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Critiques de Ed Greenwood (46)
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Le sage de valombre, Tome 1 : Elminster doi..

Je ne sais pas quoi dire à propos de ce roman. Je l'ai tellement attendu et tant cherché que la désillusion est grande.



Écriture absconse, personnages nombreux mais fades, lore incompréhensible pour les non initiés, trame principale sous-exploitée... pourtant ce roman commençait plutôt bien. Pourtant les 5 premières aventures romanesques d'Elminster étaient vraiment agréables à suivre. Pourtant...



Je suis franchement déçu et je n'en retiens vraiment pas grand chose (peut-être quelques Doppelgänger et autres spectres ^^).
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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Salut les Babelionautes

Ce premier tome de Elminster ne m'a pas convaincu de poursuivre ma lecture par les trois autres tomes écrient par Ed Greenwood.

Pourtant le début était prometteur, mais l'apprentissage de la magie par Elminster est trop cucu pour moi.

Donc voila un jeune garçon qui ne sait pas qu'il est le fils d'un Prince et légitime héritier de la Couronne d’Athalantar, il assiste a la destruction du village et de ses habitants par un sorcier chevauchant un Dragon.

Le reste du récit raconte son apprentissage auprès de différents personnages, Brigands, Elfes, Déesse, Voleurs.

Tout va lui servir pour le jour ou il devra affronter les Sorciers qui, dans l'ombre, tiennent les rennes et Neldryn Falconyr, le plus puissant des seigneurs mages.

Dommage pour moi, mais je me suis vite lassé et si j'ai quand même terminé ce livre c'est juste que j'essaye toujours de finir mes lectures.

Je remercie Michèle Zachayus qui a assurée la traduction de cette Saga.

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Elminster, tome 3 : La tentation d'Elminster

Dans les ruines de Myth Dranor, un groupe d'aventuriers s'avance à la recherche d'un butin magique. Face aux pièges et aux ennemis qui hantent ce lieu, ils repartiront bredouilles. Mais non sans avoir libéré deux entités. La première, un mage humain, Élu de Mystra la déesse de la magie, du nom d'Elminster, piégé là depuis des siècles. La seconde, un fléau maléfique vaporeux qui transporte avec lui le néant et la fin de toute vie…

———

Sans doute le meilleur des trois premiers tomes de la saga d'Ed Greenwood.

La première partie conte diverses aventures éparpillées dans Féérune et qui semblent sans réel lien les unes avec les autres. On prend réellement plaisir à suivre les diverses aventures relatées dans la première partie du roman et à lire les portraits de leurs divers protagonistes.

La seconde, quant à elle, s'attarde sur les liens tissés entre elles pour les faire concorder toutes au même endroit, au même moment, pour un final théâtral.



Dans ce tome, on se rend bien compte que le style narratif de Greenwood est génial. Passant d'un lieu à un autre, de personnages à d'autres, d'un temps à un autre en seulement quelques paragraphes. En se dégageant du traditionnel découpage en chapitres thématiques, l'auteur arrive à nous faire comprendre les imbrications les plus complexes et les évolutions qui se trament au sein d'un continent entier.



J'ai adoré les passages relatifs à la brume carillonnante excavée par les personnages du prologue. Leur brièveté rend compte d'une excellente manière de l'implacabilité de cette énigmatique entité vaporeuse.

Les perturbations liées à la Toile (et donc à la magie) sont également très intéressantes : comment le monde évolue-t-il lorsque la principale source de pouvoir dont disposent les hommes pour se dominer les uns les autres, vient à se tarir ?

Les retrouvailles avec un ancien ennemi rencontré dans le tome 2 sont également sympathiques, de même que les tribulations d'Elminster de ruine magique en ruine magique.



Ceci dit, je me pose tout de même la question de la pertinence du quatrième de couverture qui nous parle d'un Elminster "tombé entre les griffes de la sinistre Shar" et nous laisse entendre que le héros va devoir choisir entre le bien et le mal. Cela ne transparait jamais dans le récit ! À moins que les lecteurs français n'aient pas accès à une traduction complète (Bragelonne - Milady)… la seule "tentation" que l'on ressente est celle d'user de magie alors que Mystra l'interdit formellement à Elminster. Même sous la coupe de la maléfique Dasumia, Elminster ne suit que les ordres de Mystra.



Le prochain tome possédant une note assez sévère sur babelio, je m'en vais le lire de ce pas et vous donner mon avis...
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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Elminster est un jeune garçon, fils du seigneur d'Heldon. Toutefois, Elminster a une particularité, il est un des héritiers du trône du Cerf.

