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Critiques de Dan Brown (2410)
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Origine

ce livre est génial et suivre le professeur Langdon dans ses aventures sont toujours aussi sympa en plus du début a la fin on n'est plongé dans l'action et le suspense ce qui est super donc bonne lecture
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Origine

Plutôt frileuse concernant les romans de Dan Brown depuis Le Symbole perdu, je me suis lancée dans Origine avec suspicion. Mon bilan est mitigé. J'ai l'impression que l'auteur a voulu prendre sa "recette qui marche" mais en moins bien.



On retrouve toujours ces références multiples à l'art, même si dans le cas présent je suis comme Langdon, plutôt classique que moderne. Néanmoins ça m'a permis de sortir des sentiers battus et j'avoue qu'une visite à la Sagrada Familia et à la Casa Milà me titille.

Langdon est toujours en périple, course contre la montre suite à une mort atroce. Pour autant, si on ressent l'aspect "tout se précipite, dépêchons-nous", la quête est moins parsemée de code, d'énigme, ce qui n'est pas sans me causer une petite déception.

On retrouve également le choc science/religion que l'on a pu observer dans Anges et Démons ( qui reste mon préféré, de loin). Or, là Dan Brown va trop loin à mon sens, avec des informations technologiques dans lesquelles on se perd... Un peu comme dans Forteresse Digitale... Par contre la réflexion sur les IA est à la fois intéressante et glaçante.

Il y a également le sempiternel tandem Langdon / femme sexy et intelligente. Or ce tandem ne m'a pas plus emballée que ça. Je me lasse sûrement, il devrait peut-être envisager une petite mamie rigolote...

Enfin, et là je n'ai pas été déçue, il y a toujours l'assassin fanatique enrôlé par un "Régent" sans foi ni loi dont l'identité nous laisse comme deux ronds de flan. Chapeau pour Dan Brown, là encore je n'avais pas deviné.
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Origine

Décidément, Dan Brown ne se renouvelle pas. Le livre suit rigoureusement la même trame que les précédents (Découverte supposée impacter l'humanité, périple effréné fait d'énigmes alambiquées et d'action mollassonne, pseudo rebondissement sur l'identité de l'instigateur machiavélique etc...). Malgré quelques passages fort intéressants sur l'histoire de l'Art espagnole, je me suis ennuyé !!! Finir ce livre est une croisade !!!
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Da Vinci Code

Ce qu’a provoqué la lecture de ce roman !



Je suis né catholique, j’ai eu un prêtre formidable qui nous a fait le catéchisme en nous invitant à nous poser des questions sur Jésus, les femmes de sa vie, Marie, Marie Madeleine, Marthe et les hommes de sa vie, ses compagnons. Ces question c’était juste des questions d’enfant de comment nous vivons avec les autres, ce que c’est que l’amitié, l’amour, la fraternité. Pourquoi nous souhaitons améliorer nos relations avec les autres, nos amis, nos parents, nos ennemis de la cours d’école ? Et pourquoi nous échouons. Comment Jésus, Marie, Marthe, Pierre, Judas ont-ils fait dans les évangiles ?

Il fut l’un des premiers à nous définir le péché comme étant juste « louper sa cible ». Je souhaite m’améliorer et je loupe ma cible ! Alors j’apprends !

Et puis j’ai perdu la foi !

J’ai recherché des spiritualités exotiques, new-age, bouddhiste, athée. Finalement la pratique des arts martiaux m’ont a leur tour éloignés de ces système et je suis revenu au première question de l’abbé Mathieu. Et je me suis souvenu qu’il ne nous parler pas de dieu, de la grande abstraction Legal, pour cet abbé seul les humains important et ce qui les relie. J’ai appris qu’il avait était résistant pendant la deuxième guerre mondiale.

Et puis j’ai lu le Da Vinci Code et sa petite polémique ! J’ai adoré cette vision de Marie Madeleine et de Jésus, et je me suis souvenu du père Mathieu ! Ce roman peut aider à se poser des questions saines sur l’église. Les questions ne sont pas mauvaises.

