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Les gangs de Boston, tome 1 : Le corbeau

Ce tome 1 est haut en couleur et en rebondissement ! Avec le personnage de Mackenzie qui en impose tout en demeurant très attachante, j'ai franchement apprécié de lire un roman où l'on voit un personnage féminin mener les hommes (dont un en particulier), à la baguette sans la faire passer pour une garce ou autre.



L'alchimie avec Lachlan est incroyable, ça fait des étincelles. Et le tout dans un contexte mafieux, parfaitement bien transcrit et vous avez le début d'une saga très prometteuse !
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Les gangs de Boston, tome 2 : Le faucheur

Ronan est un tueur, un animal, le faucheur, le bourreau du clan McKenna, mais aussi le meilleur ami de Lachlan, ils sont comme des frères, il ferait tout pour lui et donnerait sa vie.

Le seul problème c'est que cet homme sombre a été programmé durant son enfance pour tuer et ne rien ressentir jusqu'au jour où il rencontrera Sasha.

Celle-ci est danseuse dans le club de son patron et il n'a d'yeux que pour elle, et la protège dans l'ombre sans jamais lui adresser la parole.

Leurs sentiments sont réciproques mais la communication n'est pas leur fort.

Lui est un tueur de sang-froid et il ne veut pas la salir mais Sasha voudrait bien l'avoir pour elle, prendre soin de lui, le protéger.

Ronan est un mur, il est très difficile de l'atteindre, j'ai beaucoup aimé l'approche de Sash pour l'apprivoiser mais surtout sa persévérance, elle a une grande force de caractère, sa vie n'a pas été facile, elle s'est toujours faite marcher dessus par les mecs et ils se sont tous le temps servit d'elle.

Ronan ne sait pas vivre normalement, et encore moins interagir avec une femme encore plus quand elle lui plaît.

Cette histoire est passionnante et malgré la noirceur de leur histoire, les actes malveillants et sanglants, leur amour est touchant. Les voir se tourner autour, les difficultés que Sasha doit surmonter pour pouvoir briser Ronan et enfin arriver à le rendre humain.

Une belle romance, très puissante, dans un monde sombre au sein de la mafia, de meurtre et de sang.
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Mine & his romantic duet, tome 1 : Elle et ..

Une dark romance comme je les aime avec des personnages pas trop agaçants ni clichés! La mafia russe au rendez-vous, j'ai bien aimé ce roman. J'ai tout de suite enchainé avec le second et dernier tome. J'aime beaucoup la plume d'A. Zavarelli. Ce roman a 4 mains vraiment réussi
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