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Critiques de Alan Dean Foster (67)
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Futur immédiat

Voici la novélisation d'un film antique (sourires) car sorti en 1991.

Des Aliens ont quasiment naufragé sur notre monde . Ils vivent à Los Angeles.

Le texte comme le film ne met pas véritablement l'accent sur la biologie ou sur les technologies Aliens , mais plus les problématiques des ghettos et de l'intégration de populations minoritaires ,nouvelles venues et allogènes.

Le film comme cette novélisation sont sympathiques .Le biais emprunté pour résoudre les questionnements induits par l'univers est celui d'une enquête policière menée par deux inspecteurs , un Alien et un humain.

L'enquête se fait en milieu Alien principalement autour d'une drogue spécifique à eux . L'enquête dévoile un aspect négatif de certains de ces étrangers, pas de tous et c'est ce qui fait l'attrait de ce roman sympatoche.

Bien que comprenant un Alien le récit est bien dans la thématique du duo de policiers de choc , différents et qui s'efforcent de s'entendre et qui ne sont pas toujours très motivés à le faire.

Un bouquin qui parle de racisme réciproque ,de difficultés à accueillir ou à s'intégrer. Avec de l'humour incontestablement même si cette novélisation n'est pas une comédie.

C'est un vrai polar, sur fond de drogue , j'ai trouvé. C'est un récit qui n'atteint pas des sommets de réussite en World Building mais certaines trouvailles efficaces lui donne une incontestable singularité efficace et étrange . Ces trouvailles l'ancrent solidement dans le genre SF.

C'est une distraction Old School qui est humaniste, agréable et distrayante.

L'intrigue est bien fonctionnelle et Foster l'auteur, qui est spécialiste en novélisation a fait un boulot correct . De lui je vous recommande très fort : Outland qui vous placera en orbite proche de Jupiter .



Ces pages m'ont fait penser à District 9 qui est un film très réussi sur la même thématique et qui est véritablement excellent.

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Le Trou Noir

C'est une novélisation d'un film (de Disney) que je conseille vivement aux amateurs du genre. Les effets spéciaux sont méga-kitch et de ce fait le film est absolument fascinant pour son world building. On est encore beaucoup dans un cinéma à décors en même temps que dans l'utilisation d'effets spéciaux très réussis (mieux que ceux du premier Star Wars à mon humble avis !) Il y a donc une atmosphère assez incroyable avec un film bien ficelé au scenario très série B haut du panier.

Cela dit cette novellisation de 300 pages pour info, est un récit assez distrayant ,efficace et mouvementé . C'est un roman jeunesse tout à fait officiellement ,et il est paru initialement dans une collection jeunesse d'ailleurs. Un savant fou au projet fou , des robots ,un équipage prisonnier au milieu du vide .Des péripéties dramatiques et au final des péripéties tragiques scandent la trame narrative.

Il y a pas mal de science dans cette novélisation .C'est passionnant mais ce n'est quasiment pas scénarisé et c'est donc énoncés en paquets additifs aux corpus romanesque du récit. Assez de suspens et de rythme soutiennent cette aventure qui aligne une fin qui colle avec certaines des hypothèses de l'époque (1980) sur les trous noirs.

La gravité extrême qui pèse sur ces vaisseaux (au pluriel au commencement) a quelque chose d'inéluctable et de grandiose. le caractère perdu au milieu de nulle-part fait son effet de même que les abords du trou noir .L'intrigue est presque exclusivement une lutte contre la folie d'un personnage directeur aux projets fous et suicidaires et contre aussi ,des machines équipages obstinées et nocives .C'est sans l'ombre d'un doute un bon roman jeunesse qui fait son petit effet et pour conclure je conseille de regarder la bande annonce du film qui le temps passant prend véritablement des allures de curiosité .

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The thing

Une excellente novélisation qui vaut son poids de moutarde de Dijon …



C’est un texte qui repose pour partie sur l’horreur et qui est aussi complètement de la pure science-fiction.



C’est la novélisation du premier film « The thing « .



C’est un récit d’invasion extraterrestre , en huit clos , sur une base antarctique .



Le thème , c’est celui du polymorphe intelligent , qui est ici exploité avec brio .



Il y a énormément de suspens , d’angoisse , et l’environnement est un véritable personnage tant il impacte le récit .

C’est un texte qui colle franchement les pétoches.

