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Critiques de Alexandre Lacroix (145)
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L’orfelin

J'avoue ne pas savoir quoi penser de ce livre.
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L’orfelin

L’orfelin / Alexandre lacroix

C’est un livre qui se laisse lire facilement. Écrit dans un style sans fioritures, il relate des tranches de vie, des moments décisifs dans une existence. Cette autobiographie s’avère au fil des pages sans concession.

Le hors d’œuvre qu’Alexandre Lacroix nous offre en une description quasi médico-scientifique de l’anatomie de Valérie : c’est une entame sur les chapeaux de roue dans un style temporairement cru.

La suite est plus calme disons, tout empreinte d’émotion lors de l’évocation de la relation paternelle au cours de l’enfance. La complicité entre le père et le fils de huit ans est très bien suggérée. Les descriptions de la campagne viennoise sont superbes. L’émotion est constamment présente et ce père qu’il ne juge pas, Alexandre l’adore.

J’ai pensé que l’auteur était un peu dur avec sa mère, car contrairement à son père, il ne peut s’empêcher de la juger.

Je n’ai pas lu les deux premières parties de cette trilogie si bien que je ne peux faire ni rapprochement ni comparaison. Mais il m’est resté un arrière-goût d’exhibitionnisme de la part de l’auteur au terme de ma lecture.

Par ailleurs, il est dommage que des anglicismes à la mode, ainsi que des mots du langage courrant viennent émailler le récit. « Au milieu de nulle part » est devenu un poncif que l’on retrouve chez beaucoup de romanciers actuels (Marc Lévy entre autres) : et cela ne veut strictement rien dire. Il n’y a pas de milieu nulle part !!!

En résumé, un bon roman, avec un message pour les parents.



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L’orfelin

Les vies « "sont faites d’arrachement successifs, par lesquels nous faisons plusieurs fois le deuil de nos origines" ». L’orfelin présente trois journées emblématiques de trois déchirements, trois abandons de la vie d’un jeune homme...

Un livre exorciste qui sait explorer la complexité des sentiments filiaux – et leur importance dans toute construction personnelle.
Lien : http://www.leglobelecteur.fr..
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L’orfelin

Livre magnifique

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L’orfelin

"Je suis, j’existe- mais il n’y a plus rien ni devant ni derrière. Comme le bleu du ciel : au-delà, se trouve le noir de l’univers, la privation d’oxygène et de lumière, l’immense néant cosmique, sans borne et sans contour. L’atmosphère n’est qu’une mince pellicule. Mais qu’elles sont belles, les modulations innocentes de son bleu."



Cette citation reflète l'esprit général du roman autobiographique.



Ce récit retraçant les moments clés de la vie d'Alexandre Lacroix, où sont entremêlés un style sec et parfois presque assentimental et des passages d'émotion vive et profonde, s'apparente à une sorte d'auto-psychanalyse, d'auto-justification des liens unissant -ou pas – l'auteur et ses parents.

Engendré dans le malaise et la faute, d'une mère inaffectueuse et distante, et d'un père dépressif, lunatique et trop souvent absent.



Alexandre Lacroix se trouve ainsi orphelin très jeune, en étant aux premières loges pour assister au suicide de son père. On comprend ainsi l'aspiration de ses écrits... En retraçant par bribes les passages marquants de son enfance, c'est sa vie d'adulte et de jeune papa qui se dévoile et s'éclaircit -seulement partiellement- au fil des lignes, à travers des détails minutieux qui reflètent par là même l'attachement affectif de l'auteur à certains objets, certains évènements.



Utilisant une écriture se voulant improvisée et parfois même vulgaire et crue, Alexandre Lacroix cherche à comprendre ce lien paternel bouleversé et encore trop insondable... ce processus, ces abandons successifs qui l'ont fait orphelin.



