Ben Choquet

Tuco, ex-flic devenu détective privé, est un homme brisé. Depuis la mort de sa petite fille, son couple s’est délité, il est tombé dans la dépression et n’a plus goût à rien. A la mort de son père, surnommé le Colonel en raison de sa carrière militaire, Tuco hérite d’un carnet. Et le message qu’il contient va le réveiller de sa torpeur. Il se lance alors dans une enquête hors du commun, remontant des années en arrière. Mais le carnet légué par le Colonel intéresse au plus haut point d’autres personnes, ce qui titille encore plus car curiosité de Tuco.



Si je n’ai pas trop accroché au personnage de Tuco, un peu trop caricatural, je me suis davantage sentie proche de la commissaire Claire, en charge de l’enquête sur un tueur en série qui élimine les pédophiles, et qui reprend le travail après un congé de maternité.



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Un très grand  merci à  Ben Choquet de m’avoir surprise de bout en bout par une intrigue rondement menée ainsi que  par cet imprévisible retournement de situation final. Un page turner indéniablement.



Une soirée entre amis qui déraille.  Claire, flic de son état, doit se rendre sur place. L’affaire va plus loin que le triangle amoureux. Elle prend une dimension surprenante mais pas impossible. Le mal est sournois. Il n’a pas de visage et pourtant il tue. Charleroi comme un vaste labo expérimental. Comment est-ce possible ? Et pourtant…

Claire est un bon élément, un tantinet borderline mais gérable. La vie ne lui a pas fait de cadeau mais elle a sût se relever avec l’aide de son conjoint Aaron. Etre sur cette  enquête difficile va l’ébranler. Elle va se retrouver au sol. Mais elle est forte Claire, elle va se relever, continuer. Vouloir la vérité, la justice. A quel prix Claire ? Que/qui vas-tu laisser derrière toi ? Te rends-tu comptes des frontières que tu franchis ? Pour quoi au final ?

J’avoue avoir eu du mal à entrer dans l’histoire. Pourtant les chapitres sont courts et bien aérés. Il y a beaucoup de dialogue. Le rythme est là. Puis Claire me touche, il y a quelque chose que l’on ne nous dit pas. On sent la fêlure subjacente. A partir de ce moment : page turner… L’enquête s’emballe, les rebondissements te percutent.

Tu ressens les personnages, leur caractères, leurs défauts, leurs générosités. Tu ressens cette forte cohésion qui unit le groupe. L’amitié, la loyauté, le soutien indéfectible. Il y a tout cela dans Vengeances et mat. Il y a aussi la douleur, la peur, la menace, la mort, la perfidie, la manipulation.

Les pages défilent et je regarde Claire évoluer ou s’enfoncer, au choix.  Vers quoi part –elle,  va-t-elle s’en sortir ? Il me reste 10 pages à lire, je me demande comment l' auteurs vont conclure. Lectrice au sol ! Non impossible.  Dans les dernières lignes,  les ultimes mots, je rage contre notre auteur. J’avais envisagé tous les scénarios mais pas celui là. Surtout pas celui là. Vite la suite : La vie a une fin, la vengeance pas.

Un auteurs à suivre...indéniablement


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C'est l'histoire de deux enquêteurs qui se retrouvent plongés dans une sombre enquête où plusieurs secrets vont refaire surface...



Le livre est articulé en quatre parties. Ces dernières alternent entre une vision du point de vue de Claire notre jeune maman et inspectrice et celui de Tuco un ex-flic.



C'est un polar assez noir et violent par moment, il n'est pas à mettre dans toutes les mains ! Malgré cela, il est difficile de ne pas éprouver l'empathie pour les personnages.

L'ouvrage reste tout de même très rythmé, chaque chapitre est introduit par une partie d'une chanson, ce qui rend au fil des pages la lecture de plus en plus pesante et immersive. L'intrigue se déroule autour de Charleroi, au cours de la lecture, nous continuons la découverte de ce lieu par des faits.



J'ai également adoré retrouver des personnages de Vengeance et Mat, pour ceux qui souhaiteraient lire ce livre, même si vous n'avez pas lu ce dernier cela influera en rien votre compréhension de l'histoire.

