Citations de Charles Exbrayat (869)
Elle m’a bouleversé… Je croyais que c’était qu’au cinéma qu’on pouvait rencontrer des beautés pareilles… Ah ! si j’étais pas un simple éleveur de moutons, je lui demanderais de m’épouser.
Les hommes, vous êtes tous plus bêtes les uns que les autres ! Vous n’admettez pas qu’on puisse vous jouer la comédie ! Vous méprisez l’amour sincère qu’on vous offre pour des aventures où vous n’êtes même pas assurés d’être seuls !
Quel que soit le prix que tu leur as demandé , tu as été trop bon marché.
On ne prend jamais trop de précautions quand on se rend sur un continent réputé pour sa saleté et ses microbes.
- Un jour, McClostaugh, c'est vous que j'autopsierai, et il n'y aura pas à chercher loin : le coupable, ce sera moi! Vous éprouvez un malin plaisir à m'empêcher de dormir, hein ?
- Ce n'est quand même pas ma faute si les gens s'entretuent de préférence la nuit !
Dans les démocraties, on ne tue pas ses ennemis, on les achète.
Aujourd’hui, les dollars passent avant l’honneur…
Évidemment, se marier, fonder un foyer impose de lourdes responsabilités.
À celles-là on récite des vers auxquels elles ne comprennent rien mais qu’elles feignent d’admirer pour flatter des vanités imbéciles !
Quand on éprouve l’envie de jouer les justiciers, on ne se préoccupe pas de ce que valait humainement la victime.
On se bat, on lutte et puis vient le jour où l’on se résigne et l’on s’accroche à la première planche de salut qu’on peut atteindre…
Une femme amoureuse change de peau, comme les lézards à la belle saison.
Aimer et respecter ses parents ne relève pas de l’intelligence, mais du cœur…
Il y a des limites à toutes les sottises quels que soient ceux qui les commettent.
Une femme amoureuse, on la remarque toujours, parce qu’elle ressemble pas aux autres.
...celui qu’a fait le coup, c’est pour l’argent et une femme de l’âge de Marie Quézac se méfierait d’un homme qui serait son contemporain ou un peu plus vieux… Si elle a perdu la tête, ça peut être que pour un jeune.
Dans mon métier, mademoiselle, on apprend vite que les gens ne sont jamais vraiment ce à quoi ils ressemblent, ce à quoi nos affections ou nos aversions les obligent à ressembler.
Plus de fesse que de cervelle… Bonne fille, pourtant. Peut-être qu’elle a un peu trop tendance à se figurer que la jeunesse ne finit jamais et elle se conduit aussi sottement à cinquante ans qu’à vingt.
On parle souvent des tracasseries et ingérences de toutes sortes dont serait coupable l'administration : services sociaux, municipalité, police. Beaucoup de mères avec lesquelles nous avons discuté estiment que, si on leur avait fichu la paix, elles auraient eu moins de difficultés.
L’amour avait tous les droits, apportait toutes les explications, fournissait toutes les excuses, justifiait toutes les conduites.