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Citations de Dolores Redondo (270)


El lunes 29 de agosto de 2005, después del mediodía, el huracán Katrina se dirigió al interior de Estados Unidos perdiendo su fuerza. Devastó la costa, pero finalmente pasó justo al este de Nueva Orleans, evitando así su destrucción total.
Esta es la historia de lo que ocurrió después.
(Le lundi 29 août 2005, après midi, l'ouragan Katrina s'est dirigé à l'intérieur des États-Unis en perdant de sa force. Il a dévasté la côte, mais est finalement passé juste à l'est de la Nouvelle-Orléans, évitant ainsi sa destruction totale.
C'est l'histoire de ce qui s'est passé ensuite)
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Los muertos hacen lo que pueden (Les morts font ce qu'ils peuvent), Engrasi SALAZAR
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Oublier est un acte volontaire. Plus on essaie de laisser quelque chose derrière soi, plus cette chose vous poursuit.
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Le regard perdu dans la blancheur des feuilles,il se demanda à quel moment il avait perdu de vue que l'écriture naissait du dénuement le plus pur,de la douleur indicible,des secrets que nous emporterons dans la tombe parce que la magie consiste à les suggérer sans jamais les montrer,sans laisser la nudité de l'âme se transformer en pornographie des émotions.
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C'est ça le problème, on ne tire pas de leçons de l'histoire, les informations n'en sont plus quelques jours à peine après s'être produites, parfois quelques heures, et tout semble appartenir au passé en peu de temps, mais on oublie que si on ne leur accorde pas d'importance parce qu'elles sont anciennes, les mêmes injustices se répètent encore et encore.
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Les psychopathes n'ont aucune empathie, c'est leur marque de fabrique, ils sont incapables de sentiments, ne connaissent pas l'expérience qui consiste à se mettre dans la peau de l'autre.

Ils ne peuvent éprouver ni pitié ni chagrin, solidarité ou sympathie envers quelqu'un; mais ils sont capables de ressentir des émotions, celles que produisent la musique ou l'art, la jalousie ou la convoitise, la colère ou la satisfaction.

Dieux absolus d'un monde unipersonnel, ils avancent masqués dans la société, parfaitement conscients qu'ils ne sont pas comme les autres, se sentant élus, en même temps que privés d'un honneur.
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L'architecture d'un village ou d'une ville témoigne des existences et préférences de ses habitants autant que les habitudes d'un homme révèlent sa personnalité.
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Manuel l’écoutait avec attention, en s’efforçant de se concentrer sur les détails de son explication et de faire abstraction du chœur dont les vœux criaient en lui, de plus en plus fort : « Álvaro est mort », « Álvaro est mort », « Álvaro est mort ».
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Elle sourit avant de répondre, parce qu'elle l'aimait, parce que sa vision du monde continuait de la fasciner et parce qu'elle savait qu'aimer, c'est aussi faire l'effort d'aimer.
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[...] Trois crimes apparemment sans lien entre eux, commis par trois assassins vulgaires dans des lieux différents, la même amputation à chaque fois, le membre amputé qui disparaît dans la nature, les trois meurtriers qui se suicident en prison ou sous surveillance, et laissant tous les trois un message identique écrit sur les murs, le nom d’une bête dévoreuse de bergers, de jeunes filles et de moutons. La chair des innocents. Le message inscrit sur la pierre, sauvagement, en lettres de sang : « Tarttalo ».
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[...] ... - "Ca s'annonce mal, chef, on a une gamine," fit Jonan en consultant ses notes. "Douze ou treize ans. Les parents ont déclaré que leur fille n'était pas rentrée à la maison à vingt-trois heures.

- Un peu tôt pour signaler une disparition," fit Amaia.

- Oui. Apparemment elle a téléphoné à son frère aîné à vingt heures dix pour lui dire qu'elle avait raté le bus d'Arizkun.

- Et il ne s'est pas bougé avant vingt-trois heures ?

- Vous savez : "Les aitas [= parents] vont hurler. S'il te plaît, ne leur dis rien. Je vais demander au père d'une copine de me ramener." Résultat, il a fermé son bec et s'est mis à jouer à la PlayStation. A vingt-trois heures, voyant que sa soeur n'arrivait toujours pas et que sa mère devenait hystérique, il les a mis au courant. Les parents se sont présentés au commissariat d'Elizondo pour déclarer qu'il était arrivé quelque chose à leur fille. Elle ne répondait pas sur son portable et ils avaient déjà appelé toutes ses copines. C'est une patrouille qui l'a découverte. En abordant le virage, les agents ont vu ses chaussures sur l'accotement," précisa Jonan en désignant de sa lampe l'endroit où brillaient des souliers vernis noirs à petits talons, parfaitement alignés.

