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Critiques de Ed Greenwood (46)
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Elminster, tome 4 : La Damnation d'Elminster

Et c'est reparti pour Elminster le terrible, le magnifique, le fabuleux, l'extraordinaire, le chiantissime ... Je voulais dire le génialissime... Le plus que parfait, le miraculeux, l'insupportablissime ... Ah oui celui là je voulais bien le dire.



Bon, Elminster n'est vraiment pas mon personnage préféré. Je n'aurais pas continué à après le deuxième tome si je n'étais pas abonné à la série Donjon et Dragon en roman. En dehors du personnage, l'écriture d'Ed Greenwood ne m'attire pas vraiment. Il est plein d'idées, certes, mais quel bordel à la lecture.



Donc lorsque j'ai entamé ce livre je n'étais pas emballé ( des fois on a de bonnes surprises comme ça aussi ). Et ça commence mal. Le premier tiers est un bordel sans nom où l'on ne comprends pas vraiment ce qui se passe. D'ailleurs qu'est ce qu'il fait là Elminster ? Non parce que j'ai lu tout le roman mais je n'ai pas trop compris comment il a pu se retrouver en enfer. Dans le résumé il est dit qu'il a encore sauvé le monde ... Sauf que dans le livre on nous dit peu ou prou la même chose sans aucune explication. J'ai eu l'impression de lire une histoire où il manquait la première moitié ( bon c'est du Ed Greenwood donc il manque au moins 20 pages ).



La première moitié donc est décousue au possible. Elminster se retrouve prix dans les griffes d'un démon dont le seul but est de lui voler sa magie ultime ( c'est légitime ) et donc qui accepte de patienter tout du long ( nous avons un démon particulièrement stupide ici mais ils le sont tous dans ce livre ). C'est donc l'occasion d'enchainer les réminiscences d'Elminster sous forme de fragments mémoriels. D'où l'aspect foutraque mentionné plus haut, c'est assez laborieux à lire. Certains passages sont plutôt pas mal et puis hop on repart en Avernus pour des descriptions assez inintéressantes de châtiments redondants.



La seconde moitié est mieux construite. Les histoires se font plus longues et une forme de résistance d'Elminster s'organise. C'est ce qui m'a fait remonter la note du roman. Pour une fois Elminster apparait vraiment en difficulté et on oserait même imaginer qu'il pourrait perdre ( enfin pas tant que ça mais il y a un peu de suspense pour changer ).



Au final, c'est un livre assez moyen qui est sauvé par des morceaux d'histoires et une position non enviable d'Elminster. J'ai vraiment du mal avec l'écriture d'Ed Greendwood ( et avec Elminster il faut être honnête ) mais c'est le meilleur roman que j'ai pu lire de lui jusque là.
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Elminster, tome 2 : Elminster à Myth Drannor

Un tome 2 que j'ai trouvé plus facile à suivre que son prédécesseur. Moins d'ellipses, de sauts d'un lieu à un autre sans explications. La lecture s'est faite plus fluide !

Ici, tout se passe dans la demeure des elfes : Cormanthor. On y découvre donc un peu les us et coutumes des elfes, et surtout leur politique compliquée (peut être même un peu trop, j'étais souvent perdue dans les noms des diverses maisons et personnages).

Un volume plutôt lent dans son déroulé, ce qui est agréable à suivre, mais qui s'accélère bizarrement à quelques chapitres de la fin : déroutant !

J'ai apprécié suivre Elminster dans cette aventure elfique même si le style de l'auteur n'est toujours pas ma tasse de thé.
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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

J'adore l'univers et je voulais en apprendre plus avec les romans, notamment sur le personnage emblématique et énigmatique d'Elminster rencontré dans les jeux Baldur's Gate.

Malheureusement, au début, il est difficile de prendre plaisir à la lecture tant l'écriture de l'auteur est compliquée : trop d'ellipses, de manque de contexte, de manque de "corps" et de mise en place.

Passé la première moitié du tome 1, j'ai fini par m'habituer au style et j'ai pu me laisser porter par le l'histoire d'El.
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Les Royaumes Oubliés - Les chevaliers de Myth..

