Dan Brown

Lu au tout début du succès de Dan Brown donc pas "polluée" par toute la vague à la mode qui a suivi et c'est ce qui m'a sûrement fait apprécié ce livre. J'ai vraiment beaucoup aimé, enthousiaste sur l'histoire, les personnages même si parfois j'ai trouvé l'intrigue trop bâclée.

Il n'empêche que c'est un super livre, plein de suspense, de rebondissements, passionnant dans ses descriptions de peintures et autres œuvres d'art, un bon polar qui tient son lecteur en haleine, bref, un livre qui a amplement mérité son succès.

Un bon divertissement vite lu, vite oublié.

Quelque vérité historiques mélangées à beaucoup de fiction, un peu d'ésotérisme, bien agiter et servez avec beaucoup de publicité... et c'est le succès commercial.

Cela dit j'ai passé un bon moment.

Le thriller ésotérique qui a ouvert la porte à toute une série d'auteurs prolifiques dans le genre et qui malheureusement a basculé dans le roman commercial.

Dont Dan Brown est la première victime.



Oui j'ai adoré le Da Vinci Code, et pour plusieurs raisons.

Malgrés les inexactitudes, le flou de certaines affirmations historiques, scientifiques ou théologiques, le roman reste passionnant (si on aime le mysticisme et l'univers ésotérique s'entend).

Par ailleurs l'intrigue ne manque pas d'action ni de suspense, et le protagoniste Robert Langdon en voit de toutes les couleurs tout au long du livre.

Ensuite le style et la plume sont légers, pas de prise de tête, cela se lit vite et bien.



C'est pas de la haute voltige, mais le roman tient ses promesses, un bon moment de divertissement, du suspense, on n' en attend pas plus.

Robert Langton reçoit un appel urgent de la part de l’assistant de l’homme qu’il considère depuis de nombreuses années comme son mentor – Peter Solomon.

Celui-ci lui demande de venir d’urgence à Washington afin de donner une conférence au Capitol. Il est également chargé d’emmener dans ses bagages le paquet que Solomon lui a confié pour le garder en lieu-sur. Ce paquet a été scellé du sceau de la famille Salomon il y a plusieurs générations. Langdon ne sait pas ce qu’il contient.



Arrivé au Capitol, Langton se rend vite compte qu’il a été piégé, aucune conférence n’est prévue ce soir-là. En guise de comité d’accueil, c’est la main coupée de son ami qui l’attend au centre de la rotonde ainsi que la CIA, Robert comprend très vite que son ami est en danger, il n’a que quelques heures pour décoder un mystère qui va changer à jamais l’humanité.



On retrouve dans ce livre les ingrédients qui font le succès des livres de Dan Brown : course contre la montre, théorie du complot, des lieux célèbres, des énigmes à décrypter…. Des courts chapitres qui donnent du rythme à l’histoire.



Les personnages sont intéressants, l’histoire est construite de façon à ce qu’à certains moments le lecteurs ne sait plus s’il a affaire à un allié ou à un ennemi.



Comme toujours aussi, on peut saluer le travail documentaire considérable réaliser par l’auteur notamment sur la franc-maçonnerie.



Les amateurs du genre apprécieront sans nul doute.

J'ai eu un peu de mal avec la lecture de ce roman. J'ai souhaité le lire car durant mon adolescence j'ai vraiment beaucoup aimé le film, au point de le voir plus d'une dizaine de fois. Je me suis donc penchée vers le roman lorsque je l'ai trouvé dans une braderie. Seulement voilà, le souci est que je me souviens encore parfaitement du film et de l'histoire racontée. Grossière erreur me direz-vous que de lire un livre après avoir vu autant de fois le film, et vous auriez parfaitement raison !

Au-delà de ce point négatif, qui m'est propres, et qui m'a empêché d'apprécier ma lecture à sa juste valeur, j'ai tout de même bien aimé ce roman. J'ai retrouvé les mêmes attraits que pour le film, notamment la recherche du Graal. Mais ce que j'ai tout particulièrement apprécié, c'est le fait d'en apprendre beaucoup sur la religion et l'histoire. Ma lecture de ce livre fut longue car elle s'est accompagnée de beaucoup de recherches sur les thèmes abordés. Et c'est là une chose que j'ai grandement appréciée. Pour ma part, tout l'attrait du roman réside dans ses interrogations sur la religion, le rôle de l'Eglise catholique et celui des sociétés secrètes. Même si tout ce qui est raconté n'est pas véridique, le questionnement qu'il amène sur ce que l'on sait, ou ce que l'on croit savoir, est particulièrement intéressant.