Alors, quand un puissant sorcier monté sur un dragon détruit son village et assassine ses parents afin de supprimer tous les prétendants au trône, le jeune El, miraculeusement rescapé, fait la promesse de libérer le royaume d'Athalantar du joug des thaumaturges et, par la même occasion, de libérer la place qui lui revient : le trône du royaume.

D'abord réfractaire à tout ce qui touche de près ou de loin à la magie, Elminster va vite comprendre, sous l'aile bienveillante de la déesse Mystra, que c'est la maîtrise de cette même magie qui lui permettra d'accomplir sa vengeance…

———

Bon, autant le dire tout de suite, quand on évoque les royaumes oubliés, j'ai l'oreille qui frétille, l'eau à la bouche, et des frissons le long de la nuque… alors ne me blâmez pas pour un manque d'objectivité.

———

Elminster, voilà un nom dont l'évocation véhicule tout un monde, tout un univers, toute une légende. À l'instar de Drizzt —le plus connu des elfes noirs—, Elminster est le plus grand Archimage de féérune. Normal que ces deux noms soient légendaires.

Et derrière chaque héros de légende se cache un auteur qui peut être, pour sa part, plus ou moins connu. R.A. Salvatore ne manque pas de notoriété, mais en ce qui concerne Ed Greenwood, dont il est question ici, son nom fait souvent défaut dans les fonds "fantasy/fantastique/SF" de la plupart des librairies généralistes. Poutant, les aventures du jeune Drow imaginé par Salvatore ne sont pas plus dignes d'intérêt que celles du jeune humain inventé par Greenwood.

Mais il est vrai que le style de l'inventeur des royaumes oubliés —il est bon de rappeler cette paternité— peut surprendre ou repousser, notamment dans ce premier tome de la saga consacrée à Elminster. Je comprends qu'on puisse ne pas accrocher, mais l'écriture a au moins le mérite d'être travaillée, le vocabulaire exceptionnel, et la syntaxe recherchée.

———

Dans ce premier tome, intitulé "La jeunesse d'un mage", le lecteur trouvera des fragments de la jeunesse d'Elminster plutôt que la narration d'un épisode complet de sa vie. Le texte est structuré en cinq grandes parties —du brigand au roi—, et il est vrai que chacune d'entre elle aurait pu faire l'objet d'un tome de 700 pages… mais la concision du roman permet au contraire de se concentrer sur la richesse de cette vie hors du commun ; n'oublions pas que 200 pages relatent environ 20 ans de sa vie, et qu'Elminster est né il y a plus de 1200 ans…

En un premier tome concis, Ed Greenwood réussit le tour de force de faire comprendre à son lecteur la psychologie complexe d'Elminster. Les fragments de son histoire permettent alors de comprendre pourquoi ce jeune gamin, au destin exceptionnel, deviendra l'Archimage le plus emblématique de Faerûn : son intelligence, sa détermination, son talent pour les arcanes ne sont pas encore à leur apogée et, pourtant, ils dépassent déjà de beaucoup ceux des plus grands sorciers du royaume.

Ça, Mystra l'a bien remarqué…



S'il fallait trouver des points négatifs à ce roman, il est vrai que les fréquentes ellipses n'aident pas à la compréhension immédiate. Il faudra parfois relire un passage plusieurs fois pour se rendre compte qu'il y a plusieurs années d'écart entre les deux phrases séparées par un petit retour chariot…

Mais ce n'est rien à côté des réjouissances que nous fournir Ed Greenwood.

La diversité des situations dans lesquelles notre jeune Elminster est amené à évoluer, font que l'on ne s'ennuie pas et que, surtout, on aborde des ambiances très diverses : des brigands montagnards aux mages elfiques en passant par les voleurs des cités, c'est tout un bestiaire, une géographie, un panthéon, une mythologie, un mode de vie, que l'on retrouve dans ce roman. Tout un univers qui ravira sans conteste les amateurs de D&D, des Forgotten Realms, ou de tout ce qui touche de près ou de loin au jeu de rôle médiéval-fantastique et à la fantasy en général.
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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

La série Les royaumes oubliés selon moi est une série qui au gré des ses trilogies vont s’améliore, murir et prend de l’expérience. On ne peut exploiter une histoire de ce type, surtout quand on introduit de nouveau caractère et élément, en un seul tome de 250 pages. La série à l’occasion nous amène se type d’orphelin, une histoire sans saveur et médiocre, un défilement saugrenue d’évènement, personnage exécrable et dialogue inutile. Nos yeux parcours cette lecture, mais nos pensées vogue vers des lieus plus intéressant ! Résumé cette histoire vous désopilerait. Espérons qu’il s’agit du dernier navet de cette série.
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Elminster, tome 2 : Elminster à Myth Drannor

Elminster, ce héros si parfait....



