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Critiques de Frédérique Molay (86)
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La 7ème femme

Un tueur en série sévit dans Paris. Il torture, mutile et tue une femme chaque jour.

À la PJ, les équipes du commissaire Sirsky, en charge de l'enquête, sont sur les dents. Elles ne peuvent que recouper les éléments dont elles disposent pour établir un profil psychologique du meurtrier, mais n'avancent pas dans son identification

Jusqu'à ce qu'il apparaisse que c'est également au commissaire que le tueur veut s'en prendre...



Comme souvent, le prix du quai des orfèvres récompense un roman qui met en avant les procédures d'enquête, et ici l'organisation de la PJ parisienne. Le résultat peut être décevant.

Je m'empresse de dire que ce n'est pas le cas pour ce thriller, qui s'appuie sur une course contre la montre pour retrouver un tueur qui a très tôt a annoncé vouloir faire sept victimes, une par jour.

Les personnages sont bien campés, plutôt sympathiques en général, de sorte qu'on a du mal à reconnaître un coupable parmi eux et que le suspense est maintenu jusqu'au dénouement.

Il y a bien sûr quelques invraisemblances : on ne saura jamais comment le tueur a eu accès à nombre d'informations sur ses futures victimes ou sur la famille du commissaire... Mais qu'importe ? On se laisse prendre au jeu de ce thriller haletant !
Lien : http://michelgiraud.fr/2022/..
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La 7ème femme

Très bon moment de lecture avec ce policier qui lance le Quai des Orfèvres dans une course contre la montre pour sauver cette 7ème femme !
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La 7ème femme

Un tueur joue avec les nerfs du commissaire divisionnaire en lui laissant un message sur une scène de crime « 7 jours, 7 femmes ». Il voit le nombre de victimes augmenter au fur et à mesure que la semaine se déroule.

Ce livre mérite le prix qui lui a été donné. J’ai bien aimé le style, la construction. Plein de rebondissements, de fausses pistes, d’éléments nouveaux qui apparaissent au fil des pages.

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La 7ème femme

J'ai décidé de lire ce roman pour continuer ma découverte d'auteurs de romans policiers français et pour faire la connaissance du personnage de Nico Sirsky, flic à la Crim.



Le roman débute par un premier meurtre qui se veut sordide, mais qui est très peu décrit par l'auteur (ce qui pour un roman de ce genre est contre-productif). Par contre, Frédérique Molay s'évertue à nous présenter ses personnages à grand renfort de superlatifs. Une chose est sûre, il ne fait pas très bon être moche et ne pas être une sommité dans son domaine quand on veut évoluer dans le monde de l'auteur, car, tous ses personnages (du moins dans le début du roman, après, je ne sais pas, je n'ai pas continué ma lecture) sont jeunes, beaux et performants.

Nico Sirsky est un beau flic, solitaire, mais qui souffre d'un ulcère à l'estomac. Le médecin qui le suit est une jeune femme charmante, performante dont il tombe immédiatement amoureux au point de ne penser qu'à elle sans cesse. Le médecin légiste chargé de l'autopsie du premier corps (de la première femme victime) est une jeune femme belle qui a une belle réputation pour son âge et...



Trop, c'en est trop, je ne lis pas un roman pour consulter un catalogue de mannequin et si, déjà, les turpitudes amoureuses et sexuelles des protagonistes des romans policiers ne m'intéressent pas, c'est encore moins le cas quand tous sont issus d'un calendrier des Dieux du stade ou bien d'un calendrier Pirelli.



Comme, en parallèle, l'enquête met un peu de temps à démarrer et n'a pas réussi à me happer assez vite pour que je ne sois totalement déçu par les personnages... hop, j'ai fermé le livre et je suis passé à un autre.



Au final, « La 7ème femme » est peut-être un bon roman policier (il a reçu le prix du Quai des Orfèvres, mais l'on sait également que cette distinction n'est pas toujours signe de qualité, puisqu'il suffit bien souvent de se concentrer, dans son écriture, sur le fameux « 36 quai des Orfèvres » pour être primé, même si c'est au détriment du style ou du fond), à condition de ne pas être dérangé par ce défilé de mannequins et cette aventure sirupeuse qui s'annonce entre les protagonistes. Pour moi, cet élément étant totalement rédhibitoire, j'ai abandonné ma lecture très rapidement.
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La 7ème femme

Il s'agit d'un bon polar sans plus. Le prix du quai des Orfèvres est inconstant au niveau de la qualité des romans récompensés et cela se vérifie avec celui-ci.

