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Citations de Alain Soral (35)


La révolution en baisant !
Imaginez l’impact sur ces éternels branleurs que sont les étudiants en sciences molles : lettres, psycho, socio… ; le formidable alibi. Le droit, mieux, le devoir moral de renoncer à l’engagement politique au côté des travailleurs exploités, pour retourner faire ce que les ados nantis ont toujours fait pendant que leurs parents s’échinent à faire bosser les pauvres : baiser. Baiser plus seulement pour passer le temps et se faire plaisir, non ! La révolution la queue à la main allongé sur le plumard à papa, Cohn-Bendit, sacré bandard, sacré veinard, vit là-dessus depuis quarante ans ! Quelle rigolade, quelle somptueuse arnaque !
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[L]'existence, au plus haut niveau d'initiation, de maçonneries sataniques type: Illuminati, Skull and Bones et autres sectes vouant un culte aux dieux anti-chrétiens, babyloniens ou égyptiens, tel Moloch, avec cérémonies simulant des meurtres d'enfants comme dans The Cremation of care du Bohemian Club, n'est pas si délirante.
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Le regroupement familial ne fut pas une naïveté humaniste de grand bourgeois qui plane, mais un projet pervers, dégueulasse : transformer les banlieues rouges à très forte conscience et solidarité de classe (avec un PCF à 30 %) en banlieues beurs. Car on ne dira jamais assez à quel point la maghrébisation, l'africanisation, la tiers-mondisation de la France ont fait baisser vertigineusement le niveau de civisme et de civilité. À quel point ce recul du niveau de conscience démocratique fut voulu par le patronat et le pouvoir : des voyous et des abrutis plutôt que des ouvriers conscients de leurs droits et de leurs devoirs.
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Ça va mieux ? Vous redescendez sur terre ?
Le gros désavantage de la violence masculine – un de plus -, c'est qu'elle est simple et qu'elle se voit. La violence féminine est beaucoup plus retorse, toute en verbe, déléguée, triangulaire… […] Face à cette arme psychologique, la violence physique du mâle est surtout son aveu d'impuissance. Devant tant d'habilité, de rouerie, il arrive que ces âmes anguleuses et simples, tout en émotivité, soient comme les résistants du Hamas confrontés aux manipulations sionistes ; elles explosent !
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Esclave de son sexe, il [le dragueur] vit sur le trottoir dans l'envie et la frustration.

p. 22.

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Simuler la spiritualité pour cacher l'avidité du vice et le vide, c'est le truc de tous les tartuffes.
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Comme les femmes, les bourgeois sont très fort pour condamner la violence physique… qu'ils provoquent.
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À ceux dont l'esprit rétréci par la vision individualiste nierait cette évidence du désir comme désir d'abandon, de disparition, de fusion, je rappellerai que bien avant nos nomades autistes importées d'Angleterre avec le puritanisme et le kilt, au commencement était le couple. Le couple comme unité de reproduction. Qu'ils s'appellent Adam et Ève ou qu'ils portent des prénoms moins catholiques, il faut d'abord qu'un homme et une femme s'accouplent pour que les générations soient. L'un séparé de l'autre, l'humanité disparaît.
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[O]n peut considérer qu'à un certain niveau hiérarchique: rédacteur en chef, président d'association, recteur d'Université, leader syndical ou politique, mais aussi faux écrivain à succès ou journaliste animateur vedette ... il n 'y a plus que des «initiés».
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Un demi-proxo du nom d'Arturo, réputé pour baguer sa bite qu'il laissait ostensiblement pendre le long de sa cuisse à fleur de pantalon sans slip, tant il l'avait grosse, te mit la main dessus. Malgré mes efforts, au fond, j'étais gentil garçon avec les filles, ton désir d'être soumise, dominée, redevint le plus fort. C'est là que je t'ai perdue.
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Au mensonge de la colonisation française, faite d’arrogance impériale pour oublier l’humiliation de la défaite de 1870 face à l’Allemagne - comme le rappelait Clémenceau - et de mauvais commerce - analysé en profondeur par Jacques Marseille - succédera le mensonge de la décolonisation.

La décolonisation : soit, sous prétexte d’antiracisme, la fin des coûts que représentait la continuité républicaine : routes, casernes et autres infrastructures incarnant la « civilisation » chère à Jules Ferry... pour ne garder aux multinationales que les bénéfices : extractions des matières premières et commerce inégal.

Une colonisation plus discrète et enfin rentable - appelée aussi « Françafrique » - accomplie, ne l’oublions pas, avec la complicité des élites indépendantistes auxquelles les élites impériales redistribuent toujours, pour leur silence et leur collaboration (essentiellement dans la répression des mouvements indépendantistes authentiques), une belle part du gâteau...

Ainsi, par la mascarade de l’antiracisme, succédant elle-même à la mascarade de la décolonisation, le peuple, constitué majoritairement d’ouvriers descendant de serfs - soit lui-même « colonisé de l’intérieur » - et qui n’a rien à voir ni jamais rien gagné à la colonisation, se voit traité de colon par un Français de fraîche date qui ne l’a jamais subie lui-même et qui, des deux, en est l'unique bénéficiaire, puisque sans l’épopée coloniale, ce Français-quand-ça-l’arrange croupirait encore au Gabon, ou sous la botte des généraux algériens très démocrates et partageux comme on sait !

Injure injuste envers le peuple de France par laquelle ce colonisé permanent entend bénéficier du privilège symbolique de l’éternelle victime ; sans oublier, si le devoir de mémoire accompagné de repentance progressent encore un peu, de réparations sonnantes et trébuchantes !

Une escroquerie morale doublée d’une aporie intellectuelle, puisque cette condamnation du colonialisme se fait au nom des «  droits de l’homme  », quand ces fameux « droits de l’homme » font partie intégrante du bagage colonial.

Une posture et une imposture d’ailleurs totalement contraires aux valeurs de l’islam, mais qui furent inculquées à cet ancien « pote », redevenu «  indigène », par les éducateurs gauchistes et autres manipulateurs trotskistes de SOS racisme, pour son plus grand malheur... (pp. 228-229)
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L'argot, l'oral à l'écrit, c'est un truc de bourgeois, d'initiés. Moi-même, pour oser cette écriture relâchée qui est la mienne, j'ai attendu mon huitième livre.
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Les amis c’est fait pour se fâcher avec. Les autres on ne les connaît pas assez pour ça.
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un psychorigide notoire qui anime un humoriste.
il va nous vendre du pinards de merde avec un étiquette quenelle dessus. ou peu être même de la bière. voila sa problématique quand à la guerre des étoiles.
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