Alex Sol

Une lecture bouleversante que voilà. Déjà, l'immersion est totale grâce à la playlist que l'autrice a mise au début du bouquin et que je me suis empressée de mettre en fond sonore pour ma lecture, c'est vraiment une super idée. Ensuite, le livre est terrible, l'histoire est absolument tragique. C'est le récit d'une seule nuit d'horreur absolue pour notre chère Louise, qui malgré ses airs de princesse insupportable et hautaine au début devient touchante, surtout au vu de tout ce qu'elle doit endurer, entre visions d'horreur, colère et désespoir. On est confrontés au visage démoniaque et à l'hypocrisie de ces bonnes sœurs qui cachent bien leur jeu aux yeux des familles de leurs jeunes "protégées" et qui sont en fait complètement inhumaines et sans cœur. Une lecture glaçante, efficace, que j'ai dévorée en un après-midi !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Bonjour,

Dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus, je viens vous chroniquer en retour de lecture l'un des cinq finalistes du prix dans la catégorie Imaginaire : "Mirial" de Alex SOL.



Lena Meyers n'est pas comme tout le monde. Elle a la particularité d'être une Sapiens, dotée de facultés intellectuelles et physiques hors du commun. Elle mène une vie toute simple, calée sur les répétitions et la routine qui rythment sa vie. jusqu'au jour où elle est appelée par la police pour identifier le corps de son amie Reesha Machado. Celle-ci s'est parjurée, acte considéré comme un crime sur Dioscuris.



Reesha n'était pas n'importe qui, c'était la fille du créateur du Mirial, source d'éternité, et journaliste à "L'insoumis". Lena va tout mettre en œuvre pour connaitre les raisons du parjure de son amie. Elle va faire face à des dilemmes qui vont remettre en question sa vie et tout ce en quoi elle croyait jusque là.



Une dystopie que j'ai aimée lire pour son univers au rendu réaliste si bien travaillé et pour le personnage central de Lena qui est, sans nul doute, très intelligente. J'aurais pu la trouver incroyablement extraordinaire si elle ne faisait pas preuve de temps à autres de naïveté ; elle parait surprise des rebondissements et des nouvelles auxquels elle doit faire face alors que si elle réfléchissait comme un être supérieur, elle aurait tout de suite compris ce qu'il se tramait.



J'ai trouvé l'histoire un tantinet trop longue, surtout avec les sapiens et leur capacité de réflexion qui font d'eux des surhommes en terme d'actions. En toute logique, cela aurait du se passer en un claquement de doigts. Mais ça a été calé sur la vitesse d'un croisiériste en vacances. J'ai bien apprécié le début du roman pour mon attachement à Lena et aux détails sur son comportement.



Mais au fil du récit, avec l'arrivée d'autres personnages qui ne sont pas aussi bien détaillés ou qui agissent surtout en tant que protecteur de Lena, j'ai eu de plus en plus de mal à m'impliquer dans le texte. Thomas y est évoqué en souvenir mais n'apparait jamais réellement dans le récit. J'ai eu cette impression de courir après un fantôme et je n'ai pas du compris pourquoi il était mentionné. il faudra attendre la quasi fin du roman pour le savoir.



Le comportement du père de Reesha, Lionel, m'a quelque peu exaspéré. Pareil pour Grant, Peter et le père de Lena, Anton. Ils cachent des choses à Lena, ne lui distillent que le minimum d'informations, agissent dans son dos mais elle de son côté ne fait rien pour en apprendre plus alors qu'avec les pouvoirs qu'elle a, elle a la possibilité de tout savoir. Des fois, je trouve qu'il y a des incongruités de ce genre qui me laissent perplexe.



Sans compter qu'on apprend que certains des personnages ne sont pas ce qu'ils sont, que d'autres révèlent secrètement des connivences avec ceux qui jouent double-jeu. Bref, un vrai méli-mélo voir un imbroglio total sur les liens qui unissent les personnages secondaires avec les principaux.



J'ai aimé cette idée de la vie éternelle superbement bien traitée. Le cadre dans lequel évolue les protagonistes est vraiment un monde à part, très réaliste et à la pointe de la modernité. Cet univers est si particulier, complexe, et pourtant sa compréhension est limpide.



J'ai lu ce livre dans le cadre du Prix et je me dois de relever qu'il y a des fautes d'orthographe et des mots manquants sur le tome entier. La plume de l'auteur est simple, un langage adapté à la science fiction, même si je trouve que les dialogues manquent de clarté et de précision, parfois on ne sait pas qui parle.



Je mentionne les volantes qui ne sont pas suffisamment décrites pour qu'on puisse s'imaginer comment ça fonctionne. Les lieux où évoluent les personnages ne sont pas suffisamment détaillés pour qu'on puisse se situer dans la ville. L'arrière plan est terne. Tout le côté politique se retrouve à la fin du roman, même si la science fiction domine largement sur l'ensemble du roman.



C'est un livre de science fiction de bonne facture qui peut ravir les fans avec son monde fictif et son histoire très accrocheuse.