J'ai apprécié le fait que l'auteur soit bien documenté sur le 36 et son fonctionnement. L'intrigue est facile à suivre et contrairement à d'autres polars, l'hémoglobine ne coule pas à flots. Ou plutôt le sang coule mais les descriptions restent sobres.

Par contre, je regrette la personnalité assez creuse des personnages. Au niveau de ceux-ci, je trouve qu'ils sont trop nombreux et que ça n'apporte rien à l'histoire.

En conclusion, même si ce polar sera vite oublié, je note tout de même le nom de l'auteur pour un moment où j'aurais envie d'un petit polar lu facilement.
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La 7ème femme

En lisant les premières pages, je me suis dit que c’était encore un auteur de roman policier qui cherche à noircir des pages dans l’énumération exhaustive et fastidieuse des différents services qui composent l’administration policière, comme si cela avait un réel intérêt pour l’histoire. La première scène de crime est survolée et brouillonne. Au bout de quelques chapitres, l’intrigue se met en place et prend du fond, de la noirceur. L’intensité de l’enquête monte rapidement à son zénith. Les éléments macabres et troublants s’enchainent, 7 jours, 7 femmes, victimes d’un psychopathe.

Les débuts balbutiants de ce roman sont vite oubliés pour faire place à une enquête policière prenante, solide et cohérente. Un très bon polar.

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La 7ème femme

Ca se laisse lire.



Concernant l'enquete, meme si j'ai connu des livres avec un suspense bien plus prenant, et plus de rebondissements, le rythme est bon et on a envie d'avancer dans la lecture.



Ca se complique des qu on parle des personnages. Au dela d etre tous parfait, cela devient hyper pompeux lorsque l on parle de la vie privee de Nico. Cette histoire d'amour trop subite et trop idealisee rend les passages la concernant plus qu agacant.



On est donc loin d'un grand roman, mais il est assez direct donc on arrive quand meme au bout sans trop se lasser.
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La 7ème femme

Paris. Nico Sirsky, commissaire divisionnaire au 36 Quai des Orfèvres, est appelé sur le lieu d'un crime. La victime a été bâillonnée, attachée et a reçu trente coups de fouets. L'assassin lui a ensuite découpé les seins et l'a achevée d'un coup de poignard. Un message est laissé à l'attention des enquêteurs : "7 jours, 7 femmes".

Les jours se suivent et se ressemblent dans la série macchabées. Le tueur sévit toujours suivant le même mode opératoire. Nico et ses équipes vont devoir s'atteler à la tâche et mettre les bouchées doubles pour lui mettre la main dessus. Surtout que le meurtrier semble avoir une dent contre Sirsky, et qu'il a dans sa ligne de mire des femmes de son entourage. Une affaire compliquée à gérer alors que le commissaire doit faire face à une ex-femme dépressive, une relation amoureuse naissante et un ulcère qui lui vrille l'estomac.



Frédérique Molay n'est pas flic. Pourtant, elle nous dresse un portrait tout en justesse de la célèbre Brigade criminelle, nous livre des anecdotes, des détails sur la vie entre ses murs. Ce qui était son but premier : rendre compte de la réalité du 36.

Autant les personnages qui jalonnent le roman "sentent" vrais, autant le personnage de Sirsky semble irréel tellement il transpire l'homme parfait. Le flic beau-gosse qui les fait toutes craquer mais qui ne profite pas de son physique. Fidèle, romantique, d'une très grande sensibilité et limite féministe dans certains de ses propos. Comment ça je suis jaloux ?

