Anne-Catherine Blanc

Moana, 16 ans, est mort. Paulot, son beau-père, aux prises avec ses émotions, ne sait pas comment se positionner dans ce deuil qui semble ne pas lui appartenir mais dont la douleur est pourtant bien réelle. Spectateur de cette journée sans fin, il se souvient… C’est beau, dur, poétique et subtil, parfois très noir et parfois incroyablement lumineux. Anne-Catherine Blanc ne laisse aucune place à la fausse note et confectionne avec ses mots un roman de dentelle.

Bravo pour ce merveilleux roman ! j'ai déposé une critique détaillée sur mon blog

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Un entretien avec Anne-Catherine Blanc, suite à la publication de son dernier livre, Passagers de l'archipel :


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