AF
Lien : http://www.madamedub.com
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L’orfelin

Belle conclusion de son autobiographie

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Après "De la supériorité des femmes" et "Quand j'étais Nietzschéen", Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de la revue "Philosophie Magazine", choisit de conclure sa "trilogie autobiographique" en axant le récit sur le suicide de son père. Il narre donc son enfance et l'effet que le suicide a eu sur lui. Émouvant et enrichissant. Je recommande.
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Microréflexions

Microréflexions. Vaste programme. Tel est l’ouvrage d’Alexandre Lacroix, reçu dans le cadre d’une Masse Critique Non Fiction organisée par Babelio (et Allary Editions).



Comme Alexandre Lacroix est le directeur de Philosophie Magazine, je m’attendais à un livre de philosophie conceptuelle et ardue.



En fait, il s’agit de mettre la philosophie à la portée de tous et basée sur l’expérience.



Les court chapitres agrémentés de faits facilitent la lecture sur des thèmes comme le deuil, le vieillissement, la nature, l’amour, la maladie, le couple, le travail, la solitude… des réflexions très propices en cette période de confinement. Cette coïncidence est très à propos et permet de déguster avec une tout autre approche. On prend son temps à cogiter sur ces sujets très généralistes…



Tous les thèmes abordés n’intéressent pas toujours le lecteur, mais la palette est tellement large et facile d’accès qu’il ne faut pas s’en priver, l’idéal étant de picorer les sujets en fonction de l’humeur… et de les connecter à ses propres expériences…
Lien : https://wordpress.com/post/b..
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Microréflexions

Sous la forme de textes courts, l’auteur nous fait entrer dans le monde de la philosophie.

Partant d’expériences vécues, il développe une pensée qui nous conduit inévitablement vers une réflexion intérieure.



Les thèmes abordés sont divers et variés, tels que l’éducation, le climat, la solitude, l’art et bien d’autres…. Nombreux sont les thèmes qui font échos en nous et qui interpellent.



Je suis novice en philosophie, j’ai auparavant voulu m’y intéresser mais je n’ai jamais su par où commencer et j’ai souvent été très vite découragée par la complexité des textes des grands philosophes. Ce livre est une excellente entrée en matière pour se lancer et développer ses propres idées.



#Challenge Multi-défis 2020

#Masse Critique non-fiction

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Microréflexions

Ce titre m'a beaucoup intrigué ; initié à la philosophie (mais sans plus) et y trouvant de l'intérêt, j'attendais de ce livre qu'il aborde divers thèmes avec pour point de départ le quotidien de monsieur et madame tout le monde pour amener vers de véritables réflexions, nous faisant voir le monde d'une toute autre manière.



En un sens, c'est un peu cela, et un peu tous les thèmes sont abordés dans un format plutôt agréable, deux à trois pages par thème qui se lisent facilement. Cela commence plutôt bien, avec un curieux texte amenant un nouveau regard sur les collines. Pas mal. Mais très vite, l'auteur parle des philosophes, les critiques, et discute de l'importance de la philosophie dans nos vies. Certes, ce n'est pas inintéressant pour qui porte déjà un intérêt dans ce domaine, et c'est sans doute la cible visée par ce livre, mais il vaut mieux déjà s'y connaître un peu pour ne pas décrocher, ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. En ouvrant ce livre, j'espérais avoir du matériel neutre pour porter mes propres réflexions sur le monde (« Comment philosopher au fil des jours ? »), mais c'est plutôt un recueil de petites réflexions de l'auteur que j'ai eu entre les mains.



Maintenant que j'ai exprimé ma (légère) déception, je me dois quand-même d'indiquer que la lecture est plaisante, et vraiment loin d'être vide de contenu. J'ai besoin d'un peu de temps pour méditer sur cet ouvrage, ainsi, je rééditerai ma critique d'ici quelques temps en mettant en avant les points les plus positifs de ce livre :)



Livre découvert à l’occasion d’une opération Masse critique.
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Microréflexions

Je n'ai pas aimé.

Aucun jugement de valeur mais une inadaptation à ma personne.

Tout d'abord l'auteur vous fait rentrer dans un cercle trop proche.

Il me tutoie (pas de problème), me décrit des situations intimes (malaise) et généralise sur des expériences personnelles.

Il n'est pas dans la bulle "collègues", ni dans bulle "copains" mais tente d'entrer dans la bulle "amis".