Un livre relu en dehors de son contexte



Comme je suis une grande personne, je me souviens du soulèvement médiatique qu’a provoqué la sortie de Da Vinci Code. On a eu au moins la sortie de 4 livres pour démontrer que l’auteur avait tout faux. Et moi, je me demandais si c’était un bon livre. Heureusement, ma maman était une plus grande personne que moi donc elle a acheté tous les bouquins. Sa conclusion était qu’on ne savait pas ce qui fait que je n’en ai pris qu’un : le Da Vinci Code pour savoir si l’histoire était sympa.



Et j’ai lu le livre en plein milieu de la sortie du film du coup, je suis allée le voir aussi mais comme je ne suis pas fan de l’actrice principale (Audrey Tautou, ce qui n’est pas de sa faute, on la voyait tout simplement de trop sur les écrans), j’ai préféré le livre. Mais sachez-le : le film est très fidèle au livre. Le débat de l’époque était qu’on sous entendait que Jésus ait eu une descendance. Comme je suis super ouverte côté religion, cela ne m’avait pas dérangée plus que cela. Mais imaginez les fervents catholiques et surtout l’Eglise. Mais le Da Vinci Code, ce n’est pas un roman qui débâte de la vie de Jésus, c’est un livre qui parle de beaucoup plus de choses.



Le Da Vinci Code, une aventure historique.



Tout le monde a oublié quelque chose d’incroyable avec ce livre : ce n’est pas un livre sur la religion, c’est un livre sur une aventure humaine qui pioche ses éléments avec l’Histoire. Laissez-moi vous montrer : un meurtre horrible et mystérieux se produit à l’intérieur du Louvres. On soupçonne Robert Langdon, un spécialiste en symboles car Jacques Saunières, la victime, le désigne dans un mot. Or, ce n’est pas pour le désigner comme coupable que la victime l’a désigné mais pour aider sa petite fille à trouver le meurtrier et le mobil. Ainsi, le roman est une quête pour trouver l’origine d’un assassinat.



Mais cette aventure devient une quête initiatique pour Robert et pour Sophie car on va chercher la vie secrète de la victime. Et il a laissé des indices qui font référence à l’histoire. De quête initiatique, nous transformons ce roman en geste chevaleresque puisque Robert, de sa position de professeur et érudit, devient un chevalier moderne qui va aider Sophie à s’armer contre la vérité. Et lorsqu’il ne trouve pas la solution, l’auteur nous montre la dualité et la complicité de ce duo parce que c’est Sophie qui la trouve.



Da Vinci Code, une belle aventure qui fait rêver.



En dehors de la belle enquête que propose le livre, il faut avouer que Dan Simmons a un sacré talent pour l’écriture et la documentation. Qu’est-ce que cela donne comme résultat ? Et bien en lisant ce livre, vous avez envie de parcourir de ces centaines de musées, de monuments historiques et d’Eglises. Vous avez envie de retrouver les carnets et les croquis de Leonard de Vinci et d’ouvrir un atelier de bricolage pour refaire les inventions de cet érudit. Vous avez enfin envie de vous refaire quelques années d’histoire pour s’amuser des coïncidences.



En bref, voilà un très bon livre, facile à lire, et plus important encore qui vous donne des envies de curiosité. Vous aurez des propensions à chercher des énigmes et des codes et vous vous prendrez aussi à rêver de voyages. Et entre nous, c’est la fonction principale d’un livre : vous divertir.
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"D'où venons nous ? Où allons-nous ?"

Ce qui me lasse chez Dan Brown, c'est son obsession à "recycler" les ingrédients qui ont fait le succès de ces précédentes oeuvres. Autrement dit : un mort, une jolie jeune femme, le secret de la compréhension de l'univers, et la fin du monde. Donc quand, pour la cinquième fois, on assiste au même déroulé, comprenez que j'aimerais demander à Dan Brown comment il fait pour, malgré tout, nous tenir en haleine... Avouez que c'en est troublant ! Quelle différence y a-t-il entre Vittoria, Sophie, Sienna et Ambra, par exemple ? A peu près aucune. Mais à chaque fois , on s'y attache, car chacun de ces personnages a finalement sa personnalité propre à lui-même. Désormais, j'attends le crossover ultime où Robert découvre que Ventresca, Teabing, Mala'kh, Zobrist et Winston sont toujours vivants (si on peut appliquer ce terme à Winston) ! Capillotracté, dites-vous ? J'en admets volontiers. Mais voyez-vous, ce sera toujours plus novateur qu'un "Anges & Démons V6" !