Ben Choquet revient avec un nouvel ouvrage choque, mais toujours aussi intéressant à lire, car le livre est très dense et bien écrit !

Lecture très mitigée malheureusement…



L’intrigue est très prenante, on débute avec un crime sur un couple ayant abusé de leurs enfants. Petit à petit, j’ai été déçue que l’on oublie rapidement ce prologue, car on n'en parlait pas plus, jusqu’à un seul chapitre faisant comprendre qui était à l’initiative de ce meurtre de sang-froid.



Ensuite aux côtés de Tuco, homme dévasté, qui est assez vulgaire dans ses propos ce qui m’a dérangé énormément. On découvre à la suite de la mort de son père, qu’il lui a laissé un héritage très important. Mais ici, on ne parle absolument pas d’argent. J’ai beaucoup aimé l’enquête qu’il fait petit à petit pour découvrir pourquoi son père lui a légué ce carnet. Il lui arrive beaucoup de péripéties qui sont détaillés à la perfection. Chaque instant dont Tuco est principalement concerné à la suite de la mort de son père est vraiment très bien expliqué.



Viennent ensuite les chapitres aux côtés de Claire, ami de longue date de Tuco, ayant bossé avec lui. Car c’est une flic. Ce sont les moments que j’ai le plus apprécié, car elle devient maman et elle jongle entre sa vie sur le terrain et sa vie de mère. Malheureusement, tout ne se passe jamais aussi bien et elle aussi enchaîne malencontreusement des drames.



J’avais hâte de découvrir qui était le bourreau des pédophiles, celui que traque en pleine enquête Claire, et j’ai été agréablement surprise. Ça m’a beaucoup plus ce côté-ci.



Ensuite pour l’affaire avec Tuco, j’ai apprécié comme j’ai pu le dire, le jeu d’enquête sur l’héritage de son père. Mais sa manière d’être suite à différents problèmes dans sa vie personnelle m’a énormément déplu. Je mets un point d’honneur sur sa vulgarité, qui même si parfois cela ne me dérange pas, ici, j’ai trouvé que c’était beaucoup trop prononcé, vraiment dans l’abus total. Mais tout ce qui l’entoure était intéressant et intense à suivre tout de même.



Je ne saurais pas me positionner sur cette lecture, car il y a vraiment de bons côtés, mais d’autres qui m’ont fortement saoulé.



C’est un livre qui se lit très rapidement et en faisant abstraction des paroles prononcées est très intense par toutes les actions qui s’y passent. J’ai beaucoup aimé qu’il y ait des parties d’un côté avec Tuco et d’un autre avec Claire qui au final, petit à petit, se rejoignent.


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(Merci à Babelio Masse Critique et aux éditions Kennes de m'avoir envoyé ce livre en échange d'une critique.)





Ce qui suit est une information injuste, voir le commentaire de Ben Choquet sous la critique : (ce livre est le deuxième tome d'une saga et j'ai eu un peu de mal à tout suivre, il y avait beaucoup de personnages et je ne savais pas ce qui avait précédé. L'histoire est surement plus aisée et surtout plus agréable à lire pour ceux qui ont lu (et apprécié) le premier tome.)





J'ai aimé le langage franco-belge, les façons de faire, de s'exprimer, les noms de rues typiques pour la Belgique. Il y a une friterie et on boit des Orval. Il y a beaucoup de descriptions de Charleroi, on voit la ville devant soi et on sent défiler tout son passé, passé criminel aussi. Ce livre respire la Belgique (mauvais temps inclus), ça faisait du bien d'y être retournée un peu, un moment.





Tant que l'histoire se développait ‘calmement', que le mystère restait entier, j'ai pu jouir de cette ambiance. Je n'aimais pas trop le style, ni les nombreuses références à des films d'action (car je ne les connais pas) et l'ensemble était de l'histoire était plutôt compliqué, mais si l'auteur m'avait emmenée vers des résolutions intéressante (voire, de mon gout personnel), cela aurait valu la peine.





