Claire Fauvel

C'est une fille qui adore prendre des photos mais la guerre arrive . Elle doit partir dans des familles d'accueil car elle est juive , elle prend plusieurs photos durant la guerre. A la fin elle rentre chez elle à Paris mais ... Mon avis est que j'ai adoré ce livre mais il y a des moments assez triste . Je recommande ce livre à ceux qui aiment les bandes dessinées avec une fin assez triste et les histoires de guerre . Lolita

Adaptée de l'autobiographie de Phoolan Devi, la bande dessinée de Claire Fauvel permet de suivre le parcours de vie et de lutte de la jeune Phoolan Devi, née dans le Nord de l'Inde. Mariée alors qu'elle n'est encore qu'une enfant, violée par son mari, refusant de se soumettre, elle sera à l'adolescence enlevée par des Dacoits, dont elle adopte la cause. Chef de sa propre bande, elle s'illustre par des actes violents envers des hommes pédophiles ou corrompus, et est admiré par les populations pauvres qu'elle soutient et aide financièrement.

Traquée par la police, elle sera emprisonnée de nombreuses années, avant que sa sortie soit obtenue par le parti socialiste qui lui demande d'être candidate sur ses listes. Claire Fauvel réussit dans cette bande dessinée, dont de nombreux passages sont très sombres, à rendre compte de la force de caractère de cette femme qui survit à une violence inouïe.

Une enfant juive étudie à la maison de Sèvre, à côté de Paris, avec ses deux amis pendant la deuxième guerre mondiale. Elle est nommée responsable de la vitrine à appareils photo. Elle arrête la vie en un clic. Un jour un soldat allemand fait une visite de la maison et demande aux enseignants de faire interpréter l'hymne nationale.

Il m'a plus je le conseil à un enfant aimant la photo et la

2 eme guerre mondiale.



Lizalou

Rachel, une jeune fille juive, est passionnée de photographie et vit dans une sorte d'orphelinat près de Paris. Mais un jour, elle apprend qu'elle doit quitter cet endroit, changer d'identité et partir se cacher des allemands. Avec son appareil photo, Rachel, désormais Catherine, va photographier tout ce qu'elle va voir afin de raconter la guerre en photo.



J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre, car il était émouvant et prenant. A plusieurs moments, on se demandait si elle allait se faire attraper par les allemands, etc... Le fait que ça soit tiré d'une histoire vraie rajoute de l’émotion au livre, car c'est réellement arrivé. Les dessins de cette bande-dessinée sont assez beaux. Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les histoires vraies et qui parlent de la deuxième guerre mondiale.



Esther (5e)





Rachel, une jeune fille juive, est obligée de changer de nom et de fuir pour survivre pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle est passionnée de photo et va fixer tout son voyage sur pellicule.



J'ai bien aimé cette BD, l'histoire est vraiment intéressante. La période de la Seconde Guerre mondiale est vraiment intéressante selon moi, car on découvre la condition des Juifs à cette période. Ce livre nous renseigne beaucoup dessus. C'est une adaptation d'un roman, donc elle est beaucoup plus courte et facile à lire. Les dessins rendent également le récit plus dynamique et vivant. Les personnages ont l'air réels de par leurs caractères, ils sont profonds et non plats. Catherine (ou Rachel) est vraiment un personnage intéressant, c'est une femme forte et indépendante, et ça fait vraiment du bien d'avoir des héroïnes fortes comme elle. Je conseille ce livre à tous les lecteurs car il est facile à lire et vraiment intéressant surtout sur la Seconde Guerre mondiale. Il peut plaire à tout le monde.



Julie (3e)





Rachel est une jeune juive pendant la guerre qui a été mise en pension par ses parents. Elle est nommée responsable de l'atelier photo et travaille avec un curieux personnage nommé Pingouin. Malheureusement elle doit partir car sa pension a été dénoncée : elle entame alors un grand voyage de plusieurs années. ‌



J'ai adoré ce livre par ses graphismes et son histoire. Il est très émouvant et facile à lire comme c'est une BD. Il raconte parfaitement la vie des juifs traqués par les soldats allemands. Ce livre est avant tout tiré d'une histoire vraie.



