AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Florian Zeller (162)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La fascination du pire

Livre lu dans le cadre du Challenge ABC 2021/2022 et choisi pour la lettre Z.

L’acteur principal se rend en Egypte accompagné d’un écrivain qui s’interroge sur la réalité du sexe chez les islamistes. Ils rechercheront des prostituées et des lieux où elles exercent. Quelques références littéraires parsemées par-ci par-là sur 155 pages. Un questionnement sur ce que cache le voile de la femme qui le porte, sur la question de l’interdit qui peut exacerber le désir et corrompre l’homme le plus vertueux qui soit, et une seule étoile pour moi pour ce rendez-vous manqué avec cette lecture que j’ai ressentie comme hautement laborieuse.

Pour la lettre Z, l’année prochaine je choisis Zola!

Commenter  J’apprécie          90
Le mensonge

Dans le mensonge, Florian Zeller imagine deux couples d’amis. Le premier, Paul et Alice, attend le second, Michel et Laurence à diner. Alice semble préoccupée et souhaiterait annuler…Trop tard, la sonnette retentit…Alice est tendue, et l’ambiance du diner s’en ressent.

Que cache-t-elle ? Qu’a-t-elle sur le cœur qu’elle ne peut pas dire pour ne pas que tout explose avec ses invités ?

Florian Zeller met en scène le mensonge comme ressort de la comédie, qui produit des effets en cascade. Ici, le mensonge plonge les personnages dans un précipice entre tragédie et comédie, chacun devenant mal à l’aise envers l’autre.

Il ne peut aussi que nous interroger, nous, lecteurs (ou spectateurs) sur nos rapports à l’autre dans la vie quotidienne.

La sincérité dans le couple est-elle possible ou le mensonge une ‘’délicatesse’’ nécessaire ?

Commenter  J’apprécie          90
La fascination du pire

Il était dans la pile des livres à lire. Je sors ravie de cette lecture. Un style fluide et au détour de phrases, des observations et quelques vérités bien assénées sur notre société occidentale contemporaine.



Par ex., j'aime : "Il faut une capacité de résistance démesurée pour parvenir aujourd'hui à ne pas sacrifier au ravage de l'identique" ...Tout ce qui est exprimé, aujourd'hui, ne peut l'être que par le filtre déformant de la petite distance et de l'humour - non pas l'humour en réalité, mais la blague, la dérision, le stock de vannes sans chair. ...C'est ce qui signe la fin de la conversation entre les êtres et donc, d'une certaine façon, le règne de la solitude.", etc...



Des êtres lucides, manipulateurs, manipulés, sur fond de société occidentale/orientale, un beau cri de liberté de pensée et d'expression envoyé en pleine figure à ceux qui sont eux-mêmes manipulés par "l'identique", les journalistes, les médias, leurs propres certitudes conditionnées.



Apparemment simple et si complexe. Un peu de malaise étreint notre mode de pensée : "nous ne sommes donc pas à l'abri de..." Il y a prise de conscience à travers cette lecture.



Commenter  J’apprécie          90
Le Père - La Mère - Le Fils

Après avoir vu le film de Florian Zeller avec Anthony Hopkins et Olivia Colman (remarquables tous les deux), j'ai déniché cet opus qui regroupe les trois textes de cette "trilogie involontaire".

La lecture à la suite permet bien évidemment de dégager les motifs et procédés récurrents (confusion des personnages et des lecteurs (ou spectateurs) qui se voient proposés des versions différentes des événements), mais toujours une même douleur qui court dans ces pièces, celles de personnages qui voient leur monde intérieur s'effondrer. Une langue en apparence simple mais efficace .









Commenter  J’apprécie          80
La fascination du pire

Ce livre de Florian Zeller a recu le prix Interallie en 2004.

