Citations de Françoise Bourdin (1308)
Quand les rats quittent le navire, ce n’est jamais bon signe !
Renoncer à ce qu’on aime par amour est une aberration.
Le mariage de la carpe et du lapin ne donne jamais rien de bon.
La jeunesse ne parvient jamais à imaginer que des gens âgés puissent s’aimer avec passion.
Rien à voir avec l’intelligence, c’est de la technique, ça s’apprend. Si on n’est pas abruti, on doit pouvoir y arriver.
Après tout, ce que nous demandons aux machines, c’est de nous faire gagner du temps.
Des listes de performances et de gains, des plannings de travail, des tableaux comparatifs, ce genre de choses. Quand on les aligne avec méthode, les chiffres parlent toujours !
Tout ce qu’il désire, c’est voir «triompher ses couleurs ». L’argent ne rentre même pas en ligne de compte, il n’y a vraiment que la vanité.
L’alcool ne désaltère pas.
Il ne s’agissait pas d’aller vite mais d’acquérir du souffle, de l’endurance, de la combativité.
Une fille finissait toujours par se marier et s’occuper de ses enfants.
L’important restait toujours la victoire. Tant qu’on gagnait des courses, le savoir-faire n’était pas mis en doute.
À l’école, il était mauvais élève, pourtant il passait un temps fou plongé dans ses livres.
On ne changera rien de ce qui est fait.
Hugo avait pris, sans joie, l’habitude de sentir l’univers venir à sa rencontre. Il avait vécu – au bord du découragement – dans une totale bienveillance. Son sourire et ses yeux dorés avaient suffi, durant des années, à faire plier le monde devant lui. Sa paresse et son égoïsme étaient nés de ces victoires sans combat.
Je ne la veux pas parce que je ne peux pas l’avoir.
Tous les goûts sont dans la nature !
Il alluma le poste de la BM et eut l’impression de tomber sur une planète inconnue. Toute une vie qu’il avait reléguée, occultée depuis des mois, lui sauta aux oreilles.
Hugo adoré des femmes et n’en aimant aucune, si jeune et toujours à l’aise.
Sa fille était son bien le plus précieux : il était impensable qu’Hugo ne veuille pas posséder cette merveille.