Bonne lecture, amis lecteurs !
Lien : https://lecture-chronique.bl..

Six personnes se retrouvent ligotées dans une pièce avec une seule bouteille d'eau à leur disposition.

Qui sont-elles ? Quel(s) lien(s) existe(nt) entre elles ? Qui les a enfermés là et pourquoi ?

Petit à petit, l'histoire se dévoile. Les identités des prisonniers sont révélées. Des suppositions sur le kidnappeur sont émises. Les liens commencent à apparaitre.



J'ai dévoré ce nouveau roman d'Alex Sol en une soirée seulement, tenue en haleine par l'histoire. Impossible de refermer le livre sans en connaitre le fin mot. Et que dire sur ce final ! J'aime plus que tout être surprise à la fin, avoir une dernière révélation, un dernier rebondissement (plausible bien entendu) et je ne fus pas déçue !



Adaptes de thriller psychologique, je ne peux que vous conseiller chaudement la lecture de ce roman.

L'histoire s'étire beaucoup trop, avec des scènes redondantes. Une intrigue très moyenne avec peu d'effet de surprise. Passe beaucoup du coq à l'âne. Le début est bon et intriguant, mais la suite devient vite du grand n'importe quoi même si c'est de la fiction.

Cela faisait un moment que je voulais lire un livre d'Alex Sol, quand j'ai vu qu'elle sortait son dernier livre, je me suis donc lancée dans l'aventure.



Bienvenue à Periveil, un petit village dans une vallée isolée du monde, dépourvut de toute technologie où le réseau ne passe pas et où il se passe d'étranges phénomènes, accidents fréquents et pannes inexpliquées, ou encore des créatures étranges. Après la perte tragique inexpliquée de leur ami Julien, un groupe de lycéens bien décidé à enquêter sur tous ces phénomènes se produisant dans leur village.





L'Autrice a le don de construire et de personnaliser ses personnages qui sont tellement bien décrits et riches qu'on croirait qu'ils ont vraiment existé ! Ils sont très attachants tous autant qu'ils sont, car oui, au début, on peut paraître perdue avec tous ces prénoms et personnages mais une fois qu'on les a tous bien assimilés, c'est une partie de plaisir !



Le livre est vendu comme étant un Young adulte, mais il convient très bien aux adultes. Avec une multitude de personnages de tout âge, (enfants, ados, jeunes adultes, adultes, senior...) Il y en a pour tous les goûts. Je pense quand même que ce n'est pas un livre à mettre entre les mains des trop jeunes (tout dépend la personne) mais par moments il y a quelques scènes un peu gores, mais rien de trop méchant non plus (pour moi).



Je suis contente d'avoir enfin lu un livre d'Alex Sol et je ne suis pas près d'arrêter de conseiller cette autrice tellement elle a le talent de nous plonger dans son univers, plein d'intrigues et tellement bien écrit avec par moment quelques touches d'humour.



Bref, j'ai adoré et je conseille vivement de lire cette autrice !



Encore merci à alex sol et à Netgalley pour cette opportunité.

Une pièce fermée, sans porte ni fenêtre.

Six personnes attachées sur des chaises, se réveillent dans cette pièce, dans ce cauchemar.

A leur disposition, un seau et une seule et unique bouteille d'eau.



Qui sont ces six personnes ?

Pourquoi sont -elles là ?

Qui les a enfermées et pourquoi ?

Sont-elles destinées à toutes mourir ?



Peu à peu on apprend qui est chacun et la raison de cette réunion très peu sympathique.



On s'attache à certains, on a envie qu'ils s'en sortent.



Une araignée maléfique et justicière autoproclamée tisse lentement sa toile.



Une histoire très facile à lire, passionnante, avec un final pas totalement inattendu mais fort réussi.

Quel pari risqué que ce " vous " association du lecteur et du personnage principal tout au long de ce roman, où du coup, j'ai été embarquée malgré moi. Car si certains sentiments sont communs, certaines douleurs sont propres à la femme, difficile donc pour un lecteur d'être en osmose avec Karen étant la principale protagoniste de ce qui devient de page en page, un huit clos où rôde la terreur....Ce livre m'a semblé interminable, peut-être parce que je n'aurais jamais agi comme Karen. Et puis beaucoup d'incohérences que je ne vais pas dévoiler au risque de trop dire de cette intrigue, où pour moi, les personnages sonnent un peu faux...

Voilà une très heureuse et formidable surprise. Je ne connaissais pas cette auteure, originaire de La Belle Province mais ce roman donne envie de s plonger dans ses œuvres précédentes.

Le Thème? Lena , une jeune Sapiens mène une vie simple jusqu'au moment où l'on découvre le cadavre de sa meilleure amie qui s'est apparemment suicidée (on dit parjurée dans le pays, Dioscuri, où se déroule l'action. En enquêtant, Léna va se trouver confronté aux mensonges et aux mystères de l'inquiétante société dystopique ou elle vit.. elle va devoir affronter aussi les séquelles de son passé et assumer les responsabilité que ses pouvoirs lui donnent.

Pour savoir ce que sont les sapiens, il suffit de lire la dédicace du livre «  A toutes les femmes Asperger ».