Sensations d'intrusion dans l'intimité, d'exhibitionnisme voire de voyeurisme. Bref, pas glop pour moi.

Oui, je suis pudique.

Je ne m'attendais pas du tout à ce style.

J'espérais des débuts de réflexions pour ensuite développer la mienne (Et si... alors moi... et vous ?).

Mais lisez le pour vous faire votre propre avis.

Livresquement votre.

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Pour que la philosophie descende du ciel

Partir de soi, de sa propre expérience pour oser penser, réfléchir et en garder trace. Chaque thème touche, ébranle ou étonne. Les propos sont fluides , aisément appréhendables même pour les néophytes (dont je fais partie) et suffisamment étayés pour nourrir le lecteur. Ils laissent parallèlement une grande latitude pour avoir envie de creuser davantage.

Une bibliographie indicative aurait pu être un plus en fin d'ouvrage mais en picorant les références citées dans l'ouvrage, de nombreuses perspectives sont déjà offertes au lecteur.

Une bonne découverte, et j'y reviendrai souvent tant certaines conclusions de paragraphe éclairent et font office d'aphorismes.

SP

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Pour que la philosophie descende du ciel

Voici enfin une façon originale d'aborder la philosophe loin de l'enseignement académique du lycée qui m'avait quelque peu rebutée. Alexandre Lacroix est parvenu à me réconcilier avec cet art de la pensée. Une lecture très intéressante abordant des thèmes très variés et qui suscitent de nombreuses réflexions. On se sent moins bête en terminant cet essai. À recommander à tout lycéen qui a des difficultés à aborder la philosophe et à tous ceux qui ont eu un rendez-vous manqué avec cette discipline. Merci aux éditions Allary et à netgalley pour cette lecture enrichissante !
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Pour que la philosophie descende du ciel

Certes, le propos de l'auteur est estimable, relier la philosophie à notre monde réel et en comprendre ses idées:"la lecture des livres de philosophie permet de mettre des mots sur les idées qui se trouvent en nous à l'état diffus, exactement comme la lecture des romans nous aide à mettre des mots sur nos sentiments diffus".

Les expériences personnelles de l'auteur (deuil, survie, vieillissement, etc., sont légères, où l'idée philosophique traitée nous laisse amusés.

J'ai lu ce livre il y a une semaine, et je n'en ai aucun souvenir, la lecture a été fluide, c'est justement là le problème à mon sens, les thèmes choisis sont traités en surface, et rapporter tout à sa propre expérience limite beaucoup la profondeur des sujets philosophiques.

Désolée je manque d'inspiration!
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Pour que la philosophie descende du ciel



Dans l'ensemble je lis très peu de philosophie, ou alors éventuellement des recueils de ce genre. Non pas que je ne m’y intéresse pas mais ma seule rencontre avec le domaine, c’est le cours de philo de la terminale. Autant dire il y a une éternité.

Qui lire, par quoi commencer ? Alors finalement je ne lis rien. Je suis donc assez contente de voir que selon Alexandre Lacroix je n’ai nul besoin de fréquenter Socrate, Descartes ou Nietzsche, philosophes qu’il cite parfois, pour philosopher moi-même. En fait je le faisais déjà sans le savoir comme le bourgeois gentilhomme, etc…

Tout ne m’a pas intéressée, ni forcément convaincue mais savoir qu’il suffit de se poser des questions, de faire des rapprochements, à partir de son expérience, comme lui-même le fait est libérateur. Car il ne part pas d’un concept abscon pour dérouler un cheminement de pensée. Ses débuts sont du genre “ S'il est un argument que je trouve agaçant, parmi ceux qui visent à vous dissuader d'avoir des enfants, c'est bien celui-ci : à quoi bon, entend-on dire parfois, donner la vie à de pauvres êtres humains dans un monde aussi mauvais que le nôtre? ” et conclue par “ Voilà le meilleur argument contre ceux qui s'interdisent de procréer à cause du réchauffement climatique, de la récession, ou des guerres à venir : dans la pire adversité,la filiation est le dernier rempart de l'humanité.” Et pour aller de l’introduction à la conclusion, il passe par le roman La route de Cormac McCarthy.