Et oui, nous sommes dans un saga jeunesse alors il nous faut du héros brushingué, sans peur, sans reproche. Du héros lavé avec Mir Laine et dont les vêtements immaculés ressortent sans un faux plis, même après la bataille, Elminster a tout. Il a été une femme, il a été l'élu d'une déesse, c'est un prince et un grand magicien. ON lui dit de partir chez les elfes alors que ceux ci n'aiment pas les autres ? Pas de problème. Il prend son sac et en avant l'aventure !





J'avais oublié que lorsque j'étais petite, ces héros remplissaient mon univers. Je rêvais d'être parfaite comme eux, déjouant tous les pièges avec mon sourire ultra bright, ma bonne volonté et une bonne vanne. Avec le temps, évidemment, que j'ai besoin de héros plus complexes mais avouez qu'Elminster, il en jette !





Un récit raconté comme un jeu de rôle



N'oublions pas qu'Ed Greenwood a écrit des scenariis pour jeux de plateaux avant. Et quitte à lire les héros parfaits, autant se régaler du spectacle. Et mes souvenirs de jeux de plateau sont revenus grâce au système de magie. Et oui, ne pensez pas que la magie est un don inné ici, on utilise des parchemins et on a des réserves. Pareil pour les rencontres. On se ballade en forêt, tranquilles. Jet de dés : hop un monstre. Et bien il y'aura un combat.



J'avoue que quelque part, je me suis prise au jeu. Aussi ai-je passé une bonne soirée en compagnie d'Elminster et de ses aventures auprès des elfes qui sont dépeints de manière très arrogante, très caricaturale. Ce sont des elfes pervertis par la politique humaine, sur le déclin. A trop vouloir rester sectaires, ils se condamnent eux même et c'est cela le message : c'est en échangeant avec les autres peuples que l'on s'enrichit et que l'on survit.



A bientôt pour de nouvelles aventures avec Elminster.
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Elminster, tome 5 : La Fille d'Elminster

Dans les ruelles d'Eauprofonde, sur les toits de la cité-état la plus importante de Féerune, la voleuse Narnra Shalace est en quête d'une victime potentielle. Alors, lorsqu'elle aperçoit ce vieillard s'aventurant dans une venelle mal éclairée, elle croit avoir trouvé sa prochaine proie. Mais un manteau grisonnant peut cacher un vieil Archimage âgé de plusieurs siècles, et celui-ci n'est pas une cible de choix, surtout lorsqu'il n'est autre qu'Elminster de Valombre, le Vieux Favori de Mystra, la déesse de la magie.

D'un claquement de langue, l'homme aurait pu faire fondre la cervelle de l'imprudente, mais, magnanime, il lui laisse la vie sauve avant de s'évanouir à travers un portail magique…

Quelle mouche a donc piqué Narnra pour qu'elle décide de le suivre à travers le vortex ? Elle se retrouvera téléportée à des kilomètres de sa ville natale, dans le royaume de Cormyr et, pire encore, au centre d'un vaste complot fomenté par divers marchands, nobles et Magiciens Rouges de Thay, ayant pour objectif de détruire la famille Obarskyr régnante. Mais si Elminster s'est rendu à Marsembre par ce portail magique, c'est justement pour infiltrer cette conspiration et la déjouer, non pour sauver une petite voleuse aquafondienne perdue comme un agneau au milieu des loups…







Le voyage à Féerune en compagnie d'Elminster Aumar se termine avec ce cinquième tome (en attendant la VF de "Spellstorm"). Une dizaine d'années après le premier tome, Ed Greenwood a su trouver un style narratif plus orthodoxe, plus lisible, plus clair, sans pour autant avoir sacrifié sa syntaxe merveilleuse, sa délicieuse ironie, son parfait choix des mots et son art de l'intrigue et de la narration. On ne s'ennuie pas et, chose parfois rare, on trouve également une plume excellente.

Ici encore, plus que l'Archimage Elminster, c'est véritablement Féerune l'héroïne du roman ; Ed Greenwood nous entraine dans l'univers mythique qu'il a construit de toutes pièces et nous guide dans ses méandres les plus complexes, dans ses détails les plus riches. Parfois, on croit que la complexité va nous submerger, on se dit que c'est un livre pour initiés, pour rôliste D&D purs et durs, puis, lorsqu'on en vient à comprendre le tout que forment les parties en présence, on se dit que Greenwood ne prend pas son lecteur pour un benêt recevant sa nourriture pré-mâchée dans le gosier. C'est un point réellement appréciable que de trouver autre chose que du casual-fantasy empli de didascalies déguisées mais portant tout de même de grosse bottes cloutées.

