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Critiques de Caroline Quine (335)
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Alice aux îles Hawaï

Alice se voit charger d'une nouvelle enquête dans un cadre paradisiaque, Hawaï. Elle doit retrouver par énigmes un trésor caché dans un pavillon d'or. Mais des accidents brutals l'empêchera-t-elle de trouver le trésor ?
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Alice aux îles Hawaï

« Alice aux îles Hawaï » (ou «The secret of the golden pavilion » en VO) a été publié pour la première fois en 1959, écrit par Harriet Adams sous le nom de plume collectif de Caroline Quine. le roman ne fait pas partie des tous premiers publiés dans les années 1930-1940 qui ont ensuite été remaniés. Cela explique certainement pourquoi il m'a semblé étonnamment moderne. Il n'y a pas de téléphone portable ni internet, on envoie plutôt des télégrammes et on rend même visite aux gens chez eux. Mais à aucun moment je ne me suis sentie en décalage. Bien au contraire, j'ai été très agréablement surprise par le ton du roman et par plein de petits détails.



La première surprise c'est le personnage qui demande à Alice et à son père d'enquêter. Il est polynésien d'origine japonaise et ça paraît con, mais je trouve cela très chouette. Déjà on n'est clairement pas dans le même état d'esprit que dans les années 1940, quand on parquait dans des camps les citoyens américains d'origine japonaise « au cas où ». Et ça montre bien que l'autrice connaissait son sujet, car il y avait effectivement une forte diaspora japonaise à Hawaï. Elle aurait pu choisir un polynésien pur jus sans que ça fasse grande différence, tant qu'il y avait un passage par la Californie à un moment dans son histoire personnelle.



La deuxième surprise c'est l'importance donnée aux légendes, paysages et traditions polynésiennes. Ça aurait été dommage de s'en priver pour un état américain si différent de ceux du continent, mais j'ai trouvé que c'était particulièrement bien fait. Il y a bien quelques instants « Wikipédia » avant l'heure, parfaitement assumés et d'ailleurs systématiquement moqués, mais j'ai beaucoup aimé que ça rentre véritablement en compte dans l'enquête d'Alice. Il fallait qu'elle s'imprègne un tant soit peu d'une culture très différente de la sienne pour découvrir la clé du mystère. Cela donne des scènes très sympas où l'on prend la peine de donner aux choses et concepts leur nom polynésien (et de le garder) tout en les expliquant pour les novices du continent. Je pense particulièrement au luau (banquet) avec son porc kalua, préparé dans un imu ou four enterré et rôti grâce aux pierres de lave brûlantes. Sincèrement, ça m'a mis l'eau à la bouche !



La troisième surprise c'est de n'avoir constaté pratiquement aucune manifestation de mépris envers la culture polynésienne – en tout cas pas chez les gentils. Je pense sincèrement que l'intérêt de l'autrice va au-delà de simples recherches pour l'écriture du roman. On sent un réel intérêt et une réelle admiration. Les méchants ne s'intéressent à la résolution de l'énigme que par cupidité crasse, sans respect pour la culture dont ils s'emparent en s'en moquant. C'est très clair dans des passages tels que : « Sur ces entrefaites le mari de Milly se leva et jeta la cape de plumes sur ses épaules. Il se mit à parader autour de la pièce en poussant des cris inarticulés, lesquels imitaient, selon lui, le langage des anciens rois de Hawaï ». Un court paragraphe dont la formulation dit tout le mépris de l'autrice pour ce genre de manière de faire.



On y trouve également quelques préjugés débunkés de façon plus sympathique, quoiqu'avec la légèreté d'un lamantin :



« Je m'en voudrais d'avoir l'air de minimiser votre courage, mais dans les eaux territoriales d'Hawaï il n'y a pas de requins mangeurs d'hommes. Ils sont tous inoffensifs.