J'ai d'abord trouvé à la bibliothèque les tomes 2 et 3. Le premier était sorti. La couverture était prometteurs. Le lendemain j'ai récupéré le premier tome qui était rentré ainsi que les 2 autres tomes. Cela aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Je me suis lancé dans la lecture quasiment dès le début je n'ai pas tout compris. Le résultat n'est pas à la hauteur du résumé. Les personnages sont nombreux et les "chevaliers" dont on va suivre les aventures n'apparaissent pas sympathiques et surtout pas très futaies. Bref un série de livres à oublier très vite que je vais ramener directement à la bibliothèque
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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10

Développement des personnages : 7/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 5/10

Total 26/40 Babelio 3,5/5



Voici donc le dernier tome qui signe la fin de cette trilogie. Cette fois, Ed Greenwood semble mettre les petits plats dans les grands. Les Zhentils et les Malaygryms rivalisent contre nos héros et le grand Elminster. Au milieu de cela, il y a aussi la trilogie des avatars en toile de fond.



Donc tous les ingrédients sont réunis pour un grand final digne de ce nom et pendant en long moment on y croit. Mais au final Greenwood se tourne trop vers ces Malaygryms et rate totalement le coche. Les Zhentils auraient été un choix plus judicieux de protagonistes à opposer à nos compagnons. Après tout, on avait déjà fait le tour de la question au niveau du château des ombres dans le précédent tome. Alors, pourquoi vouloir en remettre une couche ?



Sans doute, l’auteur n’avait pas envie de faire une redite avec ces précédents tomes comme Magefeu et la couronne de feu. Peut-être aurait-il du au final. Un roman qui n’est pas totalement en échec, mais pas non plus une franche réussite. On dira donc un roman du niveau de l’auteur. Par moment, l’auteur me fait penser à un gros fainéant qui le plus souvent se repose sur ces acquis et ceux des autres…

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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10

Développement des personnages : 7/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 7/10

Total 35/40 Babelio 3,5/5



Suite de cette trilogie des ombres. Je me souviens que j’avais presque vomi dessus à l’époque de sa sortie. Bien que pas faramineux, j’ai plus apprécié cette seconde lecture vingt ans après. La question est pourquoi avais-je autant détesté ce roman lors de sa sortie ? Déjà j’ignorai ce qu’étaient les Malagryms (qui était très mal défini par l’auteur) et donc j’avais beaucoup de mal à me les représenter. À cette époque pas de Supernatural pour mieux visualiser ces étranges métamorphes.



Ed Greenwood n’est pas le plus accessible des auteurs des royaumes oubliés, ses romans sont à réserver aux initiés. Aussi faut-il bien être concentré lorsqu’on lit un de ses romans. Donc cette fois j’avais mis toutes les chances de mon côté pour accrocher à la lecture. Même si'il est un cran en dessous du premier tome, celui-ci mérite qu’on s’y attarde. Dans le premier tome au se trouvait au moment de la chute des dieux, une sorte de préquel. Dans ce second tome, on voit Minuit qui croise la route de Elminster. Donc on trouve un certain parallélisme avec la trilogie des Avatars, mais sur un axe différent.



On retrouve donc nos deux ménestrels et leur amie chevalière du Mythe de Dranor. Nos amis pour venger la mort de Elminster vont plonger en plein cœur de la forteresse de l’ombre où des combats prodigieux nous attendent. Comme on le découvre plus tard Elminster n’est pas mort, mais il a d’autres choses à faire que de rejoindre ses compagnons sur qui il garde un œil avisé.



Le roman, bien que moins bon que le premier tome nous ouvre une suite des plus agréables, sans jamais vraiment nous faire exulter. À voir don la conclusion de cette trilogie dans le prochain tome.

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Les Royaumes Oubliés - La Trilogie des Ombres..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 9/10

Style de l'écriture : 8/10

Rendu de l'histoire : 9/10

Total 35/40 Babelio 4/5



Voici la trilogie qui m’a fait interrompre la collection des royaumes oubliés en 1998, plus de vingt ans après j’avais envie de donner une seconde chance à cette trilogie. À l’époque je l’avais trouvé assez insipide et sans saveur. Je jugeais cette trilogie trop naïve, les héros m’agaçaient tous et les scènes de combats étaient d’un bordel sans nom.