Hélas, il y a deux trames, mais quand, au deux-tiers du livre, un premier élément important de la résolution est dévoilé Tuco raconte à Isabella qu'il a commis les meurtres sur le couple pédophile et perd ainsi tout son attrait de brute sympathique, de loser qui allait tout découvrir, peut-être mourir après, etc. , je l'ai ressenti comme une histoire qui avait bien roulé jusque-là et qui avait soudain eu quatre pneus crevés. Je me suis demandé si j'avais lu toutes ces pages pour en arriver là.

Plus la dernière partie du livre avançait, moins j'ai aimé, pour les deux trames.





Pareil pour l'ambiance générale : même s'il y avait de la violence, que le langage utilisé était violent aussi, l'ensemble a longtemps semblé humain. Je prenais les personnages caricaturaux et le langage noir comme une forme d'humour, je m'amusais avec le Belgqiue et Charleroi. J'appréciais les notes d'anti racisme. Mais une fois arrivé dans la résolution et les finales, il ne restait plus aucune humanité et je me suis aperçue que ce livre est vraiment très noir.

Ben Choquet semble aimer la vengeance comme thème, et la vengeance comme plat qui se mange froid, après dix ans et même après la mort. Tout cela m'a surtout semblé trop méli-mélo.





Pendant la finale, l'histoire, qui était déjà compliquée, le devenait de plus en plus, j'avais du mal à suivre. Les personnages s'accumulaient. le style devenait franchement lassant. Il faut ajouter que d'autres disent que le livre se lit facilement.





Il y a de l'antiracisme et l'auteur évoque certains thèmes internationaux intolérables, ce que j'apprécie.





Alors voilà, sans doute que d'autres aiment les livres très noirs, mais même si j'ai apprécié au début, il apparait que ce livre n'est clairement pas ma tasse de thé.

Après un roman du genre blockbuster US, Ben Choquet signe ici un polar réussi, plutôt dans la lignée des polars noirs français, autour de deux thématiques/intrigues avec d'une part la perte d'un enfant et d'autre part la colonisation économique. Un personnage, Tuco, qui renaît de ses cendres pour une dernière chevauchée et une Claire que l'on retrouve plus posée que dans Vengeances et Mat (l'histoire se déroulant avant). Si les deux romans sont indépendants, les événements que Claire va vivre dans Le dernier truand permettent de comprendre son côté écorchée vive dans Vengeances et Mat. j'ai également beaucoup apprécié les pauses que procurent les extraits des chansons en début de chapitre ainsi que les clins d'oeil au célèbre western de Sergio Leone.

Vengeance et mat de Ben Choquet 🎏



�itation: « L’intérieur, d’habitude enjoué, pourrait insuffler de l’inspiration à Stanley Kubrick. Des éclaboussures pourpres tranchent le nappage. Les murs sont immaculés comme si un peintre expressionniste venait d’illustrer une ode au sang dans son expression la plus pure. »🧋



Que dire de ce livre, je suis perplexe je ne sais pas dire si j'ai apprécié ou non.



C'est un livre qui se catégorise dans les romans polar.



Je ne sais pas si c'est simplement la présence d'une policière, mais je n'ai pas trouvé que l'étiquette lui correspondait.



En même temps il ne peut pas être catégorisé autrement. C'est déjà perturbant, je m'explique, oui il y a une enquête qui commence à Charleroi et que notre personnage principal, qui se nomme Claire, va vouloir élucidé.



Je dis vouloir, car de base l'enquête est retirée de sa juridiction pour finir chez la brigade anti terroriste de Bruxelles. Comme l'enquête n'aura pas d'avancement elle la récupérera. Là vous vous dites « pourquoi elle trouve que le polar ne convient pas à ce livre? », parce que l'enquête va trop vite, je n'ai pas eu l'impression de lire un livre sur une enquête policière. Nous n'avons aucun détail réel sur l'affaire.





Très vite le livre prend des allures de « vendetta », je n'ai pas trouvé l'intrigue réaliste et encore moins la réaction de Claire sensée.Cependant, comme l'action va trop vite on ne s'ennuie pas et le livre ce lit tout seul. Je l'ai lu en une soirée. Mais je ne peux pas dire que j'en ait apprécié la lecture, tout va trop vite et trop loin, les réactions de Claire sont disproportionées et ne collent pas avec son rôle de policière. J'ai vu la fin arrivée dès le premier quart du livre.