Le polymorphe parasite transite d’une base à une autre , et il souhaite consciemment , quitter l’antarctique pour proliférer en milieu densément peuplé .



Les personnages devront comprendre la nature de la menace , essayer de s’en prémunir en tentant de l’identifier précisément , et en tentant aussi de détruire cette forme de vie complexe .

Plus le récit avance , plus cela s’avère difficile à faire.



Le dénouement est à découvrir , mais sachez qu’il est poignant et qu’il est aussi à cent à l’heure .



Ce récit met en scène une véritable tragédie , la tonalité dramatique est intense , crédible et de qualité .

La tonalité du roman culmine assez rapidement au sommet du tragique mais sur une trame initialement posée et rapidement plutôt ancrée dans le suspense et dans l’horreur .

Le mode est celui du thriller , c’est un thriller qui démarre posément et qui n’a rien superfétatoire .



C’est un mode thriller que je qualifierais de naturel pour exprimer l’idée que c’est plus un reflet de la situation fictionnelle logique , que celui d’une forme narrative cadre , stéréotypée et convenue .



J’aime bien ce texte que je résume en conclusion en disant : « Les boules « ….



De plus le coté antarctique est savoureux , bien brossé ( luminosité … météo …. ) , c’est agréable , dépaysant et confortable .



Je colle l’étiquète guerre , car c’est une invasion implacable qui se heurte à une véritable résistance , qui fait feu de tout bois.

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Aliens - Le Retour

ALIEN …. Toute une série de films et de novélisations.



Je prends toujours plaisir à relire la plupart des novélisations des films aliens .

Je ne parle pas de tous les textes qui sont sortis sous ce label , une licence très contraignante .. ….



Ce tome évoque le deuxième opus de la séries des films aliens : Le dénommé : » Alien le retour . » en Vf

et Aliens en anglais .

…………………………………………………………………………………………………………

Si vous êtes perdu dans série des Aliens .

Sachez que c’est le film ou Sigourney Weaver , perd son calme légendaire et qualifie , La pondeuse , reine de la ruche extraterrestre de , : Sale p…te ..

Sale péripatéticienne dirons-nous ….

Une réplique qui a marqué la critique américaine en son temps …

…………………………………………………………………………………………………………



Un complexe de colonisation sur un monde lointain ne donne plus de nouvelles .

Il faudra donc s’y rendre pour tirer tous cela au clair …



Ce qui attend nos amis est une bataille pieds à pieds … et ce qui attend le lecteurs amateurs de SF militaire ,

C’est un texte extrêmement réussi .



En effet des dialogues soignés et crédibles , des descriptions très scéniques , beaucoup de mouvements , beaucoup d’imprévus et une bonne atmosphère

, épaisse et enveloppante , à couper au couteau …



Des environnements qui ont donc beaucoup de présence , et un récit qui est remarquablement circonstancié.



Il y a une vraie atmosphère dans ce texte , qui comme le film est à mon humble avis , est un petit bijoux de SF militaire sans prétentions , mais à ne pas rater .



Le contexte général est bien évoqué, les armes , les vaisseaux spatiaux , la station orbitale , les environnements en général donc , qu’ils soient politiques , coloniaux ou autres .

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Alien, tome 3 : Il est là !

Une planète minière reconvertie en pénitencier ....



Ce site est principalement souterrain , la surface est un territoire improbable livré aux éléments déchainés et aux carcasses de déchets industriels , ou encore à celles de vaisseaux spatiaux échouées sur ce monde abandonné .



C’est la novélisation du film Alien 3 , et il n’y a pas de divergence réellement fondamentale avec le scenario du film . C’est une bonne novélisation et c’est assez agréable de se plonger dans cette atmosphère par le livre , par l’écrit , car c’est une autre dynamique que l’image finalement .



Le point fort de cette novélisation , c’est certainement les descriptions de ces environnement étrangers , notamment la surface de ce corps céleste et aussi la base avec les couleurs sombres les vents , les tunnels .



Certains personnages denses sont particulièrement émouvants , tel que , le médecin de la base animée par sa tragédie intérieure de naufragé / réfugié en enfer .



D’une façon générale , le film comme ce récit assez bref , sont affectés l’air de rien par une sorte de grandiloquence grandiose , au travers notamment des décors , au travers aussi des destinées de personnages spectaculaires , aux problématiques névrotiques mais rationalisées et portées au niveau d’un quasi processus d’adaptation à cet environnement assez délirant , et au bas mot : déstructurant.



