AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Clifford D. Simak (332)


Un jour j'ai cru que l'Homme peut-être avait pris la mauvaise route, que quelque part dans le monde de sombre sauvagerie d'où il avait fini par émerger, il était parti du mauvais pied. Mais je vois bien que je m'étais trompé. Il y avait pour l'Homme une route et une seule : celle de l'arc et de la flèche.
Commenter  J’apprécie          00
(...) son désir de connaitre la philosophie de Juwain l'exprime assez clairement, mais on remarquera que cette philosophie ne l'intéresse pas pour la compréhension qu'elle pourrait lui donner, mais pour la puissance et pour la gloire qu'il compte en tirer.
Commenter  J’apprécie          00
La pression sociale, 'était cela qui avait maintenu la cohésion de la race humaine pendant tous ces millénaires, 'était cela qui lui avait donné son unité, tout comme la pression de la faim avait enchainé les fourmis à une structure sociale figée.
Le besoin de chaque être humain de se sentir approuvé par ses semblables, le besoin d'un certain culte de la fraternité : un besoin psychologique, presque physiologique d'être dans la norme. C'était une véritable force qui empêchait les hommes de prendre la tangente de la société, et dont découlaient la sécurité et la solidarité humaines et le on fonctionnement de la famille humaine.
Commenter  J’apprécie          00
" - Je ne ferais pas de saletés, dit Nathanael. Parole d'honneur. Oscar m'a baigné ce soir."
Commenter  J’apprécie          00
— La cité est un anachronisme. Elle ne sert plus à rien maintenant. […] La cité a d'abord été un emplacement tribal, l'endroit où les membres de la tribu se rassemblent pour se protéger les uns les autres. Plus tard, on a élevé un mur autour de cet emplacement pour assurer une meilleure protection. Puis le mur a fini par disparaître, mais la cité a continué à vivre en raison des commodités qu'elle offrait au commerce et aux échanges. Elle s'est perpétrée jusqu'à l'époque moderne parce que les gens étaient obligés de vivre à proximité de leur travail et que leur travail était dans la cité.

