A. Zavarelli

Ce livre mais plus globalement cette série sont vraiment un énoooorme coup de cœur.



J'ai aimé. Non, j'ai adoré à chaque tome.



Anna Zavarelli a proposé une série sombre mais aussi très romantique. C'est dur et violent mais ce n'est pas de la dark romance que je goûte peu.

La romance évolue entre la mafia irlandaise et russe. Rory, notre personnage principal est un bandit irlandais au grand cœur. Il craque pour Scarlett mais cette dernière a une vie qui l'a détruite. Elle ne laisse personnage l'approcher sauf par intérêt ou par vengeance. Rory représente les deux. C'est à dire qu'il sera l'arme de sa vengeance. Sauf que...



D’ordinaire, j'ai un peu de mal avec ce type de personnage féminin. Les garces. Sacarlett est une sacrée garce. Celle-ci ne croit plus en rien. Elle est blasée par les hommes et ne croit pas au prince charmant. Alors il ne faut pas s'attendre a un héros qui viendra la sauver parce qu'il est éperdu d'amour...ou alors c'est à peu près ça mais dans une version 2.0.



On a une trame de romantic suspens ou l'amour n'est pas le seul argument de la romance. L'histoire avance vie. Tout est en tension et l’érotisme est l'étincelle qui fait exploser le tout, pour notre plus grand plaisir.



Bref, une romance so hot qui est exactement ce dont nous avons besoin pour nous changer les idées.



Je la conseille à 200% !
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Ce troisième tome de la série des gangs de boston est pour moi bien plus sombre et tourmenté que les deux premiers. On ressent bien le côté Dark Romance de l’histoire.



Dès le début, on est mis dans le bain et on retrouve Talia dans son enfer personnel. Je dois avouer que ce côté de l’histoire m’a semblé vraiment malsain et j’ai eu du mal mais ensuite tout commence et on découvre, Alexei. Ce personnage m’avait beaucoup intrigué dans les deux autres tomes. J’avais l’impression que cet homme pouvait être le mal et le bien en même temps et je ne mettais pas trompé. Talia et Alexei sont deux personnages perturbés et détruits par la vie. Ensemble, ils vont essayer de se reconstruire mais ça ne sera pas sans encombres. De plus, beaucoup de personnages secondaires vont venir perturber cette relation déjà instable ce qui ne va pas arranger le tout.



Même si l’histoire est intense et profonde, j’ai été gêné par cette sensation que le sexe est beaucoup mais alors beaucoup trop présent. J’aurais aimé plus d’événements à l’extérieur de la maison. Je me suis sentie enfermé tout comme le personnage de Talia. La plume de l’auteure reste tout de même addictive et on veut savoir comment toute cette histoire va se terminer. J’ai été heureuse de retrouver les autres couples et les membres des gangs, c’est ce qui me plaît dans cette série.



Un tome que je trouve, un peu en dessous des deux premiers mais qui reste tout de même intense. Des personnages touchants. Des thèmes abordés qui ont su me prendre au cœur. J’ai hâte de découvrir l’histoire de Scarlett et Rory dans le prochain tome.
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Les Gangs de Boston auront ma peau, c’est certain, mais je n’y peux rien j’y suis accro. Pourtant j’ai bien conscience des défauts de cette série, des clichés énumérés et du caractère un peu redondant de ces romances. Toutefois, à chaque nouvelle sortie, je ne peux m’empêcher de dévorer celle-ci, de m’en repaître voire d’en abuser.



Néanmoins, je ne vous cache pas que « Le Saint » m’a fait une petite frayeur puisque j’ai trouvé que l’action était un peu moins présente que dans les tomes précédents. Je pense que le caractère de Rory y est pour beaucoup et que l’autrice n’a pas cherché à creuser dans sa facette sombre pour captiver le lecteur. Je dirais même qu’au contraire elle a accentué ses traits doux pour contrebalancer avec le diable qui lui fait face et qu’au final il fallait au moins cela pour équilibrer ce couple.



La famille du crime s’agrandit donc avec l’arrivée de Scarlett, ou devrais-je plutôt dire son implication auprès du gangster aux fossettes craquantes (oui je sais bien que dit comme ça, ça ne le rend pas vraiment dangereux, mais vous verrez que ce surnom lui va à merveille). Or la jeune femme a beaucoup de choses à cacher, un passé traumatisant, une vengeance à assouvir et une façon de voir la vie plutôt glaçante. Je dois vous avouer que durant les premiers chapitres, je ne l’ai pas vraiment apprécié et que j’ai même eu tendance à vouloir la repousser bien que je comprenne ses motivations et que je reconnaisse que ce qu’elle a vécu méritait amplement tout ce qu’elle fait subir aux autres.



