Citations de Farah Anah (168)
Certaines attendent d’être sûres de leurs sentiments pour l’homme à qui elles désirent abandonner leurs virginité, dans l’espoir de les mener à l’hôtel. D’autres plus curieuses et moins romantiques préfèrent découvrir les joies du sexe avec un amant expérimenté.
Elle avait l’aspect d’un ange. Un ange à la féminité extrême, voire dangereuse.
Ton parfum agit comme une drogue, mais le bouquet de ta peau sur mon palais, ton pouls affolé contre ma langue, tes râles qui vibrent dans ta gorge quand je l'embrasse sont incomparables.
A travers toutes nos souffrances et avec mon amour, moi aussi, je t'appartiens.
-Leith-
C'est là tout le problème, Leith. Quoi que je puisse ressentir, quoi que je puisse souffrir, je n'ai aucunement envie de m'en aller. Je suis à toi, tout entière. Je te cède tout; mon amour, mon corps, mon futur, mes déchirures. Je t'appartiens.
-Sanaé-
Si tu m'aimes vraiment, je t'en supplie, Sanaé, laisse-moi panser les blessures que je t'aies infligées. Laisse moi effacer cette peur, laisse-moi la remplacer par l'estime que j'aimerais susciter en toi.
-Leith-
Si je suis parvenue à éclairer l'obscurité qui dominait Leith, j'y ai perdu quelques rayons de ma lumière.
-Sanaé-
Pourquoi ne pas laisser sa lumière éclairer une infime par des ténèbres qui m'ont toujours gouverné, après tout?
-Leith-
Je crois que tu as besoin de moi pour que ta victoire soit celle d'une guerre, plutôt qu'une hécatombe sans mérite.
-Sanaé-
Leith me manque.
Malgré ces atrocités, il est le phare dans l'obscurité qu'il m'a créée.
Il est la réponse à toutes mes nouvelles interrogations.
Il est la chaleur compacte de mon âme frileuse.
-Sanaé-
Beaucoup trop long et récurrent..
J'ai pas pu le finir a chaque chapitre lire son obsession pour son odeur c'est bon nous avons compris..
Dommage
On était faits pour s’aimer. On s’appartient dans la passion, dans la douleur, tout autant que dans l’amour et la folie. Je veux t’enchaîner à moi pour la vie.
Ce que je ressens me transcende jusqu’à l’os. Un instinct reptilien, comme si, par son odeur, Ava avait été créée pour mon nez, et moi pour l’aduler à travers mon génie.
Qu’il me tue, si c’est en me recouvrant de ses caresses. Je suis maudite, de toute façon. Je brûlerai dans le même enfer qu’Imrel, pour être allée trop loin, pour avoir abandonné mon intégrité dans l’immondice de son stupre.
Ne suis-je qu’une fleur dans son bouquet personnel ? La fragrance parfaite ? Une drogue inédite ? Une proie sur son tableau de chasse ? Me désire-t-il sexuellement, ou n’est-ce qu’un délire olfactif ?
Ma vanille m’a enivré de ses notes de tête, menotté à ses notes de cœur, et écroué dans le paradis de ses notes de fond.
Ton obsession m’a empoisonnée. Nous deux, c’était d’une sordide évidence.
- C'est une drogue, et tu es un sacré bon dealer.
- J'avais beau t'aimer, ta lâcheté m'exaspérait, elle me flinguait. Maintenant, je comprends tes brisures. Je réalise l'ampleur de tes peurs, même si je t'en veux à mort d'avoir douté de ma personne. Je te croyais libre, débridée, au point de ne pas vraiment avoir besoin de moi. C'était tout le contraire, en fait.
J’ai eu de la chance de n’avoir attendu que deux heures pour choper le bus, ce bled n’est pas du tout touristique. Et pour cause, je sens davantage de regards curieux converger sur ma route.