LA CITÉ.
Commenter  J’apprécie          00
Les gens s’en iraient sur Jupiter, abandonnant sans regret leur vie humaine.
Et dans le Système Solaire, tout le Système Solaire à l’exception de Jupiter, le champ resterait libre pour la race des mutants ; ils pourraient y instaurer un mode de vie de leur choix, qui n’aurait plus guère de rapports avec la civilisation de la race dont ils étaient issus.
Commenter  J’apprécie          00
Les mutants étaient une race à part, des rejetons qui étaient d’un coup allés trop loin. Des hommes qui étaient devenus de véritables individus, n’ayant besoin ni de l’appui d’une société, ni de l’approbation d’autrui, totalement dépourvus de l’instinct grégaire qui maintenait la cohésion de l’espèce, des êtres sur lesquels les pressions sociales demeuraient sans effet.
Commenter  J’apprécie          00
Si seulement on pouvait parvenir à une entente. Si seulement les mutants et les hommes pouvaient travailler de concert. S’ils pouvaient oublier cette guerre sournoise et sans vainqueur, ils pourraient aller loin tous les trois : l’homme, le chien et le mutant.
Commenter  J’apprécie          00
Un robot qui servait la famille depuis quatre générations, qui parlait d’hommes morts depuis longtemps comme si c’était hier encore qu’il leur avait apporté leur whisky. Un vieillard qui s’inquiétait du sort d’un astronef qui glissait dans les ténèbres de l’espace, au-delà du système solaire. Un homme qui rêvait d’une autre race, d’une race qui pourrait marcher la patte dans la main de l’homme sur la voie du destin.
Et dominant tout cela, l’ombre à peine évoquée de Jérôme A. Webster, de l’homme qui avait manqué à son ami, du chirurgien qui avait manqué à ses devoirs.
Juwain, le philosophe martien, était mort alors qu’il allait faire une grande découverte, parce que Jérôme A. Webster n’avait pas pu quitter cette maison, parce que l’agoraphobie l’enchaînait à un domaine de quelques hectares.
Commenter  J’apprécie          00
«Ne prenez pas ces récits trop à cœur car le désarroi, sinon la folie, guette ici le chercheur trop anxieux de savoir .»
Commenter  J’apprécie          00
Il existe des gens, appelés historiens, dont le travail consiste à étudier l'histoire. Or il y a une foule de choses dont ils ne sont pas sûrs parce que ceux qui en ont rendu compte l'ont mal fait. Mais s'ils pouvaient remonter dans le temps pour voir ce qui s'est réellement passé et parler avec ceux qui ont vécu les événements, alors ils les comprendraient mieux et l'histoire serait mieux écrite.
Commenter  J’apprécie          00
Quand il y est poussé, l’esprit humain trouve toujours une solution.
Commenter  J’apprécie          00
Même si l’intolérance existait, dit Maxwell, je ne vois pas pourquoi elle vous heurterait. Elle salirait davantage celui qui l’éprouverait que celui vers lequel elle serait dirigée. Ce serait non seulement une preuve de sa mauvaise éducation mais aussi de son peu de culture. Il n’y a rien de plus bête que l’intolérance.
Commenter  J’apprécie          00
Une dentelle d'éclairs s'étendait dans les cieux, leur éclat encore augmenté par celui de la roue de flammes. La terre même tremblait et le bruit devint si intense qu'il semblait être une force qui vous tenait en son pouvoir.
Un grand nuage s'éleva du centre du cercle de feu. Cornwall l'observa, se rendit compte que c'était la poussière des pierres écrasées montant à travers la roue comme fumée à travers la cheminée.
Tout cessa brusquement. L'anneau de feu s'éleva, se divisa en cinq petites roues qui montèrent comme flèches dans les cieux, tournèrent vers l'est, et disiparuent à une vitesse folle en quelques secondes.
Commenter  J’apprécie          00
Quelle multitude de choses futiles pour forger un destin !
P.204
Commenter  J’apprécie          00
A dire vrai, je ne suis pas branché science-fiction, mais j'ai vraiment été étonné par l'originalité de la trame. Alors, si vous souhaitez vous aussi vous laissez surprendre, je valide!
Demain les chiens vous tiendra éveillé jusqu'à la fin!
Commenter  J’apprécie          00
J'ai lu, p. 148

« — Je ne peux pas revenir, dit Towser.

— Moi non plus, dit Fowler.

— Il referaient de moi un chien, dit Towser.

— Et de moi, dit Fowler, un homme. »
Commenter  J’apprécie          00
J'ai lu, p. 10

« Une créature dotée d'une structure nerveuse suffisamment complexe pour créer une culture serait incapable, selon eux, de survivre à l'intérieur de limites aussi étroites.
Selon ces autorités, l'expérience de la cité, si elle était tentée, mènerait à un état de névrose collective qui aurait tôt fait de détruire la culture même qui l'aurait édifiée. »
Commenter  J’apprécie          00
Un monde, puis un autre, comme on dévide une chaîne. Un monde qui marchait sur les talons d’un autre qui lui-même allait de l’avant. Un monde pour demain, un autre pour aujourd’hui. Et hier est demain et demain est le passé.
Commenter  J’apprécie          00
"Nous voyageons d'étoile en étoile. Plus vite que la pensée. Pour cela, nous nous servons de ce que vous appelleriez des machines. Mais ce ne sont pas des machines. En tout cas, pas dans le sens où vous l'entendez."
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Clifford D. Simak Voir plus

Quiz Voir plus

La Voleuse de livres

Que voit en premier la Mort ?

Les humains
Les couleurs
Les âmes
Les yeux des mourants

11 questions
463 lecteurs ont répondu
Thème : La Voleuse de livres de Markus ZusakCréer un quiz sur cet auteur

{* *}