Ou encore “ Voilà une histoire vraie, qui m'est arrivée il y a quelques années : j'étais allongé sur le dos, en proie à une insomnie plutôt paisible. Je n’irais pas angoissé (….) Soudain, je me suis vu depuis le plafond. Tout se passait comme si mon regard et ma conscience étaient suspendus dans les airs à deux mètres à peu près au-dessus de moi. “ et termine par “ Où l'on voit que le couple âme-corps, tel qu'il a été compris et inculqué par la tradition occidentale, définit l'éventail des expériences que nous sommes capables de vivre sans basculer dans la terreur ou la folie. “ Après avoir comparé notre vision dualiste avec celle d’autres peuples dans lesquelles la personne a d’autres émanations que les seuls corps et âme.

Ces deux exemples représentent le genre de réflexions que l’on peut attendre de ce livre. En quelques pages, trois à cinq, et une pensée simple il invite à réfléchir à ce qu’il dit et à laisser notre propre esprit vagabonder et à élaborer lui même une pensée philosophique, non validée par un penseur dûment estampillé.

Ce qui ne dispense sûrement pas de les lire, mais permet sans doute de le faire plus librement.

Pour ma part je vais aller à la bibliothèque, feuilleter des numéros de Philosophie Magazine dont il est directeur de rédaction.

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Pour que la philosophie descende du ciel

Je ne sais pas vous, mais moi, je déteste les gens qui emploient des mots inusités, qui philosophent, la bouche en cul de poule en se croyant supérieurs. Comme si les idées n’étaient pas accessibles au commun des mortels. Non, mais !

Donc, c’est avec beaucoup de curiosité que j’avais coché ce livre de philosophie d’Alexandre Lacroix, essayiste et romancier, directeur de « Philosophie Magazine » dans lequel il a publié tous les articles présents.



Déjà, un point de départ : pourquoi les idées se baladeraient-elles là-haut, dans le ciel, au-dessus des expériences ordinaires ? Eh bien...à cause de Platon et puis de Socrate ! Je ne vous refais pas un cours, rassurez-vous. Mais Alexandre Lacroix, lui, dit que finalement, c’est à partir de sa propre expérience, de sa propre perception du monde que chacun peut « penser » et se forger une opinion. Finalement, ce sont les humains qui font le monde, non ? Ce ne sont pas des Idées, qui, aériennes, vogueraient toutes guillerettes et daigneraient s’abaisser de temps en temps vers des intellectuels à l’air absorbé.



Donc, nous voici sur Terre, nous cognant à toutes sortes d’expériences : le deuil, le couple, l’érotisme, la souffrance, l’éducation, le langage, les animaux, l’échec, le courage, la force, le vieillissement, la morale, le travail...Je m’arrête là.

Alexandre Lacroix part très souvent de son vécu et pense. Il cite de temps en temps d’autres philosophes, pour les expliquer, ou pour clamer son désaccord. Mais il accepte la diversité, il accepte la confrontation. Les livres de philosophie sont essentiels, pour lui, car « le grand philosophe est celui qui réveille notre pensée, tandis que le bercement de la banalité l’engourdit. La beauté du geste philosophique, c’est qu’on ne devine jamais comment le philosophe va s’y prendre. Ce qui compte, c’est la qualité de l’éveil que la philosophie procure ».



Tout au long de ces pensées, j’ai réfléchi. Sur moi-même, sur ce qui m’entoure, sur des concepts abstraits. Et je peux vous dire que ça fait du bien. Car on n’a pas beaucoup le temps de penser, en toute quiétude, dans ce monde de fous. Ce livre est vraiment un tremplin pour le commun des mortels, vers une forme plus aboutie du cerveau et de l’âme. Point de départ uniquement, car les chapitres très petits ne font évidemment que donner les jalons d’un développement à accomplir par soi-même.

Merci donc à Alexandre Lacroix, merci aux éditions Allary de m’avoir fourni matière à penser, « le plus sûr antidote au poison de la routine ».

