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Citations de Charles Exbrayat (869)


Un gentleman n'aurait pas eu le sans-gêne de se faire assassiner dans un hôtel où il n'avait même pas pris une consommation.
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Le métier des policiers n’est pas de poursuivre des innocents !
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j'ai pas fait autrechose, pendant quatre ans, que de tuer des gens que je ne connais pas
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Ce n'est pas une raison parce que j'ai eu la chance de me marier avec la seule Anglaise digne d'entrer dans une famille irlandaise que vous pouvez recommencer à tenter le sort, Maureen ! Les miracles ne se renouvellent rarement deux fois.
(P61)
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Il voulut la retenir mais elle se dégagea brutalement :
_ Lâchez-moi ou j'appelle au secours !
Le coeur gros, il dut la laisser partir.
Un vieil homme, qui avait assisté à la scène, s'assit près de lui.
_ Elle est partie...pour de bon ?
_ Oui.
_ Ah!...vous savez, il ne faut pas vous faire trop de mauvais sang...Les femmes on ne sait ce qu'elles valent qu'à l'usage...C'est généralement trop tard. La mienne, Fulvia, quand elle était jeune, il n'y avait pas plus tendre, plus douce...je l'ai épousée, certain que j'avais mis la main sur une perle...
_ Et alors ?
_ Alors, maintenant, je me dis que si elle avait agi comme votre compagne et qu'elle m'eût plaqué avant la noce, j'aurais été un sacré veinard !
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- Mais on vous a enseigné qu'il était correct, normal, de vouloir prendre la femme d'autrui ?
- Du moment que je l'aime et qu'elle m'aime Jane n'est plus la femme d'autrui mais la mienne, seulement la mienne.
- Je croyais qu'elle vous avait assuré aimer son mari ?
- Parce qu'elle ne sait pas encore qu'elle m'aime... parce qu'elle est prisonnière d'habitudes.
-En vous écoutant Mr. Narborough, j'ai l'impression que nos explorateurs ont perdu leur temps en se rendant en Afrique ou en Asie, ils auraient été mieux inspirés de gagner le Cumberland... et maintenant nous allons parler sérieusement car j'ai cinquante-six ans et ce n'est plus l'âge où l'on croit aux fées.
-Permettez-moi de le regretter.
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Je me plaisais à penser à ce que seraient mon angoisse, sa panique s'il pouvait se douter qu'un autre homme, inconnu de lui, s'apprêtait à le traquer. Une exaltation un peu puérile me soulevait. Je me voulais le plus fort. Je ne doutais pas de ma réussite.
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Voyez-vous, vous autres, Florentins, vous ressemblez aux Milanais sur un point, vous vous imaginez qu’avec de l’argent on peut tout obtenir… Tenez, prenez votre équipe de football… Elle obtient des résultats, c’est incontestable mais pourquoi ? hé ? Parce qu’il n’y a pratiquement pas de Florentins dedans… Des mercenaires, simplement des mercenaires venus de tous les coins…
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Elle compris que celui-là, malgré son silence, il avait dû faire une grande provision de misère et qu'il lui faudrait le dorloter un peu à la façon d'un enfant pour qu'il n'y pense plus.
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Ils s'étaient jurés de ne plus se quitter...Maintenant, qu'est-ce qu'il en restait, de tout ça ? Jules était sur la terre, l'autre dessous, et cette petite épaisseur qui les séparait était pire que des océans. En pensant à Agnin, à l'eau qui devait le pénétrer de partout, se glisser dans ses yeux, dans ses oreilles, noyer son dedans, Jules eut un grand frisson. Jamais plus il ne chanterait les airs de son pays, qu'on aurait dit qu'il avait un oiseau dans la gorge, puisque dans sa gorge, à cette heure, il y avait de la terre et que peut-être des herbes y prenaient déjà racine.
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On parlera de nous dans toute l’Italie ! On dira que nous sommes des martyrs ! Et je serais pas étonné qu’on pose, plus tard, une plaque à l’entrée de Stramoletto où il y aura nos noms et ce qu’on a fait !
— Si c’est pas moi qui la lis, cette plaque, alors je m’en fous complètement ! Parce que cette plaque, elle me ressuscitera pas !
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Une longue séparation fait réinventer les événements et la réalité déçoit toujours un peu. Je pense que mon cas est courant, et puis, en prison, on acquiert une autre optique. On aspire davantage au calme qu’au romantisme.
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On a toujours des ennuis.
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Le plus triste n’est pas que nous payions durement les fautes que nous avons commises, mais que d’autres innocents soient obligés de les payer avec nous.
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Le plus triste n’est pas que nous payions durement les fautes que nous avons commises, mais que d’autres innocents soient obligés de les payer avec nous.
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Tous les deux, on essaiera d’oublier le passé… Je ne pensais pas que les choses se présentaient de cette façon, surtout en ce qui vous concerne, mais la vie… la vie, c’est difficile… tout seul, on ne peut pas en venir à bout.
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Tous les deux, on essaiera d’oublier le passé… Je ne pensais pas que les choses se présentaient de cette façon, surtout en ce qui vous concerne, mais la vie… la vie, c’est difficile… tout seul, on ne peut pas en venir à bout.
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Quand on a un magot de trois cent mille francs planqué quelque part, on ne se tue pas.
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Le vrai n’est pas toujours vraisemblable.
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Était-il possible qu’une femme sérieuse l’aimât au point d’avoir risqué une démarche aussi difficile. Il ne comprenait pas ce qui, en lui, avait pu la séduire et inclinait alors à croire à une farce nouvelle. Mais il avait tellement envie d’ajouter foi à la réalité de Jenny… Peut-être n’était-elle pas jolie ? Mais en quoi cela importait-il ? Rimoldi souhaitait de toutes ses forces ne plus être seul. Une femme qui l’aimerait, le comprendrait, lui rendrait sa propre confiance.
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