Intrigue géopolitique de taille à rendre jaloux un certain Georges R.R., univers foisonnant et riche à faire pâlir un certain J.R.R., maturité et complexité à débouter une certaine J.K. ; Greenwood a décidément créé un monde vivant, plaisant, intrigant, riche, complexe et crédible. J'ose aussi rajouter "mature" et je me demande bien pourquoi cette saga est estampillée "littérature jeunesse" ; peut-être que toute fantasy (hors dark-fantasy ?) est classée ainsi, mais je doute qu'un public de collégiens ou même d'ado prépubères soit en mesure de comprendre ou d'apprécier chaque passage pour ce qu'il est (la question reste ouverte ; mais rien que le vocabulaire employé fera fuir une large partie de "jeunes lecteurs" non habitués à l'utilisation des dictionnaires).



Une course-poursuite géniale sur les toits, dans les venelles et les entrepôts de Marsembre ; un complot de marchands trop couards, de nobles trop riches, de mages trop sûrs d'eux ; un vieux mage retraité aux rêves de gloire ; des tractations sous capes et des retournements de situations ; un twist-ending jouissif ; la liste des pépites présentes dans ce tome est longue et tranche avec l'impression laissée par le précédent. Je m'étais avancé à dire que le numéro 4 ne devait pas empêcher de lire le 5, j'en suis maintenant convaincu. Les Royaumes Oubliés ne sont pas près de me voir partir. Mais pour voir si l'herbe est réellement plus verte dans le pré du voisin, je pars du côté de Trudi Canavan bien que, pour l'instant, elle n'ait pas l'air si fraîche (je parle de l'herbe…;) ).
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Elminster, tome 4 : La Damnation d'Elminster

L'enfer est pavé de bonnes intentions.

À Féerune, celles d'Elminster, le plus puissant des Archimages, l'ont mis dans une posture très délicate. S'employant à colmater une brèche entre les plans infernaux de l'Avernus et le monde, l'Élu de Mystra va se retrouver pris au piège et à la merci d'un prince des enfers. Évoluant dans son élément, le démon Nergal va aisément prendre le dessus sur le vieux magicien. Il lui infligera alors mille tourments et tortures physiques afin de s’approprier ses pouvoirs.

Pour Elminster, le pire d'entre tout sera de voir ses souvenirs ravagés et effacés par le "ver d'esprit" que Nergal enfouit dans les méandres de sa mémoire afin de trouver trace du magefeu, le pouvoir attribué par Mystra à ses élus.

Mais plus le ver déroule, dévoile et dévore les souvenirs du mage, plus ce dernier parvient à entrer en contact avec ses amis, alliés et amantes de tout Féerune. Chose que Nergal n'avait pas pu prévoir...



———



C'est avec une structure bien particulière et très atypique qu'Ed Greenwood nous livre ce quatrième tome de la saga d'Elminster.

Le lecteur suivra l'alternance entre tourments des enfers et souvenirs du magicien. D'ailleurs, la situation en Avernus ne revêt que peu d'intérêt pour elle même, ce sont, au contraire, les souvenirs qui forment le réel sujet du roman. La capture par un démon ne semble qu'un prétexte pour servir de cadre à une multitude d'histoires, d'aventures, de complots ou d'évènements parfois sans liens.



On l'aura compris, chaque tome de la saga d'Elminster peut se lire comme un one shot se suffisant à lui-même et ne s'appuyant que très peu, voire pas du tout, sur les précédents. Ce peut être une qualité ou, au contraire, le déclencheur d'une grande frustration, chacun choisira son camp. Le tome dont il est question ici, n'apporte que peu de choses à l'histoire d'Elminster en tant que tel, tout juste les bardes chanteront-ils qu'il fut prisonnier d'un prince démon ; c'est par contre une mine d'informations relative à l'univers et aux personnages qui l'entourent.



Quelques points négatifs : La trame choisie par Ed Greenwood est toujours délicate à appréhender et il faut s'accrocher pour suivre, sans se perdre, l'imagination foisonnante de l'auteur ; je n'ai pas réellement apprécié les didascalies en caps lock sur les tourments mentaux infligés à El ; ni l'absence des citations en tête de chapitre, alors qu'elle font partie du charme des autres tomes ; ni le caractère puéril des dialogues entre Nergal et Elminster au début de l'ouvrage (on comprend toutefois à quel jeu ils se livrent et pourquoi le démon ne met jamais ses menaces à exécutions (on pourrait compter le nombre de "dernier avertissement").



En tant qu'écrin maléfique à une multitude d'histoires et de personnages toujours si attachants et captivants, ce tome ravira les fans du genre, de l'univers ou de l'auteur, tout en pouvant dérouter ou dégoûter les autres. Se priver du tome 5 par la faute du 4 serait toutefois une grave erreur :)
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Elminster, tome 4 : La Damnation d'Elminster

Un tome qui n'apporte vraiment rien.