Seulement, je n’ai pas spécialement aimé la manière dont elle joue avec Rory, la souffrance qu’elle répand et la douleur qu’elle peut infliger autour d’elle. J’ai eu peur que l’on reste sur cet état d’esprit, peur qu’elle n’évolue que très peu. Heureusement, A Zavarelli arrive à retourner ce ressenti, elle parvient petit à petit à opérer un vrai changement, à détourner nos émotions pour que l’on parvienne à s’émouvoir de la situation.



Mon avis peut vous paraître un peu sombre et pas à la hauteur des précédents opus, mais en fait ce n’est pas le cas. Lorsque je repense à ma lecture, à chaud, je me dis qu’il ne pouvait pas en être autrement pour ce duo, que l’histoire que leur a concoctée l’autrice est parfaitement imparfaite, à leur image. Chacun a ses défauts, rien ne fonctionne comme ils l’auraient souhaité et beaucoup de concessions sont faites de part et d’autre. Il faut se libérer du passé, protéger au péril de sa vie — quitte à tout faire foirer. Mais l’important reste de vivre l’instant présent et de ne rien laisser filer.



« Le Saint » est un quatrième tome qui me conforte dans mon envie de continuer la saga, qui me donne envie d’aller plus loin et dont je ne me lasse absolument pas. Vivement la suite !
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Plus sombre, mais tout aussi passionnant, « Le fantôme » nous entraîne au cœur de la mafia russe à la découverte de l’histoire de Talia et d’Alexei. Un univers riche en rebondissements, dangereux à souhait où les sentiments ne font pas bon ménage avec les affaires.



C’est dans une ambiance assez différente des précédents tomes que nous plonge A Zavarelli. Il faut dire que ce qu’a vécu Talia est absolument abominable et de ce fait tout ce qui s’ensuit devient sanglant et meurtrier surtout lorsqu’elle croise le regard de l’homme qui renversera sa vie.



Les Vory ont plus ou moins le même code moral que le Syndicat, toutefois, j’ai trouvé une vraie violence dans ce récit, plus vive, plus présente, moins atténuée. Dès le prologue, je l’ai prise en pleine face et à aucun moment ça ne s’est calmé. Je n’ai pas pour autant désapprouvé les actions engendrées par les personnages, car même si elles ont ébranlé mes certitudes, même si elles m’ont poussée dans mes retranchements, je trouve que c’est un juste retour des choses.



C’est donc dans un climat de vengeance et de règlement de compte que la relation entre Talia et Alexei prend ses marques. Il était éprouvant d’assister à leur remise en question permanente et aux doutes qui les rongeaient inlassablement. Il se dégage beaucoup de souffrance et beaucoup de tristesse de leurs agissements et l’on a beau savoir que leurs blessures sont profondes, on espère toujours voir apparaître un rayon de soleil au milieu de cette obscurité pesante.



Seulement, vous vous doutez bien que l’apaisement n’est pas véritablement à l’ordre du jour vu la montagne d’obstacles qui se dressent sur leur chemin. Comme pour les couples précédents, les fondamentaux sont respectés et de ce fait, il est vrai que lorsqu’on enchaine les tomes, comme je l’ai fait, on éprouve rapidement un sentiment de déjà-vu. Toutefois, je reconnais que ça marche, du moins pour moi, car justement les bases établies par l’autrice me donnent envie d’avancer coûte que coûte vers la fin de ses romans et d’en savourer chaque instant. Je crois que cette saga est en passe de devenir ma série doudou, celle dans laquelle je me plonge sans remords, bien consciente que tout n’est pas parfait, mais que je ne peux m’empêcher d’aimer.



Le fantôme m’a soulevé le cœur, a troublé mes pensées, mais a totalement satisfaite la lectrice que je suis. Talia et Alexei sont deux âmes brisées qui forment un tout et qui prônent l’acceptation pleine et entière de soi et de l’autre.



Il me tarde à présent de savoir ce que Scarlett et Rory nous réservent, car mon petit doigt me dit qu’ils n’auront rien à envier à leurs prédécesseurs. Espérons qu’une date de sortie nous sera bientôt communiquée et que nous n’ayons pas à attendre trop longtemps pour le découvrir.
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Il y a toujours une petite appréhension lorsque l’on commence le second tome d’une saga surtout après avoir aimé le premier. J’étais à la fois impatiente et interrogative sur la relation entre Sasha et Ronan, mais ça ne m’a pourtant pas empêchée de me lancer et de vraiment l’apprécier.



