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3.31/5 (sur 176 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Johannesburg, Afrique du sud , 1957
Biographie :

Dee Shulman est une auteure et illustratrice britannique reconnue, avec déjà près d'une cinquantaine de livres publiés.

Elle est diplômée de littérature anglaise à l'université de York et a étudié le dessin à l'Harrow School of Art.

Elle écrit autant pour les enfants que pour les adolescents. Parallon est son premier grand projet pour ados et jeunes adultes.

Sa production a été traduite dans de nombreux pays, notamment au Japon, en Italie, en Hollande, en Finlande. Chacune de ses nouveautés est chaleureusement accueillie par la presse et elle collectionne les distinctions et les prix en Angleterre.

site officiel:
http://www.deeshulman.com/

Source : Wikipedia
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J'ai commencé à lire beaucoup de séries, mais il y en a certaines que je ne suis pas pressée de finir ! Tous les détails et les liens vers les livres ici : http://wp.me/p5BGEC-N5 Séries de livres mentionnées : - le Journal de Bridget Jones, d'Helen Fielding : http://amzn.to/1UrNCpt * - le Seigneur des anneaux, de JRR Tolkien : http://amzn.to/1THqH8H * - La Communauté du Sud, de Charlaine Harris : http://amzn.to/1XSGL86 * - le Trône de Fer, de George RR Martin : http://amzn.to/1Qn0nwl * - Outlander, de Diana Gabaldon : http://amzn.to/1THqH8H * - God Save la France, de Stephen Clarke : http://amzn.to/1LNgZLC * - Night School, de CJ Daugherty : http://amzn.to/1THqH8H * - Parallon, de Dee Shulman : http://amzn.to/1QEFLi6 * - Rebelles, d'Anna Godbersen : http://amzn.to/1UrPb6I * - Never Sky, de Veronica Rossi : http://amzn.to/1VLqSPI * - Les Variants, de Robison Wells : http://amzn.to/1QEG4JN * - Les Outrepasseurs, de Cindy van Wilder : http://amzn.to/24vaTuP * - Divergente, de Veronica Roth : http://amzn.to/21s7DS5 * - Loin de tout, de JA Redmerski : http://amzn.to/1phputN * - Ten Tiny Breaths, de KA Tucker : http://amzn.to/1QlhSQX * - KGI, de Maya Banks : http://amzn.to/1n7ij5E * * Ce symbole signifie qu'il s'agit d'un lien d'affiliation. Si vous choisissez de commander un livre via ce lien, vous ne le payerez pas plus cher. Amazon me reversera quelques centimes en commission, qui me permettrons de financer de prochains concours sur la chaîne. Merci d'avance si vous faites le choix de me soutenir ! ___ ? Retrouvez l'article complet et les futures chroniques sur le blog : http://unjour-unlivre.fr Facebook : http://facebook.com/unjourunlivre Twitter :http://twitter.com/missmymoo GoodReads : http://www.goodreads.com/MissMymoo Babelio : http://www.babelio.com/monprofil.php?id_user=39521 Instagram : http://instagram.com/missmymoo Pinterest : http://pinterest.com/missmymoo/books-co/ ___ ? CONTACT : Pour toute demande de partenariat/collaboration, merci de remplir le formulaire de contact : http://unjour-unlivre.fr/contact ? COURRIER : Sethom Myriam BP 10 014 92201 Neuilly-sur-Seine Cedex France ___ ? MUSIQUE : "Life of Riley" Kevin MacLeod (incompetech.com) Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 http://creativecommons.org/licenses/by/3.0/