Donc un gros défi que de donner une seconde chance à Ed Greenwood avec cette trilogie. Et je suis forcé de constater que mon opinion a changé par rapport à ma première lecture. Certes ce n’est pas de la grande littérature et je ne la jugerai jamais comme telle. D’ailleurs je ne cote pas un TSR comme un autre roman de fantasy écrit de nos jours. J’ai déjà expliqué cela dans d’autres critiques concernant ces livres. Mais je dois avouer que pour ce qui est de ce premier tome, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.



Cette trilogie pourrait servir de préquel à la fameuse trilogie des avatars, Ao décide de faire tomber les dieux du ciel pour rejoindre le monde des hommes. Mais avant que les Avatars n’apparaissent la magie va subie un drôle de changement. Elle n’est plus sûre, le moindre petit sort peut se retourner sur son créateur. Ennuyeux pour un mage tel que Elminster. Pourtant malgré cela il va se jeter à corps perdu dans la bataille. Car si il a du mal avec la magie, ses ennemis aussi.



J’ai trouvé ce premier tome très dynamique et nous offrant à plusieurs moments du livre de beaux retournements de situation. Bien entendu on reste toujours sur la base que ce type de roman est à réserver aux adeptes de jeux de rôles, car ça pullule de potion de santé et d’artefact magique. Si cela vous agace, passez votre chemin.



Même si Elminster retrouve une partie de ses pouvoirs à la fin du tome on se demande bien ce qui va se passer dans le second tome. Et je dois bien avouer que même si je l’ai déjà lu je ne sais plus trop ce qui va se passer ensuite…

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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 4/10

Style de l'écriture : 6/10

Rendu de l'histoire : 4/10

Total 23/40 Babelio 3/5



Projet d’envergure que ce roman, il est vrai qu’il est toujours délicat d’écrire la jeunesse d’un personnage ultra important comme Elminster. Alors comme au cinéma il y a deux possibilités. Soit le livre est un énorme succès, soit un énorme fiasco. Comme je l’ai dit plus haut c’est toujours très délicat de vouloir écrire la jeunesse de Elminster qui se situerait on va dire entre Merlin l’enchanteur et Gandalf.



Alors pourquoi l’auteur rate le coche ici ? Selon moi parce que pour une telle histoire tournant autour de plusieurs années du mage il aurait au moins fallu cinq bouquins. Donc un travail bâclé on pourrait dire, mais une fois de plus ça n’est pas totalement la faute de l’auteur. Car comme je l’ai expliqué dans une précédente critique TSR ne donnait pas beaucoup de choix à ses auteurs. « Est-ce que je pourrais écrire cela en cinq tomes ? Sur un personnage cinq tomes ? Tu as 240 pages pour convaincre ton public ». Un peu imagé ? C’était pourtant le contexte de l’époque au niveau de cette collection. Un peu comme on le voit de nos jours au cinéma.



C’est dommage, car Elminster aurait mérité bien mieux. Et on ressent ce qu’aurait pu donner le roman des les premières lignes. C’est bien écrit on rentre directement dans l’histoire. Hélas après cela se gâte et perd de sa superbe. Une fois de plus on a l’impression de suivre un film en accélérer, ce qui est encore plus déplorable quand il s’agit d’un roman.



Mais malgré ses défauts le roman reste plaisant à lire et nous donne un rapide aperçu du potentiel de Elminster dans ses jeunes années.

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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 9/10

Style de l'écriture : 9/10

Rendu de l'histoire : 9/10

Total 36/40 Babelio 4,5/5



Retour aux sources avec La couronne de feu qui donne suite à Magefeu. Je me rappel qu’à l’époque le roman m’avait moyennement plu. Mais une fois de plus avec plusieurs années de recul, je suis forcé de constater que le roman avait de réelles qualités que je n’avais pas remarquées à l’époque.



Pour la petite histoire il faut se rappeler que Les royaumes oubliés était un collectif de scénaristes de jeu de rôle sur table, et ça n’étaient donc pas des auteurs a proprement parlé. Autre bug avec ce type de littérature, TSR voulait des romans se limitant à 240 pages. Donc quand les auteurs arrivaient avec un roman plus long ils devaient le raccourcir et le plus souvent le roman paraissait de piètre qualité à cause de cela. Mais il faut aussi dire que Les royaumes oubliés étaient plus réservés aux rôlistes plutôt qu’a du tout public. Car seuls les rôlistes s’y retrouvaient dans cet univers, car ayant déjà vécu ce type d’aventure soit sur table soit en GN. Donc je dirais romans à réserver aux initiés.