Hadrien (5e)





C'est l'histoire de Rachel, une fille juive qui a été confiée par ses parents à la maison de Sèvres. Sa passion est la photographie. Un jour des allemands débarquent et tous les juifs doivent se mettre à l'abri et Rachel part dans plusieurs endroits. ‌



J'ai bien aimé cette histoire, car il y avait beaucoup d'émotion, pleins de personnages bien caractérisés. les dessins sont magnifiques et à chaque moment je me sentais dans l'histoire. La fin est super bien !!! Je conseille aussi ce livre aux personnes n'aimant pas les bulles avec trop de texte car il est court et facile à lire.



Milan (5e)





Cette histoire parle d'une fille qui s'appelle Rachel, enfant juive pendant la seconde guerre mondiale. Elle est confiée par ses parents à la maison de Sèvres, une école pas comme les autres .C'est là où elle découvre une passion pour la photographie ‌



j'ai vraiment aimé ce livre ! L'histoire et magnifique, les dessins sont très bien faits . Il est très bien présenté ,tout est magnifique, je me suis plongé dans l'histoire et des passages m'ont très émue.



Coralie (6e)



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C'est l'histoire de Rachel, une petite fille juive qui aime prendre des photos dans une école puis elle doit partir rejoindre une autre famille, sinon elle se fera tuer par les nazis !



Ce livre m'a énormément plus ! Il était chargé en émotion . Il était super ! Il ne parlait pas de la guerre, mais des gens qui la vivaient !!



Milan (6e)





Rachel une jeune juive passionnée de photographie doit fuir la guerre avec une petite fille nommée Alice. Comment va-t-elle échapper à la guerre ?



J'ai beaucoup aimé car les dessins sont bien faits et il est plutôt émouvant car c'est inspiré d'une histoire vraie qui se passe pendant la seconde guerre mondiale.



Lounès (6e)





Rachel, une jeune fille juive passionnée de photographies à l'approche de la guerre devra changer de nom, se séparer de ses amis et ce qu'elle va emporter c'est son appareil photo.



J'ai aimé cette BD car le style de dessin me plait beaucoup, l'histoire est touchante car la deuxième guerre mondiale était une période horrible et qu'elle a eu la chance de survivre. Certains personnages existaient réellement et j'aime beaucoup les bandes dessinées inspirées de faits réels. Je trouve que la BD n'est pas choquante et peut être abordée par la plupart des lecteurs car elle n'est pas très longue et le sujet est intéressant à lire.



Julie (4e)





C'est l'histoire d'une jeune fille qui s'appelle Rachel et qui vit dans une école particulière où les enfants sont plus libres. Tout pourrait être parfait. Sauf que Rachel est juive et que l'histoire se passe pendant la seconde guerre mondiale. Donc Rachel va changer de nom et fuir avec un seul objet, son appareil photo.



J'ai beaucoup aimé ce livre car les images sont magnifiques et que l'histoire est émouvante. C'est un beau livre, très intéressant qui représente des moments que certaines personnes ont vécu. Je conseille ce livre à tous les lecteurs qui aiment les histoires d'aventures et d'émotions.



Julia (5e)





Rachel est une jeune fille juive passionnée par la photographie. Elle a découvert cette passion à la Maison de Sèvres, l'endroit où elle vit. Cela se passe pendant la deuxième guerre mondiale et un jour, on lui annonce qu'elle va devoir changer de nom car ils ont été dénoncés. Rachel Cohen va désormais être Catherine Colin et elle va devoir affronter de nombreuses et périlleuses aventures jusqu'à la fin de cette guerre...



Ce livre était bien car il était émouvant et car c'était intéressant de voir comment les gens ont vécu la guerre.



Esther (6e)

La guerre de Catherine est une belle histoire. Tout d'abord par la fuite d'enfants juifs et par les différentes rencontres. Catherine a vécu beaucoup d'aventures durant son voyage en quittant tous ses amis. Toutes les familles qui l'ont accueillis l'ont aidées. Cette histoire nous a beaucoup plu au sein du club BD. Même si quelques personnes n'ont pas aimé l'histoire, elle reste touchante et émouvante. Nous vous conseillons de lire cette BD.