Point fort du livre? Il traite des relations complexes et ambivalentes de la religion dans notre société consumériste moderne, la place de la femme, la religion et la sexualité thèse, antithèse, argument , contre argument et bien sur débat
Commenter  J’apprécie          80
La Jouissance

Exactement le genre de roman que j'adore lire. Celui qu'on lit d'une seule traite mais que l'on pose à plusieurs reprises qu'à l'auteur à souligner un élément de nos vies, une réflexion, une pensée qui vous obligent à arrêter votre lecture afin de penser avec l'auteur.



Si les 10 premières pages m'ont laissées perplexes mais bien vite je me suis laissée bercée par la vie de Pauline et Nicolas mais surtout par les notes de l'auteur.

L'auteur nous parle d'amour, de sexualité, de relations humaines, de conflits intérieurs en faisant appelle aux grands moments de l'histoire: la seconde guerre, à Beethoven, André Breton, Aristophane, l’espéranto, l'hymne européen ou Sartre. Très loin d'être un livre d'histoires, l'auteur en parle en tant qu'anecdotes mais éclaire largement notre condition d'homme du XXIème siècle.



Ce roman est une petite perle que j'ai totalement dévoré.
Commenter  J’apprécie          80
La fascination du pire

Le narrateur est un jeune écrivain (double de Florain Zeller ?) qui participe à un salon littéraire en Egypte. Un autre auteur francophone l'’accompagne : Martin Millet. Ce dernier semble totalement fasciné par l'image charnelle qu'il s’est forgé au sujet de l'Egypte. A son arrivée, il est déçu de voir que l'Islam a voilé les splendeurs sensuelles que louait Flaubert à son époque. S’ensuit des réflexions plus ou moins profondes sur l’Islamisation du monde arabe, l’extrémisme, le terrorisme et le sexe.



Je trouve cet ouvrage vraiment très moyen. J’ai eu un mal fou à le finir ! L’écriture est très banale, le déroulement du récit très lent, l'intérêt de l’histoire très faible, les rebondissements très tardifs.… Quelques dialogues et réflexions sont parfois intéressantes, voire attrayantes, mais trop souvent superficielles. Florian Zeller et ses personnages survolent les problématiques, ce qui est assez frustrant – sans pour autant fournir des pistes de réflexions personnelles. C'est un roman qui se veut intello, sans passer pour un essai. Mais l'essai qui se cache derrière ce roman est loin d’'être réussit !
Commenter  J’apprécie          70
La Vérité - La Mère

La Vérité

Pièce à rebondissements sur le thème de l'adultère et du mensonge entre deux couples d'amis. Le comique est assez réussi, et l'on se moque sans déplaisir du personnage principal et de son narcissisme contrarié. Les jeux sur le mensonge, parfois convenus et prévisibles, se laissent également cependant apprécier et les pages se tournent facilement. Doit être agréable à regarder jouer.
Commenter  J’apprécie          70
La Jouissance

La quatrième de couverture peut mener à penser qu'il s'agit là d'une histoire érotique et il n'en est rien .... quand la couette se lève , la troisième tête apparaissant est immatérielle , ce n'est qu'un fantasme !

Il y a dans ce livre une légère trame romanesque qui sert de support à une réflexion sur le couple , sa construction , ses fragilités , la fidélité et son contraire . L'auteur , éclaire son propos par quelques caresses du sujet faites par d'autres écrivains ou penseurs : Queneau , Breton , Kundera ( l'immortalité ) , Sartre et Beauvoir etc .... Pour autant ce n'est pas un essai , ni pontifiant , ni moraliste , ni intello , mais un livre court , facile à lire qui survole le sujet sans jamais prendre parti chose qui de toute façon s'avère impossible . La raison ne saurait corriger l'affect , inégalement réparti chez chacun de nous , donc Zeller ne nous guide pas vers un mode opératoire , vers une gestion des problèmes mais nous expose les faits , les expériences des autres et nous laisse réfléchir à partir des éléments fournis .