La novélisation a une dimension psychologique plus flagrante que le film à mon humble avis .



Un bon moment sans plus , mais pas moins ...

Certaines descriptions sont sublimes et raisonnent dans les imaginations attentives à créer des visuels sombrement spectaculaires .



PS : Ce texte va bientôt ressortir en anglais .

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Outland : loin de la terre

C'est une structure western qui organise le « pitch » de cette bonne novélisation , cela vaut aussi pour le scénario du film d'ailleurs .

Un film qui date mais qui tient vraiment toujours la route , tout comme ce texte circonstancié , à l'environnement , base spatiale est absolument réussi.

Un aspect incontestablement réussi du texte donc , est que question ambiance on est bien sur une mine aux abords de Jupiter ( ce ne se discute même pas ) .

Cet environnement extrêmement soigné est le point fort de ce récit aux personnages archétypaux certes , mais touchants .

Rien que pour rêver un peu : Il faut visionner LE FILM …

Les dialogues sont soignés et le vocabulaire est assez " Chartier élaboré " ET succulent dans le genre , " mal élevé sous contrôle " .

C'est aussi estimable comme travail et résultat que n'importe quel western de qualité.

C'est un peu : le train sifflera trois fois sur Jupiter …

C'est assez ancien comme recette , mais cette vision du futur impose pourtant une plausibilité et une crédibilité sans faille .

D'autant plus que l'environnement est approché de façons millimétrées .

La problématique du texte est riche de facettes : sociales , politiques , mafieuses , familiales , éthiques , syndicales , psychologiques .

Le suspense va crescendo tout au long du récit et le dénouement est méthodique .

Cette station minière est terriblement palpable ( le pied ) , c'est une vraie ballade dans le système jovien .

Pendant tout le film : le disque énorme de Jupiter est suspendu dans ciel , et dans la novélisation , c'est pareil .

Je suis DONC parti au quart de tour dans la banlieue de Jupiter .

PS : je mets l'étiquette guerre , parce que je pense que ce cachecache musclé a tout de l'opération commando et des contremesures que cette donne suscite.

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Starman

La bibliothèque de ma mère dissimulait ce petit joyau depuis mon enfance et c'est la première fois que je le lis. Pourquoi avoir attendu si longtemps, bonne question...En tous cas il était grand temps de le dépoussiérer ! Un genre auquel je suis peu habituée il m'est donc peu aisé de comparer avec d'autres histoires mais celle-ci, j'ai absolument adoré ! Une lecture enivrante, riche en émotions.



Une forme de vie extraterrestre vient visiter la Terre. le vaisseau envoie un des leurs en éclaireur dans le but d'observer et de collecter de l'information sur ses habitants, le tout de façon totalement discrète. Toutefois, la NSA perçoit un signal inhabituel passant au-dessus des États-Unis, demeurant sans réponse et, croyant l'objet suspicieux d'origine soviétique, envoient un F-16 pour l'abattre. Quelque part en zone isolée du Wisconsin, l'objet s'écrase. Alentour, pas grand-chose. Un bungalow. Une veuve. Jenny Hayden, toujours en deuil, termine la soirée en se soûlant, puis va se coucher. Au milieu de la nuit, du bruit en provenance du living la réveille, elle titube jusque là et lorsqu'elle tombe face-à-face avec un clone vivant de son mari récemment décédé, sous le choc, elle perd connaissance. L'entité a pu prendre forme humaine grâce à l'ADN de Scott (le défunt mari), par une mèche de cheveux lui appartenant présente dans un album photo ouvert dans le salon.



"Les pages se remirent à tourner, comme feuilletées par une main invisible, mais, cette fois, en sens inverse. Elles s'immobilisèrent lorsque apparut l'enveloppe de cellophane qui se décolla du feuillet et s'ouvrit. La mèche blonde qu'elle recelait ne tomba pas. Au lieu de cela, elle se dissocia. Puis, chacun des cheveux qui la constituaient retourna dans l'enveloppe. À l'exception d'un seul. L'explorateur se concentra sur celui-ci et en détermina la composition interne."



