Citations de Alfreda Enwy (868)
Tu es aussi grisante qu'une course à trois cents à l'heure.
Quand tu oublies quasiment tout, que tu échoues à te contrôler et que tu lâches prise sur ce qui te frustre, c'est la meilleure des sensations.
Tu sais, la beauté, c'est subjectif, on est tous le laid ou le beau de quelqu'un, toi y compris.
L’aura de Jun est… magnifiquement terrifiante.
Tu ne prends jamais l’initiative d’aller te faire foutre. Faut toujours qu’on t’y incite. Sois autonome un peu. (Fussoir)
-Je t'aime, Mackenzie. Plus que la démesure, plus que toutes les limites que j'ai dépassées, plus que je t'ai détestée. Je t'aime de tout mon venin, de toute ma connerie, de tout mon être.
- Mes pieds et mes orteils ne dépassent jamais du lit ni de la couverture , ils sont toujours soigneusement cachés car sinon le monstre mangeur de pieds va les attraper.
Je ris , mais elle semble très sérieuse .
- Le monstre mangeur de pieds ?
- Il est terrifiant .
- II mange les pieds qui dépassent , mais il ne soulève pas la couette pour te dévorer ?
- Chaque monstre a son propre fétichisme ou mode opératoire ...
-Alors qu'est-ce qui te fait vibrer avec les livres ?
-L'idée de tomber amoureuse d'un personnage, d'une citation, d'un passage. L'idée qu'en refermant un roman je vais me retrouver avec une panne de lecture tellement c'était merveilleux. La possibilité que cette histoire me malmène ou me rende heureuse, c'est exaltant. Je lis pour avoir mille vies.
"- Tu fais des gâteaux chaque fois que tu veux t'excuser ?
- En quelque sorte...
- Quelle drôle d'idée, lance Jun d'un air exaspéré.
- C'est sûr que si tu devais faire un gâteau à chaque fois que tu joues les connards, à l'heure qu'il est, tu serais un chef pâtissier reconnu dans le monde entier."
Et, en tant qu'utilisatrice assidue de Tinder, c'est devenue sa règle d'or : pas d'engagement, pas de sentiments.
Peut-être parce que lorsque tu me regardes, que tu m'embrasses ou que tu me frôles, tout devient plus supportable.
Danser, chanter, les shootings photo, la foule, les autographes... Tout ça, je gère, mais elle...
Puisque je n’arrive pas à combattre ce que je ressens, autant y succomber…
- L'alchimie est là, elle nous nourrit, se nourrit de nous et nous rend vivants.
Je prends conscience que certaines personnes ont le pouvoir de transformer les choses, de les rendre plus belles, plus agréables, voire magiques.
L’intimité me fait peur, et pas uniquement celle que l’on crée quand on fait l’amour. C’est dur, de se dévoiler à quelqu’un, de se montrer tel qu’on est vraiment en se mettant à nu sentimentalement parlant.
Regarde comme deux chaos deviennent l'infini...
Comment une si petite femme peut-elle dire de si grandes conneries?
- Puis, quand ça devient trop dure, cours. Cours jusqu'à n'en plus pouvoir, jusqu'à sentir que tes poumons n'en peuvent plus, et quand enfin tu atteins ce stade, crie. Crie aussi fort que tu peux. Libère-toi, mais pas de lamentations, d'accord ?
Poppy
« Je soupire en découvrant qu’à 6 heures du matin, j’ai déjà un message d’Eren accompagné d’une photo. Son torse. Son putain de torse trop sexy me fait de l’oeil. Ce mec est aussi narcissique que taré. Et Bon Dieu, il n’a pas besoin de photoshop pour être parfait celui-là. J’ai beau essayé de l’ignorer, voilà que je le mate sans scrupule. En même temps j’imagine que c’est ce qu’il veut. Et je me dis que regarder ne peut pas faire de mal. »