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Critiques de Bertrand Gatignol (272)
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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Gatignol fait du bon boulot au dessin. Il apporte ce qu'il faut de noirceur pour créer l'atmosphère de l'intrigue et tout ce qu'il faut pour nous amuser avec certaines scènes.
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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Un Monsters solide sachant habilement louvoyer entre drame et farce, Un héritage trompeur apporte sa pierre à l’expérience Donjon. Bravo, Messieurs.
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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

J’adore la série donjon mais je n’ai pas apprécié cet épisode malgré quelques bons traits d’humour. J’aime les scénarios foldingues de cette série mais la c’est vraiment trop n’importe quoi. Inventif oui, mais il manque une sorte de cohérence qui rachète un peu l’outrance des ressorts du scénario.

C’est intéressant de zoomer le temps d’un album sur le personnage de Papsukal, le fils maudit d’Herbert mais Papsukal est trop monolithique pour vraiment intéresser.

Le côté épique des aventures pourrait avoir son intérêt aussi mais les différents protagonistes ont des pouvoirs très puissants qui font un peu trop penser aux histoires improvisées des enfants « oui mais moi j’ai un rayon de la mort! Oui mais moi je te lance un rayon plus fort ». Ce ton marchait très bien sur l’album précédent, pourfendeurs de démons, à cause du duo comique entre Marvin Rouge et Zakutu, et de leurs failles intéressantes. Papsukal est lui trop lisse, il lui manque cette fragilité qui rend un héros attachant. Et en plus il est possédé par un sorcier encore plus déprimant.

Dommage, il reste cependant à le relire pour être sûr de n’avoir rien loupé de ces savoureuses allusions aux reste de la saga.

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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Un héritage trompeur est un épisode de Donjon Monsters, c'est-à-dire une histoire complète centrée autour d’un personnage de la saga. Ici, il s’agit de Papsukal, un canard noir, fils d’Herbert, un personnage antipathique, assoiffé de pouvoir et de vengeance. Pour cela, il se fait aider par l’esprit d’un magicien, mais il découvre que cet esprit s’est emparé de son corps et qu’il lui vole des jours, à la façon du roman graphique de Timothée Le Boucher, “Ces jours qui disparaissent”. Il va donc se rendre chez une sorcière pour l’aider à s’en débarrasser. Cet épisode est placé dans le temps après les épisodes de Donjon Crépuscule.



Bertrand Gatignol est au graphisme, il doit son succès à la formidable série “Les Ogres-Dieux” scénarisée par Hubert. Pour moi, l’intervention de Bertrand Gatignol dans la série Donjon, c’est un évènement suffisamment important pour me rendre à la librairie le jour même de sa parution.

Le résultat graphique est à la hauteur des attentes, original, la personnalité de Bertrand Gatignol ressort bien, un trait fin, une grande force avec le jeu des échelles, je trouve cependant que les couleurs sont parfois trop acides, un peu crues, je pense que la version en noir et blanc doit être plus intense.



L’histoire est un récit sombre, on retrouve la cruauté de la série “Les Ogres-Dieux”, un peu de gore, de l’horreur et du fantastique, et la narration y ressemble aussi, avec une voix off comme dans un conte. Joann Sfar et Lewis Trondheim se sont moulés au genre de Bertrand Gatignol, tout en y intégrant leur humour, leur dérision, cela donne un ton à la Tarantino assez truculent.



J’ai aimé l’intensité du récit, une des plus sombres histoires de la série, et le style tranchant du graphisme. Maintenant, j’avais sans doute mis mes attentes bien trop hautes, c’est un bon épisode de la série, mais sans doute pas le chef d’œuvre que j’imaginais.