Lecture intéressante donc d'un point de vue philosophique mais qui ne révolutionne rien .
Commenter  J’apprécie          70
La fascination du pire

Je ne sais plus du tout ce qui m’a poussé à mettre ce livre dans ma Wish list et donc à l’acheter, peut-être le titre ou un avis sur la blogosphère mais ce qui est sûr c’est que je me suis ennuyée terriblement et pourtant il est court (à peine plus de 150 pages). J’avais juste l’impression que le narrateur voulait étaler ses connaissances et sa culture, et que pour lui les autres étaient des cons. J’ai pas plus aimé l’écrivain qui est avec lui, qui ne pense qu’au cul et a une pauvre histoire minable qui ne m’a pas ému du tout. La fin se voudrait un peu cynique, elle m’a juste exaspéré. Je n’ai vraiment pas accroché, le message n’est pas arrivé jusqu’à moi et je ne vois pas bien l’intérêt de ce livre honnêtement. Je n’ai pas été touché, j’ai souvent levé les yeux au ciel et j’avais juste hâte de le terminer (le seul fait que je l’ai finis est qu’il est court). Voilà, une véritable déception (même si en fait je ne savais pas trop ce que j’attendais de ce livre).
Commenter  J’apprécie          70
La Vérité - La Mère

La Mère.



Farce noire est-il écrit en dessous du titre.

Noirceur de sentiments troubles entre une femme et son mari, entre une mère et son fils. Noirceur douloureuse jusqu'à la folie. L'intérêt se trouve dans les différentes interpétations d'une situation. Un fait et son contraire? Non, un fait ET un autre fait possible : telles sont les émotions, les difficultés humaines dans toute relation excessive.

Le rôle de la mère est puissant, dérangeant, passionnel jusqu'à la destruction de l'autre et l'autodestruction.

Riche, trouble, noire comme se qualifie cette farce.

De l'habituelle comédie humaine, nous parvenons ici au point pathologique de la mère "mante religieuse" qui dévore, tue celui qu'elle aime plus que tout ou est tuée (symboliquement ou pas) pour que chacun puisse simplement être et vivre. Cette pièce laisse la porte ouverte à notre propre réflexion devant cette "génitrix".
Commenter  J’apprécie          70
Les Amants du n'importe quoi

Je sors vide de ce "n'importe quoi". Pourtant cela n'avait pas si mal démarré.

La lecture de la "Première sphère" ne me déplaisait pas.

Les personnages existaient.

Quelques considérations sur les relations amoureuses d'une génération trentenaire, des questionnements face à la vacuité d'une existence qu'on rêve plus qu'on ne vit, deux personnages en proie chacun à leurs propres démons, tentant de se rejoindre et se heurtant chaque fois à "l'autre" qui est en eux, tout cela attisait ma curiosité.

C'est au cours de la "Deuxième sphère" que tout s'est gâté.

Tout devient agaçant, ces gens qui "grattent leurs plaies" à longueur de page, se font un cinéma dont on devine trop vite les séquences qui se succèdent, une impression de déjà vu-lu.

L'envie de dire :"stop, arrêtez, continuez chacun comme vous êtes si c'est votre choix, si c'est votre bon plaisir..., mais surtout fichez-nous la paix avec vos états d'âme, votre égoïsme...".

Bref, y'en a assez des étalages amoureux en difficulté d'être. "Je t'aime, moi non plus..." était plus direct.

Vous n'aimez jamais puisque vous n'aimez que vous.

Cela, Florian Zeller l'a bien développé dans son livre mais y avait-il besoin d'autant de lignes et de tous ces ingrédients (relation mère/fille, anorexie, vie rêvée à vingt ans, souffrance mentale exprimée par le corps...) pour que nous comprenions...

Il voulait démontrer qu'une sphère tourne en rond, c'est réussi!



Commenter  J’apprécie          70
Julien Parme

Voila un livre qui peut intéressant de lire pendant l'adolescence. Puisqu'on suit un jeune adolescent dans sa quête de soi. Famille, étude, amis, quotidien, rien ne semble aller pour lui. Il se renferme sur lui-même, ne trouve pas à qui se confier et en devient peut-être égocentrique. Mais il ne parvient pas à saisir les mains tendus pour se relever de sa mauvaise passade.