Robert Langdon est un spécialiste de la symbologie religieuse. Avec ça il arrive qu'il attire les cinglés mais l'auteur du coup de téléphone qu'il reçoit en plein milieu de la nuit n'en est pas un. Un éminent scientifique du CERN a été retrouvé mort, sur sa poitrine le sigle d'une ancienne secte antireligieuse, "les illuminati", est marqué au fer rouge. Ce scientifique venait de découvrir l'antimatière, une bombe qui peut détruire le Vatican dans son ensemble. Et elle a disparue...



C'est un nouveau thriller passionnant que nous livre Dan Brown, du genre qu'on a bien du mal à lâcher avant la dernière page!

La mise en place du début nous présente les personnages et les enjeux. Il y a bien quelques passages techniques sur la physique quantique mais que les néophytes et les allergiques à la science se rassurent, on comprend facilement l'essentiel! Ensuite toute l'action se déroule à Rome. C'est une véritable chasse au trésor à travers l'art et la religion et à la fois une course poursuite avec le tueur et course contre la montre car le compte à rebours a débuté.

L'action est incroyablement condensée, quelques heures pas plus. A tel point que des fois on se demande s'il est vraiment possible de faire tout ça en si peu de temps. Principalement à la fin, la dernière heure de tension où le temps semble se dilater et ralentir.

C'est bien écrit, fluide et sachant maintenir le suspense et la tension jusqu'au bout. Une lecture passionnante du début à la fin.

J'ai lu ce roman en 2004 et si j'ai passé un bon moment je n'ai été complètement emballée par ce best-seller que je n'aurais sans doute pas lu si on ne me l'avais pas offert. Je reconnais que c'est un bon polar au suspense très prenant, mais j'ai trouvé que l'utilisation des codes rend le roman souvent obscur pour le lecteur qui ne peut que prendre pour argent comptant ce qu'on lui raconte.

L'auteur a vendu environ deux cent million d'exemplaires de ses livres, c'est un nombre inconcevable ! Son livre « Da Vinci Code » est probablement le livre le plus vendu et probablement aussi le plus connu. Je l'ai lu d'abord en anglais, ensuite j'ai regardé le film, en anglais, et finalement j'ai lu le livre en français. (Il y avait quelques années entre les trois activités…). N'importe quelle langue, le livre est fantastique. D'ailleurs, j'ai aimé les versions écrites plus que le film…



Le récit est connu. Robert Langdon, un professeur de symbolique religieuse américain, se trouve mêlé à une enquête policière pendant son séjour à Paris. Après il a été faussement accusé du meurtre d'un conservateur au Musée du Louvre, il échappe à la police parisienne. Il est aidé par une policière, Sophie Neveu. Elle croit que Langdon est innocent, bien que le conservateur tué soit son grand-père.



Tous les deux commencent à une quête compliquée : trouver le coupable et découvrir les raisons pour lesquelles le conservateur a été tué. Juste avant de mourir, le conservateur a écrit quelques symboles sur le plancher et Langdon va essayer de les décrypter. C'est une quête dangereuse, car le meurtrier est un membre de l'Opus Dei, une institution de l'Église catholique. Il tue n'importe qui pour protéger un grand secret de l'Eglise, un secret « susceptible d'ébranler les fondements de la foi chrétienne ». Évidemment, ce n'est pas nécessaire de mentionner que Langdon va découvrir la vérité et dévoiler le secret invraisemblable mais excitant quand même.



Je trouve le livre très bien écrit. L'histoire est intéressante et vraiment captivante. La composition du récit est bonne et les développements sont logiques et crédibles. L'auteur a réussi à créer du suspense. Il a réalisé une ambiance mystérieuse et attirante par intégrer beaucoup de références à des affaires historiques sans ralentir le récit. Malgré toutes les explications, qui sont vraiment nécessaires pour comprendre tous les symboles, le récit reste captivant. C'est une très bonne lecture qui pourrait enthousiasmer le lecteur de lire ou relire quelques livres historiques.


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J'ai la fâcheuse habitude d'attendre que la vague de popularité d'un livre soit terminée avant de m'y attaquer. Ma lecture de Da Vinci Code ne fait pas exception, puisque je le lis 10 ans après sa parution initiale.



