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Citations de Alexandra Lapierre (304)


"Le coupable n'est jamais l'homme qu'on prend sur le fait, c'est celui qui avoue ! "
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Pour représenter les martyrs, assistez aux exécutions capitales, prescrivaient les traités de peinture. Pour rendre les supplices des premiers chrétiens, observez les gestes des condamnés à mort. Notez leurs expressions lorsqu'ils montent sur l'échafaud, leur teint, les mouvements de leurs yeux, jusqu'aux froncements de leurs sourcils...
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Je ne parlerai pas ici de l'intrigue ni des péripéties, d'autres membres l'ont très bien fait. Je n'arrive pas à expliquer vraiment pourquoi, mais le style m'a gâché un peu la lecture. J'avais adoré le style d'Alxexandra Lapierre dans "Le voleur d'éternité", et ici je n'ai eu aucun, mais alors aucun plaisir littéraire. En conclusion, si l'histoire de cette femme est passionnante, A.Lapierre a ici pour moi raté son coup en matière d'écriture. C'est dommage.
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Diaphane et puissante. Suave et dure. Tu as l'éclat de l'or et celui du jais. Le clair et l'obscur. Ces dissonances et ces dualités qui font la singularité de ton apparence s'étendent, je pense, à ton portrait moral.
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Cette femme constituait une menace pour le salut de tous. Malheur à qui l'approchait ! Un être contre nature. Un monstre. La Méduse. Malheur à qui rencontrait son regard ! Elle fascinait et tuait ceux qu'elle séduisait. Il devait trouver le moyen de la neutraliser. D'abord parce qu'elle était une femelle, et qu'une femelle portait malheur sur un navire. Ensuite parce qu'une femelle ne pouvait commander à des hommes. Encore moins à des marins.
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Il suffit de si peu de malveillants pour instaurer le désordre.
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Ah, Lorenzo, soupira-t-elle… Incorrigible ! Incontrôlable ! Une tête brûlée… Comment lui reprocher d'être trop beau, trop gai, trop vivant ? Au fond, Lorenzo, ce n'était que cela : la passion de la vie sous toutes ses formes. La passion du risque, la passion des femmes, la passion de l'amour.
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Même dans le silence, même dans l'ombre, même à genoux, les yeux brûlés par les larmes, la chair mortifiée par le cilice, Doña Isabel attirait encore la lumière et suscitait le scandale.
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L'excès de ses jeûnes et de ses macérations, l'éclat même de son humilité suscitaient le trouble chez les novices et l'inquiétude de l'Abbesse. Sa conduite réveillait dans l'âme de toutes les religieuses une immense curiosité pour le monde.
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Elle devine la douleur du peintre qui ne compare plus son art à celui de ses pairs, qui ne rivalise plus avec sa fille, mais avec lui-même. L'angoisse de l'artiste devant le gouffre qui sépare les beautés conçues autrefois et ce qu'il produit aujourd'hui.
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Pour raconter leur quête, une épopée qui dépasse toutes les fictions, j'ai pris la liberté d'imaginer le cheminement de leurs émotions dans le contexte qui les entoure. Et de moderniser la langue du Siècle d'Or.
Je me suis toutefois obstinée à m'en tenir aux dates, ainsi qu'à respecter les faits en ma connaissance.
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Quand je pense qu'il a exigé que tu portes son nom. Pas celui de notre mère ainsi qu'il est d'usage pour toutes les filles en Espagne ! Non : son nom à lui. Barreto. Comme ses fils. Isabel Barreto...
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Londres, 1943 – laboratoire de recherche du Courtauld Institute of Art
En cette fin du mois d’août 1943, le professeur Dan Thompson, directeur des recherches sur les techniques de la peinture ancienne et la restauration des fresques, se tient debout, tête baissée, devant son bureau.
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Rien de ce qui brille n'est de l'or.
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Et oui,oui,oui, je suis un utopiste : si l'on croit de toutes ses forces aux illusions, je demeure convaincu qu'elles se réalisent... Ne serait-ce que parce que l'homme est Dieu et que s'il le veut, il peut tout. Pourquoi ? Car il est doué de raison ! Et la raison est omnipotente. Il suffirait de la développer, de l'élever, de la nourrir, pour qu'elle améliore le monde sur les trois plans qui répondent à l'humanité : celui du développement intellectuel, du perfectionnement moral et de la prospérité économique .
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Quand on a peur, quand on a mal, on n'ennuie pas les gens. On cache sa peine. On la tait. On l'enfonce en soi. Et l'on se débrouille pour vivre non pas avec sa douleur, mais avec le reste.
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Vous dégagez tant de lumière, vous avez un tel éclat que vous dégagez tout entière la divine aventure qu'on appelle la vie. Et la vie chez vous est faite de chair et de sang.
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Tandis que lui, Bobbie était son enfant chéri, l'être qu'elle avait éduqué et soutenu, qu'elle avait inscrit dans les meilleurs écoles, trainé dans les musées, à l'Opéra, chez les historiens d'art et les collectionneurs de New York, ses amis. Mais aussi à Londres, à Paris, à Venise. Combien de traversées vers l'Europe avaient-ils faites ensemble ? D'excellent compagnons de voyage. En tête à tête, elle ne s'était jamais ennuyée avec lui. et lui, jamais autant amusé qu'avec elle. À tous les âges. Même quand il avait commencer à ruer dans les brancards et à lui en faire voir de toutes les couleurs.

Elle lui avait appris à regarder, à écouter, à sentir.
A vivre.
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Qui eût pu imaginer la réaction de Belle en découvrant son neveu ?
Quand elle respira son odeur de bébé et sentit peser le petit corps dans ses bras, quand elle le serra contre sa poitrine et vit son poing minuscule s'enrouler autour de son doigt, elle fondit d'une tendresse qu'elle n'avait jamais éprouvée.. Et qu'on ne lui avait jamais connue.
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La Morgan Library, qu'elle avait imaginée comme une ruche où les érudits de tous les horizons s'aventureraient, deviendrait-elle un lieu mort, auquel personne n'aurait accès ?
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