- Oh ! là ! là ! gémit Ned. Comme je me sens bête ! Bah ! On a toujours quelque chose à apprendre dans la vie ! »



Et la quatrième surprise, c'est le rapport entre filles et garçons dans le roman. Certes on ne va pas donner un rôle subalterne à Alice, l'héroïne futée et aventurière qui donne carrément son nom à la série. Mais il y a un passage qui m'a beaucoup plu, dont l'objectif était clair comme de l'eau de roche et ce, d'autant plus qu'il n'avait presque aucune incidence dans l'enquête elle-même. Deux équipes se constituent pour une course de pirogues, l'une entièrement masculine et l'autre mixte. L'équipe mixte se fait distancer et ça aurait été tellement facile de dire « bah oui, y'a des meufs dans le bateau ». Sauf que non, l'autrice préfère indiquer que c'est le manque de coordination qui les pénalise dans la course et une fois bien cadencés, les jeunes gens rattrapent leur retard et font match nul. Pour des jeunes lectrices (la cible de la série) le message est important !



De façon générale, j'ai beaucoup aimé ma lecture. J'ai retrouvé sans la moindre difficulté mon plaisir de petite fille, quand je lisais les romans de cette série. Les gentils sont gentils, et les méchants méchants. Ça s'enchaîne vite et avec fluidité. Le deus ex machina veille à ce que les personnages secondaires aient un réseau long comme le bras de potes très utiles pour prendre l'hélicoptère, identifier des symboles polynésiens ou visiter un cratère de volcan. Et même les scènes anecdotiques, comme celles du luau ou de la course de pirogues, se concluent généralement par un petit rebondissement. Ça m'a fait plutôt sourire. Après tout c'est un roman pour enfant / jeune ado. Ça ne va pas chercher midi à quatorze heures pour faire passer ses messages et résoudre son énigme, avec juste ce qu'il faut d'aventures et de casse-têtes. Ça me donne envie de relire la série !
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Alice chez le grand couturier

Jacqueline, une jeune mannequin manque à l'appel et Alice doit la remplacer au dernier moment. Des tenues de défilés sont volées. Jacqueline réapparaît mais elle annonce que son frère a disparu. Des imposteurs, puis encore des mystères, Alice a nouvelle énigme à résoudre.
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Alice chez le grand couturier

Alice s’envole pour New-York où une enquête dans le milieu de la mode ne tardera pas à monopoliser son temps. Une intrigue un peu plus complexe que certaines autres de la collection Alice détective, et des malfrats prêts à tout pour parvenir à leurs fins !
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Alice chez le grand couturier

Comme tous les romans de la série des "Alice", enfant, j'ai adoré Alice chez le grand couturier, je crois même que c'est mon préféré...
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Alice chez le grand couturier

c'est cool! j'adore tout les livre de caroline quine















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Alice chez les Incas

Un des rares vestiges de ma bibliothèque d'enfant. J'ai dévoré les "Fantomette", puis les "Alice". En passant à la "bibliothèque verte", je me sentais une grande et me projetais dans le futur comme Alice: aventurière aux quatre coins du monde, mon permis de conduire, un petit ami... Des rêves de gosse quoi. À l'occasion, il faudra que je le relise!
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Alice chez les Incas

C’est assez rare que je le fasse mais au début de l’automne, je me suis lancée dans une relecture de ce tome d’Alice dans lequel la jeune fille est intriguée par un bout de bois détenu par la famille d’une de ses amies.

Comme elle est assez libre de ses journées, elle embarque avec ses copines en direction de l’Argentine où elle va devoir déjouer toutes les manigances de dangereux individus qui veulent l’empêcher de parcourir tout le continent pour découvrir un trésor.



Comme d’habitude avec cette série, il faut savoir fermer les yeux sur certains éléments qui ont plutôt mal vieillis. Alice est toujours autant désœuvrée et peut embarquer du jour au lendemain vers un autre continent, et Beth et Marion doivent également avoir un emploi du temps très allégé puisqu’elles l’accompagnent sans aucun souci.

Tout le monde est très aisé et s’offre des virées en avion et en hélicoptère et des journées de séminaire dans des endroits luxueux.