Heureusement, l'intrigue vient rattraper ce qui me semble être un des seuls points noirs de ce roman. Oui, parce qu'il y a un deuxième point noir. L'histoire d'amour que vit notre beau héros. Il rencontre sa dulcinée le lundi, et dès le jeudi, c'est la femme de sa vie, son plus bel amour. Un peu rapide le garçon. Enfin... Pour en revenir à l'intrigue, Frédérique Molay semble nous prendre par la main et nous emmener là où bon lui semble. C'est qu'elle a dû y aller dans le travail de recherche. Quand le médecin légiste découpe les victimes, on l'accompagne. Il ne manque que les odeurs méphitiques pour que le tableau soit complet. La 7e femme n'est sans doute pas le polar de l'année, mais il se glisse sans conteste dans la catégorie de ceux qui vous font passer un agréable moment.
Lien : http://www.k-libre.fr/klibre..
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La 7ème femme

Nico Sirsky, commissaire divisionnaire au 36 quai des Orfèvres, est confronté dans cette histoire à un serial killer qui prend plaisir à faire souffrir ses victimes avant de les tuer, et qui s'amuse à le provoquer. "7 jours, 7 femmes" est l'un des messages laissés à l'attention de monsieur le commissaire, message qui annonce une course contre la montre à la recherche du plus infime indice qui pourrait arrêter ce monstre le plus tôt possible.



Voici un polar bien écrit, bien ficelé, bien documenté, qui nous mène directement dans les coulisses du célèbre 36 quai des Orfèvres. Nico fait appel à toutes les ressources possibles et imaginables dont il peut disposer afin de trouver au plus vite le coupable. Parallèlement à l'enquête, on suit la vie privée du commissaire, et c'est là que j'ai été moins conquise, tout étant "trop" pour être naturel. Nico est un jeune prodige, commissaire divisionnaire à 38 ans, ça tient du miracle. Et en plus de ça, il est beau, attentif aux femmes, conscient de son pouvoir de séduction mais soucieux de ne pas s'en servir... En bref, il est trop parfait pour être crédible. Rajoutons à ce portrait son coup de foudre pour Caroline, qui elle aussi est magnifique, médecin prodige également, patiente, compréhensive, pleine de sang froid... Et bien, ça fait beaucoup, vous ne trouvez pas ? Cet aspect de l'histoire qui se déroule en dehors de l'enquête ne m'a pas vraiment conquise...



En bref, La 7e femme est un polar qui m'a fait passer un bon moment, mais sans plus. Je ne pense pas qu'il me marquera beaucoup, mais je ne regrette en rien sa lecture.
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La 7ème femme

Tout commence par ces premiers meurtres horribles et par la mise en place de l'équipe de la police en charge de l'enquête. Chacun a sa tâche, chacun à fouiller le moindre petit début de piste, attendant des résultats d'analyse, des rapports d'autopsie. Parallèlement, Frédérique Molay installe ses personnages. C'est la première enquête de Nico Sisrky (à l'heure où j'écris ce billet deux autres ont été écrites dont je parlerai très bientôt). Évacuons tout de suite un petit bémol de ma part : tous les personnages sont jeunes et beaux : Nico Sisky a 38 ans, il est pourvu d'un charme indéniable, d'une sensibilité féminine qui les fait toutes craquer, mais il est divorcé, coeur solitaire et difficile à satisfaire. Il rencontre Caroline Dalry, 36 ans "professeur agrégé à l'hôpital, ce qui est tout à fait exceptionnel pour son âge. Elle doit être la seule dans ce cas-là." (p.189) dont il tombe immédiatement amoureux. Quasiment tous les personnages, même les secondaires sont du même acabit, jeunes, beaux, dynamiques. De vraies gravures de mode ; on se croirait dans un épisode d'une série américaine. Voilà, pour ma réserve, uniquement basée sur la jalousie, vous l'aurez bien compris, moi qui ne suis plus si jeune que cela.

Le reste ? Très bien ! F. Molay prend le temps de s'intéresser à tous les gens qui interviennent dans l'enquête (peut-être un peu trop nombreux, au risque parfois de se perdre, mais les principaux sont clairement identifiés). En tout bien tout honneur, Nico a sa faveur et bénéficie d'un traitement particulier. Puis, d'autres protagonistes sont détaillés : ses collègues, sa soeur, sa famille, Caroline. Ce qui donne un côté humain à toute cette équipe. Très prometteur pour la suite des aventures de Nico.