Il faut dire que ce couple est bien différent du précédent et je trouve que l’on est beaucoup plus dans l’émotion. D’une part par le vécu de notre duo, qui a traversé l’enfer chacun à sa façon, mais surtout par la manière dont ils se comportent l’un envers l’autre. Je les ai trouvés beaux avec leurs défauts, parfaits dans l’imparfait, naturels, sincères, inévitables finalement.



Leur histoire est particulière puisque leur premier rapprochement date de plusieurs années déjà. Elle prise au piège d’un monstre, lui tapis dans l’ombre attendant de pouvoir agir. Pour elle, il a toujours été prêt à tout, depuis leur premier regard et l’on peut dire que leur rencontre s’est littéralement faite dans le sang et la douleur. Il leur aura fallu de nombreux mois avant de se parler à nouveau et d’oser exprimer ce qu’ils ressentent, car ils se détestent finalement autant qu’ils se désirent, partageant un sombre secret qui pourrait tout dévaster.



La personnalité même de Ronan complique la situation, mais je n’aurais aimé pour rien au monde changer son mode de fonctionnement. Grâce à de nombreux flashbacks, on assiste impuissant, au conditionnement du jeune homme. On comprend alors la profondeur de ses traumatismes et les raisons de son obéissance, de sa rage contenue et de son implication au sein du syndicat. J’ai trouvé très intéressants ces instants fugaces, mais qui expriment sans nulle autre pareil le pourquoi de ses silences et de son calme apparent. Ronan est un homme au passé ravagé qui mérite bien plus que ce qu’il peut penser.



J’ai lu sur le résumé du livre que chaque tome pouvait se lire indépendamment des autres. Néanmoins, je vous conseille de suivre l’ordre de parution, car chaque protagoniste est lié aux autres de façon irrémédiable. D’ailleurs, Mack et Lachlan sont présents à tous les instants importants de ce roman et je pense qu’il serait vraiment dommage de ne pas profiter de toutes les subtilités de ce texte et de manquer l’importance de certains échanges.



Le faucheur est une suite que j’ai vraiment aimée, car non seulement le couple Sasha/Ronan est émouvant, mais il évolue constamment tout en restant fidèle à ceux qu’ils sont. Et même si j’ai constaté plusieurs similitudes avec le premier tome, il n’en reste pas moins qu’ils apportent leur pierre à l’édifice si je puis dire. Entre honte, culpabilité, amertume naît un amour indestructible qui défie les lois et apaise les âmes.
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Rien qu’en regardant le résumé, je savais que cette histoire allait me plaire au-delà de l’entendement. En effet, j’ai toujours été fascinée par le milieu de la mafia et surtout la mafia irlandaise alors il était couru d’avance que je me plonge sans restriction dans cet univers sans aucune appréhension.



Dès les premiers instants, j’ai été conquise par la personnalité de Mack, par son parcours et sa force de caractère. Même si son entêtement lui joue des tours, j’ai vraiment apprécié qu’elle ne cède rien et qu’elle mette toutes les chances de son côté pour atteindre ses objectifs. Nous trouvons peu d’héroïne de sa trempe dans les romances et ça fait toujours du bien de croiser l’une d’entre elles.



Bien sûr, rien ne se passe jamais comme prévu surtout dans ce monde où la loyauté, la morale et la famille sont d’une importance capitale. D’autant plus que le Syndicat du crime est fragilisé et que chacun doit respecter les alliances passées. Elle va donc devoir mettre en place un plan avec une multitude de variables incontrôlables, mais elle sait pertinemment que c’est sa dernière chance et qu’elle n’a plus rien à perdre.



C’est dans une ambiance tendue, au sein d’une organisation soupçonneuse et méfiante que son monde va basculer. Sans pouvoir comprendre ses réactions, elle va se jeter dans la gueule du loup en faisant fi des conséquences. J’ai particulièrement aimé le développement de la relation entre Mack et Lachlan, car elle reste dangereuse malgré leur attirance, malgré tout le désir qui les rapproche l’un de l’autre. De vrais sentiments émergent et loin de les rasséréner ils vont au contraire aggraver la situation puisque l’un comme l’autre cache des secrets qu’ils ne pourront peut-être pas surmonter.



J’ai passé une bonne partie de ma nuit sur ce livre, dans l’impossibilité de m’arrêter sans savoir ce qu’il allait se passer par la suite. J’aurais facilement pu avoir un coup de cœur pour ce premier tome, car il possède bon nombre de points forts à mon sens : l’adrénaline, les rebondissements, les révélations ou encore son rythme effréné. Toutefois, son gros point faible m’empêche d’être totalement séduite. En effet, si le sexe fait partie intégrante de l’histoire, il n’en reste pas moins que la manière dont il est utilisé m’a dérangée. Je sais que nous sommes dans un récit sombre avec certaines violences, mais il est vrai que dans ce cas précis, je reste dubitative sur l’emploi des rapports intimes.



