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Citations de Adrien Tomas (268)


Avoir conscience de ses faiblesses est une force, penser qu’on en a aucune est une faiblesse.
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Ils sont incapables de réaliser qu'en se regardant l'un l'autre, ils sont en train de se contempler eux-mêmes. Évidemment qu'ils n'aiment pas ce qu'ils voient.
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– JE SUIS TOUT À FAIT CAPABLE DE FAIRE DU MAL À UNE MOUCHE !
– Oh, mais j’en suis convaincue, tout-puissant Cuthbert, acquiesça Ma en faisant un clin d’œil aux adolescents. Tu es le fléau des mouches, la dévastation des insectes, la terreur des diptères.
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La nature sauvage peut être détruite. Mais sans le Père, l'Autre est condamné. Le progrès s'appuie entièrement sur l'exploitation de la nature. Le progrès avance, la nature résiste : voilà comment fonctionne le monde. La nature peut repousser le progrès, mais pas l'arrêter. Et si le progrès détruit la nature, alors il s'affaiblit lui-même et se condamné à disparaître.
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- Je souhaiterais vous entretenir du sujet, ô combien délicat, de l’éventualité d’obtenir de votre bienveillance une somme dont le montant – restant à déterminer – me permettrait d’accéder à une aisance financière temporaire dans l’objectif de réaliser un projet qui m’est cher, et dont je m’acquitterais d’un plein et entier remboursement avec célérité et rigueur.
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- Tu as…réussi ? Je veux dire, tu as vraiment invoqué l’esprit d’un…d’un mort ?
- Oui.
-Ah. Et donc, euh… La nécromancie, ça, euh… Enfin, ça ne t’a pas trop…changé ?
- Ah si, complètement. Je voue mon existence aux ténèbres et me repais du sang des innocents, maintenant. D’ailleurs j’en voudrais bien pour relever un peu mon thé, tu peux me passer un couteau et te pencher en avant ?
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Mais quelle chance avons-nous ? Demanda Eaylia, la voix étranglée. Vous êtes dirigé par un enfant, et je suis censée prendre mes ordres d'un... D'un barde ! Et les autres, ces soit-disant Hérauts ! Un gros marchand, une sorcière déchue et un garou ! Et ils prennent eux-mêmes leurs ordres d'une Dryade, qui les prend d'un arbre géant ! Comment puis-je accepter une telle folie ? Comment laisser la vie de mes hommes reposer dans de telles mains ?
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- Tu sais, Tia, j’ai réfléchi.
- Va pas te faire un claquage.
- Très drôle, grinça son cadet en fourrant les mains dans ses poches.
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- Qu'avez-vous contre la vérité ?
- Elle est souvent moins belle que le mensonge et l'imagination, sourit Llir. Les contes font rêver, les mensonges font espérer... La vérité, c'est la réalité toute nue, brute, sans attraits, sans fioritures. Rien qui stimule l'imagination, la réflexion ou les émotions, seulement les faits avérés.
- C'est une étrange conception des choses, dit Maev. On m'a toujours enseigné que la vérité n'existait pas, que ce n'est que la vision des choses de celui qui en parle. Deux personnes ayant vécu la même expérience en parleront très différemment, en étant toutes deux convaincues de dire la vérité.
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Le pouvoir et la liberté peuvent corrompre mêmes les meilleurs.
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- C'est... envisageable, admit-elle finalement. De toute façon, réparer les idioties des sorcières, c'est ce que je... nous faisons depuis des siècles.
- Croyez-moi, nous faisons de notre mieux pour vous tenir occupées, ricana Wurmilla.
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Le mancien avait remplacé par bonheur sa robe devenue rose pâle par une tunique et des pantalons, et avait assommé tout le monde avec l'imbécillité des fondateurs de la Maison des Mages pour avoir choisi la robe comme uniforme : Non mais vraiment, qui prend au sérieux des types qui se baladent habillés en femmes ? Et pour courir, franchement ! Il faut retrousser sa jupe comme une pucelle fuyant un garçon de ferme trop entreprenant.
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Le familier eut envie de leur demander ce qui lui valait de si tristes mines, ce l’avait rafistolé ou ce qu’ils fabriquaient dans cet endroit sordide au lieu de relatif confort dans la Tanière, mais il préféra commencer par le sujet qui occupait la plus grande partie de son esprit :
- Maitre, j’ai faim.
Cyrus éclata de rire.
- Pas de doute, il est guéri, s’amusa Grise.
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_ Qui est le malheureux élu ? J'imagine que ce n'est pas moi, elle a arrêté d'essayer de m'appeler quand tu lui as dit que je venais ce soir...
_ Aucune idée. Edwin, j'imagine ? supposa Mona en haussant ses épaules saillantes. Quand ce n'est pas toi, c'est lui. Le dragon a ses préférés...
_ Ne l'appelle pas comme ça, la réprimanda Tia. C'est...
_...insultant pour les dragons ?
_Tes mots, pas les miens.
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Avoir conscience en ses faiblesses est une force,
Penser qu'on en a aucune est une faiblesse
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C’est dingue comme la solution idéale pour les bas-de-plafond revient toujours à tout détruire… Quelqu’un ou quelque chose menace ma petite vie bien tranquille, mes petites illusions, je ne trouve pas ça « naturel », je ne suis pas à l’aise ? Cramons tout et ça ira mieux après, on repartira sur des bases saines ! Sérieusement, à quel moment dans l’histoire ce genre de principe débile a-t-il donné quelque chose de positif ?
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Elle dû se retenir de toutes ses forces pour empêcher ses yeux de rouler dans ses orbites : elle craignait que ses globes oculaires ne fassent un tour complet et observent l'intérieur de sa boîte crânienne pour le restant de ses jours.
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Et, puisque pour l'Empire, il était devenu plus important de donner la mort que de maintenir en vie, la médecine, ses baumes et ses amputations avaient réduit la guérison à portion congrue.
Le monde évolue, se força à se rappeler le vieillard. Ioséphir allait sur ses quatre vingt deux ans : il était normal qu'il se sente dépassé, surtout après avoir tant vécu. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser que quelque chose était allé trop vite, trop loin, et que l'humanité avait, à un moment ou un autre, emprunté la mauvaise direction.
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Un échec n’est qu’une étape sur le chemin de la réussite.
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La craintes des flammes est la seule bonne chose que les wendigos ont emprunté aux loups.
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