Les plus récentes critiques que j'ai lues sur le livre étaient très loin d'être aussi enthousiastes que les premières, qui acclamaient presque ce livre comme celui du siècle. Ce qui fait que, en gros, je m'attendais à être déçue ou à ne pas embarquer totalement.



Ce fut une erreur, puisque au final, j'ai adoré ma lecture, moi qui pourtant n'ai pas d'intérêt particulier pour l'art, l'histoire de l'art ou la religion. J'ai surtout été fasciné par le génie de l'auteur, par sa façon de faire résoudre de grandes énigmes par ses personnages et par sa grande connaissance des symboles religieux. J'ai aussi apprécié les revirements de situation, certains attendus et d'autres non. Mais ce qui me marquera le plus, c'est que par la lecture de Da Vinci Code, comme pour plusieurs autres personnes d'ailleurs, j'ai découvert une autre façon de voir la religion catholique.
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Le Da Vinci Code est ce que j'appelle un livre-Mac-Do :



Je prends plaisir à me faire un menu maxi best of de temps de temps. Oui, un réel plaisir, je ne peux le nier.

Et en même temps, je sais que c'est de la cochonnerie, et je sors de là en me demandant pourquoi je m'inflige ça.

Snobisme et masochisme ne font pas bon ménage !



J'ai dévoré le livre en deux jours en oubliant tout ce qu'il y avait autour de moi... mais sans réussir à faire abstraction d'un style d'écriture qui m'a déplu au plus haut point.

Un livre dont on a beaucoup parlé, et même fait un film.

Pour être honnête, je n'ai pas aimé : c'est un roman policier, des intrigues, beaucoup de personnages, histoire trop compliquée, ce n'est pas une détente que la lecture de ce roman.

Quelques bons passages dans le Louvres mais je ne le conseillerai pas.

Jacques Saunière est mort, sauvagement assassiné, au Louvre. Peu avant sa mort, il avait contacté Robert Langdum, expert en symboles. Avec la nièce de Jacques, Sophie Neveu, Robert va se lancer dans une course contre la montre pour résoudre les énigmes laissées par ce chef franc-maçon et découvrir ses secrets avant l'Opus Dei...



Da Vinci Code est un excellent thriller, un vrai "page turner", où on ne s'ennuie pas une minute.



Da Vinci Code n'est pas une oeuvre historique, c'est une oeuvre d'imagination, qui repose sur une interprétation libre et personnelle de l'auteur sur les éléments connus et inconnus du christianisme et des sociétés secrètes.



En tous cas, pas d'incohérence interne à l'intrigue, les événements s'enchaînent de manière logique et les personnages sont en phase avec eux-mêmes. Ce n'est pas toujours le cas dans ce genre de roman, et de mon point de vue, c'est le plus important.

je devais en parler même si je l'ai lu en 2009, un des livres qui m'a vraiment marqué et par son style et par l'histoire comment elle est tissée. Dan Brown nous a montré dans ce premier best seller qu'il est un génie. Histoire unique relatant des faits historiques qui ont contribué à ma magie de l'histoire du Professeur Robert Langdon.

Il fait parti de mon top 5 c'est un must read.

Good job. Mission accomplie, comme d'habitude Dan Brown nous emmène avec lui, ou plutôt avec son héros , auquel on donne définitivement les traits de Tom Hanks , dans la poursuite haletante des méchants et la résolution du mystère...

Au passage, découverte de Barcelone, du coup avec cette période de confinement, ça donne illico l'envie d'y aller. De la culture au passage, décidément Gaudi, est à découvrir lui aussi.

Ce Dan Brown a heureusement pour lui, beaucoup de petites mains qui le documentent très bien ;-)

Un bon moment d'évasion, et de culture.

Bof, bof... L'histoire a de quoi plaire: elle rassemble tous les éléments d'un bon polar ésotérique, bercé de théories du complot et de fantasmes occultistes. Mais, outre le fait que la plupart des "vérités historiques" énoncées sont complètement fausses, et que la trame du roman est en grande partie un bon copier-coller des théories de L'Énigme sacrée de Henry Lincoln, le texte est, somme toute, assez mal écrit (et je l'ai lu dans sa version originale), ce qui, moi, me gêne quand même beaucoup.

Je n’ai pas réussi à terminer ce livre car je n’accroche pas vraiment et j’ai eu beau essayer de me forcer à le continuer rien y fait je n’arrive pas à le continuer. Je ne dis pas que c’est inintéressant mais je n’accroche tout simplement pas et parfois je trouve qu’il y a certaines longueurs.