Le corbeau est pour moi une très belle entrée en matière qui me donne envie de continuer immédiatement la série, ce que je vais faire sans tarder. Il est temps de laisser la place au Faucheur et à sa danseuse. Espérons qu’ils soient aussi passionnants que leurs prédécesseurs.
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Les premiers chapitres imprègnent l'atmosphère, c'est sombre et dans un milieu où personne n'a envie de mettre les pieds mais tout en restant à la limite à ne pas franchir. Les choses vont trop vite à mon goût entre eux, j'aurai préféré que se soit dans la longueur mais les choses évoluent rapidement .

Lev m'a laissé froide, presque charmant au départ il montre vite son vrai visage et lui parle comme si elle était une sous-fifre ou sa bonniche. j'ai beaucoup de mal avec ce genre d'attitude, encore plus quand je vois qu'elle lui obéit au doigt et à l'œil. Serte, certains passages nous font comprendre qu'elle n'a pas le choix mais même quand les choses s'arrangent entre eux elle sera le bon toutou bien docile qui reste au pied.

La seule chose qui m'intéresse est la continuité de l'histoire pour ce qu'il a découvert sur la mort de sa mère et sur ceux qui l'entoure.

L'auteur essai de nous montrer un milieu dur , intransigeant mais je n'ai jamais ressenti que c'était de la Dark romance.

! RISQUE DE SPOIL !

! RISQUE DE SPOIL !

! RISQUE DE SPOIL !



Bon voilà je pense avoir fait suffisamment d'attentions sur le spoil. Je fais encore un paragraphe pour dire de.. mais c'est un peu obligé de passer par là en sachant que le résumé le fait déjà par rapport à l'histoire. C'est le tome 3 d'une trilogie vous vous en doutez, ne pas spoiler n'est pas évident.



! RISQUE DE SPOIL !

! RISQUE DE SPOIL !

! RISQUE DE SPOIL !



RÉSUMÉ DE L'HISTOIRE :

Ivy est enceinte et pense que Santiago n'a que ce qu'il désire : l'enfant et juste l'enfant. Mais plus leur histoire avance plus elle va voir au dessus du monstre qu'il affiche. Elle va voir et comprendre les cicatrices qu'il porte, elle va comprendre la haine qui anime son cœur noir et dur. Santiago lui n'attend qu'une chose : obtenir sa vengeance mais les sentiments sont plus forts que tout, il va devoir des choix. Ces choix là JAMAIS il n'aurait douté avant mais quand on aime quelqu'un, on comprend certaines choses.



ÉNORMÉMENT de choses vont se passer entre nos personnages mais aussi dans leurs vies. Même si ce n'est pas facile ils vont devoir se faire confiance.



MON AVIS :

Ohlala quel coup de cœur encore pour ce 3ème tome ! Franchement c'est une trilogie que je vous recommande si vous aimez la dark romance mais aussi les histoires d'amour compliquées avec une bonne dose de pardon et de confiance.



Je me suis attachée aux personnages. Plus les tomes passent plus Santiago fait des efforts. Il met de côté son côté pour essayer de rendre Ivy heureuse mais n'y arrive pas toujours bref, je trouve cette lecture touchante et passionnante.



Je m'y replongerai un jour avec joie.

Une petite dark Romance légère, avec 2 personnages torturés qui vont se retrouver dans la douleur. Je trouve personnellement qu'on quitte vite les code de la dark romance, ce qui m'a légèrement déçu (ou c'est peut être moi qui lit du trop hard) mais les 2 personnages m'ont quand même touché et j'ai tout de même apprécier suivre l'évolution de leur romance.