La plus grande partie du livre est vue par les yeux de Léna. Lorsque le récit quitte ce point de vue , on ressent avec encore plus de force, la particularité de l' héroïne. Alex Sol réussit à nous faire sentir la différence par la seule force d'une tournure de phrase, d'un mot seulement parfois. On est constamment dans la tête de la jeune femme qui ressent tout : le mensonge, le cœur qui s'emballe, les faiblesses d'une personne. Le portrait de Lena et de ses actions sont tout au long du livre, une extraordinaire réussite.

A ce niveau parler de tour de force est même dévalorisant tant tout cela paraître naturel au lecteur qui est glissé avec douceur dans la peau de Lena. Le lecteur et la lectrice vont ressentir ses peines, ses joies, ses erreurs, ses amours avec elle.

Un des autres attraits du livre est bien sûr, le portrait de la société dystopique dans laquelle se déroule l'action : On ne percevra que peu à peu sa monstruosité et du prix effroyable de l’Éternité qui en est le socle.

La vie du petit groupe de résistants ou va s'intégrer Lena est d'un beau réalisme ; on suit le déroulé de leurs actions, leurs erreurs, leurs défaites et leurs victoires mais aussi leurs vie quotidienne et leurs amours. Un vrai bijou qui nous donne quelques -uns des meilleurs passages du livre.

L’atmosphère de l'histoire qui oscille entre l’abattement, l’étouffement, la libération et des peines et des joies est aussi en ce sens un des atouts de « Mirial ».

La conduite du récit qui pourrait paraître long (430 pages grand format) est mené tambour battant ; Même les moments paisibles apportent quelque chose à l'histoire . On y reprend un peu de souffle sans avoir envie de sauter un paragraphe.

Quand à la peinture des personnages, il faut pour beaucoup attendre la fin pour les classer dans « les Bons «  ou «  Les Méchants ». La peinture de chacun d'entre eux est si vivante qu'on à l'impression de les connaître. On rêve presque d'une série qui serait digne de «Humans ».. J'avoue une tendresse particulière pour les personnages de Parker et de l'émouvante Jaesmin. Quand au très troublant Frank, il est une parabole vivante de ce que à quoi peut conduire un amour dévoyé.

J'avoue avoir cherché quels pouvaient être les inspirations de Alex Sol ; On peut certes penser à , à Sabrina Calvo , Lucius Shepard ou à Stieg Larsson Mais ce n'est vraiment que de manière indicative.

Il faut lire ce livre. « Mirial «  m'a en tout cas donné envie de me plonger dans ses œuvres précédentes.

Alex Sol nous offre une nouvelle musique dans la SF francophone. Qu'elle en soit remerciée

Belle surprise !



C’est l’histoire de Karen. En fait, vous êtes Karen... Car l’auteur utilise la deuxième personne du pluriel dans sa narration. C’est déroutant au début, mais cette méthode vous happe très vite dans le récit. Si bien qu’il ne vous est plus possible d’arrêter, vous devez savoir, vous êtes impliqué et cela vous concerne presque. Cette narration est, selon moi, l’un des points forts du roman.



Vous alternez entre le passé du personnage principal et le présent qui se déroule la nuit du 19 au 20 avril 2019. Cette alternance, contrairement à d’autres romans, ne vous perd pas. Et même, elle sert l’histoire et vous aide à comprendre.



Sachez que le sujet traité est difficile. Les événements subis par Karen sont douloureux à en atteindre l’horreur. L'auteure a extrêmement bien travaillé ce personnage, et apporte une réelle densité au roman.



Bref, je l’ai dévoré, et ai ressenti les émotions de Karen qui m’a sincèrement touchée. Je recommande cette lecture les yeux fermés !

« Vous vous étiez attendue presque à tout, mais pas à ça. » Cette citation pourrait être ma chronique mais ça ferait un peu court, non ?



Cet excellent thriller psychologique d’Alex Sol prend aux tripes ! Le « vous » de narration intègre le lecteur dans le récit autant que le « tu ». Au début j’ai trouvé ce style un peu perturbant ne sachant pas qui parlait mais on s’y fait vite et ça devient très rapidement fluide. L’écriture de l’auteure, rythmée et acérée, n’y est pas pour rien !



Cette histoire nous est racontée sous forme de passé/présent. Aujourd’hui, Karen vit seule avec sa jeune ado Judith. Elle est styliste et elles ont leur petite routine bien rodée. Mais Karen est constamment sur le qui-vive. Sa fille la penserait paranoïaque si elle savait toutes les précautions prises. Est-elle folle ? Son passé qui se dévoile chapitre après chapitre répondra à cette question.



Avant, Karen vivait une parfaite union avec Celynen. Ils sont tous les deux irlandais débarqués en France dans un petit patelin. Amoureux depuis le lycée, leur idylle avance chaotiquement jusqu’au drame : Celynen disparaît un jour avec Maggie, leur aînée. Depuis Karen attend leurs retours et guette.



