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La fille au revolver de Amy Stewart
Les pantalons, c’est pour les garçons, Et pas pour les filles ! Les filles, c’est pour les garçons, Et pas pour les pantalons ! |
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La fille au revolver de Amy Stewart
Les pantalons, c’est pour les garçons, Et pas pour les filles ! Les filles, c’est pour les garçons, Et pas pour les pantalons ! |
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La fille au revolver de Amy Stewart
— Les sœurs Kopp ont besoin de trouver soit un emploi soit un mari, et très rapidement, précisai-je. — Qui a dit cela ? — Notre compte en banque ! [...] — Mais ne m’envoyez pas de prétendants, s’il vous plaît, lançai-je à l’intention du shérif. Je compte explorer la première piste en priorité ! |
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La fille au revolver de Amy Stewart
[...]Norma nous faisait la lecture du journal tandis que nous roulions. — « Un pantalon provoque la mort d’un homme ! » — Ce n’est pas possible, ça ne dit pas ça ! protesta Fleurette. [...] — Si ! persista Norma. C’est un charretier qui avait l’habitude de suspendre son pantalon au-dessus du réchaud à gaz pendant la nuit mais, comme il était sous l’influence de l’alcool ce soir-là, il n’a pas remarqué que le tissu avait étouffé la flamme. — Alors c’est le gaz qui l’a tué, pas le pantalon ! |
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La justicière et les filles perdues de Amy Stewart
— Désolé, madame, les femmes de policiers ne voyagent pas gratuitement. Constance toisa de toute sa hauteur le conducteur du tramway. — C’est un insigne de shérif, rétorqua-t-elle. Et il est à moi. Vous êtes nouveau sur cette ligne, n’est-ce pas ? — Je connais le règlement. Les transports gratuits sont réservés aux agents assermentés, pas aux épouses, ni aux sténographes ou autres. Constance ne se sentait pas d’humeur à argumenter. Dégageant les pans de son manteau, elle présenta son arme et ses menottes au conducteur, qui eut un mouvement de recul. — Madame, c’est vraiment vous donner beaucoup de mal pour ne pas payer votre billet ! Vous feriez mieux de rendre tout ça à qui de droit avant qu’il n’arrive malheur à quelqu’un. — C’est à vous qu’il va arriver malheur si vous continuez à ne pas comprendre ce qu’est un insigne d’adjointe au shérif ! |
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La fille au revolver de Amy Stewart
- Oh, mademoiselle, j'ai l'impression que vous êtes venue chercher des ennuis .... Mais est-ce bien vous qui les avez cherchés, ou est-ce que ce sont eux qui sont venus vers vous ?(...) - Ma foi, je ne sais pas... ce sont plutôt eux qui sont venus à moi . - Eh bien, renvoyez-les ! s'exclama t-il (...) . |
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La femme à l'insigne de Amy Stewart
— Si elle travaille pour vous, pourquoi est-ce que vous l’appelez Miss Kopp, et pas adjoint Kopp ? interrogea Reinhold tandis que nous nous dirigions à grands pas vers l’appartement. — Parce que les adjoints suivent les ordres que leur donne leur shérif. C’est la raison d’être d’un adjoint. Les gens qui n’écoutent pas ce que dit le shérif, on les appelle plus communément… Il s’interrompit, le temps de nous faire traverser un carrefour compliqué dans la Vingt-troisième Rue, et Reinhold en profita pour lancer une suggestion : — Des délinquants ? Le shérif Heath eut un petit sourire. — Merci, Mr. Dietz. C’est exactement ça. Des délinquants. |
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La justicière et les filles perdues de Amy Stewart
La même chose valait pour la population masculine : on remarquait toujours une chute de la criminalité en janvier et février, quand le temps était trop désagréable pour que l'on se donnât la peine de voler un cheval ou de poignarder son voisin de comptoir dans un bar.
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La fille au revolver de Amy Stewart
Norma et fleurette semblaient tenir la pose, comme si elles servaient de modèle pour un tableau. " Soeurs attendant d'être secourues " : tel aurait pu en être le titre .
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La justicière et les filles perdues de Amy Stewart
Mrs Heath dégageait une sorte de fragilité aristocratique qui évoquait un tissu trop fin pour être touché.
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La femme à l'insigne de Amy Stewart
Elle avait une silhouette frêle, les épaules étroites et les cheveux couleur du thé à peine infusé. Ses lunettes à monture de cuivre évoquaient le mécanisme d'une grande horloge. Tout chez elle semblait très vertical et remonté à bloc .
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"Le Roman de la ROSE" fut un vrai best seller dès sa parution :