Nous avons eu la jeunesse d'Elminster. Puis son accession à la sagesse. Ensuite, la mise à l'épreuve face à l'immensité de son pouvoir. Maintenant que sa Foi a été éprouvée et qu'Elminster a (encore) sauvé le monde, il était temps qu'il souffrît de sa loyauté et de son amour pour la gentille déesse Mystra. L'auteur nous a donc sorti un démon - Nergal - qui kidnappe Elminster pour le torturer afin qu'il délivre le secret d'une grande magie.



Nous voici donc partis pour un tome où notre héros va souffrir mille maux. Mais il ne lâchera pas le morceau car la survie du monde est en jeu. Qui plus est, alors que la douleur est insoutenable, il va chercher un moyen de rouler le démon, survivre et lance quelques petites réparties humoristiques.



Vous pensiez peut être qu'il n'y arriverait pas ? Aviez vous lu les trois premiers tomes ? Vous êtes sûrs ?





Une structure narrative qui ne donne pas de surprise non plus.



Ah non mais quand je vous dis que je me suis ennuyée de la première à la dernière phrase... C'est qu'Ed Greenwood utilise le même schéma narratif que les trois premiers tomes. Vous n'avez là aucune surprise ! Tout d'abord, vous commencez le livre avec aucun lien avec le précédent. Après ma vérification habituelle pour être sûre de ne pas avoir sélectionné le mauvais tome, j'y retourne en me disant que l'auteur aura peut être la gentillesse de nous faire le lien en cours de récit (vers le quart, je vous rassure de sutie.)



Ensuite, l'auteur nous met Elminster dans une situation impossible que même nous, on serait mort depuis longtemps. Et là s'instaure un dialogue entre le méchant du moment et notre mage, agrémenté de quelques moments de torture 'qui ne sont pas convaincants, je vous rassure), d'une réflexion caustique d'Elminster et d'un souvenir (vrai ou faux) pour tromper l'ennemi. Mais Nergal est malin du coup, on refait le match jusqu'à ce que cela marche.



Tout ça pour vous dire que le tome 5 sur la fille d'Elminster ne sera pas présent ici. Je craque et je clore la saga de mon côté ici. Adieu Elminster, tu m'auras toutefois bien passé le temps. C'est déjà cela.
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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Ce dixième tome de la série des Royaumes Oubliés présente au lecteur la découverte du magefeu. Un élément mythique de cet univers fantastique. Nous suivons Shandril, une jeune femme, servante dans une auberge, qui se retrouve au milieu d’une troupe d’aventurier. Rapidement, la troupe se confronte à un dragon. Et Shandril se découvre des talents qu’elle ne soupçonnait pas.

Ce roman, plutôt bien réussi pour la collection qui a plutôt l’habitude de nous proposer des romans moyens et souvent mauvais, est assez bien écrit, avec un style très fluide. A cela s’ajoute un récit plein de rebondissements agrémenté de-ci de-là d’un amour naissant et de découverte sur le passé de la jeune fille, en font finalement un roman sympathique à lire et pas trop ennuyeux. Ce n’est bien sûr pas de la grande littérature mais de temps en temps, ça fait pas de mal non plus.
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Elminster, tome 2 : Elminster à Myth Drannor

Elminster est désormais l'Élu de Mystra, déesse de la Magie. À ce titre, elle lui confère des avantages non négligeable mais requiert en retour qu'il accomplisse sa volonté. Et voilà donc notre jeune Elminster en route pour la royaume elfique de Cormanthor, sur les ordres de sa déesse. Pourquoi Mystra envoie-t-elle Elminster chez ces elfes devenus arrogants, suspicieux et xénophobes ? Les objectifs de la Dame sont flous et voilés ; Elminster ne sait pas que c'est avec son aide et dans un bain de sang, qu'elle a prévu que Cormanthor devienne Myth Drannor !



Un second tome assez différent du premier par la quasi unité du lieu de l'action, et par les races entrant en jeu. Le style reste toutefois identique, conservant qualités et défauts. D'un côté, une richesse de la langue appréciable, et, de l'autre, des situations surgissant ex nihilo et parfois difficilement compréhensibles au premier abord. Les salmigondis de patronymes elfiques n'ont rien à envier aux Contes et légendes inachevés de Tolkien, et participent à la confusion qu'un lecteur peu attentif aura vite fait de ressentir.



Mais quoi qu'il en soit, c'est une joie de continuer les aventures d'Elminster, d'en apprendre plus sur les Elfes, leurs coutumes et l'architecture de leur société (qui a parfois de drôles de ressemblances avec celle des drows).