Mais le point le plus gênant pour un lecteur moderne, c’est tout de même la grossophobie dont fait l’objet Beth. La jeune femme se prend des remarques incessantes sur sa gourmandise, et on a même droit à un moment très malaisant où elle écrase un alpaga.



En revanche, c’est toujours très agréable à suivre au niveau de l’intrigue en elle-même. Il y a beaucoup de raccourcis et de facilités, mais aussi des rebondissements, des méchants redoutables qui cherchent à tuer nos héroïnes, du danger, du mystère et tout ce qui peut rendre la lecture sympathique pour la tranche d’âge visée.

Ca permet également de voir du pays et, si on n’échappe pas à quelques clichés, d’apprendre quelques petites choses sur le Machu Picchu ou le plateau de Nazca au détour de la résolution d’un mystère.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
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Alice chez les Incas

Carla, jeune amie de Alice, lui montre un mystérieux bois gravé représentant un singe, appartenant à sa famille qui remonte du peuple les Incas. Alice doit déchiffrer des mots presque invisibles, et le mystère qui mènera peut-être à un trésor. J'ai beaucoup apprécié ce tome-là puisque j'aime le mystère qui entoure la civilisation Incas.
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Alice chez les Incas

Comme toujours Alice a le don de s'attirer des ennuis. Cette fois elle partira à la recherche d'un trésor mystérieux au Pérou, en passant par l'Argentine. L'occasion de visiter Lima, Cuzco, Machu Pichu et le plateau de Nazca. Un beau voyage face à un contrebandier implacable bien décidé à se débarrasser d'Alice par tous les moyens.

Entre clichés des années 60 et policier pour enfant, un moment divertissant et nostalgique.
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Alice chez les Incas

Pour continuer le pèlerinage sans nostalgie de mes premières lectures, après Fantômette je me suis collé aux basques d’Alice. Encore une fille détective mais plus jeune que miss Marple que je ne connaissais pas à l’époque. Je me souviens en avoir lu beaucoup mais celui-ci que j’ai choisi je ne pense pas l’avoir lu alors. Il faut dire que mon choix a été guidé par la quatrième de couverture qui me parlait de Pérou. Ainsi, et même si je me suis ennuyé en lisant cette enquête, le voyage en quatre lieux que j’ai aimés là-bas m’a ravi à nouveau.
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Alice chez les stars

Alice participe a une exposition sur les enquêtes criminelles, des stars de série télévisée, ainsi que des écrivains de polars y sont réunis. Mais deux des stars sont enlevés l'un après l'autre. Est-ce un grand canular ou un réel enlèvement avec un meurtre à la fin ?
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Alice chez les stars

Décidément, mon enquête préférée dans la collection Alice Détective, notamment parce qu’il se déroule dans le milieu du cinéma (une de mes grandes passions). Surtout, c’est le premier Alice que j’ai reçu, enfant, et pour cela, il aura toujours une place particulière dans mon cœur. Action, vengeance, trahison, tout est possible au royaume des stars. Et Alice, Bess et Marion s’apprêtent à vivre en live un véritable thriller action !
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Alice chez les stars

Cette aventure d'Alice et ses amies est habilement menée et d'autant plus prenante qu'elle se déroule dans le milieu du cinéma où tout n'est qu'apparences, jeux d'acteurs et rivalités. La disparition de deux vedettes donnent l'occasion à Alice de montrer une nouvelle fois toute l'étendue de son flair de détective autant que sa témérité d'héroïne.
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Alice dans l'île au trésor

