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Citations de Frédérique Molay (56)


Ce n’est pas aux vieux singes qu’on apprend à faire la grimace !
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La devise du service était placardée au mur : « Qui s’y frotte s’y pique » ! Des mots sans équivoque…
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La vie vous réservait parfois de drôles d'épreuves.
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Un tueur en série agit sans limite de temps, sans pouvoir mettre subitement fin à ses pulsions. Il y a chez le psychopathe une recherche permanente et définitive du plaisir au travers de ses agissements criminels. Il ne peut s'extraire de son univers.
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La mort ne suffit pas au tueur en série... Ce type d'individu cherche un moyen original de provoquer la souffrance avec une imagination qui ne viendrait à l'esprit de personne d'autre. Sa proie n'est qu'un objet. Il n'éprouve aucune pitié mais ressent un besoin impérieux de la mutiler. Lui amputer les seins, c'est la déshumaniser encore davantage.
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On n'achète pas une épouse sur catalogue !
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Le grand mobile des mécanismes psychologiques qui donnent naissance aux meurtriers en série : la haine de l'un des parents. La mère, surtout, dominatrice, castratrice, qui fait subir un traumatisme psychique grave à son enfant. Rassurant, n'est-ce-pas ? Tellement plus que de remettre en cause le fonctionnement de notre société, ses modèles d'intégration sociale et ses idéologies.
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Dans cette maison, je ne veux jamais entendre qu'une femme "s'est fait violer", bordel ! s'irrita Nico. Elle ne s'est rien fait du tout. On parle d'une victime qui "a été violée".
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Ses yeux étaient emplis d'effroi, ses jambes tentaient de se démener. Elle voulait hurler mais il était trop tard. Sous l'effet de l'éther, ses paupières se refermèrent et son corps cessa de bouger.
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Il sortit le chiffon imbibé d'éther d'une poche de son blouson et le plaqua sur la bouche de la femme sans qu'elle puisse résister. Il se coucha sur elle et, de ses muscles puissants, l'immobilisa.
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Alors son sourire se défit soudainement et ses traits se figèrent. Elle eut un mouvement de recul. D'un bras vengeur, il la gifla violemment. Elle tomba à la renverse, laissant échapper un cri.
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Il sentit son parfum sophistiqué. Sa plastique parfaite le laissait de marbre. En fait, il n'éprouvait que dégoût pour cette femme.
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Il affichait ce même sourire rassurant, et se rapprocha tandis que les pupilles de la jeune femme se dilatèrent légèrement, simple réflexe cérébro-moteur.
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New York avale les hommes et n'en recrache que les os. New York est omophage, n'oublie jamais ça.
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Tom Casey allait faire la une des médias. Une méthode visant à encourager les témoignages, à localiser le ravisseur et à libérer la victime. Une course contre la montre. Grâce à Amber, la police retrouvait 94% des enfants disparus. Auparavant, ce chiffre atteignait tout juste 62%. Pas besoin d’un diplôme de Harvard pour deviner l’efficacité du système. La mobilisation payait. Et rien n’était de trop pour délivrer un enfant, surtout pour ses parents. Justement, le moment était venu d’innover, de renforcer le plan Amber.

– De quelle manière ? Avait réagi le lieutenant Sarah Fisher.

– Trois lettres : AT & T

American Telephone and Telegraph Company. Le plus grand fournisseur de services téléphoniques aux Etats-Unis.

– Un SMS…

– Plus que ça ! avait renchéri le capitaine Rivera. Un message multimédia, avec la photo du gamin en prime
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Le sourire de Caroline, l’une des premières choses qui l’avaient frappé quand il l’avait rencontrée. Ce sourire, c’était comme une épée plantée dans son cœur… Ce qui amenait une question : fallait-il que Dimitri soit amoureux pour hurler cette chanson à tue-tête ? À moins qu’il ne traverse une peine de cœur, comme Sting au moment où il avait écrit ces paroles. Hier encore, Dimitri prenait le biberon, et le voilà qui pensait aux filles ? Chienne de vie !
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La congélation est une excellente méthode de conservation, parce qu’elle réduit les réactions biochimiques. Je suis donc dans l’incapacité de dire à quand remonte la mort. Je peux seulement affirmer que la fillette est décédée suite à ses blessures, et non pas à cause du froid.
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Chaque individu perdait trente à quatre-vingts cheveux par jour, soit en moyenne un peu plus de deux par heure… et le criminel était un humain comme les autres.
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« Le pire n’est jamais certain », prophétisait l’adage, sauf en matière criminelle.
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Elle avait tenté de se débattre, terrorisée. Qu’aurait-elle pu faire contre son mètre quatre-vingt-cinq, sa carrure d’athlète ? Il l’avait écrasée de tout son poids, une main plaquée sur sa bouche. Puis il avait saisi le couteau, son souffle rauque se mêlant aux râles de sa proie. Il avait lu la peur, et ensuite la capitulation dans son regard. Elle avait compris qu’elle allait mourir, sans autre issue possible. Comment, désormais, se priver de cette émotion-là ?
Tuer était si simple, au fond. Un vrai jeu d’enfant.
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