Les raisons qui poussent le « terroriste » à faire ce qu'il a fait sont bancales. La seule chose que j'ai appréciée c'est la morale de l'histoire, le fameux « la vengeance n'a pas de fin ». 🎏

Mais dans quoi me suis-je embarquée ? Telle fut ma première pensée après une petite vingtaine de pages. Je ne suis pas dans le mood. Je fais une pause de plusieurs heures.

Une fois bien conditionnée, je me lance donc dans la suite de ma lecture.

Chers lecteurs, l'auteur annonce la couleur (j'avais envie de rimes) dès les premières pages... C'est violent. Extrêmement violent. Âmes sensibles s'abstenir.



Je commence ma lecture un peu septique donc mais l'auteur arrive vite à me convaincre grâce à un suspense qui monte crescendo et qu'il parvient à maintenir jusqu'aux dernières pages.



Je suis agréablement surprise par cette intrigue ingénieuse, parfois alambiquée (j'ai dû relire certains passages) et aboutie le tout assorti d'une plume affûtée.



L'auteur est carolo (pour les non belges, il vient de Charleroi, ville de Belgique donc) et on voit qu'il aime sa ville. Puisque Charleroi est le décor principal de ce bouquin, l'auteur se fait un plaisir de nous donner des descriptions précises des lieux. Posées par-ci par-là, elles n'alourdissent pas le récit. J'ai trouvé aussi pas mal de retrouver quelques photos en fin de livre.



Je vous conseille donc cette lecture glaçante.

Un thriller dont j'ai eu du mal de rentrer.Ensuite quand on est rentré dedans l'histoire s'enchaîne comme les cadavres, les énigmes, et les dilemnes.

J'ai vraiment eu difficile de le lire, pas à cause de l'auteur mais bien de la situation actuelle et peut-être parce que je suis moins à l'aise avec les thrillers.

Cependant, je me suis vraiment attachée à Claire, bon flic, devra choisir entre le bien et le mal.

Bref,je pense qu'un jour je le relirai à une autre période...

Charleroi - 2018 -Une nouvelle drogue fait son apparition.

Après la prise, la moindre contrariété se transforme en folie meurtrière.

Lorsque le créateur du produit fait un test grandeur nature, ça tourne au carnage!

Claire, inspectrice chargée de l'enquête, devra choisir entre sa soif de vengeance ou l'éthique due à son rang.



Voilà "un petit belge" (je me permets, étant belge aussi) qui promet!

Déjà planter le décor à Charleroi est culotté. Mais, apparemment Ben Choquet est amoureux de sa ville, que vous découvrirez en images à la fin du roman.

Une histoire de stupéfiants de plus, me direz-vous. Et bien pas que....

Imaginez, votre facteur ne vous apporte pas un livre tant attendu. Vous avez ingéré cette saleté et, le dit facteur finit façon puzzle sur le trottoir! ( Cette disgression n'a rien à voir avec le récit, c'est un exemple perso).

Une question m'a titillée, pourquoi l'intégrale? Parce qu'apparemment, l'auteur a réuni 2 romans en un.

Il ne se contente pas de cantonner l'intrigue en Pays noir (comprenez le Pays de Charleroi), mais nous fait aussi voyager dans d'autres contrées et ça déménage!

Quelques faits, selon moi, sont un peu tirés par les cheveux, mais on ne s'y attarde pas tant on est immergé dans l'intrigue en accompagnant ces personnages durs et pourtant attachants.

Voilà donc un écrivain qui est encore dans l'ombre mais qui s'approche de la lumière.

Vengeances et Mat nous plonge sans préambule dans l’histoire de Claire. Cette jeune flic au passé compliqué et violent mène l’enquête sur la circulation d’une drogue qui en désinhibant les gens, les pousse à tuer leur entourage. Viscéralement impliqué dans son enquête, elle ne va pas hésiter à se salir les mains de façon assez radicale.