Malgré que j'ai vu les films du Da Vinci Code et Anges et Démons, c'est la première fois que je lis l'auteur. Le film m'a laissé peu de souvenirs, ça n'a, pour le coup, pas du tout dérangé dans ma lecture.

Un livre aux nombreuses qualités, pour être lu par un grand nombre. L'écriture est simple et fluide. Malgré les thèmes ésotérique, scientifique ou artistique, l'auteur ne perd jamais son lecteur dans des descriptions alambiquées. Le rythme est très bon. Une fois plongé, on n'en ressort le nez qu'à la fin. Même si la "chasse aux trésors" ne débutent pas très rapidement, la mise en place nécessaire pour avoir tous les tenants et aboutissants sont d'une efficacité remarquable. Et une fois la chasse débutée il n'y a aucun temps mort. On va d'éléments en éléments, jusqu'aux révélations finales qui ne laissent rien transparaitre tout du long. Et puis il règne dans ce livre une découverte de Rome et du Vatican qui nous donne des envies de voyage. L'art y est très présent. On sent que l'auteur n'a pas fait ça au hasard. Ca rajoute à l'attrait. J'ai pris plaisir à aller voir sur internet les fameuses statues et endroits célèbres qui croisent le chemin des deux protagonistes.

Après il y a quelques "défauts". Les évènements se succèdent, mais c'est un enchainement parfois un peu facile. Un indice les emmène vers un autre indice qui les emmène vers un autre indice. Ca pourrait presque paraitre linéaire si il avait moins de rythme. Et puis bon ils trouvent assez facilement. Robert Langdon a beaucoup d'éclair de géni. Le récit ne représente que 24H, c'est parfois compliqué de l'intégré. De même que les deux personnages ne sont pas très réalistes malgré des efforts pour leur psychologie et leur caractère.



Une lecture très distrayante, pendant laquelle on passe un bon moment.

Origine démontre une nouvelle fois que Dan Brown sait composer de bon thriller, des romans divertissants qui nous tiennent en haleine du début à la fin.



Nous retrouvons ici le professeur Robert Langdon, assisté – comme de coutume – par une charmante créature (qui n’est autre que la future reine d’Espagne). Il va devoir retrouver un code dans une intrigue qui appartient clairement au genre de la courte poursuite. Bien évidemment, il va être question de religion, de fanatique et d’un méchant bien décidé à jouer le trouble-fête.



Dan Brown utilise ici les ingrédients qui ont fait son succès. Des nouveautés doivent toutefois être décelées : l’intrigue doit beaucoup à l’informatique, à la science, aux questionnements relatifs à la place de l’homme dans le monde et à l’art moderne. C’est cette fois-ci, c’est l’Espagne qui servira de cadre au roman et plus précisément les villes de Bilbao, de Madrid et de Barcelone avec des passages remarqués à la Pedrera et à la Sagrada Familia.



Les nouveautés ne parviennent pas à occulter ce qui saute ici aux yeux : le thriller doit beaucoup à l’écriture. C’est le style de l’auteur qui fait le charme du roman. Sa pratique, érigée ici en habitude, de reporter les révélations pour finalement insérer des rebondissements aura pour conséquence direct de ferrer le lecteur retenu dans le piège d’une écriture fluide et agréable. Si le démarrage donne l’impression d’être poussif (surtout après avoir lu la quatrième de couverture), le piège est bel et bien tendu. Les traducteurs ont ici fait un travail de grande qualité pour restituer tout cela dans notre langue.



L’intrigue en elle-même est assez simple et, il faut bien le reconnaître, prévisible. Plusieurs personnages semblent ici comme de pâles copies des avatars des romans précédents. Seul Edmond Kirsch et Winston font exception à la règle. C’est un peu désolant de faire ce constat, mais il est évident que le plus important est ailleurs : dans le plaisir d’être embarqué dans une lecture agréable qui joue avec nos nerfs.



Le roman reste malgré tout inspiré. L’intrigue utilise en effet de nombreuses thématiques qui évitent l’ennui et dénotent une capacité à créer et à faire du lien entre des thèmes aussi divers que la science, la religion, l’art moderne, le passé et le devenir de la monarchie espagnole…



Origine peut être lu de manière isolée, aucune révélation concernant les romans précédents n’est faite ici. Il s’agit d’un bon thriller qui ravira les adeptes de l’auteur. Il accompagnera idéalement en voyage en Espagne et surtout une escale à Barcelone.