Le roman est bien écrit (contrairement à d’autre qu’il a écrit ensuite) et il y a un esthétisme dans le jeu des architectures qui m’a réjoui !



Oui je suis redevenu catholique pour les questions humaines qu’elle est capable de poser nous laissant trouver des réponses. JE me sent moins concerner par « Dieu » « LE PÈRE », j’ai une préférence pour Jésus, Marie Madeleine et les autres, mes frangins ou amis !

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Anges et démons

Robert Langdon, le célèbre professeur d'histoire de l'art, spécialiste de symbologie religieuse, est convoqué au CERN (Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire), pour déchiffrer un symbole gravé au fer rouge sur la poitrine d'un homme de science qui a été assassiné.

Robert Langdon reste sans voix : à son sens, il s'agirait d'un crime commis par une ancienne société secrète, les Illuminati, et elle se serait également emparée d'un conteneur renfermant une substance très dangereuse : l'antimatière.

La secte, qui vient de resurgir après une longue absence de quatre siècles, s'est jurée d'anéantir totalement l'Église catholique. Robert Langdon ne dispose que de quelques heures pour sauver le Vatican qu'une bombe à retardement menace.

Dans cette course contre la montre, Robert Langdon rencontrera Vittoria, également scientifique, qui l'aidera à décrypter les symboles, qui les mèneront de meurtres en meurtres sur les plus belles places et églises...



Dan Brown nous replonge encore une fois dans une intrigue policière sur fond de mysticisme où il mêle les grands noms du monde de l'art à ceux du monde des sciences, et transporte ses lecteurs à travers les secrets du Vatican et de ses ennemis les plus lointains.

Dans "Anges et démons", c'est la science qui s'oppose à la foi religieuse. Certes, le combat n'est pas stérile et le livre nous trimballe entre fervents croyants et le monde scientifique grimpant dans sa quête de la vérité sur nos origines, que l'on se prend à avoir le pouls qui accélère au même rythme que les héros, en l'occurrence Robert Langdon, célèbre symboliste américain, déjà héros principal du "Da Vinci Code".

Avec un penchant pour l'occulte et les sociétés secrètes, l'auteur donne beaucoup de relief à son récit en oubliant un peu celui de ses personnages et de ses dialogues toujours un peu simplistes.

Il en résulte quand même un récit, dans le temps s'écouleront seulement six heures de recherches en tous genres, et le rythme du roman sont trépidants. Les personnages sont attachants, tant par leur terreur, que par leurs doutes spirituels et matériels.

Pour conclure en beauté, "Anges et démons" est un succulent chef-d'œuvre avec une excellente maîtrise du suspense permanente et d'action. Un bel ouvrage que je vous conseille vivement.
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Da Vinci Code

Enfermé dans la Grande Galerie du Louvre, Jacques Saunière n'a plus que quelques instants à vivre. Blessé mortellement, le conservateur en chef va emporter son secret avec lui. Il lui reste cependant un mince espoir de ne pas briser cette chaîne ininterrompue depuis des siècles. Mais il lui faut agir vite. Une seule personne au monde peut prendre la relève, décrypter le code et être traquée à son tour...

De passage à Paris, Robert Langdon, professeur à Havard et spécialiste de symbologie, est appelé d'urgence au Louvre, en pleine nuit. Jacques Saunière, le conservateur en chef a été retrouvé assassiné au milieu de la Grande Galerie...

Bon je vais pas tout dire mais c'est un roman qui vaut le coup d'être lu. Personnellement, j'ai lu le livre puis j'ai vu le film et j'ai vraiment plus aimé le roman que l'adaptation cinématographique. Du reste, c'est souvent le cas.
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Da Vinci Code

Les œuvres peuvent cacher pas mal de secret, surtout celle de Léonard de Vinci. C’est ce que va découvrir Robert Langdon en allant un soir, au Louvre, sur une scène de crime où il a été convoqué, et où il va rencontrer Sophie Neveu, qui va l’entraîner dans une suite d’énigmes à résoudre dans le but de mettre un jour l’un des plus grands mystères de notre temps…