La position d'Élu de Mystra sauvera notre brave prince-mage à de nombreuses reprises, et gageons que tant qu'il lui sera fidèle, il n'aura rien d'autre à craindre que lui-même...
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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Ed Greenwood remet ça dans ce deuxième Tome qui mets en vedette cette pauvre jeune femme qui part à l'aventure et qui découvre qu'elle a le plus grand pouvoir de la planète, soit le Magefeu. Du même coup tout les engeances de la planète cherche ça perte. Ouf cette suite est aussi lourde et ennuyante que le premier Tome (10. Magefeu). Je croit sans aucun doute que la traduction y est un peu pour quelque chose, mais je crois aussi que cette auteur manque totalement de talent littéraire, même si c'est idée d'aventure sont pas si mal. Bref passez au suivant, surtout que la prochaine trilogie est signé R.A. Salvatore . OMG
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Elminster, tome 3 : La tentation d'Elminster

Une mise à l'épreuve pour Elminster



Au début de ce tome, après un long sommeil, Elminster tente de prendre contact avec sa déesse adorée, Mystra. Mais celle-ci ne répond pas. Elminster, qui a voué sa vie entière à l'adoration de sa déesse se sent plus seul que jamais. Surtout qu'il entend d'autres voix qui peuvent le tenter (oui, je sais, cela peut faire bizarre dit comme cela)



Laissé à son propre jugement, Elminster repart en pèlerinage à travers le monde. Il le redécouvre en mauvaise posture après ses longues années de sommeil. En effet, Myth Drannor est tombée, les elfes sont sur le déclin et les conflits sont latents. Au fur et à mesure de ses rencontres, Elminster va se retrouver régulièrement à prendre des décisions qui pourraient remettre en cause l'équilibre du monde.



D'où le thè:me de ce tome : Elminster va-t-il prendre les bonnes décisions sans les conseils de sa déesse ? En bref, que va donner le jugement d'Elminster sans l'influence bénéfique de sa déesse ? Elminster est-il bon ou mauvais ?





Une mise en garde contre la puissance ?



Et ce point est crucial car Elminster a des pouvoirs qui défient l'imagination. Et les regards se posent sur Elminster car lorsqu'on regarde le comportement des mages locaux, le bilan n'est pas vraiment brillant. En effet, les mages font entièrement confiance en leurs pouvoirs magiques, asservissant petit à petit la population, créant un déchaînement de forces ou amène à la destruction, à l'image de la chute de la cité de Myth Drannor.



Alors, la puissance est-elle bonne ou mauvaise ou dépend-elle des personnes qui l'utilisent? Doit-on systématiquement recourir à la magie en cas de problème ou doit-on envisager la magie comme d'un ultime recours ? C'est le débat qui est développé ici.



Rassurez vous, Elminster est toutefois un héros de littérature jeunesse. Aussi, malheureusement, on devine très régulièrement les choix qu'il va prendre. C'est ce manque d'imprévisibilité qui gâche un peu ce tome, comme un jeu vidéo à la difficulté trop vite résolue.
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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Ce roman aurait pu être bien, mais j'ai été rapidement déçue. Le monde dans lequel se déroule l'histoire est intéressant. Il pourrait permettre une grande aventure. J'ai eu du mal à me repérer géographiquement et dans l'espace temps. Une carte aurait été bienvenue. Elminster est un personnage agréable, mais il lui arrive trop de choses en moins de trois cent pages. Voilà une petite liste de ce qu'il devient : brigand, voleur, mage, prêtre, femme, roi, immortel. Ça ne fait pas un peu trop pour le premier tome d'une série? Le récit a un autre petit problème : il y a trop d'ellipses. A presque à chaque chapitre, Elminster se trouve dans un nouvel endroit, dans un temps qu'on ignore, sans qu'on sache comment il est arrivé là. Si vous avez envie de vous lasser de la lecture d'un roman, celui-là est pour vous.
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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10

Développement des personnages : 7/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 5/10

Total 26/40 Babelio 3,5/5



Voici donc le dernier tome qui signe la fin de cette trilogie. Cette fois, Ed Greenwood semble mettre les petits plats dans les grands. Les Zhentils et les Malaygryms rivalisent contre nos héros et le grand Elminster. Au milieu de cela, il y a aussi la trilogie des avatars en toile de fond.



Donc tous les ingrédients sont réunis pour un grand final digne de ce nom et pendant en long moment on y croit. Mais au final Greenwood se tourne trop vers ces Malaygryms et rate totalement le coche. Les Zhentils auraient été un choix plus judicieux de protagonistes à opposer à nos compagnons. Après tout, on avait déjà fait le tour de la question au niveau du château des ombres dans le précédent tome. Alors, pourquoi vouloir en remettre une couche ?