Les larmes aux yeux. Que pourrais-je dire de ce livre à part que c’est un de mes préférés. Je suis une personne qui aime bien la belle lecture s’approchants un peu d’un style poétique et c’est ce que ce livre m’a apporté, il était bien écrit et l’histoire intéressante mêlant des personnages avec des raisons suffisantes de s’en vouloir mais en même temp qui ont du mal à lutter contre leurs sentiments. Si vous voulez une belle dark romance à lire ou plutôt à dévorer foncez. Pour moi il mérite largement les 5 étoiles

Lisant de plus en plus de dark romance, je commence à connaître de plus en plus d’auteures qui écrit ce genre de roman. J’avoue avoir repéré cette auteure depuis un petit moment déjà. Son roman La Bête me fait envie depuis un très long moment maintenant. Mais pour mon premier Zavarelli, je me suis plongée dans Le rapt de Cendrillon. dès sa sortie, ce roman m’a de suite fait de l’oeil! J’avais vraiment envie de découvrir cette histoire, une réécriture du conte de Cendrillon en dark romance, il n’en faut pas plus pour attiser ma curiosité pour le coup! Et bien, je n’ai pas été déçue du voyage comme on dit. J’ai beaucoup aimé ma lecture, même si certaines choses m’ont fait tiquer mais on y reviendra. En tout cas c’était mon premier Zavarelli mais certainement pas le dernier.



Comme je viens de le dire, je viens tout juste de découvrir cette auteure. Et j’ai adoré sa plume! Simple et efficace, fluide et addictive, que demander de plus? Je l’a littéralement bouffé, c’est super difficile de lâcher le roman. J’avais le nez cloué à ma liseuse, je ne parlais même pas tant j’étais à fond dans l’histoire. Comme si rien existait autour de moi, au grand damn de mon chéri d’ailleurs oops! J’aime ce genre de roman, ceux qui vous happe dès les premières pages comme ça et qui vous font tout oublier autour de vous tellement vous êtes concentré sur votre lecture. Ça ce sont les meilleures lectures. bon moi ça m’arrive quasiment presque toujours mais je ne suis pas une lectrice difficile et ça me va très bien!



Dans ce roman, on va suivre Ella. Elle vit avec sa belle-mère et ses deux filles, toutes plus horribles que l’autre. Ces trois là passent leur temps à la maltraiter, aussi bien physiquement que mentalement. Alors qu’un bal masqué se tient au château, Ella n’a bien évidemment pas le droit de s’y rendre mais elle le fait quand même. Elle est déterminé à rencontrer le prince Aston pour lui demander de parrainer le refuge pour animaux où elle passe tout son temps libre et auquel elle est fortement attaché. Mais elle va finir par faire la rencontre de Thorsen, prince de Norvège. Un homme sombre, silencieux et glacial. Il va finir par la kidnapper et la ramener chez lui avec un but bien précis: elle doit se donner à lui pendant deux mois et en retour il aidera le refuge qu’Ella aime tant. Désormais elle est sa captive.



Parlons d’abord de la réécriture du conte. Pour le coup, c’est une réécriture plus que réussie. Tous les éléments sont là, la belle mère et ses filles affreuses, Elle qui est donc Cendrillon qui est littéralement la bonniche, le bal masqué, la chaussure perdue, le prince qui fait tout pour la retrouver. De ce côté là, il n’y a clairement rien à redire. J’ai adoré justement avoir une réécriture d’un conte de fée et le transformer en dark romance, c’est original mais surtout ça fonctionne super bien! D’ailleurs, pour le côté dark romance, certaines scènes sont vraiment difficiles à lire mais en soit, ça reste une dark romance assez soft. J’en ai déjà lu de bien bien pire. Certes il y a quelques scènes qui sont quand même hyper fortes et qui sont quand même pas faciles à lire mais globalement, c’est vraiment une dark romance légère on va dire.



Niveau intrigue, j’ai beaucoup aimé. Il se passe tellement de choses qu’en vérité, on n’a clairement pas le temps de s’ennuyer. Je n’ai pas vu les pages défiler tellement on est absorbé par cette histoire. On se pose pas mal de questions, surtout sur Thorsen en fait. Il n’y a pas de longueurs et l’intrigue se met quand même très vite en place. On est très vite dans le feu de l’action mais en même temps on prend quand même le temps de bien poser les bases. Mais on ne traîne pas. C’est un aspect que j’ai beaucoup aimé d’ailleurs. Au moins, on est très vite plongé dans le bain. Il y a juste une petite chose qui m’a tiqué, ce n’est pas non plus quelque chose qui m’a énervé ou déçue mais c’est juste que j’ai trouvé que Thorsen change assez vite aux côtés d’Ella. Alors, je sais que parfois il suffit de rencontrer une personne pour que notre vie change quasi directement mais je sais pas ici je trouve que parfois ça ne collait pas trop avec le personnage. Du moins au début.