C'est une fuite en avant, celle de l'adolescence, des inconnus et des questionnements. L'adolescent fuit car résoudre les problèmes plonge directement dans le monde des adultes pour lequel il n'est pas encore prêt...
Commenter  J’apprécie          60
Avant de s'envoler

Florian Zeller nous offre là une très jolie pièce, pleine d'amour et de tendresse.

André et Madeleine s'aime depuis 50 ans. Mais la vie les rattrape, ou tout du moins c'est ce qu'il semble. Car l'auteur ne s'encombre pas avec la réalité. Tantôt il semble que c'est André qui a disparu, tantôt Madeleine, tantôt les deux sont là. Le lecteur peut être un peu perdu, mais les sentiments sont là, puissants. Un amour simple, évident, solide uni le couple, bien au-delà de ce que la vie ou la mort peut leur réserver.

C'est une jolie bulle, un peu triste et nostalgique, hors du temps et du réel.
Commenter  J’apprécie          60
La Vérité - La Mère

La mère.



Florian Zeller aime bien percuter ses lecteurs. Après avoir lu Le père qui plonge le lecteur dans la tête d’un homme atteint d’Alzheimer, je viens d’affronter La Mère, qui nous interroge tout autant.



Que se passe-t-il dans la tête d’une mère quand ses enfants quittent le nid ? La mère désespère de ne pas avoir de nouvelles de son fils qui ne la rappelle pas, son mari part un week-end pour un séminaire…Le fils revient de nuit, séparé de sa compagne. Pouvoir revivre de nouveau comme avant avec son fils à la maison ? Avoir quelqu’un à qui donner un amour inconditionnel ?

Mais très vite on s’interroge. Que se passe-t-il vraiment dans la tête de cette femme ? Son fils est-il vraiment là ou est-elle la seule à le voir ? Est-il disparu ? Mort ? Refuse-t-elle de l’admettre ? Beaucoup de question auxquelles je ne peux pas vous donner de réponses.

Florian Zeller brouille les repères temporels avec des scènes qui se répètent comme des boucles temporelles. Des situations reviennent à quelques variantes près. Laquelle reflète la vérité ? Laquelle symbolise le trouble psychologique dans lequel s’enfonce la mère ?

Pour accentuer ce malaise, les personnages ne sont pas présentés par leur nom mais par leur fonction (père, mère, fils) facilitant d’autant plus l’identification du lecteur aux personnages de la pièce.

J’aime vraiment cet auteur de théâtre qui fait réagir, trouble et interroge le lecteur, il nous renvoie une image de ce qui risque de se produire dans notre vie quand on avance en âge. J’en suis encore loin, mais c’est troublant. Et si la lecture marque autant, c’est que l’auteur a réussit sa pièce qui ne laisse pas indifférent.

Commenter  J’apprécie          60
Les Amants du n'importe quoi

Il y a les hommes qui ont des scrupules, d’autres non.

Quel homme, muni d’un tant soi peu de conscience, n’a-t-il pas ressenti cela à un moment de sa vie ?

Quelle femme n’a-t-elle pas appréhendée ou vécue cela à un moment de sa vie ?

L’auteur a réussi “magistralement” à mettre sur papier ce ressenti spécifique.

Il semble que ce soit un sentiment d’actualité chez les hommes d’aujourd’hui.

Vous vous demandez de quoi je parle ?

Découvrez-le vous-même dans le livre… et, peut-être au fond de vous-même, caché plus ou moins délibérément sous une tonne de certitudes apprises par cœur et assimilées sottement. Et oui, ce ressenti est une des causes de ce léger malaise qui nous pèse sur le ventre, alors que nous sommes en train de tenir notre compagne dans nos bras, contre nous, que nous ne savions pas qualifier depuis tant de temps et que nous n’osons pas nous avouer…
Commenter  J’apprécie          60
La Jouissance

L'histoire d'un couple qui s'unit et se déchire exactement comme se construit et se déconstruit l'Europe. Thème ambitieux, mais propos un peu fade.
Commenter  J’apprécie          60
La Jouissance

J'ai passé avec Pauline et Nicolas un moment très agréable.

