Eléonore Cannone

Une petite fille qui fonce sur un vélo : la couverture a irrésistiblement attiré les enfants. Nous avons donc découvert Alizée, une enfant de sept ans intrépide qui en a ras-le-bol de son surnom : « Petite fée ». Pour son anniversaire, elle demande un vélo de course, et reçoit… un bicyclette rose ! Immense déception pour la petite fille, qui n’ose pas le dire à ses parents…



***



La thématique est claire, et elle n’a pas échappé aux enfants : la lutte contre les stéréotypes de genre et les discriminations sexistes. Non, certains jouets ne sont pas réservés aux garçons et d’autres aux filles… quoiqu’en pensent certaines enseignes qui continuent à bien diviser les rayons de leurs magasins.



L’héroïne, Alizée, en a d’ailleurs assez de ces préjugés. Elle, ce qu’elle aime, c’est la vitesse, foncer à toute allure sur son vélo. Pour autant, elle n’ose pas décevoir ses parents, et subit ces préjugés. Nous sommes contents de voir qu’elle parvient tout de même à ses fins, même si cela passe par un mensonge à ses parents (que les enfants ont relevé !).



Un roman court, facile à lire, abordable dès 7 ans pour traiter cette thématique toujours actuelle malheureusement !

Les secrets d'une voleuse.



C'est un livre écrit en 2016 par Éléonore Cannone.



La famille d' Ashley (personnage principal) est une famille de voleurs, chapardeurs, détrousseurs.

Cependant ils ont des « commandements » (tu n'utiliseras jamais d'arme, tu ne voleras point de modestes gens, tu écouleras les objets que tu as dérobés sans jamais rien conserver…) et lors d'une balade Lucas ( le grand frère de Ashley ) fut tenté de dérober des objets bien spéciaux dans un

manoir. Mais ces objets « spéciaux » les emmèneront bien au-delà de leur espérances !

Personnellement j'ai aimé ce livre car c'était mon premier livre de ce genre et il y a du suspense.

Et pour en savoir plus je vous invite à lire ce livre !

Hugo

Un bon livre !



Tou comme le premier tome j'ai beaucoup rit. L'histoire est bien, intéressante et drôle.



Les personnages sont (quasiment) tous attachant et avec un caractère bien à eux.



J'ai trouvé, dans ce tome, que le père de Théo était décrit comme un peu plus sympathique. Ce qui rend l'histoire un peu plus agréable.



Une lecture amusante !

A lire si vous avez le temps.

Un bon livre !



J'ai préféré ce tome 2 qu'au tome 1.

L'histoire est toute aussi drôle et les personnages sont attachants. Les dessins sont très jolis et ils ne reviennent moins souvent que dans le tome 1.



J'ai vraiment adoré, l'histoire est original et on est transporté avec Théo.

Les émotions sont bien transmise et la couverture correspond très bien avec le livre.



J'aime beaucoup la fin qui donne envi de lire la suite, elle nous hante !

C'était aussi cas pour la fin du premier volume.



Un livre à lire si vous aimé les manga, les livres qui se lissent plutôt vite et les personnages comme Théo.

A lire ! ;)

Une lecture qui m'a bien fait rire !



J'ai bien aimé l'histoire de ce livre, les personnages sont attachants. J'ai beaucoup rit avec ce livre, il est remplit d'humour.



Les dessins sont très bien fait, mais je trouve dommage que les même reviennent souvent.



Je trouve que le concept est original, le fait de Théo écrive sur un ordinateur et non dans un journal.



J'ai trouvé que c'étais un peu bizarre qu'on suit la vie de Théo. Il y peu d'aventure.

Mais l'histoire est tous de même bien.



Un livre à lire si vous avez le temps.

Si j'avais apprécie le premier et le deuxième tome des aventures de Théo, ce troisième tome a été une douche froide pour moi.