The Quest Of The Missing Map

Texte français : Claude Voilier

Illustrations : Albert Chazelle



ISBN : Non Indiqué et probablement inexistant à l'époque de l'édition



Le thème de la carte - souvent déchirée en deux et qui révèle la position d'une île mystérieuse recelant un trésor tout aussi mystérieux - a toujours fourni un thème de choix pour le littérature dite "de jeunesse" - et même pour la littérature tout court. Dans les pays anglo-saxons, le must est atteint sans conteste par le grand Robert-Louis Stevenson avec son "Île au Trésor" dont, jusqu'ici, je l'observe non sans étonnement, Nota Bene ne comprend aucune fiche. Lacune des plus graves à réparer au plus tôt car qui, parmi vous, lecteurs, ne se rappelle avoir dévoré en son enfance les aventures de Jim Hawkins et s'être posé quelques questions ambiguës sur son amitié tout aussi ambiguë avec le célébrissime Long John Silver ? Je me rappelle d'ailleurs que ma première lecture de cette oeuvre se fit elle aussi ... sous la jaquette d'un volume de la Bibliothèque Verte - je devais être en CE2 à l'époque, c'est vous dire. Ce qui fait qu'il faudra que je me le relise - dans la collection d'origine avec une boîte de Kleenex à mes côtés ou bien en Livre de Poche : qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ? Et yo-oh-oh ! Une bouteille de rhum ! ...



De ce thème de la carte au trésor qui a des longueurs et des longueurs d'avance, filant avec détermination, sur ses petites pattes frétillantes, devant les héros qui s'essoufflent à sa recherche, Mildred Wirt Benson, alias Caroline Keene, et, en France, pour des raisons inconnues, Caroline Quine, s'en saisit en 1942 pour l'intrigue de sa "Treasure Island" et l'un des scenarii de la série "Nancy Drew" qu'elle réalisa. Mais signalons que le roman ne sortit en France qu'en 1966, chez Hachette, avec les changements de noms d'usage, Nancy étant devenue notamment Alice Roy. Signalons aussi qu'une bonne partie de l'intrigue se déroule néanmoins à terre puisque, à l'origine, Alice doit d'en être mise au courant par son père, James Roy, sollicitor de profession. Une jeune cliente, Ellen Smith, venue le consulter, n'est autre que la fille de l'un des propriétaires de la carte indiquant la longitude et la latitude magiques. J'écris "magiques" parce que, comme toujours chez Benson dans ce genre de situation, si l'île se retrouvait et si l'on y découvrait le trésor, cela sortirait Ellen et sa mère d'une situation pécuniaire on ne peut plus "fil du rasoir."



Actuellement, pour mettre un peu de beurre dans les épinards quotidiens, Ellen donne des cours de musique et, justement, est sur le point d'accepter la proposition de Mrs Chatham, une belle quadragénaire sympathique mais assez capricieuse, et complètement dépassée par les faits et gestes de sa fille, la jeune Trixie, une enfant qui sait se montrer aussi aimable que sa mère quand elle le désire mais visiblement hyper-active et trop habituée à obtenir absolument tout de sa génitrice pourvu qu'elle boude assez longtemps afin d'atteindre à son but pour changer du jour au lendemain son comportement de petite fille "pourrie-gâtée" et devenir l'une de ces "petites filles modèles" si chères à Mme de Ségur.



C'est en raison de ce caractère aussi bourré de piquants qu'un cactus mexicain mais aussi parce qu'elle juge l'enfant trop impressionnable et la maison où elle doit lui donner ses cours bizarre et presque inhospitalière en dépit du statut social très aisé qui s'y étale partout, qu'Ellen Smith hésite fortement à s'engager. Puis, les leçons se dérouleraient dans le Pavillon de Musique, bâtiment "à part" qui fascine et terrifie en même temps Trixie, laquelle le déclare parfois "hanté." Mais, si l'enfant se trompe sur l'origine des choses étranges qui se déroulent dans le pavillon, elle ne ment pas : le piano, par exemple, est capable de jouer tout seul, sous les yeux stupéfaits d'éventuels spectateurs ...



Mais tout cela nous éloigne de la carte au trésor, me direz-vous. Oui ... et non. (Je ne vais pas tout vous raconter, tout de même. ) Sachez seulement que le père d'Ellen avait un jumeau et que les deux frères s'étaient partagé la carte. Or, bien entendu, tandis que mourait le père d'Ellen, son jumeau, lui, s'était déjà fondu dans la foule américaine depuis des lustres.