J’ai beaucoup aimé cette ballade à travers les œuvres et l’histoire. L’auteur promène ses lecteurs d’énigme en énigme avec ses personnages Robert Langdon et Sophie Neveu qui se retrouvent propulsés au cœur des évènements. Tout démarre avec la mort de Jacques Saunière, conservateur en chef du musée du Louvre. Il laisse un étrange message sur son propre corps : un message pour désigner son meurtrier ? Ou pour délivrer son dernier souhait ? Quoi qu’il en soit, pour la police française, tout accuse Robert Langdon. Il va donc se retrouver malgré lui en fuite, en compagnie de Sophie Neveu qui semble croire en son innocence. Plus que découvrir le meurtrier de Jacques Saunière, il s’agit de comprendre qui il était vraiment et où son message va pouvoir mener nos deux personnages.



Ce que j’ai encore plus aimé que ce suspens, c’est cette ballade à travers les œuvres de Léonard da Vinci (entre autres) et l’Histoire. Une Histoire qu’on ne trouve pas dans les livres d’histoire, une Histoire qui nous ramène à la naissance des religions, et surtout la religion chrétienne et païenne. Je ne pense pas que les chrétiens convaincus aime les thèses qui sont avancées dans ce roman, pour ma part j’ai adoré, et je trouve le tout très crédible, même si je pense que l’auteur a romancé ses recherches. J’en ai découvert beaucoup sur la religion païenne que je connaissais très peu. J’ai même voulu me documenter dessus après ma lecture, c’est dire à quel point le sujet m’a intéressé.



Vraiment, je suis régalée avec cette course pour échapper à la police française, et ce jeu de piste qui va mener nos personnages vers un objet connu de tous, puisqu’il a fait l’objet de nombreuses légendes. Un objet qui semble cacher un lourd secret qui pourrait changer la vision que nous avons de notre monde actuel. Êtes-vous prêt à être bouleversé ? Si oui, ouvrez vite les pages de ce roman ;)
Lien : https://leslecturesdecristy...
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Da Vinci Code

Le Da Vinci code, c'est quand même de la rigolade. Cet homme et cette femme qui échappent à la police, en plein Paris, par des astuces assez grotesques, c'est Tintin en pays de France. Et puis cette histoire de recherche du graal, il est difficile d'y accrocher. On nous promène: la graal est un calice, le graal est une femme, et puis quoi encore? A la fin du livre, impossible de comprendre s'ils l'ont trouvé, le graal, les deux zozos qui courent après quelque chose, sans savoir eux-même quoi..... Il y a de la supercherie dans ce livre, et l'on peut se demander ce que recouvre son immense succès. Il y a peut-être une explication: la plupart des lecteurs sont-ils vraiment allés au bout de ces peu crédibles 800 pages?
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Da Vinci Code

Tout a été dit mais malgré les énormes libertés historiques que l'auteur a pris pour écrire son roman, j'avoue que j'ai été totalement emportée par l'écriture. Des chapitres excessivement courts, des rebondissements à chaque page, une tension grandissante et des retournements rocambolesques. Oui le livre se laisse manger et j'ai vraiment aimé.
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Inferno

Depuis "anges et démons" je n'avais pas relu cet auteur....



"Inferno" avec pour trame les textes de Dante, ne pouvait que s'imposer à moi. C'est donc avec une certaine joie que j'ai retrouvé Robert L.



Comme toujours, il y a les bons et les méchants, et une menace pour l'humanité.



Ce qui captive dans ce genre de roman c'est le cheminement culturel qui permet de mener l'enquête. Et oui, j'ai adoré voyager dans Florence, dans Venise . Visiter ces musées et noter les références à "la Divine comédie".



Pour ce qui est de l'aspect thriller, rien de plus qu'un autre roman , mais tout de même agréable à lire.



En conclusion, cet "Inferno" ne fût pas l'enfer à lire et m'a fait voyager.