Donc La couronne de feu, repart sur les ingrédients du premier tome mais en plus percutant. Les personnages sont plus étoffés, les combats sont des plus épiques et on voit enfin où l’auteur veut nous conduire, malgré l’élagage scénaristique imposé par TSR.



Un final qui fait presque penser à un combat de super héros arrivant dans la cour du château. Il faut dire que je lis pour l’instant avec des musiques de films de super héros cela aide pour renter dans l’histoire. Mais Shandrill avec son fantastique pouvoir nous fait presque penser à cela, une sorte de Supergirl à a mode fantasy. J’ai donc trouvé que ce roman avait pris de l’énorme qualité avec les années.

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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 6/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 7/10

Total 29/40 Babelio 4/5



Ha Magefeu l’un des précurseurs de l’univers de fantasy que j’ai découvert lors de mon adolescence. Il faut savoir qu’a une certaine époque la fantasy n’avait pas autant le vent en poupe que de nos jours, maintenant même ce qui est de piètre qualité est édité afin de répondre à l‘offre et la demande.



Il faut savoir aussi que les royaumes oubliés s’était un collectif d’auteurs issus directement jeux de rôle sur table. Donc ça n’était pas forcément des auteurs de qualité. Bien qu’à notre époque Star wars édite de véritables étrons par des auteurs sans talent. Au final il y a toujours des rapports de qualité au fil des époques.



J’avais gardé plutôt un bon souvenir de Magefeu et de la charmante Shandrill, écrit de la main de Ed Greenwood (Bois vert). Malgré les années j’ai de nouveau apprécié la relecture de ce roman. Certes, ça n’est pas d’une très grande originalité, mais le rythme est plutôt bon. De nombreux combats et de rebondissement autour de la femme possédant l’ultime pouvoir de feu destructeur tant convoité.



Comme on dit souvent trop d’action tue l’action, ici nous dirons plutôt trop de héros tuent les héros. Ici il y a effectivement plein de beau monde de l’univers Des royaumes oubliés, Eminster, Orage, Alustriel, les ménestrels et les chevaliers du Myth Drannor. Un peu comme L’infinity wars au cinéma, un vrai bordel ! Car comme le livre est petit ces différents personnages ont durs à trouver leur place, tout comme leurs redoutables ennemis.



Mais toutefois le roman à de bonnes qualités et une réelle qualité narrative pour l’époque. L’histoire d’amour est certes cul-cul mais l’auteur ne s’y attarde pas trop, fort heureusement et malgré la grande quantité de personnages, il arrive à nous offrir une grande épopée fait de moments épiques.

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Le sage de valombre, Tome 1 : Elminster doi..

Je ne sais pas quoi dire à propos de ce roman. Je l'ai tellement attendu et tant cherché que la désillusion est grande.



Écriture absconse, personnages nombreux mais fades, lore incompréhensible pour les non initiés, trame principale sous-exploitée... pourtant ce roman commençait plutôt bien. Pourtant les 5 premières aventures romanesques d'Elminster étaient vraiment agréables à suivre. Pourtant...



Je suis franchement déçu et je n'en retiens vraiment pas grand chose (peut-être quelques Doppelgänger et autres spectres ^^).
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Elminster, tome 1 : La jeunesse d'un mage

Salut les Babelionautes

Ce premier tome de Elminster ne m'a pas convaincu de poursuivre ma lecture par les trois autres tomes écrient par Ed Greenwood.

Pourtant le début était prometteur, mais l'apprentissage de la magie par Elminster est trop cucu pour moi.

Donc voila un jeune garçon qui ne sait pas qu'il est le fils d'un Prince et légitime héritier de la Couronne d’Athalantar, il assiste a la destruction du village et de ses habitants par un sorcier chevauchant un Dragon.

Le reste du récit raconte son apprentissage auprès de différents personnages, Brigands, Elfes, Déesse, Voleurs.

Tout va lui servir pour le jour ou il devra affronter les Sorciers qui, dans l'ombre, tiennent les rennes et Neldryn Falconyr, le plus puissant des seigneurs mages.