Alex Sol frappe fort avec ce thriller psychologique domestique très violent (mais jamais sans nécessité). Vous le savez, j’aime quand ça tabasse et secoue, quand ça révulse, mais pas pour du voyeurisme. Et là c’est un coup de maître et un coup de poing ! Les sujets abordés sont inhumains et ça m’a remué bien comme il faut !



Bref, un thriller trash comme je les aime, qui dénonce des sujets encore trop présents dans nos vies. Un roman qui marque !
Lien : https://www.loeildeluciole.c..

Tout d'abord, je tiens à remercier Alex sol pour sa confiance qu'elle a eu envers moi et son service presse.

Je ne connaissais pas cet auteur et je la découvre avec ce roman et wahouhh.

Quand on ouvre ce livre, nous sommes plongés immédiatement dans la peau du personnage principal qui est Karen, car l'auteur a pris le pari d'écrire son livre à la deuxième personne du pluriel, ce qui peut paraître déroutant au départ, mais au fur et à mesure de la lecture, on se laisse prendre au jeu.

Dans ce roman, il y a deux récits : le passé de Karen et le présent de Karen mais je ne vous en dirais pas plus sur ce récit car il faut lire le livre.

Alex Sol joue avec vos émotions car il y a des chapitres qui se coupent net comme quand vous regardez une série et à la fin on vous dit (A SUIVRE!!!), ce qui est bien énervant d'ailleurs car vous voulez savoir la suite de votre série, eh bien là c'est pareil, elle s'amuse avec le lecture et à la fin de certains chapitres, elle nous laisse dans la frustration et nous fait monter la tension d'un cran.

Ce thriller, parle d'un sujet d'actualités difficiles qui est la violence conjugale.

⚠️attention aux âmes sensibles car certains passages peuvent être violents.

C'est un récit poignant qui nous tiens en haleine du début jusqu'à la fin que je n'avais pas forcément vu venir de suite.

Merci Alex Sol pour ce bon moment de lecture

Je viens de refermer ce roman, je viens de quitter cette histoire, et j'en suis bouleversée, j'ai un peu le souffle coupé, avec un arrière goût amer. Je découvre Alex Sol et je suis conquise par son écriture et sa façon de raconter une histoire. Il s'agit ici d'un thriller psychologique, et elle a très bien travaillé ce thème. Ce qui surprend dès le départ, c'est le choix narratif. En effet, elle emploie la deuxième personne du pluriel pour faire parler son personnage principal. Ce « vous » fait rentrer le lecteur dans la tête de l'héroïne. C'est comme si quelqu'un était en train de détailler le moindre geste que vous pourriez faire. Je suis d'habitude friande de l'emploi du « je » qui me permet de me rentrer dans la tête du personnage et de ressentir au plus près tout ce qu'il se passe pour lui. Mais là, j'ai été bluffée par ce « vous » qui fait le même effet, et je dirais même qu'il en fait encore plus. Il vous interpelle, vous invective, vous parle, vous détaille tout. Je n'avais encore jamais rencontré cette façon de faire, il m'a fallu un petit temps d'adaptation, mais passé une dizaine de pages, je me suis sentie dans la peau de cette femme. J'avais pris possession d'elle ou elle de moi, je ne sais pas et j'avais alors l'impression de raconter mon histoire.



Je me suis donc retrouvée dans la peau de Karen. Elle vit dans le sud de la France, elle est d'origine anglaise et il lui arrive bien souvent de mélanger les deux langues. Elle vit seule avec sa fille, Judith. Un soir, alors qu'elles sont tranquilles chez elles, elles voient arriver leur voisine Marion, complètement affolée. Un homme serait arrivé chez elle et l'aurait agressée. Elle a réussi à se sauver et à venir se réfugier chez Karine. Elles vont ainsi s'enfermer chez Karen, celle-ci va condamner toutes les ouvertures, les fenêtres, les volets, les portes. L'homme est là, il frappe à la porte et demande à voir Marion. La peur va ainsi s'installer. Et un huis-clos va se mettre en place avec les trois femmes dans la maison et l'homme à l'extérieur qui va tourner autour et vouloir entrer à tout prix. La panique s'installe, Marion a peur, tellement peur qu'elle s'imagine ne pas être en sécurité chez Karen. Et dans ces cas-là, la peur et la panique font faire des choses impossibles à imaginer en temps normal. Tout cela ramène de mauvais souvenirs pour Karen qui a un passé très douloureux. Elle va remonter des années en arrière, au moment où elle a rencontré son mari, et surtout jusqu'à cette nuit dix ans plus tôt, où son monde s'est écroulé et où tout a changé à jamais pour elle et sa fille.