Et avec l'aide de ce site, j'ai pu visualiser les œuvres citées :



http://www.inferno-guide.net/
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Inferno

Auteur controversé, Dan Brown nous replonge dans une nouvelle aventure rocambolesque du célèbre professeur d’Harvard à la montre Mickey : Robert Langdon. Bien qu’agréable, l’ensemble est bien meilleur que le Symbole perdu mais demeure quelque peu décevant.

Comme dans les trois livres déjà parus mettant en scène le protagoniste il s’agit d’une course poursuite parsemée d’énigmes plus au moins tarabiscotées. Comme par le passé, celles-ci font intervenir les symboles ésotériques, l’art, l’histoire et la littérature. Le scénario est résolument tourné vers l’action : du début à la fin nous sommes plongés dans un thriller dynamique. Il reste quelques phases culturelles qui donnent une furieuse envie de voyager et découvrir Florence, Venise et Istanbul mais elles sont devenues accessoires. Les rebondissements sont habilement construits même si le plus important laisse un goût amer. L’auteur se moquerait-il ? Les relations entre les personnages, l’aspect manipulatoire du texte laissent la place au doute. Le dénouement du scénario vient pardonner pas mal de choses. A condition cependant d’accepter les répétitions beaucoup trop nombreuses.

Sans surprise, l’écrivain nous réserve certains passages difficiles à digérer (dont la trame du livre : l’homme, persuadé de vouloir faire le bien, est en fait un sinistre méchant qui veut faire du mal à la terre entière mais laisse quand même un jeu de piste pour que les gentils puissent l’arrêter). Mais là aussi, Brown parvient à se faire pardonner : ainsi la conception philosophique de Zobrist, la figure contrasté du Président, l’utilisation de la Divine Comédie de Dante, un intérêt nouveau pour la médecine, la biologie, la science…

En somme, ce livre est un bon divertissement qui sera tout aussi vite lu qu’oublié. Les adeptes de Ludlum et de Clancy (imaginez un mélange entre la Mémoire dans la peau et Rainbow Six) se sentiront peut-être un peu frustrés, mais ils passeront toutefois un agréable moment.

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Da Vinci Code

J'ai aimé ne pas avoir aimé: tout ce tapage médiatique autour de ça, tout ça pour ce qui n'est en fait qu'un classique polar à la sauce américaine, avec ses cliffhangers programmés à répétition... OK, ça se passe à Paris, OK ça remet en question l'histoire du Christ, mais pfffeeuufffff !
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Forteresse Digitale

Technothriller contemporain de charme. "His name is Brown, Dan Brown !"



Vous ne trouvez pas qu'un roman de Dan ressemble à une aventure de James Bond ?



- Tout d'abord un prégénérique (vous savez cette courte séquence choc, riche en action qui introduit le film/roman).

Chez Dan Brown, c'est systématiquement l'occasion de tuer un premier personnage (4 romans = 4 morts en première page, beau palmarès Mr Brown :).)

- Ensuite, pas de gadget à proprement parler chez Brown, mais beaucoup de technologie quand même : Avion futuriste, hélico, etc...

- Dans un roman de Brown (comme dans une aventure de JB), il y a des poursuites, on côtoie l'univers du renseignement, des super méchants, ...

- Le Héros et ses acolytes enchainent les cascades et se sortent toujours des situations les plus désespérées.

- Et puis tous les personnages sont beaux et charmants ;). Là où avec JB il y a plusieurs JB'Girl qui butinent autour du héros, chez Brown, ce sont les femmes qui ont la côte et les hommes qui sont le plus souvent leur faire valoir. Mais tout ça reste quand même très glamour.



Un autre élément de comparaison entre l'univers de JB et celui des livres de DB qui me vient après la lecture de Forteresse Digitale , c'est l'amoralité et le sang froid des personnages de DB.



Concernant JB, je ne reviendrai pas sur la brillante prestation cinématographique du Sean Connery des premiers épisodes qui a su camper un JB sadique et sans moralité, bien dans l'esprit de l'auteur des romans.