L'intrigue ? Très bien ! L'auteure tisse sa toile dès le départ. Cent premières pages plutôt lentes malgré l'atrocité des meurtres, F. Molay accélère le mouvement gentiment et progressivement, puis à la faveur d'un rebondissement inattendu vers la page 200, elle met la gomme pour tenir son lecteur en haleine jusqu'au bout avec un petit coup de turbo sur la fin. Le récit est construit d'abord avec l'enquête policière dans laquelle petit à petit s'immisce le coupable pour raconter ses meurtres. Ces parenthèses prennent du volume au fur et à mesure que l'on approche de la fin. De chausse-trapes et rebondissements en fausses pistes, F. Molay balade à la fois Nico et son équipe et les lecteurs (j'ai eu un flash vers la page 300 concernant le coupable, mais j'en étais déjà à mon troisième suspect, et j'ai eu encore pas mal de doutes quant aux méthodes et aux mobiles de mon favori jusqu'à la fin !).

Frédérique Molay semble connaître le monde judiciaire assez bien émaillant son texte de références juridiques, légales ou professionnelles qui le rendent réel. Toute proportion gardée et sans vouloir faire de comparaison, j'ai retrouvé dans cette enquête du Wallander : une équipe entière pour une enquête, avec des personnages auxquels l'auteur s'intéresse en dehors de leurs vies professionnelles, des pistes, les plus ténues soient-elles qui sont suivies jusqu'au bout, même si elles ne donnent rien et pour finir, une sorte de "sixième sens" de Nico, un peu comme Wallander qui a parfois des fulgurances bienvenues. Ce rapprochement a pour moi valeur de compliment, et vous comprendrez donc sans peine que je me lance dès présent dans le tome 2 des aventures de Nico Sirsky !

Livre qui a reçu en 2007, le Prix du Quai des Orfèvres dont le jury est présidé par le Directeur de la Police judiciaire.
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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La 7ème femme

J'ai découvert les enquêtes de Nico Sirsky par Hasard lors des dernières vacances de Noël grâce à sa deuxième enquête "Dent pour dent" et j'avais vraiment bien aimé. Comme il y était fait référence à "La septième femme" j'ai voulu le lire. Et même si le livre est prenant et qu'on comprenne certains faits de sa deuxième enquête je ne peux dire qu'il m'a un peu déçu tant certaines parties du livre ne font pas de mon point de vu avancer l'enquête. Les autres livres n'étant disponible visiblement qu'à la demande je ne suis pas certain de les lire.
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La 7ème femme

Pour moi, il y a trois moments. Au début c'est gamin, gamin, gamin comme une maman qui raconte une histoire, à la veillée. C'est gamin, mais agréable.

Après, il y a une nquête que j'ai trouvée haletante. Enfin, il y a cette fin un peu pitoyable. C'est pas seulement la fin, c'est le regard rétrospectif sur l'ensemble de l'histoire, et le très très méchant. Ces trois parties vont ensemble. C'est bien écrit, sympathique, on se promène agréablement dans Paris. Un peu scolaire, mais bien fait. Plein de détails intéressants.
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La 7ème femme

Un peu trop d'éloges au 36 Quai des Orfèvres (à mon gout, bien sûr!)
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La 7ème femme

Ce qui a fait ma sélection pour lire ce livre :

Il a eu le Prix du quai des Orfèvres -2007

C’est donc que ce doit être un bon polar.

En effet, c’est l’énigme autour d’un sérial killer qui assassine des femmes dans des conditions de souffrance terribles et les équipes du quai des Orfèvres qui doivent s’organiser pour trouver l’assassin.

Les femmes sont assassinées et on a très envie qu’ils trouvent le coupable avant la 7ème qu’on devine plus ou moins assez vite…

J'ai trouvé les actions détaillées, précises, méthodiques, la course avec le temps bien gérée.

Qui est le coupable ? Qui sera la prochaine femme ?

Bonne lecture, bon suspens...

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La 7ème femme

Voici un roman policier un peu classique, avec une construction que je qualifierais de "mathématique", c'est à dire une découverte pas à pas de l'énigme, comme une succession d'équations à une inconnue que l'on résout avec les résultats de la question précédente. Donc c'est bien écrit, bien fait, mais il manque une certaine fantaisie, une profondeur des personnages, une complexité des caractères que l'on recherche au fil des pages.



Comme tout problème mathématique que l'on a résolu, une fois le canevas exposé, on a tout de même l'impression que c'était cousu de fil blanc.