La peur dominera cette première rencontre mais cette histoire est tout sauf effrayante. C'est beau, vivant, humain, drôle et triste. Il y a de l'action, aussi, car le visiteur n'était pas censé vivre son expérience ainsi et ne peut s'attarder sur Terre ou il mourra. Il n'a que trois jours pour rejoindre son point de ralliement et Jenny sera sa seule alliée pour qu'il puisse atteindre son but. L'aventure ne sera pas sans danger car entre temps, les plus hautes instances du gouvernement, ayant trouvé un reste de capsule au point d'impact, comprennent qu'un visiteur de l'espace est au pays et feront tout pour le capturer. Ce qui était au départ une sorte de kidnapping devient deux fugitifs en cavale. C'est en Mustang verte 77 qu'ils traverseront le pays et s'ensuivra une cascade d'événements que Jenny et "l'homme des étoiles" n'auront cesse de fuir. de nombreuses situations cocasses sont présentes car le visiteur parle plus ou moins bien la langue et ne connaît pas grand-chose à nos us et coutumes. Souvent, j'ai ri haut et fort.



Une histoire super touchante dont les deux protagonistes sont terriblement attachants et on y croit vraiment. Cela fait presque rêver, tellement c'est beau. On reste éblouis et marqués par cette rencontre entre deux "espèces". Un lien très spécial les unira. Quoiqu'il advienne, ces trois jours changeront leur vie à jamais. L'homme des étoiles parviendra-t-il à rentrer chez lui ? Et qu'adviendra-t-il de Jenny ?



"Starman". Un genre qui peut être accessible à tous je crois, tant aux novices qu'aux initiés. Un plaisir de lecture. Un vrai régal !



** Un film a été tourné dans les années 1980 avec Jeff Bridges dans le rôle de Scott et Karen Allen dans le rôle de Jenny. C'était bien sympathique également.



LC THÉMATIQUE DE NOVEMBRE : FAITES DE LA PLACE POUR NOËL (VIDEZ VOS PAL ! 2)
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Starman

Et voilà, ils sont venus. Fallait bien s'en douter. Ils ont réussi à intercepter Voyager II, lancé en 1977, demandant aux autres formes de vie extraterrestre : venez les gars, venez nous voir, nous sommes curieux de vous découvrir.

Ils se sont placés à dix kilomètres de la terre, invisible pour ses habitants, puis l'un deux à pris une navette pour l'approche final. C'est là que l'US Air Force l'a repéré et finalement l'a abattu.

L'explorateur s'est écrasé dans le Missouri, il lui faut vite trouver une forme humaine pour espérer survivre.

Jenny Hayden vient de perdre son jeune mari, Scott, elle a gardé une mèche de cheveux. Ce soir elle a bu plus que de raison, l'absence est tellement immense …

C'est un bouquin de science-fiction de 1984 dans lequel on entre par magie. Tout est tellement (presque) réaliste que l'on se met à écouter les bruits, savoir s'il n'y aurait pas dans les parages … chez moi aussi … Une fois la créature incarnée, nous découvrons avec des (yeux) extérieurs la culture, le langage, le comportement dont nous faisons preuve au quotidien, comment nous traitons nos congénères et les autres formes de vie. Oh il a beau avoir été écrit il y a plus de trente ans, rien n'a vraiment changé, on peut même dire que ça a empiré.

L'histoire est simple, belle, prenante.

Je n'espérai qu'une seule chose avec ses deux-là … et je n'ai pas été déçu.

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Alien - le huitième passager

Bah j'ai bien aimé ! J'ai trouvé ça chouette "d'entrer dans la tête" des protagonistes. Il n'y a pas, les media se suivent et ne se ressemblent pas, voire ils se complètent.

Du coup c'est plutôt bien amené, bien dosé, l'ambiance est bien retranscrite. le livre suit exactement le film, et l'horreur, qui commence fort avec l'espèce de "machin" qui saute au visage de Kane, retrouve ensuite un niveau "acceptable", pour remonter ensuite à coups de surprises (qui n'en sont pas quand on a vu le film, mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse, on joue le jeu quand même, arf !) jusqu'au feu d'artifice final.



J'ai eu grand plaisir à lire ce bouquin, et ça m'a donné envie de re regarder les films (je les ai tous en dvds, et oui, et même les suivants je les aime bien...).