Dans Deception Point les héros s'arrogent le fameux "Licence to kill" cher à Ian Flemming et tuent de sang froid, les très vilains "Delta" (Charles Bronson n'est pas loin ;).).



Dans Forteresse Digitale, David Becker le petit ami de Susan, n'hésite pas un seul instant pour se sauver à refourguer sa veste de couleur criarde à un innocent, l'envoyant de façon fort prévisible à la mort.



Régulièrement au cours de leurs aventures les personnages sont confrontés à de nombreuses morts violentes et ne semblent pas s'en émouvoir plus que ça**...



** Les personnages browniens se posent en fait fort peu de questions existentielles et se caractérisent plus par leurs actions que par leur psychologie très sommaire.

Ce qui rend le récit plus fictif mais aussi plus archétypal comme dans JB.



...



J'arrête là ma comparaison, mais quand même les similitudes sont nombreuses et frappantes.



Dans Forteresse Digitale, DB nous narre les aventures de Susan cryptologue à la NSA... (elle y restera d'ailleurs pendant quasiment toute l'histoire).



En parallèle, nous assistons aux tribulations en Espagne de David son petit ami, à la recherche d'un objet dont le sort du monde dépend.

Ces deux personnages (+ quelques autres) se retrouvent mêlés malgré eux à une situation de crise majeure pour la sécurité des Etats-Unis.

Évidemment comme c'est un roman de Dan Brown, on retrouve des faux semblants (que je me garderai bien de divulguer ici), un parcours semé de cadavres et un code à décrypter (ça tombe bien vu que Susan est cryptologue.)



* * *



Pas évident de rentrer dans l'histoire de prime abord car le livre a un peu vieilli (prématurément pour le lecteur français qui ne le découvre que maintenant.)



En toile de fond : les techniques informatiques (sensément, on est dans un roman) employées par la NSA à la fin des années 90 (Le roman est sorti en 1998.)

Or pour des raisons éditoriales, ce roman n'est sorti en français qu'en 2007 soit quasi 10 ans après.



En 10 ans les techniques informatiques ont largement évolué et donc ça fait bizarre lorsque par exemple Dan Brown insiste fièrement sur les codes confidentiels à (seulement) cinq caractères (page 16...)(Il aurait pu parler de code d'accès sans préciser le nombre de caractères, mais non, il le précise à plusieurs reprises.)



La programmation d'un fichier pisteur dans un langage proche du Pascal ou du C (page 149) fait aussi sourire ;).

(Je ne suis même pas sur qu'on n'ai jamais employé du Pascal à la NSA, même en 1998.)



Le questionnement initial de David sur le sigle NSA (page 17) et l'explication que se sent obligé de donner Dan Brown à son lecteur, si elle était peut-être utile en 1998, fait obsolète aujourd'hui.



Mis à part ces détails assez perturbants pour un lecteur du XXIeme siècle, ainsi que quelques aberrations comme par exemple l'extrême facilité pour retracer un appel en provenance de la NSA et aussi une action un peu lente à se mettre en place, on retrouve malgré tout le style "Dan Brown".



Le roman a tendance à s'emballer (positivement) dans sa seconde partie.



Si l'intrigue au niveau des personnages s'évente plutôt rapidement (la messe étant dite, au propre comme au figuré, environ 100 pages avant la fin.), le "suspens" reste entier jusqu'au bout.



Au final, nous avons affaire à une lecture sans grande envergure, mais légère et divertissante. (Ce qui n'est somme toute déjà pas si mal.)



Dan Brown facétieux jusqu'au bout a glissé un code secret à la fin de son livre : 113-19-5-28-5-53-66-113-76-19-128-10-92-15-19-128. Bon décryptage.



Il avait déjà fait le coup pour l'une des éditions américaine du Da Vinci Code en glissant plusieurs énigmes (au moins 4) dans la jaquette du livre. Un concours a été organisé par l'éditeur en 2003.

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Le Symbole perdu

Du bon Dan Brown, même si je trouve que c'est quand même un ton en dessous des précédents (anges et démon, et davinci code).