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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Pas facile de résumer une intrigue qui a la linéarité d’un plat de spaghettis . Papsukal , chat-canard au look draculesque est possédé par un magicien qui se sert de son corps pour mener la belle vie. Pour s’en débarrasser il va devoir se colleter avec Sonia sorcière arachnoïde du type cauchemar japonais . Leur affrontement noir , gore et hilarant va structurer tout l’album . Au menu aussi apparitions de divers personnages connus de la série (Marvin , Elyacin…) , bastons magiques et physiques , épisodes sado-scato-rigolos, et lieux improbables ( le bistrot d’Insecteville) . Ce n’est pas toujours limpide (bonjour l’euphémisme) mais toujours divertissant dans la lignée de la série . et j’aime bien le dessin nippono-belge de Gatignol.
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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Papsukal a hérité du château du magique-useur Blaise Pilozzi, ainsi que de l’ensemble de ses terres, de ses biens et de ses redoutables pouvoirs magiques. Mais il ignore que ce cadeau a une contre-partie … jusqu’au jour où il se réveille loin de chez lui, couvert de vomi. Il comprend que Blaise profite de son sommeil pour prendre possession de son corps. Bien décidé à mettre fin à cette cohabitation, Papsukal part en quête d’une solution magique : le voilà parti dans la forêt pour aller demander de l’aide à la terrible sorcière Sonia la Maigre …





Un « Donjon Monsters » passionnant mais une nouvelle fois atypique. Atypique par la densité et la complexité de son scénario : l’album fait référence à une multitude d’autres tomes de la saga (c’est peut-être l’album le plus inter-connecté aux autres épisodes de toute l’histoire de la série) et il vaut mieux avoir en tête certains faits présentés dans certains albums antérieurs (ou postérieurs !) pour pouvoir pleinement apprécier la trame de ce « Donjon Monsters », au risque louper certaines références et de trouver certains passages de ce tome pas très clairs.

Atypique par la cruauté et l’aspect dérangeant que revêt cette histoire, où horreur, sadisme, personnages pervers, violence, vomi, excréments et hémoglobine se mélangent à l’humour décalé propre à la série. En ce sens Sfar et Trondheim ont su parfaitement s’adapter aux thématiques habituelles de leur dessinateur Bertrand Gatignol en lui proposant un scénario où l’ambiance malsaine rappelle celle des « Ogres-Dieux », sa série-phare.

Atypique enfin par le dessin de Gatignol, ultra limpide et hyper soigné (à ce titre la version N&B est une pure merveille), bien loin de l’esprit graphique « Donjon », habituellement plus minimaliste et expérimental. Un dessin inhabituel pour la série qui personnellement m’a beaucoup plu et qui donne une autre vision du monde de Terra Amata créé par Sfar et Trondheim.

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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

Papsukal, le fils de Herbert et de Isis, est assoiffé de vengeance et a obtenu l'aide de l'esprit du grand sorcier Blaise Pilozzi.

Mais celui-ci est malin, pendant que le chat-canard apprend ses sorts, Blaise prend possession de son corps, dans le but de finir par prendre le dessus sur le vindicatif jeune-homme.

Quand celui-ci finit par s'en rentre compte, il va demander l'aide d'une puissante magicienne : Sonia la maigre, reine des Gobelins, que nous avions autrefois croisée quand elle s'appellait Sonia la grosse. Je ne cache pas qu'il m'a fallu un certain temps pour faire le lien avec l'ancienne maitresse de Marvin, d'autant qu'on la pensait bel et bien morte.

Le récit est très sympathique, très noir et un peu sanglant (mais c'est ce qu'on cherche dans la série Donjon...) et le tout est servi par le très beau et très efficace dessin de Gatignol. Je regrette toutefois que mon tome soit en couleurs, le récit doit être plus percutant dans le noir et blanc qui a fait la renommée de ce dessinateur.
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Jeanne, tome 1 : Le chant des oiseaux

Une BD aérienne, à l'univers étrange et onirique, peuplé d'un curieux couple - une petite fille et un renardeau, d'un géant sur tracteur, du vent, et de curieux oiseaux. Le dessin et la narration sont proches du manga et ont beaucoup de charme. Cette version colorisée de Pistouvi permet aux jeunes lecteurs d'aborder cette très jolie petite bulle d'air frais.
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Jeanne, tome 1 : Le chant des oiseaux

Très étrange cette histoire, onirique, féérique. Jeanne est une petite fille qui vit dans une cabane dans un arbre immense avec un renard chat "Pistouvi" qui parle. Elle joue d'un instrument qui ressemble à un Ocarina et enchante les oiseaux. Elle parle à une fée du vent. Le dessin s'adresse à un public jeune en quête d'émerveillements et de petites choses de tous les jours.
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Jeanne, tome 1 : Le chant des oiseaux