Amaia se pencha pour les observer.

- "On dirait qu'on les a placés comme ça exprès. Quelqu'un les a touchés ?" demanda-t-elle.

Jonan consulta à nouveau ses notes. Amaia pensa que l'efficacité du jeune sous-inspecteur, anthropologue et archéologue de surcroît, était un cadeau du ciel dans une affaire qui s'annonçait complexe.

- "Non. Ils étaient comme ça, alignés et bouts pointant la route.

- Dis aux techniciens chargés des relevés d'empreintes de passer quand ils auront fini et de regarder à l'intérieur des chaussures. Pour les placer dans cette position, il faut introduire les doigts dedans." ... [...]
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El bosque del Baztán es hechizante, con una belleza serena y ancestral que evoca sin buscarlo su parte más humana, la parte más etérea e infantil, esa que cree en las maravillosas hadas...

Hace cien años, ciento cincuenta a lo sumo, era raro encontrar a alguien que declarase no creer en brujas, sorgiñas, belagiles, basajaun, tartalo y, sobre todo, en Mari, la diosa, genio, madre, la protectora de las cosechas y los ganados que a capricho hacía tronar el cielo y caer granizos, que sumían al pueblo en la más terrible de las hambrunas.
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Le climat humide prolongeait les automnes, à tel point qu'en plein mois de février, et malgré la neige, les prés devenaient verts. Seule la rumeur de la Baztan brisait le silence du paysage. C'était la forêt la plus mystérieuse et magique qui existe.
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Le mal m’a obligée à revenir, les fantômes sont sortis de leurs tombes, encouragés par ma présence, et ils m’ont retrouvée.
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No se conforma con despojarlas de zapatos y maquillaje, elimina el vello púbico y deja su sexo como el de las niñas. Rasga sus ropas y expone los cuerpos, que aún no son los de las mujeres que ellas quieren ser, y en el lugar del cuerpo que simboliza el sexo y la profanación de su concepto de infancia elimina el vello, que es la señal de madurez, y lo sustituye por un dulce, un pastelito tierno que simboliza el tiempo pasado, la tradición del valle, el regreso a la infancia, quizás a otros valores. No aprueba su modo de vestir, que se maquillen, sus maneras de adultas, y las castiga representando en ellas su ideal de pureza; por eso nunca las violenta sexualmente, es lo último que querría hacer, quiere preservarlas de la corrupción, del pecado...
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Lire était une défense, un bouclier pour pallier ses difficultés à communiquer.
Mais écrire était infiniment plus que cela.
L’écriture était un palais, un gigantesque labyrinthe dont il arpentait pieds nus et le sourire aux lèvres, les pièces secrètes où il s’arrêtait pour caresser des trésors.
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Une perle rare, un être capable de raisonner avec toute la logique scientifique du monde, et aussi sensible à l'invisible que le Petit Prince.
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Après une courte sieste dont elle se réveilla désorientée et étourdie, Amaia se sentit plus mal que le matin. Elle prit une douche, lut le mot que lui avait laissé James, un peu ennuyée qu'il soit déjà parti. Même si elle ne le lui avait jamais dit, elle préférait qu'il soit là pendant qu'elle dormait, comme si sa présence la rassurait. Elle se serait sentie ridicule si elle avait dû exprimer à haute voix le malaise qu'elle éprouvait en se réveillant dans la maison solitaire. Elle avait besoin de le savoir là. Souvent, quand elle travaillait de nuit et ne pouvait dormir que le matin, elle utilisait le canapé si James n'était pas à la maison. Elle ne dormait pas d'un sommeil aussi profond, mais elle préférait ça, car elle savait que, si elle se couchait dans le lit, il lui serait impossible de s'endormir.
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Il eut de la peine, pas pour eux ni pour lui, mais pour tous les solitaires, les abandonnés, les affligés incapables d'éteindre la lumière lorsque la nuit descend dans leur âme.
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— Ce que t'a raconté cette femme est vrai. Je vois beaucoup de cas similaires en fin d'année. Parfois, certaines choses sont exactement ce qu'elles paraissent.
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