On retrouve les mêmes personnages qu'avant, et les nouveaux sont des caricatures totales à peine drôles qui ne restent que deux ou trois pages. Et si le caractère de Théo était amusant dans les tomes précédents, dans ce tome-ci elle est juste insupportable, on se demande sincèrement quand est-ce qu'elle va grandir un peu parce qu'elle agit vraiment comme une pourrie gâtée !



Je n'avais pas vraiment tiqué sur le réalisme dans les précédents tomes car rien ne m'avait sauté aux yeux mais là, le délire de Théo de rejoindre son Sîn adoré à *Londres* à la dernière minute et ne même pas prévoir de retour... vraiment ça m'a fait rouler des yeux. Surtout que je pensais que Théo était au-dessus de ce niveau de désespération. Mais la bonne nouvelle, c'est qu'on a enfin la vérité sur Sîn car cette relation a duré deux tomes de trop !



Ensuite, je n'ai absolument pas compris comment Adam junior est passé de mec ultra détesté par Théo à "je crois que je l'aime" en une dizaine de pages ? Certes il a aidé Théo à se sortir d'un mauvais pas mais j'aurais aimé qu'ils restent juste amis plutôt que ça aille plus loin. Surtout que les non-dits et autres sont, je trouve, complètement stupides. Ils se tournent autour sans rien se dire puis ils se font la tête parce qu'ils ne se disent rien, bref...



Je n'ai pas vraiment retrouvé Théo et sa passion pour le dessin et les mangas dans ce tome. J'ai d'ailleurs l'impression que l'histoire n'est pas finie, comme s'il était prévu qu'un tome 4 soit écrit. On finit ce troisième tome et on se demande "mais, et quoi ?" parce qu'on a l'impression qu'on nous lâche au milieu de rien. Quel était le but de cette trilogie ? J'aurais aimé voir les victoires de Théo par rapport à son manga mais on n'a rien, juste deux-trois planches et c'est tout...



Bref, très déçue par cette fin.

Dans ce deuxième tome des aventures de Théo, tout s'accélère pour elle : elle arrive au lycée où elle sera toute nouvelle, ses parents divorcent, c'est la galère avec Sîn... on voit bien que Théo doit finalement se raccrocher au réel et quitter sa bulle pour se concentrer sur ses nouvelles aventures assez désagréables à vivre.



Cette suite nous offre un éventail de nouveaux personnages les uns aussi originaux que les autres, que ce soit au lycée ou bien dans les nouveaux amants des parents de Théo. On a un peu du mal à en apprendre sur eux, bien sûr Théo restant fidèle à elle-même cherche à éviter le plus possible les interactions sociales, mais tout arrive petit à petit, des miettes par-ci et d'autres par-là.



Théo est toujours la même, d'autant plus blasée qu'avant avec ses nouveaux problèmes familiaux mais la glace est brisée peu à peu. Un deuxième tome à la hauteur du premier, bien que la relation avec Sîn me fait tiquer : Théo se considère comme sa petite amie alors qu'ils n'ont échangé qu'un baiser lors d'un concert (où elle était alcoolisée d'ailleurs !) et qu'elle ne connaît rien de lui. D'ailleurs, ça ne semble choquer personne qu'elle sort avec quelqu'un de majeur alors qu'elle vient seulement d'entamer le lycée, mais soit... Seul point noir de ce tome, car je trouve ça incompréhensible de la part de Théo qui a pourtant les pieds sur terre.



Ce tome se termine de la même manière que le premier, avec des mauvaises nouvelles en cascade et l'envie de savoir jusqu'où l'histoire va nous amener !

Le carnet de Théo est un livre que j'avais lu lorsque j'avais 12 ans et qui m'a suivi toutes ses années jusqu'à ce que je décide de le lire à nouveau dans un élan de nostalgie. Dans mes souvenirs, c'était un livre qui me correspondait, je me voyais dans Théo, une adolescente un peu isolée qui se sent entourée d'idiots et qui s'enferme dans ses passions : le dessin, les mangas et le rock.