Dommage pour moi, mais je me suis vite lassé et si j'ai quand même terminé ce livre c'est juste que j'essaye toujours de finir mes lectures.

Je remercie Michèle Zachayus qui a assurée la traduction de cette Saga.

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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Par pitié, faites que Ed Greenwood arrête l'écriture !

Il n'y a pas un tome qui sauve l'autre ! L'écriture est insipide, l'histoire est sans intérêt et difficile à suivre.

Et pourtant, ce roman décrit la vie du plus grand mage d' AD&D, Elminster.

Quel dommage que la commande n'ait pas été confiée à quelqu'un de plus compétent !

Je pense faire passer prochainement une pétition pour empêcher M Greenwood d'écrire.
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Les Royaumes Oubliés - Double Diamant, Épisode..

Et voici venu le temps de ce dernier tome. Franchement j'ai eu peur quand j'ai vu que Ed Greenwood était aux commandes heureusement il n'a pas écrit ce volume seul puisque J. Robert King est aussi de la partie. Cela relève donc le niveau, habituellement mauvais de l'auteur. Ce tome est une bonne conclusion à ce cycle on y retrouve tous les bons ingrédients des Royaumes Oubliés. Magie, combat, rebondissements et le triomphe de la justice. Un collectif qui faudrait franchement penser à remettre en un seul tome. Au final l'accomplissement d'une aventure qui révèle tous ses secrets.
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Les Royaumes Oubliés - Double Diamant, Épisode..

On a souvent défini Ed Greenwood comme le meilleur écrivain du collectif des Royaumes Oubliés. Pour ma part j'ai toujours trouvé son écriture des plus médiocre. Sautant souvent du coq à l'âne il se sabote quasiment chaque fois son récit. Cette histoire à pourtant tout pour me plaire puisque les personnages principaux sont des pirates. Hélas on comprend vite que l'auteur ne sais pas plus écrire une nouvelle qu'un roman. Cela est surtout du à son style trop brouillon. Pourtant au tout début des Royaumes oubliés il avait signé deux très bon romans à savoir le tome 10 Mage feu, et le tome 14 La couronne de Feu, si ma mémoire ne me fait pas défaut. C'est après ces deux tomes que son style c'est enlaidit et c'est bien dommage. Cette aventures des mercenaires fait du surplace, seul chose que l'on sait c'est qu'ils ont pour mission de liquidé la femme que les paladins du précédent tome doivent retrouvé pour assoir sur le trône de Eau Profonde. Heureusement que les autres auteurs de cette aventure labyrinthe sont là pour relever le niveau.
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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Deuxième tome de la séquence de Shandril, et quatorzième tome de la saga des Royaumes Oubliés. Ce roman poursuit les aventures de Shandril, détentrice d’une puissance magique comme rarement il en existe dans cet univers, le magefeu. Shandril se retrouve donc assaillie par bon nombre d’ennemis qui finissent en merguez carbonisées, mais l’aide de Narm, Delg et Mirt, elle arrive à s’en sortir. D’ailleurs, même quand ses compagnons décèdent, la magie les ressuscite, c’est bien, c’est facile…

Le récit est assez plat et linéaire, alternant mièvrerie et rôtisserie. L’ensemble est assez ennuyeux sauf peut-être pour les amoureux du barbecue dominical. Le style est léger et se lit heureusement assez facilement bien que les dialogues soient trop présents et d’un niveau pour des adolescents attardés. L’ennemi est fidèle au cliché du magicien buté prêt à tout, même à finir en chipos.

En somme, ce roman vous refroidit quelque peu.
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Les Royaumes Oubliés - La séquence de Shandril,..

Ce dixième tome de la série des Royaumes Oubliés présente au lecteur la découverte du magefeu. Un élément mythique de cet univers fantastique. Nous suivons Shandril, une jeune femme, servante dans une auberge, qui se retrouve au milieu d’une troupe d’aventurier. Rapidement, la troupe se confronte à un dragon. Et Shandril se découvre des talents qu’elle ne soupçonnait pas.

