Citations de Christian Jacq (1608)
« Changer l’art, écrit Daniel-Rops dans son livre sur Akhenaton, « le roi ivre de Dieu », c’était d’ailleurs aussi contribuer à la grande révolution religieuse, échapper au contrôle qu’exerçait le clergé d’Amon sut toute représentation des images divines, se libérer de ses hiératiques canons. »
(page 127)
Akhenaton, « fils de l’éternité qui est sorti du soleil », naît à nouveau chaque matin sous l’influence des rayons de Créateur.
C’est pourquoi le roi est l’objet d’une vénération analogue à celle que reçoivent les dieux.
Ne voyons là ni mégalomanie, ni culte de la personnalité.
Ce n’est pas l’individu physique qui est adoré par les fidèles mais le principe divin incarné dans le roi.
(page 162)
L'expérience humaine d'Akhenaton fut hors du commun, puisqu'il réussit à faire mettre en pratique par son peuple les lois spirituelles que son voyage intérieur lui avait fait entrevoir.
Ce point nous paraît capital ; un mystique comme saint Jean de la Croix ne rayonne que pour lui-même et un petit groupe d'adeptes.
Akhenaton, au contraire, fait rejaillir sa mystique sur toute une civilisation parce qu'il est pharaon d'Égypte.
(page 12)
Qui dissimile de petites choses, a souvent de grands méfaits à cacher.
Populaire », répéta le professeur d’un air dégoûté. Voilà le problème, Belzoni ! Le peuple n’a pas la capacité d’apprécier de véritables ouvrages scientifiques, et la vulgarisation est un péché mortel. Mettre le savoir à la portée de n’importe
qui m’apparaît comme une faute impardonnable.
La cité universitaire avait connu de sombres heures. Higgins songeait à l'époque de Bloody Mary, la "reine sanglante", Marie Tudor la catholique qui, de 1553 à 1558, avait fait brûler 270 religieux protestants condamnés pour hérésie. Oxford n'avait pas oublié ses martyrs, Latimer, Ridley et Cranmer, honorés par un monument.
Mehy regrettait parfois de ne pas être né grec ou hittite : dans leur pays, la loi n'interdisait pas de supprimer les fillettes en surnombre.
Les Égyptiennes connurent un monde où la femme n'était ni l'adversaire, ni la rivale de l'homme. Un monde qui leur permettait de s'épanouir comme épouse, comme mère, comme femme au travail, comme initiée aux mystères du temple, sans perdre leur identité au profit du mâle. Un monde où le domaine du sacré, dans totalité, leur était accessible.
En cette année 1912, qui resterait celle du naufrage du Titanic, l'Egypte était devenue anglaise
Inculquons-leur de vraies valeurs, à commencer par la générosité.
N'en fait pas trop et n'oublie pas que tu n'es qu'une bête, recommanda le Vieux à Vent du Nord.
Indifférent à cette remarque inappropriée, l'âne continua à dicter le rythme de la procession qui traversa la cité pour revenir au palais royal.
Quand même, ce genre de visite inopinée ne me dit rien qui vaille. Faut qu'on se parfume.
L'âne eut droit à une touche de jasmin sur l'encolure.
La colère est une faute contre les dieux. Elle rend le cœur brûlant et dessèche l’âme. Tu n’as pas le droit de te laisser dominer par elle.
Au milieu de la matinée, le médecin légiste avait coutume de déguster un sandwich. Celui-là était composé de camembert français, de kiwi, de salami, de confiture de groseilles, de tranches de lard et de hareng fumé, le tout accompagné de rasades de whiskey irlandais.
L'amour est aussi synonyme de patience, s'inscrit dans l'attente et l'euphorie s'imprègne de la présence voire de réminiscences ressurgissent électriques et familières telle une présence indélébile et inexorable de l'aimée( e), Ô. Il en est parfois le cas pour l'amour paternelel, maternel, fraternel ou filial ou patriotique : mais c'est le degré qui différencie.
Oko-Olingoba Noemet
L'amour est aussi synonyme de patience, s'inscrit dans l'attente et l'euphorie s'imprègne de la présence voire de réminiscences ressurgissent électriques et familières telle une présence indélébile et inexorable de l'aimée( e), Ô. Il en est parfois le cas pour l'amour paternelel, maternel, fraternel ou filial ou patriotique : mais c'est le degré qui différencie.
Oko-Olingoba Noemet
" L'amour est aussi synonyme de patience, s'inscrit dans l'attente et l'euphorie s'imprègne de la présence voire de réminiscences ressurgissent électriques et familières telle une présence indélébile et inexorable de l'aimée( e), Ô. "
Oko-Olingoba Noemet
"Bluffant et sidérant."
Noemet Oko-Olingoba
" ÉCRIRE ?
Écrire, c’est parcourir un rêve éveillé.
S’approprier les leçons du passé ;
Tout en réinventant l’avenir.
L’amour est le plus beau chant de la vie.
Le décrire avec les turpitudes de la vie :
La mort, la haine, la guerre…
Des barrières irrationnelles, sinon remparts
A la quiétude et la sérénité
Comme à la perfection ou à la lumière.
Un écrivain n’a ni frontière, ni limite
Que l’imaginaire ou la réalité.
Car, il est au fond la matière ou la substance
Même du monde."
Oko-Olingoba Noemet-Lanzorod
Diriger une communauté est la plus inhumaine des tâches