Une bonne intrigue intéressante avec le monde de la franc-maçonnerie, et autres sociétés secrètes protectrices de secrets. En ce sens la trame est similaires aux autres romans. Avec un dose de science novatrice, de symbologie qui démonte les préconçus et un cinglé mégalo qui en veut à la terre entière, menaçant de révéler les secrets des franc-maçons.

Pour cela je me suis bien amusé, allant jusqu'à déchiffrer (assez facile) les énigmes codés. Petit plus qui donne beaucoup de confort, l'auteur se complait à nous mettre les dessins des énigmes.



Par contre j'ai trouvé le début long à se mettre en place et à avancer d'un bon pas. Jusqu'à la l'entrée de la cave sous le capitole il ne s'est pas passé grand chose en 200 pages. Dans ce roman l'action effrénée se met en place qu'à environ la moitié du récit. Mais après on goute son plaisir. Petit moins, j'ai trouvé un peu lourd de mettre souvent les pensées des personnages cela ne nous apprends pas grand chose.



J'avais trouvé la réponse sur l'existence du tueur cinglé à partir de la moitié, seulement l'auteur se complait à nous démentir le contraire. Je suis content de m'être fait confiance. J'ai trouvé aussi amusant que l'auteur s'amuse à martyriser son héros, et par la même occasion il joue avec nos nerfs, mais cela ne dure pas longtemps, en tout cas on se dit "c'est pas possible !".



Un dénouement tueur et victime que je trouve en "apothéose" pour reprendre un terme du livre (ce mot n'as pas toujours le premier sens qu'on lui prête).

Mais par contre une fin que je trouve trop longue, on s'y perd un peu dans les explications, et finalement le secret s'en trouve un peu dénaturé même si c'est bien trouvé.



Un autre point que je trouve bien chez cet auteur, c'est qu'il a une façon originale à chaque fois de nous exposer ses idées sur les sens et les croyances du monde. Ici il est question du potentiel des ressources inexplorées de chaque être humain. Il s'agit aussi de voir pas seulement avec nos yeux mais aussi avec notre esprit.



Un autre point que j'aime bien dans chacun de ses livres, c'est qu'on apprends une foule de choses sur le vraie sens des mots ou expressions ou situations. Par exemple, cherchez la vrai origine du mot "sincère" ou du mot "apothéose". Comme souvent il veut nous démontrer que beaucoup de choses on été détourné ou dénaturé de leur sens ou raison première.



Une chose qui m'amuse c'est que les critiques négatives de la presse ne comprennent toujours pas que l'auteur part de choses existantes et les mélange et invente pour notre plus grand plaisir. D'ailleurs l'auteur l'écrit bien lui même dans chacun de ses livres : " Toutes les organisations institutions citées dans ce roman existent réellement : la franc-maçonnerie, le collège invisible, le bureau de sécurité de la CIA, le smithsonian museum, l'institut des sciences noétiques. Tout les rituels, éléments scientifiques oeuvres d'art décrits sont authentiques."

A bon entendeur salut si certains ne réfléchissent pas aux sous entendus.

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Forteresse Digitale

Un cyber terroriste met au point un cryptage qui rendrait impuissants tous les services secrets du monde et menace de le vendre à celui qui sera près à payer...

J'ai bien aimé le fait d'entrer dans les arcanes de la cyberdéfense, avec cet ordinateur qui casse les codes les plus élaborés en quelques minutes, mais qui là, pédale depuis des heures...

Les événements s'enchainent, et l'héroïne verra même la vie de son compagnon menacée...

Il n'y a pas de temps mort dans cette histoire où les personnages et les non-dits n'ont de cesse de compliquer des situations déjà explosives.

Un roman haletant qui vaut le coup.
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Inferno

Après Da Vinci Code ou Anges & Démons, Robert Langdon, notre héros intrépide, éminent professeur de symbiologie à Harvard, est de retour dans Inferno. L’ensemble des oeuvres de Dan Brown peuvent se lire indépendamment les unes des autres, n’ayez crainte.