Je m'excuse pour le peu d'arguments et la rapidité de cet avis, mais le boulot m'épuise en ce moment, je n'ai plus d'énergie le soir quand je rentre...
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Aliens - Le Retour





Je vous laisse la suite imaginer et visualiser !



Aliens le retour une histoire qui a rien avoir avec celle-ci ! Ah non bien meilleure tiré d’un film que j’ai visionné plusieurs fois quand j’étais petit et encore là, je regarde encore sens m’arrêter se chef-œuvre qui ma marquet … Il est plutôt facile d’imaginer une histoire comme celle-ci .



Ici dans ce tome nous somme de retour avec la belle Ripley … Qui avais réussie à s’arracher de la gueule béant du cauchemar du Nostromo dans le tome 1 Huitième passager dont j’ai lus et écrit la critique il y’a pas si longtemps à peine 75h … Inutile de dire que j’ai finie se livre il y’a peu de temps … Eh bien franchement les émotions sont les même que ceux dans le un … Peur bleu de l’étranger angoisse stable, répugnance à certain degré … Et même plus enfin pour moi j’aime pas voir mes chéris se faire zigouiller … Je parle des marines ils ont toujours été mes héros dans le film comme dans le livre courageux et imprévisible …. Et il on tousse un langage plutôt distinguait et un jargon très chaotique voir charestique ^^ Bouyah ! Ouhoua !

Il est encore inutile de dire de quoi parle ce livre hein ?

Je crois que tout le monde la vue soit à la télé ou au cinéma et même en DVD pour certain …

Donc encore une fois je m’aventurais pas là c’est un terrain glissent et spongieux comme la résine ou les excréments de xénomorphe bref ses pas un terrain guère amicale …



Mais je peux m’aventuré telle un marine à travers des couloirs à la apparence glauque et totalement dangereux de ce couloirs armé de mon M-40 pour faire un résumer de la quatrième page aux complet en espèrent de ne pas croiser de bête-bête vue que j’ai 50 balle dans mon chargeur et 3 lance grenade … Lest-go, Move-out



Sur le Nostromo, Six homme sont morts, victimes de l’alien- une créature immonde et inconnue-ramené à bord après une missions sur Lv-426 astéroïdes jusque-là inexploré.

Seul la belle et intrépide Ripley a survécu, réussissant même à précipiter le monstre dans le vide mortel de l’espace. ( Attention plus un bruit, je capte un signal droit devant )(Bip,bip,bip,bip!) (C’est rien continuons) Quand elle atteint enfin la terre-après un demi-siècle d’animation suspendue-, tout a changé. Lv-426, nommé Archeron, est devenus une colonie humaine en plein développement… ( Calliss il sont là reculer tout le monde derrière je fais un tir de barrage … ) (taktaktaktaktaktaka , )( Et de un ! Et de deux ! Et de trois bandes d’enculé ! )

(Viens faire joujou ma belle on va danser au balle à soir ) … (Merde il reste 20 balle et 2 lance grenade) (Allez on bouge il faut pas restez dans le coin sa tripouille de ses chose !)

Jusqu’au jour où le contact est coupé : Achéron ne répond plus. Un autre Alien a-til surgi ?

(Je capte de quoi en dessous sa viens de partout 5 non 30 signal à la fois et merde partez je continue mon chemin jusque à la mort ouhaaa !)

Mais à lui seul, il ne peut détruire toute la colonie. Alors faut-il penser à plus d’innombrables aliens ?



(Un cri atroce vous parvient de loin annoncent ma mort courageux et intrépides mais n’ayez crainte la mort et douce voir accueillante même dans les bras d’un Xénomorphe .)

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Alien - le huitième passager

J'ai acheté ce livre pour la seule raison qu'étant allée voir le film à sa sortie, je n'en ai vu que les premières minutes, tant j'ai été terrorisée... Dès l'intrusion de l'Alien dans le vaisseau Nostromo, je me suis cachée les yeux de la main, écartant de temps en temps les doigts pour jeter un oeil sur l'écran, comme par hasard toujours aux pires moments, car cette attitude est bien plus anxiogène que de voir le film en continu. Ce fut un souvenir mémorable car c'est un plaisir délicieux que de se faire peur. Le livre m'a un peu éclairée sur l'histoire et les péripéties que j'avais ratées, mais n'a pas en lui-même de grande valeur littéraire.