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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
- Que se passe-t-il ? s'enquit Matthias.
- Je dois gagner.
- Ce n'est pas un problème. Tu gagnes toujours.
- Non, il faut absolument que je gagne...
- D'accord...
- Comme ça, je pourrais voir Livia après !
Matthias secoua la tête.
- La seule femme dans Londinium qu'il ne peut pas avoir et c'est elle qu'il choisit ! Seth ! Tu veux vraiment mourir ? Oh, je sais ! Tu as reçu trop de coups à la tête et ton cerveau a cessé de fonctionner. Laisse tomber. Aucune femme ne vaut de condamnation à mort.
- Par les flammes d'Apollon, Matt ! Ma vie est une condamnation à mort ! Mourir pour une femme n'est donc pas une cause plus noble ?
De frustration, Matthias siffla entre ses dents. Il détestait cette imprudence. Seth devenait alors ingérable. Il n'était déjà pas facile de le garder en vie la plupart du temps. Son ami était trop passionné, trop colérique, trop charmant. Et ces qualités le rendaient vulnérables.
Matthias admettait aussi que Seth était trop intelligent pour être manipulé. Il lisait dans les autres comme dans un livre et entendait quasiment leurs pensées. Mieux valait garder ses conseils pour plus tard.
- Gagne ton combat d'abord. Ensuite, décide ce qui vaut la peine de mourir.
Le sourire aux lèvres, Seth lui tapa dans le dos.
- J'aime beaucoup ton plan.
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« Il doit courir-sérieusement-au moins 2 heures par jour.
Pourquoi ?
Une habitude chez lui. Il a besoin de dépenser son énergie. De rester fort…Il se tient prêt.
Prêt à quoi ?
À affronter tout ce que la vie mettra sur son chemin, je suppose. »
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Obscurité. A présent, je courais. Loin de la neige. J'entrai dans un tunnel noir... La clarté s'estompa. Je fuyais la lumière pour m'enfoncer dans la pénombre. Du noir tout autour de moi. Pas d'air... Seules l'obscurité et la chaleur... Je me retournai et ne vis aucune issue.
- A l'aide ! criai-je sans entendre ma voix.
Seul un bip résonnait à un rythme régulier... un moniteur... le bip bégaya... des gens accoururent, appelèrent, crièrent.
- On va la perdre !
On me frappa, j'eus très mal à la poitrine. Impossible de respirer...
- Dégagez ! 200 joules !
- Pas de pouls.
- Dégagez ! 250 !
- Fibrillation...
- Plus de charge ! 300 !
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Je m'amusai comme une folle. D'abord je pénétrai dans la messagerie du principal et rédigeai une lettre de démission parfaite que j'envoyai à chaque membre du conseil d’administration et à chaque employé du collège. Ensuite, je prévins tous les élèves par courriel qu'ils n'auraient pas cours le restant de la semaine. Je laissai une trace bien lisible menant directement à mon identité numérique et ... quatre jours plus tard, j'étais convoquée. Après avoir été sermonnée une bonne demi-heure, je quittai ce collège pour ne plus jamais y remettre les pieds.
La colère du principal ne fut rien à côté de la fureur de mes parents. Ils me privèrent de sortie pendant une semaine avant de m'expédier à Downley Compréhensive, un lycée polyvalent.
Bizarrement, je n'eus pas à me plaindre au début. C'était grand, anonyme et il y avait assez d'éléments perturbateurs pour éloigner l'attention de moi. Je parvins à rester quasiment invisible pendant trois ans.
Par malheur, l'année de mes quatorze ans, mon isolement devint un problème.
Comme si ma vie n'était pas assez compliquée, je développai le handicap numéro 2.
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Jennifer scruta son bureau d'un air désespéré. Il était 18 h 45 et, à moins de partir sur-le-champ, elle serait en retard.
Bien que le programme sur lequel elle travaillait fût terminé depuis une petite heure, la plupart des autres employés de bureau, rédacteurs et pigistes, bûchaient encore - comme elle, normalement. Il existait une règle tacite selon laquelle, à moins d'avoir des tendances suicidaires, nul ne quittait le travail avant le grand reporter. Surtout si celui-ci s'appelait Amanda Pilkington. Et malgré les conver­sations à voix basse, les tapotements sur les claviers, le bourdonnement des ventilateurs et des impri­mantes, Jennifer entendait la réunion de produc­tion qui avait lieu dans la salle d'à côté. Un direct important n'avait pu être établi lors du programme du soir et une enquête avait été ordonnée. Combien de temps cela allait-il durer ? Elle se tourna vers la porte de la salle de réunion et regarda la rangée de pendules au mur... Non ! 19 heures ! Si seulement elle se trouvait à Buenos Aires...
Et si elle abandonnait sa veste sur le dossier de sa chaise puis filait en douce ? Amanda, sa patronne, penserait qu'elle était simplement partie aux toi­lettes. Mais cela impliquait de passer la soirée sans manteau et il gelait dehors.
Ce serait peu cher payé, décida-t-elle.
Après avoir pris une profonde inspiration, Jennifer sauvegarda puis ferma son document « Déficits zone euro ». Au moment où elle éteignait son PC, une ombre imposante surgit derrière elle.
Amanda.
Le cœur de Jenny se serra. Comment était-elle parvenue à se faufiler sans bruit ?
— Il faut que ceci soit lu, analysé et hiérarchisé pour demain matin, ordonna Amanda en déposant une clé USB sur le bureau de Jenny.
Celle-ci hocha la tête en silence. A quoi bon lui rappeler qu'on était vendredi soir ? Elle était suppo­sée retrouver quelqu'un à l'autre bout de Londres dans exactement vingt-neuf minutes, mais Amanda s'en moquait bien. Dire qu'ils avaient des billets VIP pour voir les Livid Turkeys à Wembley. À la rédac­tion, Amanda était Dieu ; ce que madame exigeait, madame l'obtenait. Si elle vous demandait de rester derrière votre ordinateur toute la nuit et tout le week-end, vous obéissiez.
Jennifer fixa la porte qu'Amanda claqua délibéré­ment derrière elle. Ses talons cliquetèrent le long du couloir jusqu'à l'ascenseur. Jennifer grinça des dents : elle allait y passer la nuit. Avec un grand sou­pir, elle sortit alors son portable et écrivit un texto.
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Jennifer scruta son bureau d'un air désespéré. Il était 18 h 45 et, à moins de partir sur-le-champ, elle serait en retard.