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Jeanne, tome 1 : Le chant des oiseaux

Que ce soit en couleurs ou en N&B, l'histoire de Jeanne et Pistouvi ne manque pas de charme et peut être appréhendée à différents niveaux.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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Le voleur de souhaits

Félix, ayant toujours été en marge du monde, a eu le temps d'observer les autres en toute tranquillité. Il découvre que les gens ne prêtent pas forcément une grande attention à leur entourage. C'est alors qu'il va s'amuser gentiment à leurs dépens, répondre "à mes souhaits" à chaque fois qu'une personne éternue et découvrir qu'il peut voler les souhaits d'autrui.



Sa collection va alors commencer, il va profiter de ses balades pour capturer les souhaits. Le printemps et son pollen étant son moment préféré. Voilà que sa collection contient des centaines d'échantillons.



Et un jour, il rencontre Calliope. Elle éternue. "A mes souhaits". Et rien ne se passe. Félix se sent donc pris d'une mission, découvrir pourquoi il ne réussit pas à voler le souhait de Calliope.



"Le voleur de souhaits" est une album touchant, avec des personnages naturels pleins de douceur. Des illustrations comme j'aime et une histoire plus profonde qu'elle en a l'air. J'aime l'idée que le bonheur n'est pas toujours où l'on croit et qu'il réserve parfois quelques surprises.



Un grand merci à Netgalley et aux éditions Delcourt !
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Le voleur de souhaits

Bande-dessinée piochée au hasard dans le bac Jeunesse du bibliobus (là où je complète les collections de ma médiathèque afin de pouvoir leur proposer des nouveautés), j'ai tout de suite été attirée par le graphisme qui me semblait plutôt bien travaillé pour une bande-dessinée jeunesse et je n'ai pas été déçue, d'autant plus que l'histoire va avec.



Félix est un jeune garçon doté d'un pouvoir un peu particulier : Au lieu de dire la traditionnelle formule de politesse "A vos souhaits" lorsque quelqu'un éternue, il l'a légèrement modifiée en disant "A mes souhaits" à toutes celles et ceux qui éternuent lorsqu'il se trouve sur leurs passages, récupérant par la même occasion les souhaits des autres dans de précieux petits bocaux. Etrangement, notre héros, n'éternue jamais ce qui ne lui donne pas l'occasion de faire de souhaits mais si cela démontrait une réalité bien plus blessante. En effet, que pourrait-il souhaiter, lui ? Il ne s'était jamais posé la question jusqu'à ce qu'il fasse la connaissance de Calliope, une jeune fille qui va attirer toute son attention car lorsqu'elle éternuera et qu'il lui aura dit sa formule spéciale, il se rend compte que le bocal à souhait de cette dernière est vide...



Un graphisme, comme je le disait en commençant cette critique, très bien travaillé et une histoire qui fait rêver...On en souhaiterait presque de pouvoir éternuer tous les jours et de pouvoir conserver ses propres souhaits, les contempler à loisir jusqu'à ce que peut-être un jour, ils se réalisent...un ouvrage qui se lit très vite et que je n'hésiterai pas à recommander à mes jeunes lecteurs et aux autres ! On a bien le droit de rêver à tout âge puisque l'on éternue quel que soit notre âge d'ailleurs alors pourquoi se priver de ce petit moment de plaisir ? A découvrir et à faire découvrir !
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Le voleur de souhaits

C'est une BD très courte, sans dialogue, mais d'une douceur folle. Nos héros vivent à la recherche de leur souhait et finissent par comprendre qu'ils le vivent déjà.

C'est doux, c'est beau, c'est émouvant.



Les dessins m'ont d'abord dérouté car je m'attendais à lire un album jeunesse, au vue de la couverture et du résumé. Alors que ce livre est construit comme en planche de BD très agréables. D'ailleurs certains dessins m'ont émue aux larme.



Les personnages sont attachants et ont une jolie évolution. Ce qui transforme une jolie découverte en une parenthèse heureuse et en un véritable coup de coeur.



Le petit plus: les planches autour de la construction de la BD à la fin. On a le droit à la naissance de l'histoire dans la tête de l'auteur, aux planches de recherches de l'illustrateur et à un extrait des échanges entre l'auteur et la ME. C'est passionnant de voir l'envers du décors et cela termine la BD sur une note très positive.