Je ne vais pas pouvoir vous en dire davantage, ce serait vraiment trop dommage de vous dévoiler l'intrigue ou les événements. Il faut absolument que vous le découvriez en n'ayant seulement lu le résumé, comme je l'ai fait. Les révélations sont de taille, plus on avance dans le roman, plus on en apprend sur le passé de Karen, et on ne peut qu'être horrifié par tout ce qu'elle a pu vivre. Le suspense est double et affreux. Il y a celui que l'on vit par rapport aux faits du présent, savoir ce qu'il va se passer pour les trois femmes dans la maison, si l'agresseur va arriver à entrer, si elles vont arriver à s'en sortir, appeler des secours. Et il y a le suspense engendré par le passé de Karen, on voit les dates défiler, on la voit sombrer de plus en plus dans l'horreur et on se demande comment elle a fait pour être encore là dix ans plus tard. L'histoire est glaçante, elle fait mal, elle vous remue, elle prend aux tripes. J'ai ressenti beaucoup de peine et de colère, mais également du dégoût, de l'aversion, de la haine. J'ai eu des envies de meurtre avec certaines révélations. J'ai dû parfois faire des pauses dans ma lecture, pour reprendre ma respiration, reprendre de l'air et digérer les faits. Et en même temps, je n'avais pas envie de m'arrêter pour savoir si tout allait se résoudre positivement, et connaître enfin le passé entier de Karen.



Ce stress et ce suspense sont bien travaillés par l'auteure. Elle alterne les chapitres entre le passé et le présent, et on quitte à chaque fois l'un d'eux avec une action percutante qui fait que vous avez envie de sauter des pages pour aller voir la suite. J'aime bien ce procédé dans les romans. Je trouve que ça donne beaucoup de rythme à la lecture, cette soif de savoir fait que j'avais souvent l'impression que mes yeux ne lisaient pas assez vite. Donc cette construction plus le style de narration font que j'ai accroché à ma lecture et que je n'ai pas réussi à la quitter. L'auteure ne fait pas de pauses, et en même temps, elle ne fait pas non plus dans la surenchère, elle raconte simplement les faits. Des femmes comme Karen existent, malheureusement. Ça ne devrait pas, il ne devrait pas y avoir de femmes comme elle, et pourtant on en entend tous les jours ou presque dans les actus. Les coups physiques s'accumulent à la pression psychologique et il faut essayer de protéger le plus possible les enfants. La culpabilité fait alors son apparition, et empêche de se confier ou d'aller voir les autorités compétentes, et le cercle vicieux s'amorce et il est très difficile de s'en sortir. Alex Sol traite de tout cela avec beaucoup de lucidité et sans fards. Elle ne cache rien, ne prend pas de précautions, c'est dur, c'est difficile à lire, mais c'est malheureusement la réalité. Et quelle réalité.... des romans comme ça sont nécessaires, ils doivent être lus, même si ça remue, même si c'est très dur, il le faut. Pour être vigilant, pour aider son prochain si on a des doutes sur sa sécurité, le silence est la meilleure arme de ces salauds...



Je pourrais vous parler encore longtemps, j'aimerais le faire, surtout avec ceux qui ont lu ce livre, pouvoir parler du sujet sans spoiler les futurs lecteurs. Tout comme le reste de l'histoire, la fin est imprévisible et cueille le lecteur en plein désarroi. J'ai refermé ce livre avec un goût amer et triste. Mais il aurait été bizarre que ce soit autrement. C'est un livre nécessaire, qui est dans l'air du temps et qui parle de faits de société graves et d'actualité. Karen, ce pourrait être moi, vous ou la voisine. Trop de femmes vivent encore de tels faits, et c'est atroce... Ce livre remplit son rôle de transmettre un message à chacun de nous, et de pointer le doigt sur un fléau pour lequel nous ne faisons pas encore assez, enfin, à mon avis.

Une chose est sûre, c'est que Alex Sol est une auteure à suivre. Son style et sa façon de raconter font que j'ai déjà envie de lire un autre roman écrit par sa plume. Je ne peux que vous recommander cette lecture. Elle est dure, difficile, mais comme je le disais plus haut, elle est nécessaire. Vous verrez que vous vivrez un moment de suspense et de tension intenses et qu'il vous sera difficile d'oublier Karen. Moi, je ne l'oublierai pas de sitôt. Elle et son histoire m'ont marquée à vif.

Il me tardait de lire ce roman et je ne suis absolument pas déçue du voyage !





Déjà, et je le souligne parce que ce n'est pas toujours le cas en auto-édition, la couverture est superbe. Et je me réjouissais de lire une plume de SF féminine, parce que c'est un milieu encore beaucoup trop masculin !





Le résultat est très divertissant, construit, dynamique et agréable à lire. On est à mi-chemin entre du jeunesse et de l'adulte, puisqu'on suit des personnages de différents âges et qu'on accède autant aux considérations un peu naïves et directes des enfants qu'aux enjeux plus complexes des adultes.





On découvre une planète bien particulière, centrée sur une nature devenue subitement hostile et hébergeant une faune bien éclectique. Cet univers est bien construit, très visuel et facile à se représenter, grâce à des descriptions précises et sans lourdeur.





J'ai beaucoup aimé les personnages, ils sont très vifs, crédibles, drôles et attachants. Evidemment, le trio de sœurs est au centre et j'ai adoré les suivre dans leur expédition, constater leur courage et leur candeur face à des situations hautement périlleuses. Les parents sont également intéressants, de même que le nouvel assistant qui tient un rôle ambigu tout au long du roman.