Rachel est pensionnaire à la Maison des enfants de Sèvres, une école spéciale, où les élèves choisissent leur emploi du temps et sont incités à apprendre par eux-mêmes. Dans cette école, Rachel peut se livrer à sa passion, la photographie. Mais, à l’extérieur, c’est la guerre, et les persécutions contre les juifs ont commencé. Pour échapper aux nazis, Rachel doit changer d’identité, et fuir, avec l’aide d’un réseau de résistance. Rachel devient Catherine Colin. Et, au moment de son départ, elle se voit confier une mission par la directrice de la Maison des enfants de Sèvres : « Prends des photos, collecte des images, et rapporte-nous ça à la fin de guerre. Va, regarde le monde avec des yeux d’artiste […]. Nous aurons besoin de ces témoignages quand la guerre sera finie. »



L’avis d’Elsa, 10 ans : C’est une histoire très triste, car on voit à quel point la guerre était un enfer. Mais j’ai beaucoup aimé, car l’histoire est captivante et qu’il y a beaucoup d’action. 



L’avis de la rédaction : Cette BD est l’adaptation d’un roman de Julia Billet, qui s’est inspirée de la vie de sa mère, Tamo Cohen, devenue France Colin pendant la guerre… Une adaptation très réussie, grâce au talent de Claire Fauvel, qui illustre superbement le beau récit de Julia Billet. 

Une bande dessinée aux illustrations et à l'histoire magnifique.

Nous suivons la vie de Catherine pendant la guerre. Cette petite fille vie certes des moments très durs, mais elle reste plein de vie et d'espoirs.

Il y a un vrai fond documentaire dans ce qui semble être une simple histoire illustrée : la vie des enfants pendant et à la fin de la guerre, on y découvre la photographie et son importance, on instaure un climat familial, d'entraide, d'espoirs .... Tout n'est pas tout blanc et tout noir. Non il y a du gris, de la gentillesse même dans l'autre clan.

C'est une bande dessinée très humaine.

Qui mérite d'être lue a tout age !

Album qui a attiré mon regard dans la librairie. Je ne regrette pas cette lecture, même si elle n'a pas la force d'un album comme Iréna. La jeune Rachel, devenue Catherine le temps de la guerre, voit le monde changé à travers le viseur de son rolleiflex. Elle observe le monde plus qu'elle n'en fait partie, même si par petites touches, elle essaie de rendre moins pénible le sort des enfants juifs, qui comme elle, errent de cachette en cachette.

Si le scénario, tiré d'une histoire vraie ne m'a pas bouleversée car il recèle peu de tensions dramatiques, c'est la mise en image, qui m'a vraiment plu dans cette BD. Notamment les plans et la restitution des clichés de Rachel.

Une belle adaptation qui donne envie de se plonger dans le roman.

Rachel est juive et elle a été recueillie au sein de la Maison de Sèvres avec d'autres enfants au début des années 1940. le directeur de l'établissement va lui transmettre pendant son séjour sa passion pour la photographie. Mais c'est la guerre, et les rafles se multiplient. Rachel doit alors changer d'identité et fuir.



Tout au long de l'album, on suit la jeune fille d'un couvent à un orphelinat ou cachée à la campagne. Toutes ces années de guerre ont été marquées pour Rachel en rencontres fortes qu'elle n'oubliera jamais. Des personnes qui ont risqué leur vie pour sauver la sienne.



Inspirée d'une histoire vraie puisque c'est la mère de Julia Billet qui a été pensionnaire à La Maison de Sèvres, cette BD est adaptée d'un roman jeunesse, écrit également par l'auteure, que je compte bien aller découvrir car j'ai vraiment été touchée par ce récit.



Les illustrations de Claire Fauvel sont sublimes ainsi que les couleurs qui nous plongent au coeur de l'Occupation. L'intrigue est également très rythmée et l'émotion est au rendez-vous de cette lecture.