Quant au film Alien, j'ai dû en voir la totalité environ au bout de la quatrième ou cinquième vision.
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Alien - le huitième passager

L'histoire supplante la qualité littéraire, c'est ainsi pour certains livres. Je ne suis pas férue de littérature de science fiction, comme je ne connais pas le genre je ne sais que choisir la plupart du temps. Pourtant ce genre me fascine si l'on peut dire. Sommes-nous seuls dans l'univers ? Je suis tombée sous le charme de cet alien. D'avoir inventé cet être hybride, étranger dans toute la plénitude du terme. D'ailleurs d'où vient-il vraiment ? Donc d'avoir conçu un être si parfaitement hostile est une forme de quintessence horrifique. Un cauchemar sur pattes, sur pieds ? Increvable... sauf pour Ripley bien sûr ! autre fantasme philosophique sexué. On a beau connaître l'histoire par coeur, le film ; on se laisse prendre par cette atmosphère organique ou le métal et le sang se mêlent.....
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Alien - le huitième passager

Le remorqueur interstellaire Nostromo se dirige vers la terre lorsqu’il reçoit un signal qui réveille l'équipage sous cryogénisation et le vaisseau se dirige vers une planète inconnue.

Le vaisseau se pose sur une planète hostile et le Capitaine et deux membres se dirigent vers le signal où il découvrent un vaisseau abandonné. Lors de l'exploration l'un des membres reçoit sur le visage une sorte de mollusque qui explose sa visière. Inanimé il est conduit vers le vaisseau où contre l'avis du second l'ingénieur scientifique ouvre le sas faisant entrer dans le vaisseau l'horreur future.



Le récit débute sur une note stressante avec le réveil d'urgence, la tension monte lors de l'exploration de la planète et du vaisseau abandonné pour devenir intenable avec l'état du membre touché et des exactions du monstre en action.



Pour un récit SF l'histoire ne comporte aucun terme technique difficile à ingérer ce qui est plutôt positif pour des lecteurs peu habitué à de domaine de la lecture.



Les personnages sont intéressants à suivre, bien brossés avec chacun sa propre personnalité. On ressent quelques tensions entre différents membres ce qui ajoute un peu de piment au récit. Pour l'un des personnages l'auteur nous offre dans le final une surprise que l'on n'avait pas vu venir.



L'univers SF n'est pas particulièrement développé et le récit est essentiellement basé sur ce qui se passe à l'intérieur du vaisseau que ce soit avant ou après l'introduction de la créature.



Un roman plaisant à lire pour les non-initiés.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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Alien - le huitième passager

Il était une fois une série de films cultes, que l'on ne présente plus. Ici, c'est l'adaptation littéraire de l'un de ces films qui fut parut la même année en 1979 sous le titre original Alien. Huez-moi puisque je n'ai pas vu ce film. Lire ce livre était donc une forme de rachat et que dire...



Une équipe de sept personnes, plus un chat roux, voyage dans l'espace bien loin de la Terre à bord du vaisseau dénommé Nostromo. Dis comme cela, on pourrais croire que le huitième passager est le chat. Tous les membres, ainsi que le félin, gisent dans une sorte d'hibernation lorsque le vaisseau détecte un signal. Réveillé, Le commandant analyse la situation et décide d'aller voir de plus près ce qu'il se passe. Mais les choses ne se passeront pas comme prévu.



Magnifique roman qui nous plonge directement dans la claustrophobie. Ce livre tient toutes les promesses avec de délectables passages à faire frémir. J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire, vraiment très prenant.
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Dinotopia le royaume perdu

Je suis fan de Dinotopia depuis des années maintenant. J'ai vu X fois (je ne saurais compter) le téléfilm en 3 parties, que j'adore et que je connais par cœur. J'ai aussi vu la suite sous forme de série mais avec des acteurs différents, qui est pas mal. Je suis aussi fan de tout ce qui a attrait aux dinosaures depuis que je suis enfant. Je me rappellerai toujours que mon premier souhait de métier était paléontologue, ce qui en dit long même si ça ne s'est jamais réalisé. C'est resté un rêve.



Bref. J'ai revisionné très récemment le téléfilm et je me suis demandée s'il n'y avait pas un roman à l'origine ou un roman qui en a résulté. Et c'est le cas. Dinotopia est une série de livres illustrés pour enfants écrit par James Gurney, accompagnée de petites nouvelles. Difficilement trouvables malheureusement. Mais il y a une nouvelle en particulier _ enfin, pour moi, c'est un roman au vu du nombre de pages! _, celui d'Alan Dean Foster, Dinotopia Le royaume perdu, que j'ai pu lire en ebook.