Sans doute, l’auteur n’avait pas envie de faire une redite avec ces précédents tomes comme Magefeu et la couronne de feu. Peut-être aurait-il du au final. Un roman qui n’est pas totalement en échec, mais pas non plus une franche réussite. On dira donc un roman du niveau de l’auteur. Par moment, l’auteur me fait penser à un gros fainéant qui le plus souvent se repose sur ces acquis et ceux des autres…

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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10

Développement des personnages : 7/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 7/10

Total 35/40 Babelio 3,5/5



Suite de cette trilogie des ombres. Je me souviens que j’avais presque vomi dessus à l’époque de sa sortie. Bien que pas faramineux, j’ai plus apprécié cette seconde lecture vingt ans après. La question est pourquoi avais-je autant détesté ce roman lors de sa sortie ? Déjà j’ignorai ce qu’étaient les Malagryms (qui était très mal défini par l’auteur) et donc j’avais beaucoup de mal à me les représenter. À cette époque pas de Supernatural pour mieux visualiser ces étranges métamorphes.



Ed Greenwood n’est pas le plus accessible des auteurs des royaumes oubliés, ses romans sont à réserver aux initiés. Aussi faut-il bien être concentré lorsqu’on lit un de ses romans. Donc cette fois j’avais mis toutes les chances de mon côté pour accrocher à la lecture. Même si'il est un cran en dessous du premier tome, celui-ci mérite qu’on s’y attarde. Dans le premier tome au se trouvait au moment de la chute des dieux, une sorte de préquel. Dans ce second tome, on voit Minuit qui croise la route de Elminster. Donc on trouve un certain parallélisme avec la trilogie des Avatars, mais sur un axe différent.



On retrouve donc nos deux ménestrels et leur amie chevalière du Mythe de Dranor. Nos amis pour venger la mort de Elminster vont plonger en plein cœur de la forteresse de l’ombre où des combats prodigieux nous attendent. Comme on le découvre plus tard Elminster n’est pas mort, mais il a d’autres choses à faire que de rejoindre ses compagnons sur qui il garde un œil avisé.



Le roman, bien que moins bon que le premier tome nous ouvre une suite des plus agréables, sans jamais vraiment nous faire exulter. À voir don la conclusion de cette trilogie dans le prochain tome.

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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Elminster est un jeune berger dans un village tranquille. Un jour, un dragon et son cavalier ravagent son village ; il se retrouve donc seul. Grâce à l’aide de Mystra, la déesse de la magie, il va s’initier à cet art. Nous suivrons donc sa « jeunesse », semée d’embûches, il faut bien le dire, mais aussi de magie, dragons, elfes et guerriers. Certains seront fiers de l’aider, d’autres seront plutôt concentrés à essayer de lui voler ses pouvoirs, voir même de le tuer.



« Elminster », c’est déjà un nom qui m’a paru un peu bizarre : je m’explique, Elminster pour moi, je le prononce comme El Munster. Enfin bon, à part ça, ce fameux El n’a pas vraiment de personnalité. J’ai eu l’impression d’être un simple spectateur, sans être omniscient comme dans certaines séries. On voit défiler de gros morceaux de sa vie, comme si l’on observait quelqu’un uniquement pendant son travail : on ne le connait pas. Il est donc difficile de s’identifier au personnage. On se perd quelques fois dans les personnages car ce n’est pas toujours El qui est visé. Dans ces cas -à, je ne voyais vraiment pas l’intérêt de la chose : pas beaucoup de rapport avec ce qui se passe, seulement une vision du camp adverse où, comme d’habitude, on voit l’ennemi s’énerver de la réussite d’El. De l’autre côté, au niveau de l’histoire, j’ai une impression de « déjà vu » que l’on retrouve souvent dans ce genre de livre (un jeune qui se découvre magicien). El m’a un peu fait penser à Eragon (mais aucune vraie comparaison possible) à cause de sa quête. Quoique, les intentions d’El au fil de l’aventure sont floues, tout d’un coup, on le retrouve en train de chercher un grimoire, d’en voler un autre ou de combattre une armée à lui tout seul. Dans le dernier cas, je vous rappelle qu’il est passé de simple paysan à mage sans que l’on s’en rende compte. On ne nous donne que de gros blocs de sa vie, sans points de passage entre ces derniers. On dirait même une sorte de jeu où, pouf ! « level up : vous gagnez +100 de magie ». Le style d’écriture ne m’a pas marqué (ce qui n’est ni un bon, ni un mauvais point). En conclusion, je n’achèterais pas le tome 2, mais peut-être que si un parte le propose, j’y participerai (il reste à voir si le tome 2 sera encore sous la forme de « blocs »).