Merci pour cette belle découverte.
Lien : https://uncoindebouquin.word..
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Le voleur de souhaits

Une bande dessinée poétique qui se lit comme un conte.

Cette courte histoire aurait pu se décliner sous la forme d'un album tant le récit est narratif. Pour autant elle passe très bien sous cette forme, les auteurs ayant su mettre en valeur ce récit quasi sans dialogues par le choix des illustrations et du cadrage. Le graphisme, certes classique, se marie néanmoins parfaitement avec ce texte un peu hors du temps, à portée universelle, où il est question de désirs, de joies de la vie, d'être attentif aux autres mais aussi à soi-même, parce que l'amour pour s'épanouir a besoin des deux. On se laisse porter par la poésie de ce petit conte tout simple mais si bienfaisant, sorte de quête du bonheur à portée de main, et l'on referme l'album en ayant l'impression d'avoir respiré un instant une bouffée de magie apaisante.
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..
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Le voleur de souhaits

Un petit moment doux mais que je trouve beaucoup trop léger. Les sujet de base est vraiment intéressant mais j'ai trouvé que ça n'avait pas été assez exploité. Sans parlé de certaines choses qui m'ont un peu dérangé au niveau du scénario. La bande dessinée est vraiment courte donc ça peut aussi expliquer, mais j'ai eut l'impression qu'on faisait un résumé d'une histoire plus développée.

Mais j'ai trouvé les dessins très doux et plutôt reposant.
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Le voleur de souhaits

C’est un conte, ou plutôt une fable. Felix est un voleur de souhait, quand vous éternuez il vient derrière vous et vous dit “À mes souhaits !” et sans vous rendre compte, il vous vole votre souhait, qu’il enferme aussitôt dans un bocal. Mais voilà, un jour il rencontre Calliope, une fille de son âge, qui n’a pas de souhaits… On va faire une belle découverte avec cette rencontre. Le dessin est doux, le trait très fin et discret, les couleurs, pourtant numériques, sont travaillées avec beaucoup de soins et de délicatesse, donnant une atmosphère d’un calme bucolique. Les personnages sont touchants, pourtant l’histoire est très courte, on est à la limite de l’album jeunesse, les bulles sont plutôt rares et le ton est celui d’un conte pour enfants.

Une très belle histoire pleine de poésie et de tendresse.
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Le voleur de souhaits

Petite BD jeunesse avec une petite morale. L'idée du voleur de souhaits est pas mal, mais je trouve qu'elle aurait pu être développée. Ça va trop vite, le lecteur n'a pas le temps de comprendre Félix ni de vraiment voir son évolution. Par contre, j'ai bien aimé les dessins, et il y a une explication de comment est née cette histoire ainsi que sur la création des illustrations qui sont sympas
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Le voleur de souhaits

Très friande des oeuvres de Loïc Clément, j'ai été ravie d'en découvrir encore une. Il y a toujours beaucoup de poésie et de finesse chez cette auteur.

Et encore une fois ce livre en est le témoignage.

Le sujet est tout particulièrement original et magique :un jeune garçon aurait le pouvoir de subtiliser les souhaits des gens lorsque ces derniers éternues.

Enfermés dans des bocaux, le jeune garçon collectionne ces vœux qu'il aime regarder et dont il apprécie être seul à en connaître l'existence.

Jusqu'au jour où il n'arrive pas à capturer le souhait d'une demoiselle ...

Et s'il fallait mieux vivre ses propres petits bonheurs, aussi simples qu'ils soient plutôt que de vivre au travers des rêves des autres ?

Un joli conte, un brin de magie juste ce qu'il faut !
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Le voleur de souhaits

Le voleur de souhaits est une magnifique bande dessinée. Tout d'abord, les dessins et les couleurs sont superbes. Ensuite, l'histoire est contée poétiquement presque comme une fable. Pour terminer, le lecteur ressort de sa lecture avec un sentiment heureux. Le seul bémol: nous refermons un peu rapidement ce livre, dont la fin arrive vite.

Je recommande sa lecture, autant pour les petits que pour les grands.
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