L’intrigue de ce thriller est véritablement musclée. Le rythme est effréné et haletant. Pas le temps de se poser que les actions s’enchaînent sans relâche. Je vous avoue que j’ai eu du mal à suivre. Il me semblait pourtant être habitué aux thrillers mais là s’en était trop pour moi. Il n’y avait pas assez de respiration à mon goût. Le sentiment d’urgence permanente m’a véritablement mise mal à l’aise, ce qui est dommage car l’intrigue est vraiment pas mal.

Claire qui campe le personnage principal est une sacrée personnalité. Il n’y a pas à dire, elle ne fait pas dans la demie mesure. On sent ses failles tout au long du roman. Elle a eu une enfance difficile et les épreuves s’accumulent tout au long de sa vie. Elle en prend plein la gueule et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle sait encaisser. Bien que la construction du personnage soit intéressante, j’ai vraiment eu du mal à accrocher. Je l’ai trouvé trop extrême, trop violente. Elle manque aussi un peu de nuance par moment car avec elle tout est soit blanc, soit noir. De plus, son obstination aveugle m’a quelque peu agacée.

En ce qui concerne le style de l’auteur, je trouve que l’écriture de Ben Choquet reste agréable. Il manie le suspens avec brio et sait tenir en haleine son lecteur. Il pousse le genre du thriller dans ses points les plus extrêmes notamment en ce qui concerne le rythme des actions. Bien que n’ayant pas vraiment accroché, je reste néanmoins admirative face à la maîtrise générale du récit.
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Moi qui n'ai pas vraiment l'habitude de lire des thrillers j'ai beaucoup apprécié cet ouvrage !

À la fois sanglant , mais pas trop, ce roman est vraiment original. On change de période régulièrement ce qui donne du rythme au récit.



Les personnages sont très attachants ! Et la plume de l'auteur est vraiment très belle !

C'est l'histoire de Claire, policière, qui est confrontée à une série de meurtres dans la ville de Charleroi. Suite à ces meurtres, la présence policière est renforcée lors de l'inauguration de l'A-Reine, boîte de nuit du centre-ville, en cette veille de fête nationale mais, malheureusement, cela ne suffira pas à éviter le carnage.

Révéler le reste de l'histoire serait spoiler - je vais donc m'abstenir.

Avec "Vengeances et mat", je découvre cet auteur belge qui place l'intrigue initiale dans sa région d'origine. L'on ressent rapidement les liens qui le lient à Charleroi et son enthousiasme à partager le renouveau de cette ville.

Personnellement, malgré certains passages très réussis, je trouve que l'ensemble manque de fluidité. Je n'ai, malheureusement, pas été portée par ce thriller, pas été avide d'en connaître la fin de manière addictive. J'ai, néanmoins, poursuivi ma lecture jusqu'à la dernière page et ne le regrette pas; la fin faisant partie des passages les plus aboutis.
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Informations sur l'auteur



Un grand merci à l'auteur pour m'avoir fait parvenir son livre aux fins d'une chronique sur mon blog.



Ce jeune auteur né en 1981 a fait de sa ville de naissance, le décor de son histoire.



Il est diplômé en Sciences de Gestion à la Faculté Warocqué de l'UMons et travaille aujourd'hui dans la communication.



Ce belge vit à Charleroi avec sa famille.



Quant à la maison d'éditions belge Kennes, je vous mets ici le lien de leur à-propos ------>>>> KENNES











DEBUT DU LIVRE 



Comme chaque samedi soir, Sabrina et ses amis brisent la monotonie éreintante du quotidien. Le temps d'une sortie, cette bande de fêtards s'affranchit de la routine dans une institution reconnue de Charleroi.







A V I S



Un joli décor : une ville belge : Charleroi, ville connue de tous qui va devenir le lieu d'un terrible carnage humain, une folie meurtrière sans précédents. 



Les victimes sont assassinées de la plus terrible des manières par des personnes à qui on aurait donné le bon dieu sans confession. 



Une drogue semble être en train de prendre une ampleur hallucinante; sans jeux de mots. Et quelle drogue ? Une substance fabriquée pour transformer la moindre contrariété en une folie meurtrière.



Claire, flic, vit avec Aaron don compagnon qui est lui chirurgien. Leur amour semble indestructible notamment depuis un événement qui aurait pu les séparer mais qui les a soudés à jamais.