Du côté des personnages, parlons d’abord d’Ella. Je la trouve tellement courageuse et tellement forte. Malgré la vie qu’elle mène aux côtés de son horrible marâtre et ses belles-soeurs, elle reste forte et ne se laisse pas couler. Et pourtant, il y aurait de quoi.. Mais elle sait de quoi ces horribles femmes sont capables et préfère prendre sur elle. Ella c’est une jeune fille hyper touchante, profondément gentille. Elle a le coeur vraiment pur, pas une once de méchanceté en elle. Elle arrive à s’échapper de son quotidien de temps en temps et se retrouve au refuge de son ami. Elle s’occupe des animaux et câline le petit chaton, Alfred. C’est là qu’elle se sent le mieux et ça lui fait du bien de se retrouver là. Impossible de ne pas aimer ce personnage, même dans les moments les plus sombres, elle a toujours cette once de gentillesse en elle. Concernant Thorsen, je dois bien avouer que j’ai eu un gros coup de coeur pour ce personnage. Au premier abord, tout ce qu’on dit sur lui est vrai. C’est un homme froid, sombre, silencieux, qui semble ne jamais rien ressentir.. Au début c’est assez difficile de la supporter. Il se compte comme un vrai connard. Mais plus on apprend à le découvrir et plus notre avis sur lui change. au fond, c’est une homme complètement brisé. La vie n’a pas été tendre avec lui et voir ce qu’il a vécu m’a clairement tordu les tripes tant ça m’a touché. Ella et Thorsen sont deux âmes brisés par la vie mais qui ont fini par se trouver. Ils finissent par se reconstruire ensemble. J’ai adoré leur relation, elle commence sur des bases un peu bizarre je vous l’accorde. Mais après elle est explosive, enflammée. L’évolution de ces deux personnages est franchement merveilleuse, surtout celle de Thornsen. Lui qui était si déterminé dans son objectif, si froid. Il s’est complètement transformé! J’ai adoré aussi la relation qu’il a avec sa mère, j’ai trouvé ça tellement touchant et ça m’a arraché quelques larmes d’ailleurs… Thorsen est un personnage assez complexe à comprendre mais au final quand on découvre qui il est vraiment c’est un personnage extrêmement touchant.



Ce roman me faisait de l’oeil depuis sa sortie et je ne regrette pas de l’avoir enfin lu, ou plutôt dévoré en un rien de temps! C’est un roman qui se lit très rapidement, on est absorbé par cette histoire dès les premières pages. On veut toujours en savoir plus, chapitre après chapitre. plus on avance, plus on découvre de choses et plus on en veut encore plus. La réécriture de Cendrillon est superbement bien réalisé. Le côté dark romance n’est pas trop hard malgré quelques passages difficile. J’ai adoré les deux personnages principaux, ils sont tous les deux brisés et ils ont fini par se reconstruire en se rencontrant. Comme quoi parfois, même quand la vie est sombre, il suffit de rencontrer la bonne personne au bon moment et tout s’éclaire pour nous laisser une vie plus que merveilleuse.
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La bête est le premier tome d’une toute nouvelle série de l’auteure A.Zavarelli, et c’est l’un des plus sombres qu’elle est écrit à l’heure d’aujourd’hui. Et oui, ne vous fiez pas au titre, car nous ne sommes pas en présence d’un conte de fées, mais bien d’une dark romance. C’est sauvage, dur et torturé, mais pour ceux qui aiment ça, ce roman est incroyablement bon.



Isabella (bella) et Javi (la bête) sont deux êtres totalement opposés. Si elle est une chanteuse connue qui brille, lui est un homme détruit qui se cache. Ils ne se connaissent pas réellement, mais seulement à travers les dires du père de Bella qui s’est occupé de Javi quand il était enfant. Lorsque celui-ci disparaît, Javi en profite pour kidnapper et séquestrer Bella dans son manoir. Aucune issue, elle est à lui et il compte bien la détruire comme son père à elle l’a détruit lui. Mais il va vite se rendre compte qu’elle est sa faiblesse, son obsession et il lui fera subir les pires sévices afin de la briser comme il se doit. Malheureusement, Bella sera forte et même si à plusieurs reprises, elle voudra lâcher prise, elle tiendra bon et ce qu’elle découvrira derrière les murs de cette forteresse sera encore plus horrible que ce qu’elle aurait pu imaginer. De la haine à l’amour, il n’y a qu’un pas et c’est ce qui se produira pour nos deux âmes blessées.



J’avoue avoir eu du mal à me connecter à la première partie de ce roman, mais la seconde fut intense, et je n’ai pas réussi à poser ce livre. Cette histoire est pleine de violence et de destruction, mais ce qui en résulte est beau finalement. Je ne peux pas vous en dire plus, sans vous en révéler davantage, mais sachez que l’auteure réussie avec brio à nous faire aimer cette bête qui est loin dans être une.