Et sa moitié de carte avec lui ...



Ah ! certes, pour atteindre à cette fameuse île, Alice aura à affronter bien des tribulations et à franchir bien des obstacles parfois dangereux. Elle réussira, bien sûr mais non sans avoir tenu son lectorat en haleine pendant un peu plus de deux-cent-cinquante pages, en tous cas dans l'édition 1966 parue chez Hachette. Il faut tout de même le faire avec un thème aussi ... bateau (sans jeu de mots stupide.)



Personnellement, je préfère de loin "Alice au Manoir Hanté", qui date de 1930 et dont je finirai bien par vous parler un jour dans cette rubrique. Mais il y a des similitudes entre les deux intrigues - également avec celle d'"Alice et le Clavecin" d'ailleurs : Mildred Benson devait avoir un faible pour les spectres et plus encore pour les instruments de musique qui jouent tout seuls en public. Cela, il faut le dire, pour notre plus grand plaisir car, même si l'on a vieilli, même si l'on connaît les ficelles du livre, on est toujours heureux de les retrouver, énormes (pour les ficelles) et inchangées. Ne sont-elles pas, en fait, un peu de nous-même - de ce nous-même désormais si loin sur la route mais qui palpite encore, naïf et plein d'illusions, tout au fond de notre coeur ?



Un peu, soit. Rien qu'un peu. Mais si précieux dans le fond ... Bonne relecture ! :o)
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Alice dans l'île au trésor

Délicieux récit de l intrépide Alice relu avec plaisir à plus de 60 ans à la faveur dune brocante au Pouldu Morbihan dans laquelle des jeunes liquidaient ce qu ils ne conservaient pas de la maidon de leur arriere grand mère ! Le livre n'a rien perdu de sa fraîcheur
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Alice dans l'île au trésor

Alice dans l'île au trésor est l'un de mes préferés, il y a cette aventure que les autres romans ont pas. Alice rencontre un homme qui a perdu son frère jumeau pendant son enfance. Chacun avait la moitié d'une carte au trésor. C'est à Alice de retrouver ce frère jumeau, ces deux morceaux de carte et d'empêcher des voleurs de les retrouver avant elle.
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Alice détective

Que dire des "Alice" de Caroline Quine ? Une vraie histoire d'amour étant jeune. Ma mère m'en avait acheté un et je rechignais à l'ouvrir (je me souviens qu'il s'agissait de "Alice et la bague du gourou", collection Bibliothèque Verte). Puis un jour, n'ayant plus rien à lire, je me suis lancée dedans. Et j'ai adoré. Autant l'écriture et que les aventures, qui ne m'ont jamais déçues. Je ne saurais dire combien de la série j'en ai fait acheté à ma mère et combien j'en ai piqué à la voisine qui m'avait autorisé à fouiller dans ses vieilles éditions. Je pense que mon goût pour les enquêtes est venu de là, de cette série. Puis quelques années plus tard, j'ai appris avec étonnement que ses aventures étaient à nouveau publiées, mais sous le nom de Nancy Drew (et oui, Alice Roy n'est que la traduction française) et que des jeux PC ont été sortis avec elle pour héroïne. Quelle surprise ! Malheureusement, j'étais déjà trop grande pour en profiter...

Bref, je le recommande pour faire aimer la lecture aux enfants.

Mais ce n'est que mon avis...
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Alice détective

D'excellents souvenirs d'enfance accompagnent cette série de livre. Que d'aventures auxquelles j'aurais aimé être mêlée ! Je les ai lu et relu avec voracité, en espérant qu'un jour, moi aussi je pourrais être détective...



C'est une bonne série pour la jeunesse, correcte et bien écrite, aisée à lire. Les personnages sont attachants bien qu'un peu caricaturaux lorsque nous nous y replongeons avec quelques années de plus. Cela reste tout de même de bons livres à mettre entre toutes les mains !
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Alice détective

pareil que club des cinq ou Fantômette Alice détective fait partie de mon enfance et de mes premières lectures j'y pense avec nostalgie
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