On saupoudre tout ça d'un scénario rythmé, d'une narration chorale très appréciable, de chapitres courts et haletants, d'un joli message d'amour de la nature et de soin des animaux, d'une touche de mystère, de quelques messages féministes et d'un petit vertige de l'ampleur de l'univers, et on se retrouve avec une super lecture, qui se lit sans effort et que j'étais triste de terminer ! J'espère retrouver ce trio infernal un jour, et je recommande vraiment la plume d'Alex Sol !

J'ai sollicité Alex Sol après avoir zyeuté le résumé, ce thriller semblait alléchant !...et grand bien m'en a pris! Waouw, pour un premier thriller!Quelle maîtrise du suspense! Difficile de le lâcher!Quelques coquilles et erreurs de ponctuation, dommage, mais elles ne gênent en rien la lecture.

Karen vit isolée avec sa fille adolescente, Judith...on sent la tension qui l'habite en permanence, toujours sur le qui-vive, toujours aux aguets...elle évite la foule, maintient ses habitudes, scrute le moindre inconnu....petit à petit, le traumatisme qui est la cause de sa paranoïa se dessine...

Par une construction méticuleuse, qui nous transporte dans son passé, on comprend petit à petit les raisons de sa prudence. Le drame terrible qu'elle a vécu, la violence qu'elle a côtoyée en on fait une femme méfiante, mais prévoyante également. Et quand une nuit, elle est confrontée à nouveau à une attaque, la battante en elle se libère.

La trame narrative implique directement le lecteur, on est complètement immergé dans l'action, on est Karen et spectateur impuissant de sa douleur. L'alternance d'époques nous montre le cheminement et la construction de cette femme. Et le huis-clos du présent est tellement haletant qu'on est soulagé par moment de replonger dans son passé, même s'il n'est que violences physiques et psychologiques... Je sors de "Du poison dans la tête ", de Jacques Saussey, on est, si on peut dire, encore un cran au-dessus dans les abus et l'abjection de ces hommes violenteurs! Un thriller sombre, noir, mais qui relate malheureusement une triste réalité.


Lien : https://instagram.com/danygi..

Sur le site simplement, l'auteur est venue me proposer son livre. La couverture a su me convaincre en plus du résumé. Un thriller sombre qui semblait être dans mes cordes et c'est le cas. Je la remercie pour cette découverte.



Le début du roman nous présente les personnages, Karen et sa fille Judith. Karen est perpétuellement stressée, une colère sous-jacente qui ne la quitte pas. Judith est une presque femme qui va bientôt voler de ses propres ailes. Elles ne sont que toutes les deux. Karen fabrique elle-même des vêtements qu'elle vend, les aidant à vivre correctement. Une maison près de la forêt, des oies, un chien, un chat, les deux femmes vivent sans trop se poser de questions, surtout la fille. Le regard de sa mère est hanté par quelque chose, mais quoi ? Nous ne pouvons qu'imaginer tout et n'importe quoi. Et puis le regard des autres semble oppressant, venir au marché très tôt sans qu'il n'y ai encore les touristes est toujours de mise. Une phobie du monde ?



10 ans. 10 Années de secrets, de non-dits, d'oublis volontaires. Karen a un lourd, très lourd secret qui la ronge depuis toutes ces années. Pourtant elle fait tout pour que sa fille, Judith, soit heureuse. Un soir, alors qu'elles sont toutes les deux prêtes à dévorer des pizzas dans leur maison, un bruit sourd à leur porte les fait sursauter. C'est leur voisine, Marion qui est en panique. Un "monstre" serait à sa poursuite. En la laissant entrer, c'est un huit-clos qui se met en place. Les trois femmes sont enfermées à l'intérieur, cherchant le moyen de s'en sortir contre cet "homme" qui n'attend qu'une chose : les attraper, surtout Marion. Pourquoi ? Qui est-il ? Que fait-il ici ? Et si tout était orchestré depuis un moment ? Que se passe-t-il réellement ? Il y a de nombreuses questions que nous nous posons sans pouvoir y répondre.



Les chapitres s'alternent, le passé, le présent et nous commençons à comprendre ce passé maudit. Il y a tellement de monstruosité dans le monde que le lire entre ses pages reste toujours une abomination. Karen était jeune, belle, insouciante, amoureuse surtout. Et puis le temps passe, les gens changent, la vie dont elle rêvait ne ressemble plus à ses désirs. Et d'ailleurs ses fameux désirs sont étouffés, enfouis trop loin pour réussir à les ressortir. Seuls ses enfants comptent, seule la génération future doit être heureuse. Karen est prête à toucher le fond pour mieux remonter. L'angoisse est présente dans les gestes, les actes. L'horreur n'est pas que physique, elle est aussi psychologique. Impossible d'en dire de trop pour ne pas remuer le couteau (ou le tisonnier) dans la plaie.