Donc l'histoire concoctée par Frédérique Molay vise à découvrir qui est le tueur en série qui exécute ses victimes jour après jour.



Le héros, le commissaire Nico Sirsky, que l'on devine beau ténébreux célibataire endurci (mais ça ne va pas durer) mène l'enquête pour mettre hors d'état de nuire le vilain méchant, qui bien entendu, se trouve près de lui et s'en prend à son entourage. Les gentils gagneront à la fin, ouf, même si on n'en est pas complètement persuadé.



Au rayon des points positifs, la description du travail en équipe, au rayon des points négatifs, une certaine naïveté des sentiments, notamment l'histoire entre Nico et Caro, que même les romans sentimentaux essaieraient tout de même de complexifier un peu pour lui donner un zeste de réalisme.



Lu sous la pluie norvégienne, vue sur le fjord de Trondheim.
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La 7ème femme

7e femme est un polar prenant sans temps mort. Un polar teinté de réalisme sur les méthodes de la police judiciaire et des autopsie très détaillés. Dans ce livre on suit le patron de la brigade criminelle Nico Sirsky , un jeune prodige de 38 ans au sein de cette unité. On le suit dirigé plusieurs équipe pour découvrir le criminel de plusieurs neutres violents. L'auteurs montre plusieurs point de vue des différentes personnes sur l'enquête en plus de Nico, on suit de quelque page le meurtrier et sa victime, même si c'est léger mais sa fait accroitre la tension lors de notre lecture. Un policier que j'ai beaucoup aimé et que je n'ai pas pu lâcher.

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La 7ème femme

EX-CEL-LENT !!! Quelle maîtrise du suspens ! Quel talent ! Comme souvent, un sadique, ennemi public à stopper dans son "oeuvre" le plus vite possible. Un serial killer super intelligent mais complètement dingue qui se prend pour Dieu.

Il s'en prend même aux proches de l'inspecteur chargé de l'enquête.

J'ai soupçonné tout le monde ! et je me suis planté, manipulé par l'auteure.

Je dis bravo et j'en redemande.



Je mets 4 étoiles car j'ai jugé la fin trop abrupte. Beaucoup, beaucoup trop brève à mon goût. Pas bâclée, mais trop courte.



Il m'a manqué le "happy-end" !



Un conseil : procurez-vous ce roman.

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La 7ème femme

Course contre la montre dans Paris pour sauver la 7 ème femme.
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La 7ème femme

Paris. Nico Sirsky, commissaire divisionnaire au 36 Quai des Orfèvres,( Homme séduisant si l’on aime les blonds aux yeux clairs (sourire) ) est appelé sur le lieu d'un crime horrible… je tairai les détails ici…Beurk !!! Malheureusement les jours se suivent et se ressemblent et chaque nouvelle journée est "couronnée " par un nouveau cadavre, sauvagement tué avec le même mode opératoire.

Course contre la montre, indices du tueur qui semble vouloir jouer avec le commissaire et toute son équipe .

Un polar comme je les aime…
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La 7ème femme

J'ai acquis ce livre au salon du livre du Mans et j'ai eu très envie, en dépit de mes obligations, de le lire rapidemen. Si rapidement signifie le terminer quatre mois plus tard, alors, oui, j'ai été rapide (applaudissements personnels).

Je dois dire que je n'ai pas été déçue par cette lecture, bien que j'ai de plus en plus de mal avec les thrillers sanglants (l'auteure n'y est strictement pour rien, je change, c'est tout). Nous sommes très souvent dans la tête du tueur, et ses pensées, ses actes, minutieusement décrits, sont toujours insoutenables.

Le mot qui me vient à l'esprit pour définir le roman de Frédérique Molay est rigueur. La construction des sept parties (comme les sept jours pendant lesquels le tueur sévira), la multiplication des fausses pistes, la description du célèbre Quai des Orfèvres et surtout de son mode de fonctionnement sont rigoureusement menés. Les policiers se portent d'ailleurs très bien, ils sont sur les dents, sur les charbons ardents, débordés en permanence. Je ne vous parle même pas de leur vie privée (quand ils parviennent à en avoir une). Les clichés sont présents, et l'auteure joue avec eux, pour mieux brouiller les pistes : le suspens est très bien construit.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
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