L'histoire n'est pas une adaptation du téléfilm, ni de la série. On pourrait dire que les événements du roman se déroulent bien avant ceux du téléfilm. Certains éléments m'y ont fait penser comme la mention de Lee Crabb et Arthur Denison, le père du méchant dans le téléfilm et le père d'une demoiselle-pilote également dans le téléfilm. C'est donc une histoire complétement inédite!



Alors qu'une énorme tempête approche des côtes de Dinotopia, les communautés humaines et dinosauriennes de l'île, vivants en parfaite harmonie, migrent vers l'intérieur des terres. Et personne n'aurait alors imaginé qu'un bateau pirate aurait par miracle accosté dans une baie de l'île, que des pirates donc, en conquérants auraient capturé une famille de Struthiominus ainsi qu'une jeune T-Rex, ne les voyant que comme des animaux qui sortent de l'ordinaire et qui pourraient leur ramener une petite fortune de retour au pays, sous-estimant leur extrême intelligence ainsi que le monde qui les entoure d'une beauté incroyable mais aux nombreux dangers, qui vont vouloir piller les richesses et les ressources de cette nouvelle terre qu'ils pensent faire leur. C'est alors qu'un drôle de groupe se forment pour aller porter secours aux prisonniers et ramener la paix à Dinotopia: deux parents T-Rex prêts à tout pour récupérer leur progéniture, une jeune Struthiominus courageuse qui a pu fuir l'ennemi mais qui n'hésite pas à les affronter de nouveau pour délivrer sa famille, un Protocératops interprète assez peureux qui va aller au devant de ses craintes et qui sera très utile pour que tout le monde puisse communiquer et un jeune humain du nom de Will Denison, un pilote de Skybacks qui a débarqué à Dinotopia avec son père il y a quelques années et dont la vie a radicalement changé depuis...



Le début est assez long et je me suis ennuyée jusqu'aux 70 premières pages. J'avais même pensé abandonner ma lecture mais j'ai bien fait de continuer car c'était génial ensuite! C'est devenu hyper addictif et passionnant, il m'était difficile de lâcher ma liseuse. Quelle aventure! C'était comme si j'y étais, comme si je vivais l'histoire moi-même!



Ce qui est bien, c'est qu'il y a plein de points de vue différents et pas que ceux des humains! Il y a aussi ceux des dinosaures, herbivores et carnivores! Nous sommes donc sur plusieurs fronts, dans la tête de plusieurs personnages. Ce sont d'ailleurs les points de vue des dinosaures qui m'ont le plus plu: T-Rex, Struthiominus, Protocératops, Mégalosaure... C'est varié et plaisant! Et le vrai plus de ce roman, c'est que grâce à lui, je porte désormais un autre regard sur les prédateurs du monde de Dinotopia! En effet, dans le téléfilm, ils ne sont montrés que comme des carnivores assoiffés de chair et de sang, qui ne parlent pas, qui ne paraissent pas très intelligents! Alors que dans le roman, c'est tout le contraire! Ils respectent certains pactes faits avec les humains et autres herbivores, sont doués de conscience, sont intelligents, qui ont leur propre système de communication, qui peuvent s'allier avec d'autres créatures, que ce soit des humains ou des dinosaures herbivores! Pour le coup, ça, c'était une belle surprise!



Autre point intéressant. J'y ai vu plein de messages importants, cachés. J'en ai même fait ma propre interprétation. J'ai fait un gros parallèle avec nos sociétés actuelles, notre monde, notre rapport à la Nature notamment. J'en fais une généralité: les Humains qui veulent absolument tout contrôler que ce soit le monde ou les animaux, qui qui détruisent Mère Nature, qui exploitent, qui dévastent, qui font plus de mal que de bien... qui sous-estiment les êtres vivants de ce monde, ses défenses, ses ressources... Mais pas que! Entre communautés aussi. Nous pouvons tous vivre en parfaite harmonie, qu'on soit de sexe, de nationalité ou d'origine différente! J'ai vraiment été fort sensible à tous ces messages véhiculés dans le roman. Dinotopia, c'est une utopie qui fait rêver.