A travers le regard de Rachel et de ses instantanés, on découvre un superbe témoignage des années de guerre marquées par les privations, la solitude loin de sa famille et la peur d'être déporté.



Un magnifique portrait avec l'histoire de cette jeune fille qui m'a touchée par son courage malgré les années d'Occupation. Un récit plein d'humanité et d'espoir.
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Seconde guerre mondiale. En cette année 1941, les lois françaises contre les juives promulguées par le régime de Vichy se durcissent encore (ouverture du camp de Drancy et port de l’étoile jaune). Rachel n’a plus de nouvelles de ses parents depuis qu’ils l’ont confié aux bons soins de la maison de Sèvres pour qu’elle y soit en sécurité.



La scolarité est assez libre dans l’établissement qui accueille des pensionnaires, pour la plupart des juifs cachés aux autorités. Responsable de l’atelier photo, Rachel se voit confier un Rolleiflex par Pingouin, le mari de Goëland, la directrice. Elle et lui seront désormais inséparables et Rachel va passer son temps à immortaliser son quotidien et celui de ses camarades.



Mais ce bonheur simple va bientôt prendre fin pour Rachel, obligée d’abandonner son identité juive pour endosser celle d’une française bon teint en devenant Catherine Colin et de quitter la maison des enfants et ses amis Sarah et Jeannot pour rejoindre la France libre…



Avant d’être un roman graphique, La guerre de Catherine est un roman jeunesse de Julia Billet édité à L’école des Loisirs dont j’ignorais l’existence, je ne sais donc pas si cette adapation est en tous points fidèles à l’œuvre originelle mais ce que je peux vous dire en revanche c’est de la lire ou la faire lire à vos enfants absolument !



L’histoire de Catherine est inspirée de celle de la mère de Julia, Tamo Cohen dite France, recueillie elle aussi à la maison de Sèvres. Les personnages de Pingouin et Goëland ont réellement existé et l’auteure leur rend ici un bel hommage, ils ont d’ailleurs été déclarés justes après la guerre.



Le dessin enfantin de Claire Fauvel associé au scénario de Julia Billet font mouche et retracent à merveille le parcours de ses enfants juifs cachés par la résistance dans des écoles ou des couvents.



J’ai adoré cette bande dessinée pleine d’émotions, on s’attache fatalement à Rachel, aux enfants et aux adultes qui croisent sa route. Ses hommes et ses femmes qui risquaient leurs vies pour sauver des enfants d’une mort certaine en déportation sont formidablement mis en lumière ici.



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Lien : https://deslivresdeslivres.w..

Bel album orientalisant, sur le thème de la recherche créative.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..

Une histoire qui aurait pu me plaire mais qui n'a un peu laissée de marbre.



Je ne sais pas ce qui m'a réellement déplu dans cette histoire. Les dessins sont très beaux mais je n'ai pas réussi à m'accrocher à l'histoire et à ses personnages. Je trouvais les deux personnes principaux assez...spéciaux mais surtout, leurs réactions n'étaient pas toujours très corrects. De plus, je ne comprenais pas la moitié de leur décision.



J'ai tout de même apprécié les dessins, la colorimétrie et le plongeon en Egypte. Pour le reste, je suis assez mitigée.



Tout allait vite, peut-être même trop vite à certains moments mais ce n'était pas trop dérangeant. Et le reste, j'en ai déjà parlé.



Je pense adorer cette bd mais j'ai simplement apprécié sans plus que ça. Cette appréciation est aussi peut-être due au fait que je n'arrivais pas à rentrer et à comprendre complétement l'histoire mais au moins, j'ai beaucoup aimé le style graphique, qui m'a permise de suivre le court de l'histoire.

Nawel a un tempérament explosif, quand Alice lui fait découvrir Paul McCartney et les Beatles, c'est le coup de foudre musical pour elles. Elles fondent un groupe, pour le meilleur et pour le pire. De la banlieue à Paris, de la rue aux salles de concerts, la musique est tout pour Nawel, jusqu'à ce que la réalité revienne lui frapper au visage : le monde n'est pas beau mais la vie continue.