Bien que le programme sur lequel elle travaillait fût terminé depuis une petite heure, la plupart des autres employés de bureau, rédacteurs et pigistes, bûchaient encore - comme elle, normalement. Il existait une règle tacite selon laquelle, à moins d'avoir des tendances suicidaires, nul ne quittait le travail avant le grand reporter. Surtout si celui-ci s'appelait Amanda Pilkington. Et malgré les conver­sations à voix basse, les tapotements sur les claviers, le bourdonnement des ventilateurs et des impri­mantes, Jennifer entendait la réunion de produc­tion qui avait lieu dans la salle d'à côté. Un direct important n'avait pu être établi lors du programme du soir et une enquête avait été ordonnée. Combien de temps cela allait-il durer ? Elle se tourna vers la porte de la salle de réunion et regarda la rangée de pendules au mur... Non ! 19 heures ! Si seulement elle se trouvait à Buenos Aires...

Et si elle abandonnait sa veste sur le dossier de sa chaise puis filait en douce ? Amanda, sa patronne, penserait qu'elle était simplement partie aux toi­lettes. Mais cela impliquait de passer la soirée sans manteau et il gelait dehors.

Ce serait peu cher payé, décida-t-elle.

Après avoir pris une profonde inspiration, Jennifer sauvegarda puis ferma son document « Déficits zone euro ». Au moment où elle éteignait son PC, une ombre imposante surgit derrière elle.

Amanda.

Le cœur de Jenny se serra. Comment était-elle parvenue à se faufiler sans bruit ?

— Il faut que ceci soit lu, analysé et hiérarchisé pour demain matin, ordonna Amanda en déposant une clé USB sur le bureau de Jenny.

Celle-ci hocha la tête en silence. A quoi bon lui rappeler qu'on était vendredi soir ? Elle était suppo­sée retrouver quelqu'un à l'autre bout de Londres dans exactement vingt-neuf minutes, mais Amanda s'en moquait bien. Dire qu'ils avaient des billets VIP pour voir les Livid Turkeys à Wembley. À la rédac­tion, Amanda était Dieu ; ce que madame exigeait, madame l'obtenait. Si elle vous demandait de rester derrière votre ordinateur toute la nuit et tout le week-end, vous obéissiez.

Jennifer fixa la porte qu'Amanda claqua délibéré­ment derrière elle. Ses talons cliquetèrent le long du couloir jusqu'à l'ascenseur. Jennifer grinça des dents : elle allait y passer la nuit.

