Citations de Alain Ayroles (572)
Je viens de trouver un coffre. Dans ce coffre un écrin, dans l'écrin une bouteille, et dans la bouteille… une carte.
Je ne vous aime pas et vous êtes laid.
Boney Boone, chef des pirates : Tout ça va se payer !
Un pirate : Ouais !
Un deuxième : Va y avoir de la viande froide !
Un troisième : Du sang !
Un quatrième : Des tripes !
Un cinquième : Des excuses !
Un jour chômé fut accordé aux indiens des mines et des champs afin qu'ils puissent assister à ce témoignage de la puissance de la Couronne et méditer sur les bienfaits de la soumission.
Tout ça a commencé à l’époque où les hommes ont eu l’idée de faire pousser des plantes et d’élever des animaux. Ils se sont mis à faire des choses étranges, comme couper trop d’arbres ou tuer des bêtes pour rien. Puis, pour se procurer du bétail ou du grain, ils ont fait de grands massacres parmi ceux de leur propre espèce. Ce sont des choses absurdes, contre nature. La Nature, malgré tout, a décidé de conserver l’homme en son sein. Mais parfois, un homme va trop loin. Et s’il le fait dans un lieu sacré, un lieu de grande harmonie, alors la Nature se fâche. Elle chasse cet homme-là. Elle lui refuse sa place dans le cycle de ce qui naît, croit et meurt. Elle en fait un fléau, avide, jamais rassasié. Un trop homme capable de détruire l’humanité. Elle en fait un non-mort.
Le chemin de Paris? Malheureux! N'entendez-vous point ce qu'en disent les colporteurs? Cette ville est un repaire de brigands! Elle n'est peuplée que de détrousseurs! De coupe-jarrets! De chiffonniers prêts à vous écorcher tout vif pour vendre votre peau au plus offrant! Les denrées y sont chères et les moeurs dissolues! Il y a trop de monde! Trop de bruit!
Petit lapin, je vous en conjure... N'allez pas à Paris!
Ay ! Hombre… que ne puis-je moi aussi humer sur un mouchoir brodé quelques atomes de regret…
Bombastus : La panique gagna le bord ! Les marins s'entassèrent dans une chaloupe. Sautez ! Sautez ! Me criaient-ils ! Et moi, sur le pont, je hurlais, hurlais… Jamais sans mon télescope !
De la colère, contre Saint-Sauveur, contre ses sbires et contre ces trop amples robes qui nous empêchent de nous battre ou de bondir en selle !
Toi seul, lecteur omniscient, connais ce que je fus.
Son teint pâle est celui
des bergers de L'Astrée,
sa voix claire est semblable
au babil du lignon.
Chacun, battant des mains
s'exclame à son entrée ;
ce petit lapin blanc
est vraiment trop...
Hmph ! Un affront par ici, un affront par là… Mon désir de le tuer risque de s'entacher de rancune !
L'honneur en ce navire semble avoir déserté le camp chrétien. Rangeons-nous sous sa bannière, fût-elle frappée du croissant !
Ils voulaient ma ruine ! Poignarder dans le dos la poitrine d'un homme à genoux !
Je suis Kader le Janissaire, jadis Emissaire, aujourd'hui Corsaire…
Quoi ! Ces mots que j'extrais du plus profond de l'âme,
Rochers dont le grain mat couve un éclat précieux,
Joyaux bruts que je taille à grands coups de calame
Et qu'une fois polis j'assemble en rangs gracieux,
Quoi ! Les dire non pas pour louer une dame,
Mais pour flétrir l'honneur de quelques vils messieurs !
Hélas ! Me faudra-t-il pour échapper à l'ire
De cruels créanciers désaccorder ma lyre ?
"_N'ayez pas peur ! Je ne suis pas un brigand !
_Me voilà rassuré ! Quel est donc votre état ?
_Eh bien, à vrai dire, j'ai exercé divers métiers : garde du cardinal, pamphlétaire, vaisselier, poissonnier, fort des halles, maréchal-ferrant, chapelier, porteur de chaise, ramoneur, timonier...mais je suis actuellement sans emploi."
"S'il est parvenu au terme de son périple, le maître d'armes réside aujourd'hui dans ce que nous, sélénites, avons coutume de nomme "L'autre monde" ! Un monde énigmatique et mouvant...un monde de merveilles indescriptibles et de terreurs sans nom...La face cachée de la Lune !"
Hermine : Calmez-vous, Don Lope ! Ce n'est qu'une farce ! Une farce italienne...
Don Lope : Peu me chaut, señorita : je suis espagnol !
Ô bienheureuses îles Tangerines ! Vos richesses me tendent les bras ! A moi la Fortune ! Le Pouvoir !... Et la Vengeance !