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Quand j'étais nietzschéen

On retrouve la belle écriture d'Alexandre Lacroix, un roman fluide et direct sur l'introduction de la philosophie dans le cœur d'un ado. Par contre ce livre autobiographique nous raconte aussi la violence des actes commis par ce jeune Alexandre et cela me rends furieuse, sous couvert de passion on ne peut pas excuser autant de méchancetés.

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Quand j'étais nietzschéen

Alexandre Lacroix est séduisant, brillant, romantique, cruel, insupportable, impardonnable.

J’ai enfin compris un peu de Nietzsche, digéré avec les souvenirs de ce jeune philosophe. Il nous dit qu’il ne faut surtout pas le lire, si l’on est fragile comme le sont les adolescents.
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Quand j'étais nietzschéen

On est clairement, dans ce roman, dans l'autofiction puisque l'auteur nous narre son adolescence, lorsqu'à ses seize ans il découvrit la philosophie de Nietzsche. Il entreprit par la suite de dévorer tous les ouvrages de cet auteur sans prendre le temps de digérer cette littérature exigeante, qui ne doit pas se lire par-dessus la jambe au risque de l'interpréter de travers et de simplifier la manière allégorique qu'avait Nietzsche de s'exprimer.



On assiste alors à un jeune à la recherche de repère qui prend pour argent comptant les provocations du philosophe vitaliste, en omettant littéralement la subtilité dont il faisait preuve dans ses écrits. Comme par exemple l'anticléricalisme féroce alors que Nietzsche, en déclarant que Dieu était mort, désirait seulement libérer la plèbe du dogme chrétien car celui-ci était responsable de bien des maux et autres névroses. C'est pas en crucifiant un chat avec un crucifix dérobé dans une église que l'on pourrait espérer atteindre l'étape du surhumain, ou bien en se méprenant au sujet de la transvaluation des valeurs, non, c'est tout simplement stupide.



Le reste du roman est du même acabit, il alterne, in fine, entre recherche d'identité et soif de reconnaissance.

La dernière partie est la seule à pouvoir être sauvée de ce torrent d'absurdités.



A mon avis, l'auteur de ce bouquin (nonobstant qu'il soit rédacteur en chef de la revue "Philosophie magazine) n'a rien compris à Nietzsche. Bien que sa philosophie soit en partie dangereuse ou possède une charge explosive tel un bâton de dynamite. Oui, car elle peut être mal interprétée, même simplifiée comme l'ont fait les Nazis, comme certains y voient un hédoniste, un promoteur de la démocratie. La dernière mode reviendrait à faire de Nietzsche un naturaliste, mais en faisant cela ils font de sa philosophie un pétard mouillé.

Donc il vaut mieux lire Nietzsche que lire ce livre.
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Voyage au centre de Paris

Voici qu'avec Voyage au centre de Paris, Alexandre Lacroix nous offre à lire son texte le plus attachant peut-être. Plus les pages se tournent, plus Alexandre Lacroix se découvre. Il y assume le « je », et le « tu » destiné à la femme aimée, qu'il retrouvera sûrement, à la fin de son trajet...
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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Voyage au centre de Paris

Le narrateur part des jardins du Luxembourg et traverse Paris à pied jusqu'au quartier du Temple. A chaque chapitre il s'arrête sur une rue ou un lieu et évoque des références soit historiques, soit personnelles, soit littéraires. Les catacombes et ses expéditions dans leur tréfonds quand il était étudiant. Le square du Vert-Galant et les errances d'Hemingway à cette endroit quand il habitait à Paris. Supervielle, Verlaine et Rilke en bord de Seine. Les débuts de sa propre histoire d'amour rue Git-le-Coeur...





L'exercice pourrait être fastidieux, et il le sera peut-être pour des lecteurs. Pour ma part j'ai adoré cette promenade à travers Paris car elle mêle toutes les références qui vous viennent à l'esprit quand on marche dans la capitale. Tant de rues sont associées à des événements, des lectures, des souvenirs que chacun pourrait écrire son voyage au centre de Paris. Pour le moment c'est Alexandre Lacroix qui propose le sien et j'espère que d'autres que moi seront charmés par cette balade mélancolique, érudite et amoureuse.

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