C'est un roman (graphique si on peut le considérer ainsi ?) jeunesse qui ne prend pas la tête, et on peut s'identifier facilement à Théo, un peu typique de l'ado qui en a marre de ses parents et du monde autour d'elle. C'est un livre drôle, sarcastique et amusant, qui se lit très facilement, agrémenté de petits dessins, sous forme d'un journal intime.



Si j'ai une critique, c'est peut-être le début de relation avec Sîn. Certes ce roman date de 2012, mais le délire d'embrasser une ado de 15 ans alors qu'il a 20 ans... bof bof le message quoi pour les jeunes quoi...



Mais sinon, c'est une très bonne lecture à découvrir ou redécouvrir des années plus tard, comme ça a été le cas pour moi !

Ce livre parle d'une voleuse avec une famille spéciale. Je n'ai pas trop apprécié ce livre.Parce que il y a beaucoup de moments où je n’ai pas compris. J'ai ressenti de l'ennui .Je n'ai pas eu de difficultés à lire. Je ne suis pas entrée facilement dans l'histoire. La fin n'est pas trop prévisible.

C'est un tout petit livre, à peine 46 pages. C'est l'histoire de Hugo, adolescent dont les parents veulent absolument qu'ils perdent ses kilos superflus, qu'il cesse de manger des bonbons, et qu'enfin, il se mette au sport ! Par conséquent, les vacances à lézarder sur la place s'éloignent à tire-d'aile, alors que les vacances composées de joyeuses randonnées en famille approchent à grands pas. En plus, Justine, la soeur d'Hugo, adore marcher, rien ou presque ne peut l'arrêter !

Alors ? Alors, si Hugo est un adolescent "classique", qui rechigne à faire ce que ses parents lui demandent, un comportement tout ce qu'il y a de plus banal pour un adolescent (il est des actes de rébellions bien plus graves), ce court récit prend des allures de contes - et tant pis pour tous les instruments, modernes ou pas, qui auraient dû empêcher que l'histoire prenne un tel tournant.

Un charmant récit !

Ashley, treize ans, fait partie d'une famille de voleurs, et elle passe ses vacances d'été au bord de la mer, en compagnie de son père, Roman, sa mère Jane, son grand-frère Lucas, et Christian le plus petit, un bébé.



Ce ne sont pas n'importe quels voleurs, des chapardeurs, des détrousseurs certes, mais qui ont une éthique qui leur interdit, entre autres choses, de voler les gens modestes, d'utiliser des armes, de vandaliser les logements visités, et leur impose de reverser 50 % des gains à des oeuvres de charité (une sorte d'impôt sur le revenu). Chaque membre de la famille possède une spécialité, ainsi Ashley est une pickpocket redoutable, elle possède l'art de dévérouiller les portes et s'intéresse de très près à l'informatique....

Alors que toute la famille s'apprête à profiter de leurs vacances, Lucas ne peut s'empêcher de cambrioler un manoir isolé. Et il semble fier de son butin : des armes, de l'argent liquide, une bague et des carnets noirs. Les ennuis commencent pour Lucas, qui sans le savoir, s'est emparé des livres de compte du Crotale, homme d'affaires local influent, sans scrupules et surtout excessivement dangereux. Toute la famille va devoir s'unir pour rendre un butin explosif à son propriétaire.... mais il est beaucoup plus simple de voler que de restituer surtout que la bague a été offerte à une jeune conquête qui l'a déjà revendue....



Les secrets d'une voleuse est un roman jeunesse de la collection Heure Noire (Editions Rageot) destiné aux enfants et adolescents à partir de 10 ans.

C'est Ashley qui nous raconte son histoire, nous dépeint le quotidien d'une famille de voleurs très sympathique.

Ashley surnommée "Doigts de Fée"sait nous faire rire et sourire, elle émaille son récit de petites blagues, elle connaît le vocabulaire technique des monte-en-l'air en détournant les expressions pour les rendre plus savoureuses.

Humour, mais aussi suspense. Car Lucas semble avoir mis la famille dans une situation quasi désespérée - comment se sortir d'un tel pétrin ?