Note : 11/20
Lien : http://akashew.wordpress.com..
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Les Royaumes Oubliés - Les chevaliers de Myth..

J'ai d'abord trouvé à la bibliothèque les tomes 2 et 3. Le premier était sorti. La couverture était prometteurs. Le lendemain j'ai récupéré le premier tome qui était rentré ainsi que les 2 autres tomes. Cela aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Je me suis lancé dans la lecture quasiment dès le début je n'ai pas tout compris. Le résultat n'est pas à la hauteur du résumé. Les personnages sont nombreux et les "chevaliers" dont on va suivre les aventures n'apparaissent pas sympathiques et surtout pas très futaies. Bref un série de livres à oublier très vite que je vais ramener directement à la bibliothèque
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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 9/10

Style de l'écriture : 8/10

Rendu de l'histoire : 9/10

Total 35/40 Babelio 4/5



Voici la trilogie qui m’a fait interrompre la collection des royaumes oubliés en 1998, plus de vingt ans après j’avais envie de donner une seconde chance à cette trilogie. À l’époque je l’avais trouvé assez insipide et sans saveur. Je jugeais cette trilogie trop naïve, les héros m’agaçaient tous et les scènes de combats étaient d’un bordel sans nom.



Donc un gros défi que de donner une seconde chance à Ed Greenwood avec cette trilogie. Et je suis forcé de constater que mon opinion a changé par rapport à ma première lecture. Certes ce n’est pas de la grande littérature et je ne la jugerai jamais comme telle. D’ailleurs je ne cote pas un TSR comme un autre roman de fantasy écrit de nos jours. J’ai déjà expliqué cela dans d’autres critiques concernant ces livres. Mais je dois avouer que pour ce qui est de ce premier tome, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.



Cette trilogie pourrait servir de préquel à la fameuse trilogie des avatars, Ao décide de faire tomber les dieux du ciel pour rejoindre le monde des hommes. Mais avant que les Avatars n’apparaissent la magie va subie un drôle de changement. Elle n’est plus sûre, le moindre petit sort peut se retourner sur son créateur. Ennuyeux pour un mage tel que Elminster. Pourtant malgré cela il va se jeter à corps perdu dans la bataille. Car si il a du mal avec la magie, ses ennemis aussi.



J’ai trouvé ce premier tome très dynamique et nous offrant à plusieurs moments du livre de beaux retournements de situation. Bien entendu on reste toujours sur la base que ce type de roman est à réserver aux adeptes de jeux de rôles, car ça pullule de potion de santé et d’artefact magique. Si cela vous agace, passez votre chemin.



Même si Elminster retrouve une partie de ses pouvoirs à la fin du tome on se demande bien ce qui va se passer dans le second tome. Et je dois bien avouer que même si je l’ai déjà lu je ne sais plus trop ce qui va se passer ensuite…

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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 4/10

Style de l'écriture : 6/10

Rendu de l'histoire : 4/10

Total 23/40 Babelio 3/5



Projet d’envergure que ce roman, il est vrai qu’il est toujours délicat d’écrire la jeunesse d’un personnage ultra important comme Elminster. Alors comme au cinéma il y a deux possibilités. Soit le livre est un énorme succès, soit un énorme fiasco. Comme je l’ai dit plus haut c’est toujours très délicat de vouloir écrire la jeunesse de Elminster qui se situerait on va dire entre Merlin l’enchanteur et Gandalf.



Alors pourquoi l’auteur rate le coche ici ? Selon moi parce que pour une telle histoire tournant autour de plusieurs années du mage il aurait au moins fallu cinq bouquins. Donc un travail bâclé on pourrait dire, mais une fois de plus ça n’est pas totalement la faute de l’auteur. Car comme je l’ai expliqué dans une précédente critique TSR ne donnait pas beaucoup de choix à ses auteurs. « Est-ce que je pourrais écrire cela en cinq tomes ? Sur un personnage cinq tomes ? Tu as 240 pages pour convaincre ton public ». Un peu imagé ? C’était pourtant le contexte de l’époque au niveau de cette collection. Un peu comme on le voit de nos jours au cinéma.



C’est dommage, car Elminster aurait mérité bien mieux. Et on ressent ce qu’aurait pu donner le roman des les premières lignes. C’est bien écrit on rentre directement dans l’histoire. Hélas après cela se gâte et perd de sa superbe. Une fois de plus on a l’impression de suivre un film en accélérer, ce qui est encore plus déplorable quand il s’agit d’un roman.



Mais malgré ses défauts le roman reste plaisant à lire et nous donne un rapide aperçu du potentiel de Elminster dans ses jeunes années.

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