Un scénario parfait. Un roman sombre et rythmé qui nous pousse dans les profondeurs d’une histoire intense et captivante. J’ai hâte de connaître la suite avec le tome sur River, surnommé l’homme à la pomme. Je suis intrigué et l’attente va être longue ! Alors, êtes-vous prêt maintenant à rencontrer la Bête ?




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J'ai un chouïa moins apprécié ce tome par rapport au premier, il y a plus de longueurs, j'ai moins accroché avec Ronan, il manquait peut-être le charisme de Sasha en comparaison de Mackenzie (en même temps, l'auteure a mis la barre très haute dès le premier tome !), mais j'ai malgré tout passé un bon moment avec nos héros.

Si c'est une saga sombre, ce tome est incontestablement plus sombre que les autres. Le passé de l'héroïne est vraiment très dur, on a sincèrement envie de la voir se reconstruire. Le personnage d'Alexeï est charismatique, j'ai beaucoup aimé aussi sa "particularité" (je ne dirai rien pour ne pas spoiler). Une belle réussite !



Une histoire dure, prenante, addictive.

Si au départ j'avais apprécié Birdie et Ace, leur histoire ne m'a pas plus transportée que ça. Tout allait vite et le scénario est devenu une fois encore trop rocambolesque à mon goût.



Malheureusement, la belle plume d'Anna Zavarelli n'aura pas suffi à rendre cette histoire plus intéressante que cela. J'ai passé un bon moment à le lire malgré tout, mais ce sera un roman vite oublié.

Lorsque l’on lit le titre, certains vont penser facilement au conte la belle et la bête de Disney. Si effectivement quelques petites touches y font un rappel, il ne m'a pas vraiment semblé lire une adaptation, loin de là même.

Je ne pensais pas que l'autrice arriverait à me repousser si loin dans mes limites. C'est bien simple certains passages ont été durs à lire, et parfois j’ai essayé de trouver une logique sans fin.



En effet, l’histoire est loin d'être anodine et elle ressemble sans nul doute aux dark romance traditionnelle. Toutefois, la relation entre Isabella et Javier dépassent l'entendement, difficile de trouver des pointes positifs.



Pour commencer, le conditionnement de Javier, les horreurs qu'il a vécues et la personne qu'il est devenu font qu'il ne peut pas être autre chose que cet être empli de rage que l'autrice nous expose. Au plus profond de lui-même, de ses pensées à ses agissements, tout concorde avec ce qu'il a enduré et qui l'a formaté. C'est un monstre, un vrai, un homme dont on ne souhaiterait jamais croiser le regard. Je n'ai ressenti aucune compassion en lui ni pour lui d'ailleurs. J’ai malgré tout trouvé que l’histoire manquait de faits sur son passé, je n’arrivais pas à bien comprendre pourquoi toute cette rage est là.



Quand-t-a Isabella, c’est une femme perdue, qui se sent délaissée par son père et ne trouve plus l’envie de continuer sa carrière, ne lui correspondant plus. Malgré toutes les horreurs vécus est encore là, j’ai apprécié son évolution au cours de l’histoire. Comme pour Javier, j’ai trouvé qu’il manquait des informations sur son passé pour bien comprendre se qu’elle ressent.



Leur relation est une ficelle qui est tiré entre le mal et l’amour. A Zavarelli a rendu son texte réel, ce qu'elle a fait de ses personnages est si éprouvant.

Jusqu'au bout, l'autrice a gardé sa ligne de mire. Jusqu'à la dernière ligne elle fait monter la pression et ajoute des événements qui menacent de tout faire basculer, j’ai bien stressée sur certains. Les deux épilogues consécutifs sont une libération, on assiste à certaines facettes des protagonistes que l'on avait pas encore vu et qu'ils me confortent dans le fait qu'il y a bien un avant et un après pour chacun d'entre eux.



Malgré tout, j’ai beaucoup aimé leur construction ainsi que leur évolution. Autant, les failles d’Isabelle que le côté tordu et torturé de Javi sont tout à fait remarquables. L’auteure a très bien su jouer avec notre corde sensible afin qu’on s’attache, qu’on ressente et qu’on vive ce que les personnages traversent.



Une dark romance parfaitement réussie, avec les scènes sensuelles et la brutalité que la dark romance impose mais avec une vraie intrigue et un duo terriblement attachant malgré leurs dysfonctionnements. Isabella et Javier nous offre une aventure qui fait froid dans le dos mais qui touche au coeur aussi. Imprévisible et fluide cette histoire est totalement addictive.