Ce roman, plutôt bien réussi pour la collection qui a plutôt l’habitude de nous proposer des romans moyens et souvent mauvais, est assez bien écrit, avec un style très fluide. A cela s’ajoute un récit plein de rebondissements agrémenté de-ci de-là d’un amour naissant et de découverte sur le passé de la jeune fille, en font finalement un roman sympathique à lire et pas trop ennuyeux. Ce n’est bien sûr pas de la grande littérature mais de temps en temps, ça fait pas de mal non plus.
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Elminster, tome 5 : La Fille d'Elminster

[...]

Ed Greenwood, qui est le créateur des Royaumes Oubliés, a souvent été décrié pour son style plus que moyen, un défaut qui ne m'a jamais frappé, ses romans, et notamment sa série sur Elminster faisant souvent partie de mes préférés, et ce nouveau volume de la série ne fait pas exception. Il n'est certes pas sans défauts, mais ceux-ci sont sommes toutes assez secondaire et on passe un excellent moment en compagnie du vieux favori et de son entourage. On reste dans une fantasy classique, avec guerriers, magiciens, donjons et dragons, mais quand on lit ces romans, c'est ce qu'on recherche, et ici, c'est plutôt bien fait !
Lien : https://imaginelec.blogspot...
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Elminster, tome 5 : La Fille d'Elminster

Dans les ruelles d'Eauprofonde, sur les toits de la cité-état la plus importante de Féerune, la voleuse Narnra Shalace est en quête d'une victime potentielle. Alors, lorsqu'elle aperçoit ce vieillard s'aventurant dans une venelle mal éclairée, elle croit avoir trouvé sa prochaine proie. Mais un manteau grisonnant peut cacher un vieil Archimage âgé de plusieurs siècles, et celui-ci n'est pas une cible de choix, surtout lorsqu'il n'est autre qu'Elminster de Valombre, le Vieux Favori de Mystra, la déesse de la magie.

D'un claquement de langue, l'homme aurait pu faire fondre la cervelle de l'imprudente, mais, magnanime, il lui laisse la vie sauve avant de s'évanouir à travers un portail magique…

Quelle mouche a donc piqué Narnra pour qu'elle décide de le suivre à travers le vortex ? Elle se retrouvera téléportée à des kilomètres de sa ville natale, dans le royaume de Cormyr et, pire encore, au centre d'un vaste complot fomenté par divers marchands, nobles et Magiciens Rouges de Thay, ayant pour objectif de détruire la famille Obarskyr régnante. Mais si Elminster s'est rendu à Marsembre par ce portail magique, c'est justement pour infiltrer cette conspiration et la déjouer, non pour sauver une petite voleuse aquafondienne perdue comme un agneau au milieu des loups…







Le voyage à Féerune en compagnie d'Elminster Aumar se termine avec ce cinquième tome (en attendant la VF de "Spellstorm"). Une dizaine d'années après le premier tome, Ed Greenwood a su trouver un style narratif plus orthodoxe, plus lisible, plus clair, sans pour autant avoir sacrifié sa syntaxe merveilleuse, sa délicieuse ironie, son parfait choix des mots et son art de l'intrigue et de la narration. On ne s'ennuie pas et, chose parfois rare, on trouve également une plume excellente.

Ici encore, plus que l'Archimage Elminster, c'est véritablement Féerune l'héroïne du roman ; Ed Greenwood nous entraine dans l'univers mythique qu'il a construit de toutes pièces et nous guide dans ses méandres les plus complexes, dans ses détails les plus riches. Parfois, on croit que la complexité va nous submerger, on se dit que c'est un livre pour initiés, pour rôliste D&D purs et durs, puis, lorsqu'on en vient à comprendre le tout que forment les parties en présence, on se dit que Greenwood ne prend pas son lecteur pour un benêt recevant sa nourriture pré-mâchée dans le gosier. C'est un point réellement appréciable que de trouver autre chose que du casual-fantasy empli de didascalies déguisées mais portant tout de même de grosse bottes cloutées.

Intrigue géopolitique de taille à rendre jaloux un certain Georges R.R., univers foisonnant et riche à faire pâlir un certain J.R.R., maturité et complexité à débouter une certaine J.K. ; Greenwood a décidément créé un monde vivant, plaisant, intrigant, riche, complexe et crédible. J'ose aussi rajouter "mature" et je me demande bien pourquoi cette saga est estampillée "littérature jeunesse" ; peut-être que toute fantasy (hors dark-fantasy ?) est classée ainsi, mais je doute qu'un public de collégiens ou même d'ado prépubères soit en mesure de comprendre ou d'apprécier chaque passage pour ce qu'il est (la question reste ouverte ; mais rien que le vocabulaire employé fera fuir une large partie de "jeunes lecteurs" non habitués à l'utilisation des dictionnaires).