Claire est en charge de l'enquête sur ces assassinats plus que bizarres et surtout inquiétants au vu de leurs origines.



Je pense que pour la habitants de Charleroi, ou les habitués de cette ville, les descriptions des paysages, des monuments ne peut que leur permettre de s'identifier un peu plus aux personnages et surtout d'être déjà imprégnés des lieux.







Nous arpentons le Parc Hiernaux et débouchons derrire le Mambourg. Nos pas rencontrent le Square Bonaparte. Je redécouvre Totor et Tutur, les statues qui en bordent l'entrée.







Certaines passages un peu longs sont balayés par une intrigue vraiment bien ficelée, et des personnages très particuliers et ayant chacun un passé assez lourd qui ne peut qu'influer sur leurs réactions et leurs agissements.



La relation entre les différents protagonistes est mise en avant par l'auteur qui va plonger le lecteur au sein du commissariat. Certaines relations un peu brusques et le caractère un peu rustres de certains flics, à l'image de Hans assez vulgaire et avec un langage très imagé. Toujours rentre dedans avec ses collègues et pas très fins dans ses réflexions.



Quant au couple entre Claire et Aaron, il semble merveilleux mais il cache un événement tragique qu'ils ont chacun beaucoup de mal à oublier et il leur faudra du temps pour prendre le dessus.



Claire qui est le personnage principal peut compter sur nombre de personnes : entre ses collègues et son oncle, elle est très entourée et devra affronter des choses terribles qui toucheront et sa fonction et sa vie personnelle.



Une écriture fluide et un texte aéré font de ce livre une lecture vraiment agréable.







Petit plus :  les photos en fin de livre, sur certains lieux de Charleroi.







Les chapitres s'enchaînent de manière dynamique et la plume de l'auteur est efficace. 



On se retrouve face à deux parties : j'ai l'impression qu'il s'agit du premier et du deuxième tome réunis. Le premier est écrit à quatre mains avec Thomas DANKOR et le deuxième est à deux mains.







- William, t'aurais jamais dû lui laisser les rennes pour l'interrogatoire ! ......



- Ecoute, gamin, ce qui est fait est fait. J'vais nettoyer ce merdier et passer quelques coups de fil.







Au sein de chacune de ses parties, on retrouve des chapitres bien détaillés et surtout avec une transition qui facilite la compréhension.



Des chapitres assez courts qui débute tous par un titre et une citation faisant référence à ce que le lecteur va y trouver.



Autant le premier livre se déroule en 2018, que le deuxième trouve son intrigue en 2021. 



On assiste dans le premier livre à des scènes violentes. Les policiers subissent l'action et les événements.



Dans le deuxième tome, l'ambiance s'inverse les protagonistes passent à l'action et semblent ne plus avoir de limites, ne plus pouvoir se contrôler.



Certaines morts ne peuvent laisser indifférents.



On n'a que peu de temps pour cogiter tellement on cherche à suivre l'enquête.



On se met à la place de Claire et de ses acolytes et on sait qu'aucun d'eux  ne pourra plus vivre de la même manière.



Cette histoire va bouleverser la vie de tous et plus jamais ils ne pourront être la personne qu'ils étaient avant.







Qui n'a jamais souhaité la mort de quelqu'un , Qui n'a jamais voulu tuer quelqu'un sans se salir les mains ? 







Particularité : les chapitres sont des vues de plusieurs personnages. De temps en temps, Claire est la narratrice, puis ensuite Aaron, puis l'oncle de Claire.... Assez déroutant car au début des chapitres on attend de savoir à qui le "Je" correspond, mais très original car c'est au lecteur qui le découvre au fil de sa lecture.







La couverture est un appel à lire : sobre mais on se focalise sur les coulures de sang en relief.







Quant au titre il reflète bien l'histoire.







Je vous conseille bien évidemment ce thriller qui est autant psychologique que physique. Un thriller qui vous hantera notamment car il détaille les conséquences de la fabrication et de l'introduction d'une drogue à grande échelle. Surtout une drogue de ce genre.........