Dans cet opus, Robert Langdon se réveille à l’hôpital, amnésique, avec une plaie conséquente au niveau de la tête, totalement incapable de se souvenir des deux derniers jours qu’il a passé. Quand une femme armée fait irruption dans sa chambre d’hospitalisation avec l’intention de le tuer, il s’enfuie avec Sienna Brooks, l’infirmière alors à son chevet. Ce n’est qu’une fois en lieu sûr qu’il découvre dans une doublure de son manteau un mystérieux objet, qu’il n’a pas souvenir d’avoir déjà vu. Il en est certain : les personnes qui le poursuivent veulent s’en emparer. Accompagné de Sienne Brooks, Robert Langdon se lance en aveugle dans une aventure qui va l’emmener à Florence, plus spécifiquement au coeur de l’Inferno de Dante. Une course contre la montre est enclenchée… ou plutôt, une course contre la mort.



Dan Brown nous emmène à Florence, ville emblématique d’Italie, berceau d’une richesse artistique exceptionnelle, qui accueille bon nombre de musées, d’églises et de palais grandioses. Un voyage culturel sensationnel nous attend, nous, lecteur, mais aussi Robert Langdon et Sienna Brooks, lancés dans une traversée rocambolesque des lieux artistiques majeurs de la ville.



Car nos deux héros semblent avoir un début de piste : ils soupçonnent que le mystérieux objet présent dans la veste de Robert Langdon ait un lien avec l’oeuvre de Dante, La Divine Comédie, et plus spécifiquement, son chapitre lié à L’Inferno, autrement dit L’Enfer. Dante accomplie un voyage initiatique périlleux à travers neufs cercles de l’Enfer qu’il a imaginé – chacun correspondant à un péché -, passant par le Purgatoire, avant d’arriver au Paradis et d’y rencontrer Dieu. Un éclairage moderne sur cet oeuvre majeure du XIIème siècle, qui a inspiré bien des artistes dans les siècles suivant sa publication.



Le peintre italien Sandro Botticelli, par exemple, va s’emparer de l’oeuvre de Dante et va l’illustrer en restant parfaitement fidèle au récit initial. Un tableau qui deviendra presque aussi célèbre que L’Inferno, et qui gravera dans l’esprit des curieux la représentation de L’Enfer imaginée par Dante.



Les références culturelles et artistiques sont donc légion dans cette oeuvre. On ressent aisément que Dan Brown s’est largement documenté sur Florence, son architecture, ses symboliques, ses trésors cachés, son histoire secrète, sur les grands noms rattachés à cette belle ville. Si l’idée était de nous faire voyager sans bouger de notre siège, l’effet est réussi : je dirais même qu’il est doublement réussi dans mon cas, puisque j’ai maintenant très envie de voir de mes propres yeux les merveilles décrites dans ce roman.



À cette épopée historique s’ajoute des questionnements philosophiques et scientifiques qui m’ont drôlement fait réfléchir. En effet, l’auteur aborde des sujets sérieux, actuels, débattus, ou potentiellement amenés à être débattus dans les années à venir, notamment concernant la surpopulation de la planète. Plus de 7 milliards d’habitants peuplent actuellement la planète Terre, dont une grande partie en Chine, en Inde et dans les pays Africains. Une population croissante due à l’avancée en matière de médecine moderne, qui contribue à allonger l’espérance de vie et grâce à une nette amélioration des conditions de vie. Beaucoup s’interrogent sur l’avenir de notre planète et sur un possible surnombre qui viendrait faire imploser la planète. Des scénarios catastrophes extrêmes, mais qui viennent néanmoins titiller notre intellect et nous fait réfléchir sur des actions à mettre en place pour mieux vivre ensemble et construire un avenir commun et durable. Pour en revenir à L’Inferno, l’un des personnages prend un parti pris extrême pour éviter cette surpopulation et les risques encourus pour la planète. Des actions surnaturelles sont mises en place par ce personnage pour limiter le nombre de naissances et réduire drastiquement le nombre d’habitants. Elles peuvent sembler illusoires, mais elles font néanmoins froid dans le dos, en raison des événements qui sévissent actuellement dans le monde.