Une lecture qui s'inscrit tout à fait dans ma recherche sur les "voleurs sympathiques" - et Ashley "Doigts de Fée" en fait partie !



Un vrai moment de lecture plaisir pour jeunes (et moins jeunes).

J'ai découvert cet éditeur en cherchant des ouvrages pour mon réseau littéraire sur les préjugés.



Alizée est une petite fille qui subit les stéréotypes mais qui aimerait bien s'en défaire. On l'appelle "Petite fée", mais ce surnom ne lui convient pas, elle trouve ça gnangnan.



Elle aimerait qu'un nouveau surnom s'impose aux autres. Un surnom qui sent la vitesse et l'aventure. Elle a mis tout ses espoirs dans son souhait pour son cadeau d'anniversaire: un vélo de course. Malheureusement, ses parents ont préféré lui offrir un vélo banal qui ne lui permet pas de foncer à toute allure au risque de se faire mal.



J'ai aimé cette histoire car Alizée est un personnage très attachant. Elle subit les situations, elle n'ose pas dire ce qu'elle pense vraiment. Elle tait sa déception et le sentiment d'injustice. On a mal au cœur avec elle mais on se réjouit aussi avec elle à la fin!

Je découvre les éditions « Talents hauts » et leur collection « livres et égaux ». L’objectif de la collection est de lutter contre les préjugés, notamment ceux qui touchent le clivage garçon/fille.

Ces petits romans sont destinés aux enfants de 6 à 8 ans (du cp au ce2), ils sont très agréables à lire, tant au toucher (belle qualité de papier), que dans la mise en page (aérée, illustrations couleur, chapitres courts…). C’est toujours un enfant qui raconte l’histoire, avec un « je » qui permet au jeune lecteur de s’identifier plus facilement. (sauf « Alizée », qui est écrit à la troisième personne).

Je fais un seul article pour les 6 livres que j’ai lus.



« Alizée fend la bise » : c’est l’histoire d’une petite fille qui demande un vélo pour son anniversaire : elle veut un vrai vélo comme celui de son copain de l’école, un vélo de course, un vélo avec des roues crantées, un guidon en acier et une selle de compét. Mais ses parents lui offrent un vélo rose… Ils pensent lui faire plaisir, quand elle, elle veut juste un vélo pour pouvoir rouler vite… Un livre pour montrer aux enfants qu’il n’y a pas des jouets de fille et des jouets de garçon 😉 ***



« La bonne culotte » est superbement écrit, avec beaucoup de sensibilité. Parce qu’il y a des jours où on ne choisit pas la bonne culotte et on sait qu’il va falloir la supporter toute la journée, Emma est comme ça tous les jours, avec trop de doigts et pas assez de centimètres, mal dans sa peau du haut de ses 7 ans, timide et gauche, mais… elle sait jouer de l’accordéon 😉 *****



« Aimé » est aussi superbement écrit, et porte sur le prénom que l’on porte et que l’on n’aime pas forcément… Aimé déteste le sien parce qu’il est la cible de moqueries, mais finalement, il s’aperçoit que son prénom a une histoire et apprendra à la partager… *****



« Des filles dans l’équipe » met à mal les idées reçues des garçons sur les prouesses des filles au foot !!! Le championnat des ce2 oblige chaque équipe à avoir deux filles ; les garçons râlent, les filles finissent par monter leur propre équipe… Bien sûr, c’est un peu convenu mais parfait pour aborder cette thématique avec de jeunes enfants et montrer qu’aucune activité n’est « réservée » à un sexe en particulier.