2e roman de l'auteur aux plusieurs casquettes



Un roman sombre et captivant se déroulant au pays noir, sur fond de vendetta des familles. Impossible de lâcher ce livre, commencé un soir d'insomnie et terminé le lendemain matin tellement la lecture est addictive.



Ponctué d'humour, clins d'oeil cinématographique géniaux et musicaux, les personnages nous font passer par toutes les couleurs mais pour nous plus grand plaisir !



On y retrouve la petite bande de Claire (cfr le précédent livre de l'auteur Vengeances et Mat) qui récupère au retour de son congé maternité un dossier épineux, enquêter sur le bourreau de pédophiles. Tandis que Hans garde un œil sur leur ami Tuco, ce dernier ayant retrouvé un peu de sa hargne pour mener une dernière bataille lancée par son père le Colonel.



Ahhh quelle tristesse de quitter ces personnages, l'envie de relire Vengeances et Mat est forte mais ça devra attendre. Il faut que je l'achète à nouveau, il fait partie de mes précieux disparus.

Moi qui ai du mal à lire ces derniers mois, j’ai beaucoup apprécié cette lecture !



Alors oui, peut-être que certains y verront quelques clichés. Pour le coup, la plume directe et cinglante de l’auteur m’a parfois fait sourire mais a surtout été efficace.



Sous une apparente légèreté, des sujets difficiles sont abordés comme le deuil (impossible), la vengeance, la frontière entre le bien et le mal. Ces sujets sont supportés par des personnages mal-menés et attachants.



Je ne dévoilerai rien de l’intrigue (et puis, vous pouvez tous aller lire le résumé 😉). Je vous dirai seulement avoir été portée par elle. L’auteur m’a prise par la main, je me suis laissée faire… Sans regret !



Merci à Babelio et aux éditions Kennes pour la découverte de ce roman !

Je tiens tout d’abord à remercier Babelio et les Éditions Kennes pour l’envoi de ce livre.

Le dernier truand se lit facilement et rapidement car Ben Choquet maintient le suspense assez bien, il faut le reconnaître. Le récit est organisé autour d’un crash d’avion, de tueur de pédophiles et deTuco et Claire. Tuco est un ancien flic qui suite à un drame personnel a perdu pied. Aujourd’hui, c’est un privé aux méthodes douteuses mais efficaces. Claire est une jeune maman mais surtout une commissaire de police prometteuse. Les chapitres empruntent leurs titres à des chansons françaises et commencent souvent par des épisodes fantasmés. Le rêve se transforme inévitablement en cauchemar et les angoisses des protagonistes resurgissent. C’est bien vu mais je dois reconnaître que c’est systématique et ce n’est pas toujours très clair, du moins pour les premiers chapitres.

L’histoire en elle-même est prenante car elle navigue entre désir de vengeance, façon Loi du Talion et investigation politico criminelle. Je n’en dis pas davantage. À vous de lire.

Je regrette que l’auteur n’ait pas plus développé le prologue traitant du couple sadique et pédophile. Il enchaîne directement sur Tuco et je trouve que c’est un peu sec.

Néanmoins, je trouve que Ben Choquet manie bien les mots et l’humour surtout. Alors bien sûr, il y a de la violence, du sang, des morts mais quand la satire, l’ironie et l’humour noir de Tuco sont présents, c’en est jouissif. Les références à son idole et les répliques sont toujours bien amenées. Son look improbable rend le personnage limite crédible parfois mais on se prend d’affection pour cet antihéros.

Quant à Claire, elle est le parfait stéréotype de l’enquêtrice acharnée et efficace. Rien à dire, on connaît déjà.

Alors oui, on pourra reprocher un certain déjà vu, (un manque d’originalité j’ai pu lire) mais Le dernier truand » est un bon livre, excellent et exaltant non mais un bon livre.

On est pas loin du coup de 🤍. Pas loin car j'aurais aimé que cette histoire ne s'arrête pas. J'aurais aimé connaître la suite de l'histoire de Claire.

Bref les pages se sont tournées à une vitesse folle. On est happé par les mots de @ben_choquet

Je ne peux que vous conseiller cette lecture.

Peu de personnages donc on ne s'y perd pas à retenir 20 personnages ou plus.

La fin est... Innatendue !