Une course-poursuite géniale sur les toits, dans les venelles et les entrepôts de Marsembre ; un complot de marchands trop couards, de nobles trop riches, de mages trop sûrs d'eux ; un vieux mage retraité aux rêves de gloire ; des tractations sous capes et des retournements de situations ; un twist-ending jouissif ; la liste des pépites présentes dans ce tome est longue et tranche avec l'impression laissée par le précédent. Je m'étais avancé à dire que le numéro 4 ne devait pas empêcher de lire le 5, j'en suis maintenant convaincu. Les Royaumes Oubliés ne sont pas près de me voir partir. Mais pour voir si l'herbe est réellement plus verte dans le pré du voisin, je pars du côté de Trudi Canavan bien que, pour l'instant, elle n'ait pas l'air si fraîche (je parle de l'herbe…;) ).
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Elminster, tome 4 : La Damnation d'Elminster

L'enfer est pavé de bonnes intentions.

À Féerune, celles d'Elminster, le plus puissant des Archimages, l'ont mis dans une posture très délicate. S'employant à colmater une brèche entre les plans infernaux de l'Avernus et le monde, l'Élu de Mystra va se retrouver pris au piège et à la merci d'un prince des enfers. Évoluant dans son élément, le démon Nergal va aisément prendre le dessus sur le vieux magicien. Il lui infligera alors mille tourments et tortures physiques afin de s’approprier ses pouvoirs.

Pour Elminster, le pire d'entre tout sera de voir ses souvenirs ravagés et effacés par le "ver d'esprit" que Nergal enfouit dans les méandres de sa mémoire afin de trouver trace du magefeu, le pouvoir attribué par Mystra à ses élus.

Mais plus le ver déroule, dévoile et dévore les souvenirs du mage, plus ce dernier parvient à entrer en contact avec ses amis, alliés et amantes de tout Féerune. Chose que Nergal n'avait pas pu prévoir...



———



C'est avec une structure bien particulière et très atypique qu'Ed Greenwood nous livre ce quatrième tome de la saga d'Elminster.

Le lecteur suivra l'alternance entre tourments des enfers et souvenirs du magicien. D'ailleurs, la situation en Avernus ne revêt que peu d'intérêt pour elle même, ce sont, au contraire, les souvenirs qui forment le réel sujet du roman. La capture par un démon ne semble qu'un prétexte pour servir de cadre à une multitude d'histoires, d'aventures, de complots ou d'évènements parfois sans liens.



On l'aura compris, chaque tome de la saga d'Elminster peut se lire comme un one shot se suffisant à lui-même et ne s'appuyant que très peu, voire pas du tout, sur les précédents. Ce peut être une qualité ou, au contraire, le déclencheur d'une grande frustration, chacun choisira son camp. Le tome dont il est question ici, n'apporte que peu de choses à l'histoire d'Elminster en tant que tel, tout juste les bardes chanteront-ils qu'il fut prisonnier d'un prince démon ; c'est par contre une mine d'informations relative à l'univers et aux personnages qui l'entourent.



Quelques points négatifs : La trame choisie par Ed Greenwood est toujours délicate à appréhender et il faut s'accrocher pour suivre, sans se perdre, l'imagination foisonnante de l'auteur ; je n'ai pas réellement apprécié les didascalies en caps lock sur les tourments mentaux infligés à El ; ni l'absence des citations en tête de chapitre, alors qu'elle font partie du charme des autres tomes ; ni le caractère puéril des dialogues entre Nergal et Elminster au début de l'ouvrage (on comprend toutefois à quel jeu ils se livrent et pourquoi le démon ne met jamais ses menaces à exécutions (on pourrait compter le nombre de "dernier avertissement").



En tant qu'écrin maléfique à une multitude d'histoires et de personnages toujours si attachants et captivants, ce tome ravira les fans du genre, de l'univers ou de l'auteur, tout en pouvant dérouter ou dégoûter les autres. Se priver du tome 5 par la faute du 4 serait toutefois une grave erreur :)
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