« Franky au grand sourire » semble être le début d’une série écrite et illustrée par Thierry Lenain et Félix Larive. Le thème abordée ici est celui du handicap, ou plutôt de la maladie, et du regard que l’on porte sur elle. Franky arrive dans la classe, il est tout petit et allongé sur un lit à roulettes car il est paralysé. Les enfants de la classe vont très vite l’adopter sauf Fatia à qui il fait peur. On découvre aussi l’humanité du maître qui se met à pleurer parce qu’il a peur de le « casser ». C’est très bien écrit et permet de sensibiliser les enfants à ces différences. Je regrette juste qu’il n’est pas été mis en évidence tous les autres « handicaps » de la classe, même infimes (lunettes, dyslexie, etc) mais le format du roman et sa limpidité n’auraient pas été respectés. ****



« Mona qui sait où elle va » est le 2ème ouvrage de la série « Bienvenue » de Thierry Lenain et Félix Larive. (à l’heure où j’écris, il n’y en a pas d’autre) Il aborde cette fois la thématique des enfants placés avec Mona dont la maman n’est « plus capable ». Chose étrange, et alors qu’il y avait encore à dire et à creuser sur ce sujet, l’auteur a choisi d’aborder le thème, via la maîtresse, du « on n’est pas obligé de faire des enfants dans la vie » Cela interpelle, parce qu’en même temps, vu le contexte de l’histoire, c’est un peu comme si ça renvoyait à « ma mère aurait mieux fait de s’abstenir vu ce que ça donne ». Et même si l’auteur choisit de clôturer avec « J’ai beaucoup de chance alors que ma maman m’ait faite sinon je n’existerais pas », pour avoir chaque année des enfants placés dans ma classe et savoir ce qu’ils vivent au quotidien, je ne le trouve pas très judicieux, cet aparté… ***

ce livre parle d'un jeune garçon qui déteste l'école limite qui déteste sa vie qui n'est pas si joyeux que ça.

c'est un bon livre, ça parle d'un ado qui est mal dans sa peau, qui déteste l'école, il est très réservé et c'est un garçon solitaire. c'est un livre attirant, plutôt pas sur les petites blagues et qui apprend des choses sur la vie de collègien ou la vie en générale. c'est une histoire où il ne faut pas en rater une miette parce que l'histoire est très attirante. On ressent de la tristesse, de la joie plein de ressentis.. je conseile ce livre aux plus de 12ans





sarah

Aurélien a deux mamans, Bénédicte et Juliette, et fête aujourd’hui ses 17 ans. Il voudrait profiter de la fête pour leur faire une annonce. Autour de cette journée et de cette révélation se déploie un récit choral. Tour à tour chacun des protagonistes raconte la journée comme il la vit et revient en flashbacks sur d’autres évènements.

Les récits sont bien liés entre eux, les enchaînements sont fluides et naturels. C’est un roman qui veut combattre les préjugés et rappeler l’importance de laisser ceux qu’on aime vivre comme ils l’entendent et comme cela les rend heureux. Notamment ses enfants, à qui il faut faire confiance et ne pas imposer nos propres choix. La citation d’Oscar Wilde en exergue du livre résume parfaitement le propos : L’égoïste n’est pas celui qui vit comme il lui plaît, c’est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît ; L’altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir. Un petit roman agréable à lire, qui sonne juste et distille beaucoup d’amour. (Petit aparté d’un des personnages sur les livres et la lecture).

Superbe lecture pour adolescent. Théo, jeune fille un peu mal dans sa peau et fan de mangas nous ouvre son journal intime. Drôle tendre et grave à la fois, ce petite roman, premier d'une série de quatre à un charme fou... en outre il m'a fait découvrir l'univers et le langage des mangas sans que j'ai besoin d 'en lire un!

Moitié de l'adolescence de Théo, son premier amour, ses agacements et son talent

Nous suivons la fin d'adolescence de théo, ses peines, ses déceptions, ses joies, ses réussites et ce livre nous replonge dans les sentiments de cette période de nos vies

Hortensia rêve d'une famille normale, reposante, comme celle de son ami Martin. Martin, lui, trouve ses parents trop sérieux et voudrait vivre avec des gens plus amusants. Et s'ils s'échangeaient leurs familles pour une semaine?

Un petit roman humoristique qui permet de mettre un peu à distance les petits soucis de famille, et de réfléchir à celui/celle qu'on est, ou que l'on voudrait être.

J'ai bien aimé ce livre mais c'est dur à comprendre.

Certaines choses étaient pas très claires