J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver le coup de stylo si caractéristique de l’auteur, incisif, haletant, rythmé, qui nous fait oublier le volume de ce livre, pourtant heureux porteur de 600 pages bien remplies. Comme ses précédentes oeuvres (Da Vinci Code et Anges & Démons), Inferno s’est vu adapté au cinéma et a rencontré un vif succès auprès du public.



Une course poursuite mémorable à travers l'histoire culturelle et artistique de Florence : du grand Dan Brown !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Inferno

Excellent roman policier sur fonds historique. Les pistes pour retrouver le lieu où est entreposé le virus sont brouillées car les alliances se font et se défont au gré des intérêts de chacun.



Excellente base historique. artistique et culturelle qui montre l'érudition de l'auteur. C'est passionnant de découvrir les facettes du chef-d'œuvre de Dante, La divine comédie. Qui n'a pas envie de la lire en achevant Inferno ?



Bonus : l'intrigue s'inscrit dans une thématique très actuelle, le devenir de la planète Terre et sa surpopulation qui la met en danger.



Un roman très complet qui m'a captivée jusqu'au bout.











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Da Vinci Code

Dans doute l'un des livres qui m'a réconciliée avec ma lecture de polar. J'ai adoré les énigmes et les péripéties sont nombreuses et bien amenées. Les personnages son attachants et l'action nous fait redécouvrir Paris autrement. J'avoue être retourné à la suite de cette lecture aux endroits stratégiques du livre.
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Da Vinci Code

Mon second roman de Dan Brown, et deuxième de la série sur les mystères de Robert Langdon. J'aime ces histoires parce que ça mélange Arts classiques et contemporains, et aussi légendes.

Après l'Italie, nous nous retrouvons en France, l'histoire commence directement aux Louvres, qu'est ce qui n'est pas plus captivant que le Louvres et Mona Lisa. La célèbre légende du Graal sera approfondie, revisitée, bien sûr c'est une fiction.. mais qui a de bonnes bases dans lesquelles on peut se plonger sans problèmes.

Un 9/10 total.
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Le Symbole perdu

Conseillé et prêté par un voisin qui sait que j'aime les énigmes historiques, Le Symbole Perdu ne m'a pourtant pas captivée..

Course folle à travers Washington et quelques-uns de ses monuments célèbres à la recherche de symboles et de mystères anciens détenus par les francs-maçons, ce roman met Robert Langdon aux prises avec un personnage inquiétant.

Avide de pouvoir surnaturel, il tente de s'approprier un objet à valeur symbolique et, pour se faire, utilise violences et menaces en tous genres.

Quand on aborde des thèmes tels que mysticisme, ésotérisme et autres, il y a matière à suppositions et théories de toutes sortes et Dan Brown ne s'en prive pas.

Pour être franche, je me suis complètement perdue dans le flux des informations concernant les sectes, congrégations secrètes, symboles ou codes...

La réflexion religieuse et philosophique est intéressante, appuyée par cette science nouvelle qu'est la noétique.

Branche de le philosophie métaphysique concernant l'intellect et la pensée, cette science étudie ici plus particulièrement les liens entre l'intellect humain et l'intellect divin à travers les recherches effectuées par Katherine Solomon.

J'en ai retiré quelques phrases percutantes qui donnent à réfléchir mais, de nouveau, elles sont noyées dans un tas d'informations confuses par ailleurs.

Je suis aussi restée pantoise devant l'énormité et l'invraisemblance de certains rebondissements.

L'entêtement des américains à voir des conspirations mondiales partout me fait sourire et donne à leurs oeuvres un air de "too much".

Le Da Vinci Code ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable, celui-ci ne restera pas non plus longtemps dans ma mémoire...mais j'aurai au moins fait plaisir à mon voisin ;-)

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détective
espion du Vatican
Le descendant du fondateur des Illuminati

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Thème : Da Vinci Code de Dan BrownCréer un quiz sur cet auteur

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