Vraiment une belle lecture. Je ne manquerai pas de lire le premier roman de cet auteur "Vengeances et mat"

En premier lieu, je souhaite remercier Babelio et les éditions Kennes pour m'avoir permis de découvrir ce livre.



Vengeance et mat raconte l'histoire de Claire, inspectrice à la police de Charleroi qui enquête sur différents meurtres survenus dans sa ville de coeur. Les meurtriers ne se souviennent de rien après leur actes vu que ceux-ci sont dus aux effets d'une drogue, le no fear qui transforme la "moindre contrariété en folie meurtrière".



J'ai apprécié le style d'écriture de l'auteur, sa plume est fluide, claire et détaillée. On ressent son amour pour la ville de Charleroi qui pourtant, même si je suis carolo de naissance, prend de temps en temps un peu trop de place. L'intrigue passe en second plan pour une mise en vente touristique de Charleroi.



J'ai adoré chaque personnage, avec une préférence pour Jérôme 😉 (je ne sais, et ne peux, vous dire pourquoi). Chacun à sa propre personnalité et ressort bien dans le texte ce qui facilite leur différenciation.



L'intrigue est bien faite même si je la trouve un peu americanisée. Je me suis demandé tout le long de ma lecture si la vie de notre police était ainsi. C'est aussi ce qui fait la différence entre les thrillers français et américains, l'un est plus porté sur l'enquête et les énigmes et l'autre sur les explosions, l'espionnage, etc.



Pour conclure, il s'agit d'une lecture intéressante et tranquille pour un public qui aime les récits policiers et assez averti dû aux nombreux termes techniques et politiques abordés. C'est un livre à lire dans le parc Reine Astrid par exemple afin de s'imprégner de ma ville de naissance.

Je remercie @Babelio et l’opération Masse critique de m’avoir permis de le lire !

Le livre en trois points :

➡️ j’adore le fait d’avoir un anti-héros qui est perdu avec la technologie.

➡️ J’ai beaucoup apprécié la construction de l’histoire et du roman.

➡️ J’ai beaucoup apprécié le personnage de Claire qui se pose des questions par rapport à son métier et la naissance de son enfant.



📖Ressenti de l’histoire :

Une histoire qui se passe en quatre temps, on suit tout d’abord Tuco puis Claire de manière alterner. C’est point de vue permettent d’avoir diverses clés de compréhension par rapport à toute l’histoire. Le roman commence sur un meurtre d’un pédophile, durant tout le roman on essaie de comprendre qui sait, alors que Tuco est agressé suite à la perte de son paternel. En peu de page le roman commence sur les chapeaux de roue. L’auteur manie bien le suspense, et la fin je l’ai totalement dévoré, les cent dernières pages furent lues en quelques heures à peine !



J’ai apprécier le fait que l’on soit avec un anti-héros, un peu cliché je dois l’avouer, mais parfois revenir un peu de fondamentaux est plaisant 😊. On comprend que le personnage de Tuco est dans une détresse et qu’il ne sait pas comment l’exprimer. Alors que Claire jeune mère aime son travail bien qu’elle prend du recul dessus par rapport à son enfant.



J’ai apprécier Tuco qui est homme perdu avec certain terme et ça ma fait rire la différence de génération.



J’ai apprécié les scènes d’actions qui sont dynamiques. Avec un vrai rythme quu nous fait ressentir la tension narrative.



✍🏻Ressenti sur écriture :

On ressent une plume qui se veut accessible à tous, avec un vocabulaire que l’on a très peu l’habitude à avoir l’écrit ! J’ai bien aimer comment l’auteur à écrit les descriptions.



👍Point fort :

C’est une lecture sans prise de tête. J’ai aussi apprécié les références musicales à chaque début de chapitre (souvent j’avais la mélodie en tête 😍).



👎Point faible :

Je trouve dommage que l’on ne soit pas tellement de moment ou Tuco va vraiment se poser pour parler de telle ou telle personne. Les relations humaines souvent sur voler, notamment autour du Paternel est une autre personne (mais no spolié 😉)



⭐Recommandation :

☆☆☆☆☆4/5

C’est un livre que je recommande ! Lisible en deux petites après-midis !




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