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- Le latin ne sert à rien.
- Parce que la musique sert à quelque chose ?
- Réveille-toi, Eva. Personne de n'a dit que le latin était une langue morte ?
- Oui mais...
- Pas de mais ! Ce truc a deux milles ans, merde ! La vie est trop courte.
Elle avait probablement raison : la vie était bien trop courte. Je continuai donc à traduire Virgile et la laissai aux choses importantes, comme télécharger les paroles des chansons des Livid Turkeys.
- Ok. Fini, bâillai-je en lâchant mon stylo.
Elle jeta un coup d’œil à la page.
- Super. On a une heure pour répéter. Grand concert demain.
- Pardon ?
- Un bœuf. Demain. Salle commune. Allez !
Elle me poussa hors de la chambre. Je me braquai.
- Euh, désolée, Astrid. Reviens un peu en arrière s'il te plaît.
- Combien de fois veux-tu que je te le dise ?
Je n'avais pas signé pour un concert !
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- La seule femme dans Londinium qu'il ne peut pas avoir et c'est elle qu'il choisit ! Seth ! Tu veux vraiment mourir ? Oh, je sais ! Tu as reçu trop de coups sur la tête et ton cerveau a cessé de fonctionner. Laisse tomber. Aucune femme ne vaut une condamnation à mort.
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Nick s'arrêta net, se passa une main dans les cheveux puis s'écroula sur le canapé. Il leva les yeux vers elle.

- Je suis dans la police depuis sept ans. Inspecteur principal depuis trois ans. Durant cette période, j'ai mené... je ne sais pas... quarante-sept enquêtes, parmi lesquelles onze étaient des homicides. Pour qu'un crime soit qualifié d'homicide, il faut une preuve formelle du décès. Dans neuf de ces onze cas, nous avons soit trouvé un corps, soit les restes d'un corps, soit des preuves médico-légales indiquant un crime. Seuls deux cas n'ont abouti à aucune piste...

- Le motard et la serveuse.

Nick acquiesça, les lèvres pincées.

- J'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour trouver une explication crédible à la disparition de Winston Grey. Il le fallait - d'autant plus que tu avais mis la pagaille avec tes histoires paranormales d'évaporation de corps. Sur le moment, je t'ai prise pour une petite ingénue bizarre - jolie mais barje. Je me suis dit que tu avais contaminé tous les témoins avec une histoire d'hystérie collective.

-Jenny bouillonnait de rage.

- Tu pensais que je les avais briefés ? Pour qui tu me prends ?

Elle se leva et fonça dans la cuisine. Appuyée contre le frigo, elle essayait de se calmer quand il posa les mains sur ses épaules.

- Jenny ! Jenny, je suis désolé. Je ne voulais pas...

- Tu ne voulais pas quoi ? aboya-t-elle, en le repoussant. Tu ne voulais pas me traiter de fille malhonnête et manipulatrice ? Hein, Nick. Et pourquoi es-tu sorti avec moi si j'étais "barje" ? Ce petit jeu t'amusait C'était une blague stupide de flic ?
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Soudain, sa bouche réclama la mienne. Son cœur tambourinait sous mes doigts mais ce fut sa respiration,haletante et rauque; qui me poussa à effacer toute distance entre nous. Dès que nos corps se touchèrent, il m'enveloppa dans ses bras. Cette proximité me paraissait tellement juste, comme si nous étions deux moitiés d'un même tout. Mon cœur battait si fort qu'il devait l'entendre mais je m'en moquais. Alors que mes doigts descendaient le long de son dos, il gémit. Un frisson de joie m'ébranla de la tête aux pieds. Mon souffle se coinça dans a gorge. Sa bouche quitta la mienne; il commença à m'embrasser le visage, les paupières, le cou tandis que mes mains couraient dans ses cheveux. J'adorais le goût de Seth, son odeur, le grain de sa peau. Sa bouche revint sur la mienne et nous nous respirâmes lourdement l'un l'autre pendant que nos mains continuaient leur exploration.

Soudain il s'arrêta net et recula.

- Seth ? Ça ne va pas ? m'étranglais-je.

Dans un grommellement, il roula sur le dos et plaque son avant-bras sur ses yeux, le temps de reprendre son souffle.

- Tu sais que nous ne pouvons pas aller plus loin, Eva.

- Non, je ne sais pas, déclarais-je, la voix chevrotante tout en caressant son torse frémissant.

Il éclata d'un rire creux.

- Cela ne m'aide pas ! marmonna-t-il avant de m'embrasser les doigts.
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