L'auteur a joué sur le mental. Les forces et les faiblesses de Karen sont exploitées au maximum. Nous ne pouvons que comprendre ses réactions, plus l'auteur creuse dans son passé, plus les poings se serrent de rage. Sans compter tout ce qui entoure ce personnage. 10 années, c'est long, c'est un poids difficile à garder. Pourtant, Karen a une force incroyable, elle tient à bout de bras ce qui lui reste de famille. Le huit-clos devient une prison, sa maison devient son tombeau mental. Karen, Judith, Marion, trois femmes qui ont peur et qui réagissent de manière différente. Les questions fusent entre elles, les mots également. Le secret si bien gardé par Karen risque de se rompre. Les nerfs sont à fleur de peau. Enfermées la peur leur fait faire des choix impensables pour ceux qui sont de l'extérieur, mais pour elles, la logique n'intervient pas forcément dans le bon sens.



Le stress monte graduellement entre les personnages. Diverses émotions entraînent des gestes incompréhensibles pour certaines. La colère, la peur, l'angoisse, l'espoir, le désespoir sont des émotions violentes. Et puis il ne faut pas oublier tout ce qu'il y a autour : l'envie de protéger son enfant, sa mère, l'envie de donner cette étrangère pour être tranquille, le besoin de se protéger, le besoin de rester dans son cocon. La violence est omniprésente dans le passé comme dans le présent. Ce monstre qui en veut après Marion, que veut-il ? Et puis vint Paul, le mari de Marion. Paul le sauveur, gendarme du village. Paul qui sait garder les secrets, Paul qui est rongé par les remords. Il y a peu de personnages, mais il n'y a pas besoin d'en avoir plus. Chacun à un rôle bien précis dans cette histoire.



J'ai adoré ce méchant qui sort dont ne sait où. Nous sommes dans le flou total jusqu'à la presque toute fin. Il est là, caché dans l'ombre, proche du secret. Pourquoi et comment ? Personne n'était au courant, ou presque et c'est ce dernier mot qui est important. Vivre de cette façon sur un mensonge fait ressortir les travers des gens. Je ne voyais pas cette fin, j'avais espéré autre chose. Comme quoi il me reste encore un peu d'espoir dans certaines situations. L'auteur a été loin dans la psychologie humaine et concernant Karen elle n'a pas été tendre avec, à la fin, après le point final, Alex nous donne des chiffres qui font peur. Nous ne savons pas ce qui se passe en dehors de chez nous, qui sait si chez le voisin n'est pas dans ce cas ? L'alternance de passé et de présent augmente le stress. Seul bémol : la narration est à la seconde personne du pluriel. J'ai du mal lorsque parfois les personnages parlent au lecteur, là c'est tout le temps. Je n'ai pas réussi à entrer totalement dans le récit.



En conclusion, un huit-clos prenant malgré la narration. Le thriller est bien ficelé, tout comme l'histoire. Il y a énormément de travail sur les personnages et les situations. L'auteur a su détailler la psychologie humaine de manière poussée. Le courage d'une femme ne se juge pas forcément à sa présentation, mais à ses actes. Je recommande ce récit !



http://chroniqueslivresques.eklablog.com/jamais-d-eux-sans-toi-alex-sol-a177564622
Lien : http://chroniqueslivresques...

Je ne m’attendais vraiment pas à ça.

Fans de romans policiers, passez votre chemin. En revanche, si vous aimez le surnaturel et le mysticisme, ce roman est fait pour vous.



Le pitch

En 2007, un incendie ravage une colonie de vacances. 4 ados en sortent vivants, recouverts de sang et sans aucun souvenir du drame.

12 ans après, chacun d’eux reçoit une invitation pour assister à la soirée d’inauguration du manoir qui accueillait leur colonie.

Lorsqu’ils arrivent, leurs plats préférés les attendent mais personne n’est là pour les recevoir.



Ce n’est pas le genre de roman que j’ai l’habitude de lire mais je dois dire que la fin est vraiment bien ficelée.

Assane et 5 inconnus se réveillent assis autour d’une table, ligotés, yeux bandés, dans une pièce sombre, froide, crado et sans issue !

« Était-il en train de rêver ? De se réveiller ?

Il tenta d’ouvrir les yeux, mais quelque chose était appuyé contre son visage. Autour de sa tête, à vrai dire. Quelqu’un lui avait bandé les yeux. »



Un thriller psychologique bien ficelé et haletant qui m’a beaucoup fait penser, des les premières pages, aux célèbres films Saw 😱

Puis ensuite, comprenant assez vite que le criminel est l’un d’entre eux, c’est plus à une partie de Cluedo version meurtrière que j’ai eu l’impression de jouer…



Les personnages se parlent, font connaissance timidement et se dévoilent au fur et à mesure. J’ai beaucoup aimé les passages où on comprend enfin le lien entre eux.



La mise en scène est machiavélique. Certains noms qu’ils prononcent lors de leurs discussions déclenchent des mécanismes dans la pièce, comme les plonger dans le noir total… Effrayant !

Moi qui adore faire des escape game, je peux te dire que j’aurais tout fait pour sortir de cette pièce degueu en vitesse…



Un huit clos, des personnalités bien marquées, des révélations au compte-goutte, une ambiance glauque et oppressante, un final étonnant auquel je ne m’attendais pas du tout ! Les ingrédients parfaits pour une recette réussie !