En bref, c'était trop bien! Impossible de m'arrêter, je suis me suis régalée! C'est très différent de ce que j'imaginais (par rapport au téléfilm) mais ce n'est pas plus mal! Il y a énormément d'action, de messages importants, de surprises. J'ai bien fais de m'accrocher sinon je serai passée à côté d'une excellente lecture!
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Star Trek

J'ai dû voir ce film entre 15 et 20 fois et je ne m'en lasse pas. Lire ce bouquin a été comme regarder la version longue. Un pur régal!



Mon enfance a été baignée dans la SF. Avec mon père, j'ai usé mes yeux devant la télé en regardant (entre autres) : Cosmos 1999, Galactica (version fin des années 70 bien sûr), Buck Rodgers au XXVe siècle et bien sûr les bons vieux Star Trek!



J'avais été un peu dubitative lors de la sortie du film, j'avais peur d'être déçue mais cela n'a pas été le cas. Un scénario excellent, un casting sans faute avec de l'action et de l'humour.



C'est vraiment dommage que la scène finale n'aie pas été intégrée au film. J'ai trouvé bien sympa de savoir ce qui était arrivé au beagle égaré par Montgomery Scott!



Je terminerai par un hommage à Anton Yelchin (1989-2016) qui interprétait le rôle de A.P. Chekov et que l'on retrouvera quoi qu'il en soit dans Star Trek Sans Limites dont la sortie est prévue cette année.







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Alien - le huitième passager

Une fois n'est pas coutume le roman est adapté du film et non l'inverse, mais il faut reconnaître que l'auteur est un habitué du genre puisqu'on lui doit une quinzaine de novélisations de scénarios.

Ceci dit le bouquin rend parfaitement l'ambiance du film désormais culte de Ridley Scott. A défaut de surprendre (à moins de ne pas avoir vu le film) la lecture est agréable et permet de se replonger dans les entrailles du Nostromo.
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Alien - le huitième passager

J'aime tellement le film que je n'ai pas réussi à passer outre. En plus j'ai trouvé l'écriture assez insipide.

Les personnages sont assez décevants tant je les ai trouvé insignifiants, mais là encore le film y est pour beaucoup dans mon ressenti.

La Ripley du livre n'arrive pas à la cheville de la Ripley du film.
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Alien - le huitième passager

Un livre écrit sur la base du scénario du film. Certes il se lit bien, mais il ne faut rien attendre de plus que dans le film, contrairement à 2001 où le livre apporte plus d'explications et ne colle pas tout à fait au scénario.



Et comment dire, il semble manquer la terreur, la peur de voir surgir le monstre. Tiens c'est vrai, je crois que je n'ai jamais eu peur en lisant un livre - même du Lovecraft. Peut-être à cause du rythme de lecture qui ne nous impose pas le même déroulement du temps que les 24 images qui nous atteignent inexorablement, chaque seconde au cinéma. Le livre nous offre plus une contemplation de l'horreur, une délectation devant la créature.

Alien est assez visible dans le film mais son apparition fait peur. Le Gritche de Hypérion fait peur car je ne parviens pas à l'imaginer ni connaître ses réactions, mais je sais que je ne sursauterai pas et ne risquerai pas la crise cardiaque en lisant le livre.



C'est donc l'éternel débat entre ceux qui ont vu le film en premier et ceux qui ont lu le livre en premier. Chacun campe sur ses positions, en général on préfère celui qu'on a lu/vu en premier.



Pour Alien, le 8ème passager, il n'y a pas de doute pour le grand public : c'est un film et aucun scénario romancé ne pourra le remplacer !
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Alien - le huitième passager

Le livre est très fidèle au film : il ne manque pas grand chose, le suspens est tout aussi bien mis en valeur. Par contre, la temporalité n'est pas la même : la deuxième moitié du film est consacrée à la chasse de l'étranger alors que dans le livre, cela représente qu'un quart du bouquin, et mériterait certainement un peu plus de détails.

Le style d'écriture est très simple, et des descriptions sont parfois la retranscription de ce qui se passe à l'écran sans en dire plus (untel appuie sur les boutons de la console de la commande, sans expliquer pourquoi ni ce que cela fait). Cependant, le livre reste agréable à lire et on dévore les 200 pages avidement pour se replonger dans l'ambiance du film
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