Une jolie BD autour du rock, des influences, de l'amitié et un soupçon d'amour et de déception. Claire Fauvel aborde avec justesse le décalage culturel et social entre la banlieue et Paris, ainsi que celui de la famille musulmane de Nawel et du rock. Une bonne bd à l’image du rock : tendre et explosif à la fois.

Je suis assez mitigée...



Ava est une danseuse reconnue, Ian un futur danseur. Quand ils se rencontrent après une représentation dans l'école de danse de Ian, Ava a comme un coup de foudre pour l'étudiant : elle veut danser avec lui (et un peu plus).



Ian est jeune, il a encore de l'espoir : il est écolo et quand il rencontre Ava qui lui propose un rôle, Ava dont il est fan depuis tout petit, il semble vivre un rêve.



J'ai eu un peu l'impression de lire l'histoire clichée de la "jeune fille passionnée de danse qui rencontre une personne qui lui vend une occasion de rêve alors qu'en fait, cette personne n'a à lui proposer que du vent et du X" (même si là, les rôles sont inversées).



Je n'ai pas compris tout de suite qu'on était dans une "dystopie" comme au début, ça ressemble quand même plus ou moins à notre société actuelle (ou en tout cas, ce qu'elle pourrait devenir dans quelques années).



Je ne me suis pas du tout attachée à Ava mais j'ai trouvé Ian touchant. En ce qui concerne leur rapprochement et ce qu'on va appeler leur histoire d'amour, je ne l'ai pas aimée parce qu'ils ne discutent pas et qu'on allait vers une relation toxique (c'est typiquement le "oh, tu m'énerves, je me casse" puis "oh non, j'ai besoin de toi, reviens ouin ouin").



Les seules parties que j'ai aimées sont les côtés sombres de l'histoire, peut-être pas assez exploitées. Toute la partie du conte (souvenir d'Ava) était bien, avec la morale sur le bien et le mal. Et elle a fait écho avec Ian et sa conception écologique et ça aurait pu donner quelque chose mais ah bah non, Ava est bourrée et ne prend pas son coté "écolo-bobo" au sérieux.

Une chouette histoire, réaliste, qui ne tombe ni dans le mièvre dans l'idéalisation. J'ai beaucoup aimé suivre Nawel et Alice depuis leur rencontre et la naissance de leur amitié inattendue jusqu'à leur vie à Paris, leur difficulté à s'y faire leur place et à percer dans le milieu de la musique. C'est assez rafraichissant de lire une histoire qui ne gomme pas ces difficultés et qui montre avec sincérité le parcours de deux jeunes femmes qui doivent redoubler d'efforts pour poursuivre leurs rêves. Les passages où on voit l'effet de la musique sur Nawel et comment elle l'inspire à créer à son tour m'ont particulièrement touchée.

Une lecture inégale due aux différents bédéistes qui composent le recueil de leur histoire, parfois drôle, parfois moins. Avec le recul ils reviennent sur ce qui a fondé une partie de leur personnalité avec sensibilité et drôlerie mais aussi philosophie.

On s’y croirait ! Ou ça ? À l’Estaque Marseille, au lycée, à la plage, dans les poches pleines de sables des deux protagonistes qui s’adorent mais peinent parfois à se comprendre, dans leurs playlists de RAP. Un récit chorale super bien écrit.

Franchement, j’attends le prochain roman avec impatience.

J'étais assez curieuse de découvrir cette romance jeunesse/Young Adult avec son pitch de départ même si, je l'avoue le titre me bottait nettement moins. Je me suis donc lancée dans cette histoire sans attente particulière. Pourtant, j'en ressors déçue.



Avant de parler de ressenti, quelques mots sur l'histoire. Nous y suivons quelques jeunes et notamment Louisa, 15 ans qui souffre d'anxiété. Alors que le premier confinement à lieu, Louisa, voit ça comme un bon moyen de souffler un peu. Mais la vie reprend son court, entre amitiés qui durent, amour et possibilités d'avenir.