Je lis toujours très vite les thrillers, tant je suis impatiente du dénouement. J’ai aimé celui-ci.

Vous êtes cordialement invités est un roman sur la thématique des maisons hantés. Très bien écrit via une plume fluide et addictive, on dévore ce roman sans s'en rendre compte. J'ai passé dans l'ensemble un bon moment, mais je n'ai pas eu le frisson attendu.



L'auteur parvient très vite à nous captiver avec cette invitation insistante que vont recevoir nos 4 héros : Hisham, Alex, Cloé et Soph. Quatre adulte qui se connaissent depuis leur enfance pour avoir chaque été participé à la même colonie de vacances, renforçant ainsi leur lien. Mais après un drame, nos quatre personnages ont fini par ne plus se voir. Douze ans plus tard, c'est dans ce même manoir que les retrouvailles ont lieu. Pourquoi ? Qui les a invité ?



Comme je le disais plus haut, la plume de l'auteur est fluide et addictive. Les événements paranormaux s'enchaînent et ne laissent aucun répit aux lecteurs. Mais cette surdose d'événements paranormal ne laisse pas le temps aux lecteurs d'être effrayé. J'ai eu la sensation que l'auteur voulait nous en mettre plein la vue, mais à mauvais escient. Entre la maison qui change d'apparence, les fantômes, les bonds dans le passé, les découvertes... le lecteur a très peu le temps d'assimiler les conséquences des événements et d'en être touché. Enfin, c'était mon point de vue et malgré cela, je ne peux nier l'imagination débordante de l'auteur sur le côté paranormal. Tout y passe : apparition, possession, exorcisme, chiens effrayants, bruits de pas dans la maison, lumières qui s'allument et s'éteignent seules...



Pour les néophytes en roman paranormal jackpot, vous serez servi par ce qu'Alex Sol propose. Me concernant, j'ai tellement lu de romans de ce genre qui m'ont bien plus effrayé que j'ai aimé, mais n'est pas été effrayé ou angoissé par ma lecture. (quelques titres au hasard : 1974, Démences, Hanté, Julia, Coldheart Canyon, Lumière Froide, Le couteau sacrificiel, dortoir interdit, La maison d'à côté...). Pour autant, et je le redis, j'ai passé un très chouette moment de lecture !



Les personnages sont nombreux, peut-être trop parce que parfois j'ai eu du mal à en remettre certains dans le contexte surtout au niveau des enfants, des tantes et des prêtres. On alterne souvent avec le passé et le présent pour avoir tous les éléments nous permettant de comprendre la personnalité des différents protagonistes, mais j'ai eu quelque peu du mal à m'attacher à certain. J'ai adoré Hisham et Alex par exemple. Le développement que propose l'auteur les concernant m'a plu, tandis que j'ai eu plus de mal avec le duo de protagonistes féminins (Cloé et Soph). En revanche, j'ai beaucoup aimé le côté très glauque des enfants de ce premier opus et l'utilisation de la possession qui est faite par l'auteur.



En bref, malgré un trop grand nombre de personnages et un manque de frayeur me concernant, j'ai dévoré ce premier roman d'une auteure que je vois souvent passer sur les RS. Sa plume m'aura totalement convaincu et j'ai trouvé que le final était parfait parce qu'il surprend le lecteur. Je n'ai rien vu venir ! Nul doute que ce roman de maison hanté saura trouvé son public ! Me concernant, j'ai hâte de relire cette auteure !
Lien : https://lesvictimesdelouve.b..

📜🅼🅾🅽 🆁🅴🆂🆂🅴🅽🆃🅸📜



👻Tout d'abord je vous conseille de lire le Tome 1 et Le couvent des Pascalines. Mais avec toutes les descriptions et les explications des protagonistes dans ce tome, vous ne serez pas perdus si tel n'est pas le cas.👻



📝Alex Sol nous entraine dans cet ancien couvent totalement rénové par Nina qui veut y organiser des réceptions. Tout ne va pas se passer comme elle le voudrait et les esprits s'invitent à l'inauguration. Et là les drames s'enchainent, les fantômes jouent avec nos nerfs et ceux des invités. 📝



✝📿J'ai été happée par cette histoire, j'ai eu des frissons (ouep je suis sensible moi aussi) j'ai senti des odeurs bizarres, j'avais l'impression qu'on me surveillait. Une lecture intense qui introduit peut-être une suite.✝📿



⏩Cette lecture m'a malmenée, parfois je ne savais plus qui était qui, qui possédait qui. Il ne faut pas perdre le fil. L'autrice aime nous jouer des mauvais tours. ⏪

Décidément, Alex a une plume très addictive!



Ce huis clos est absolument incroyable, entre la tension psychologique et les personnages conçus avec minutie, le lecteur est plongé dans un scénario fascinant.



Alex Sol nous propose très souvent des romans basés sur une psychologie torturée, pour notre plus grand bonheur de lecteur, probablement torturé également 😅



A lire ABSOLUMENT !