Encore une fois je ne suis pas déçue par cette auteure , elle à su me transporter dans son monde et j'ai adoré. Même si c'est une histoire sombre et pleine de rage, j'ai adoré suivre les aventures de Bella et Javier leurs histoires est hors-norme mais au vu de l'enfance de Javier on comprend vite qu'il sera loin d'être le prince charmant, lui c'est une bête pleine de vengeance !



C’est en effet la beauté de ce livre, outre le fait que c’est une dark romance assez marqué, le réalisme des sentiments qu’on ressent à la lecture de cette œuvre qui fait qu’on aime par-dessus tout la plume de A. Zavarelli ainsi que tous ses romans.



La bête est un livre à prendre en considération, il ne doit pas être ouvert en pensant y trouver du bon. Il est violent, féroce, sauvage. Isabella et Javier n'ont rien d'un couple ordinaire et trouve leur plaisir dans un amour qui nous dépasse. Néanmoins, si vous êtes adepte à la naissance d'une histoire torturée, à faire la connaissance de deux personnes brisées, alors je n'ai aucun doute sur le fait que ce roman est le roman parfait pour vous.


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J'ai découvert A. Zavarelli avec les gangs de Boston et je suis tombée raid de cette auteure ; Un conseil : si vous aimez les romances contemporaine bourrée d'action et d'érotisme, ne passez pas à côté de cette série. C'es du caviar .







J'avoue d'emblée : je n'ai pas accroché. J'en suis la première déçue car honnêtement c'est une superbe auteure mais franchement j'ai -détesté – Lucian, le héros. Il est plutôt répulsif et je ne comprends tout simplement pas comment Gipsy a pu développé des sentiments à son égard. Il y a presque vingt d'écart entre les deux. Pourquoi pas ? D'autant que Lucian est dans la quarantaine, il est loin d'être vieux mais il agit avec elle comme si c'était son père. Il veut l'éduquer comme le ferait un père de famille. Oh secours ; c'est trop malsain !



C'est une romance, alors autant dire que si le couple est raté, il en va de même de l'histoire. Je pense que je lirais le tome 2 car j'aime vraiment A. Zavarelli mais je reste craintive. J'espère que la romance entre Ace et Birdie, la sœur de Gispy sera plus à mon goût.




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Je pense que je deviens difficile à force de lire beaucoup mais cette romance contemporaine qui flirte avec la limite de la dark romance, ne m'a pas vraiment convaincue. On retrouve finalement beaucoup de thèmes classiques tels que l'amour rédempteur, le sexe BDSM catharsistique, la fille qui découvre malgré elle qu'elle adore être dominée ou souffrir quand elle se fait sauter, le mec qui sauve la fille contre son gré et finalement ce faisant se sauve lui-même, etc., le traitement de l'histoire, l'univers, ne sont pas plus originaux. Les personnage non plus et j'avoue que j'ai eu du mal à m'identifier ou à compatir.

ça se lit mais pour le coup, je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire.

Encore un tome totalement différent des deux premiers...

J'adore comment l'auteure arrive à aborder des thèmes différents à chaque tome, à chaque histoire et à chaque personnage. Bravo a A.zavarelli pour ce 3 éme tome riche en émotions.

Le thème abordé est beaucoup plus dark que les précédents tomes, avec un passé très douloureux, mais l'écriture reste toujours aussi fluide et on s'attache aux personnages.J'ai passé un agréable moment de lecture, un roman avec des sujets dur, mais addictif.

J'adore cette série.

C'est un avis en demi teinte pour ce premier tome. Nous sommes de retour dans l'univers de la pègre russe et j'ai pris plaisir de retrouver la plume de A Zavarelli. Sa série précédente avait été plus qu'un coup de cœur.

Ici nous faisons la connaissance de Lev, le cousin d'Alexei des gangs de Boston. Il est l'homme de main de l'un des plus puissant dirigeant de la pègre et il va rencontrer Katya, une jeune femme qui va se retrouver malgré elle dans un univers qui la dépasse, un univers qui va faire basculer sa vie.

J'ai trouvé le début de l'histoire un peu long et j'ai eu un manque d'intérêt pour l'intrigue, c'est poussif et un peu ennuyant. De plus, et il m'a manqué un petit quelque chose pour m'attacher à Lev et son personnage. Par contre, la deuxième partie est bien plus intéressante et ne manque pas de rebondissements. Sans oublier que l'histoire se termine sur un cliffhanger qui est hyper frustrant si vous n'avez pas la suite à portée de main.

En conclusion, j'ai trouvé que l'histoire avait du mal à se mettre en place mais une fois chose faite on retrouve cette addiction qui m'avait tant fait aimer les livres de A Zavarelli.