J'ai l'habitude de lire des romans dans ces tranches d'âges là et arrive sans problème à me plonger dedans sans avoir l'impression d'être trop vieille pour ça. Pourtant ici, mon premier problème c'est que j'ai eu la sensation qu'un écart s'était creusé. J'ai levé les yeux au ciel une bonne centaine de fois et j'avoue que le langage utilisé a joué en sa défaveur. Qu'on glisse quelques termes de langages familiers pour accentuer le côté jeunesse, pourquoi pas, mais quand les dialogues sont ponctués de : keum, go et j'en passe à longueur de temps et qu'en prime on est la sensation d'une caricature des jeunes de Marseille, franchement ça a eu un effet too much pour moi.



Côté histoire, on reste très en surface. L'histoire d'amour naissante est difficilement crédible je trouve. On est sur un coup de foudre avec dégoulinage de sentiments au bout de deux "rendez-vous" et même si généralement je suis bon public en romance, je suis restée sur ma faim. Côté amitié, c'est mieux, Louisa et Nada ont une relation amicale assez forte et c'est chouette de les voir se soutenir. Enfin, quelques lignes sur les parents, notamment ceux d'Arthur mais très peu développées, ce qui est dommage car il y avait le potentiel.



J'avoue ne pas avoir été sensible à la plume non plus. J'ai trouvé le récit assez lent et pourtant, il comporte peu de pages et le roman est composé de pas mal d'éléments comme des notes manuscrites, des sms et donc, ça se lit extrêmement vite. Et si je trouve ça chouette d'en avoir, ici, je ne les ai pas trouvé tous pertinents. Avoir le bulletin de classe de Louisa dans son détail ? Pas sûre de l'utilité. De plus, pas mal de paroles de chanson (du rap principalement) sont présentes et là encore, quelques unes parsemées dans le récit pourquoi pas, mais autant ? Sans doute que cela m'a aussi moins emballé vu que les rappeurs cités ne me plaisent pas.



J'ai été au bout de ma lecture, espérant que la fin me donnerait tout de même l'impression de terminer ma lecture sur une note positive mais malheureusement j'ai tourné la dernière page en me disant : tout ça, pour ça ? Je n'aime pas les fins ouvertes et ici ça a été la goutte d'eau de trop.



En conclusion, je n'ai vraiment pas accroché à cette histoire. Je me suis sentie complètement extérieure et j'ai trouvé le tout trop jeunesse pour moi. Je suis déçue parce qu'il y avait des sujets intéressants tels que l'anxiété, la violence conjugale, l'amour ou encore l'amitié mais finalement le tout est traité trop en surface pour me plaire. Dommage.
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14 autrices et auteurs BD (la parité est respectée !) se sont prêtés à l’exercice de raconter l’été de leurs 17 ans. Entre humour et nostalgie, vie sociale et solitude, travail et farniente, l’album donne à voir des jeunesses et des tempéraments différents.



J’aime beaucoup ce genre de recueil qui confronte des visions et des styles graphiques très différents. L’ensemble est très frais, et parlera tant aux ados qu’aux adultes. Je suis quant à moi plutôt curieuse de découvrir les autres parutions de cette nouvelle collection Bayard graphic !

Compilation des étés de différentes personnalités, c’était super intéressant à lire. On y trouve vraiment de tout, ça peut rappeler des souvenirs à certains 💭



Je n’ai pas forcément accroché à tous les styles mais dans l’ensemble j’ai bien aimé autant le dessin que les couleurs. Plusieurs anecdotes ont su me faire rire aussi. J’aurais cependant aimé avoir peut être des 17 ans en rapport avec nos 17 ans (Ok c’est pas super clair) 😂 Mais j’avais plutôt l’impression de lire les 17 ans de nos parents par exemple ahaha.



En tout cas ça se lit vraiment vite. On peut enchaîner les histoires ou en lire une par jour, une de temps en temps. Le format est vraiment sympa on ne se casse pas les yeux pour lire. C’était donc une chouette petite lecture avant que l’été ne s’installe 🌿
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