L'auteur a su me transporter dans son monde, critique sociale du couple, de la politique, de l'histoire et de la philosophie, avec une infinité douceur.



Je ressors de ce roman comme après une balade, une bouffée d'air frais, ou un bon repas. Je suis à la fois repu et surpris.



Pauline et Nicolas sont maintenant en couple depuis deux ans. Il va leur arriver en 150 pages ce qui arrive à beaucoup de couples. Le roman commence sur une vision de Nicolas, qui s'imagine coucher avec Pauline, mais aussi avec l'amie de celle-ci, qu'elle lui a présenté deux jours auparavant. On va ensuite suivre l'évolution de leur couple, les petits secrets qu'ils se font l'un l'autre, les différentes façons d'aimer, referent alors Sartre, Simone de Beauvoir, Aristophane, Platon...

Nous aurons également droit à un cours historique sur l'Europe. Ce roman est un roman Européen. De longues réflexions sur le pardon, l'égoisme, la musique classique, Robert Schumann, la révolution technologique...



La narration est originale, l'auteur s'amuse tant avec le lecteur qu'avec ses personnages dont nous nous sentons finalement si proche. Si bien qu'il nous semble les connaître et qu'on a un moment, après la lecture, pour se remettre dans une réalité plus cartésienne.



Florian ZELLER, auteur de déjà plusieurs pièces de théâtre aux éditions L'avant Scène et de plusieurs romans chez Flammarion, nous offre pour cette rentrée littéraire un petit livre bien sympathique, rapide à lire, et qui promet la reflexion.
Commenter  J’apprécie          60
Les Amants du n'importe quoi

C’est un roman très court qui s’offre à vos yeux quand votre main ouvre ce livre : un roman très bref, avec une histoire qui se résume en quelques mots, où finalement, il ne se passe pas grand-chose. Mais Florian Zeller parvient à rendre réels ses personnages, à rendre leur passion tangible. C’est une réflexion très juste sur l’humanité, sur les hommes qui ont peur de voir certaines portes se fermer, l’arbre des possibles perdre ses feuilles. C’est un roman sur les gens qui ont peur de ne pas savoir ce qu’ils veulent, sur les gens qui aiment, et ceux qui se demandent ce que c’est d’aimer. C’est le genre de livre que l’on pose plusieurs fois pour noter une citation que l’on a trouvé particulièrement bien tournée, ou particulièrement vraie.

Le style de Florian Zeller est très agréable, on sent un réel travail derrière, avec un souci des rythmes et des allitérations qui rend les phrases harmonieuses. En somme, ce roman allie un style très plaisant à une réflexion intelligente, ainsi qu’à une histoire assez touchante. Je dirais « Bingo ! ».


Lien : http://well-read-kid.over-bl..
Commenter  J’apprécie          60
Le Père - La Mère - Le Fils

Une lecture dans laquelle j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger avec ces situations qui vont et viennent, ces personnages qui apparaissent et disparaissent.

Un style particulier et qui sort des sentiers battus, mais qui ne l'a pas fait avec moi

Dommage car les thèmes abordés sont très bons.
Commenter  J’apprécie          52




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Florian Zeller (1322)Voir plus

Quiz Voir plus

Dieux et Déesses de la Mythologie Grecque

Déesse de la sagesse, je suis la protectrice d' Athènes, je protège les héros dans leur quête et je suis la patronne des Artisans

Déméter
Aphrodite
Héra
Athéna

10 questions
416 lecteurs ont répondu
Thèmes : mythologie grecque , dieux grecsCréer un quiz sur cet auteur

{* *}