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Citations de François Beaune (135)


Il est vrai que les enfants sont cruels, au moins autant que les adultes.
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La pitié est une main que je tends et qui brasse du vide.
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Les gens, pas seulement notre groupe, aiment rire du malheur des autres.
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La cuisine est un art qui joue sur la psychologie des êtres. Cuisiner revient à émouvoir, à donner des sensations.
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La vie n’est pas un conte de fées où l’amour peut tout. L’amour est le Noël des pauvres et le dessert des riches. Son énergie est une goutte dans les courants marins
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Le sourire de Duchenne est l’expression humaine la plus parfaite que j’aie pu rencontrer. Il est un don de joie aux cœurs non sales. Celui qui le possède en est comme sanctifié.
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la peur est plus forte que l’amour, nous voyons tout à travers ses yeux, car elle cherche en permanence à deviner qui est l’autre, ce qu’il va faire, et ce qu’il veut de nous.
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Je ne suis ni un rebelle ni un saint. J’ai mes défauts que je garde pour moi, tout du moins que j’essaye de ne pas infliger aux autres.
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La peur est la quête de connaissance, le côté obscur de la curiosité, cet instinct de rat qui gratte les poubelles comme je gratte ce papier, pour me rassurer, pour me remplir. Je suis mauvais comme eux. J’écris tout au crayon, je pourrais tout gommer, un jour, le jour dernier, peut-être.
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La peur est la quête de connaissance, le côté obscur de la curiosité, cet instinct de rat qui gratte les poubelles comme je gratte ce papier, pour me rassurer, pour me remplir. Je suis mauvais comme eux. J’écris tout au crayon, je pourrais tout gommer, un jour, le jour dernier, peut-être.
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À force de faire des enquêtes et de parler à des secrétaires, je vous assure que l’on a l’impression qu’il y a énormément de femmes sur terre. Et que la plupart, je dois dire, sont gentilles et prévenantes, quand on sait les prendre.
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À force de faire des enquêtes et de parler à des secrétaires, je vous assure que l’on a l’impression qu’il y a énormément de femmes sur terre. Et que la plupart, je dois dire, sont gentilles et prévenantes, quand on sait les prendre.
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Dans notre monde l’idéalisme n’a aucun prix, justement parce qu’il rend naïf (les naïfs ne sont rien d’autre que des simples, des innocents, des fous, donc à éliminer). Cette naïveté m’éblouit et me fait avancer dans la blancheur du vide telle une marionnette.
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La société moderne, en vaccinant, a choisi de faire cohabiter fantômes et vivants, sans distinction. Ensuite il ne faut reprocher aux fantômes d’être ce qu’ils sont (ils croient nous contrôler en nous tenant en laisse, mais leurs webcams ne vont pas jusque sous terre) !
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Un poulain marche dès la naissance, un babouin sait s’arrimer au dos de sa génitrice : très vite les bêtes oublient leurs mères. Il n’y a que nous qui nous y accrochons tels des vampires.
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La bataille est millénaire entre le bassin des femmes et la tête des hommes. Il fallait transformer l’étroit pelvis pour laisser place à l’intelligence.
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La hiérarchie fausse les rapports entre les gens, elle crée des jalousies, des haines, elle n’apporte jamais rien de bon.
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La clarté et la simplicité de mon témoignage seront, je le crois, mon meilleur alibi. Ma bonne foi la preuve irréfutable de mon innocence.
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Chaque minute est un miracle quand l’on vit en instance de mort, en équilibre sur la corde de sa moelle. Quel plaisir les miracles, que j’aime ces instants de sauvetage, et pourtant quelle épreuve à chaque fois ! Un rien, le brin d’air tiède, le coussin mou, un fil de pêche invisible me tenant hors de l’eau.
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Les gens ont la bouche liée, cousue de fil blanc. Ils se regardent sans pouvoir s’exprimer. Leur tête est gonflée telles celles d’hydrocéphales. Les secrets, les histoires s’accumulent. Ils renversent les meubles, brisent les vitres. Ils sentent la peur (l’odeur d’angoisse imprègne leurs vêtements) et ne sortent plus de chez eux.
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