Geoffroy de Pennart

Nous apprécions beaucoup Geoffroy de Pennart dans la littérature jeunesse.

Cet album continue de nous raconter les histoires de princesse Selma, et de son ami Georges le Dragon.



Cet album est peut-être un cran en dessous des autres, nous n'y avons pas retrouvé l'humour qui nous a fait tant rire dans les autres aventures du duo.



Le "running gag" ici étant Georges le Dragon qui appelle le fiancé de la princesse tour à tour "le demeuré", le "fou", le "cinglé", etc...

L'histoire avec le couple de sorciers ne nous a pas convaincus.



Pas grave, nous continuerons de suivre cet auteur.

« Monsieur l'agent veut la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ! Mais Igor est-il capable de la donner ? »



Album jeunesse choisi par mon fils à la médiathèque, il l'a lu une ou deux fois avant que je découvre enfin ce titre. J'ai de suite adoré la revisite des contes bien connus comme les 3 petits cochons, le petit Chaperon rouge, entre autres... Mais cette fois-ci avec la vision du loup : non non il ne va pas les manger ni les croquer, il vient les sauver, voyons ! Parole de loup ! ^^



C'est sympa comme tout néanmoins il m'a manqué un petit quelque chose pour totalement accrocher à l'histoire et, la fin ne m'a pas tellement convaincue. Je m'attendais à autre chose, je ne sais pas... De plus ''spectaculaire'' ? Une chute plus impactante voire rigolote ? De plus, le récit s'arrête brusquement - à mes yeux - accentuant ainsi ma légère frustration. Ceci n'est que mon ressenti personnel, évidemment.



En bref, un concept super sympa mais qui ne m'a pas totalement emballé. Les enfants n'ont plus... je crois qu'ils ne connaissaient pas assez bien l'ensemble des contes ici présents pour tout ''comprendre'' et ainsi reconnaître les clins d'œil - et me concernant je ne me souvenais pas forcément de tout, haha. Sans oublier la différence entre le texte et les illustrations qui, de ce fait, accentuaient les mensonges... Ils sont un peu passés à côté, comme moi. Avec du recul, je me rends compte que nous n'apprécions pas totalement un livre quand la base du récit est mensongère - même si c'est censé être rigolo (quand le mensonge n'est pas directement remis en question et/ou sans que l'histoire n'apporte de ''valeur ajoutée'', je précise. En gros : mentir pour mentir, c'est tout ; c'est comme ça que je l'ai ressenti pour « Parole de loup »).

[ Petit rajout : il est bien indiqué à la fin qu'il s'agit ici de la version d'Igor, et que les autres personnages ne semblent pas d'accord. ]



Ravie malgré tout d'avoir découvert cet album jeunesse ! Je suis certes globalement mitigée, mais il faut savoir que j'ai certaines attentes livresques ; n'hésitez pas à vous en faire votre propre avis s'il vous tente. :-)

On retrouve les personnages que nous avions adoré dans un tome précédent sauf que cette fois-ci il s'agit d'une tout autre aventure. Alors si de prime abord ce fut une lecture assez sympathique, et drôle il manquait peut-être un peu plus de georges qui était plus en retrait dans ce tome, mais bon on a quand même passé un bon moment.

Une histoire absolument délicieuse, une aventure pleine de bons sentiments avec un dragon jaloux et un chevalier très téméraire malgré les différents obstacles rencontrés. On a adoré cette histoire, bien écrite, bien illustrée, très très drôle. Et surtout une princesse qui a du caractère.

Une histoire assez original sur une version très différente des contes que l'on connaît tant. C'était sympa, assez drôle, bien illustré, accessible à la lecture pour les plus jeunes, compréhensible sans détour. Un bon moment donc mais sans waouh non plus.

Qu’est-ce que j’ai rit ! J’adore comme il détourne les histoires classiques. La gamine n’est pas la naïve petite fille du conte. C’est une vraie terreur qui ne s’en laisse pas compter. ne vous fiez pas à son joli minois souriant.



Pour son malheur, la petite terreur à croisé le chemin du loup gris qui ne demandait rien à personne et qui faisait une sieste. Pour lui c’est le début de grands malheurs puisqu’il va aussi croiser la route de la grand-mère !



On retrouve les éléments du conte : la mère, la fillette, la galette, le chemin, la forêt, le loup et la grand-mère. On s’attend à certaines actions et c’est tout autre chose qui va se passer.



La fin est très bien trouvée.



Pour les parents qui n’aiment pas lire des histoires de loup qui font peur aux enfants ici c’est le loup qui a peur !
Lien : https://latelierderamettes.w..

Éclats de rires garantis ! Un dragon nommé Georges pas terrifiant, une princesse institutrice, un chevalier téméraire au galop sur son cheval Flambard...

Un joyeux mélange, les enfants raffolent de cette drôle d'histoire !



Par contre, sachez que le vocabulaire d'insultes de vos enfants va s'enrichir considérablement et qualitativement avec l'ajout de... "renifleuse péteuse" !

Une histoire lue à un enfant de cinq ans. Il a bien accroché et cela change des histoires où le loup est dans le rôle du méchant. On y aborde aussi les sentiments, l’hésitation, le droit d’avoir son propre avis en contradiction de la lignée familiale…

Comme toujours avec Geoffroy de Pennart, nous nous régalons des histoires du loup.



Ici le loup prend la parole, c'est lui qui nous raconte comment il se retrouve à toquer à la porte des chevreaux, comment il arrive malade dans le lit de mère grand, etc...



Tout ça parce qu'il manquait de la farine à sa louve pour préparer une galette!



Toujours écouter les deux parties prenantes d'une histoire, et Geoffroy de Pennart a un humour bien à lui, nous apprécions tous ses albums à la maison! Mes filles se régalent des dialogues, certains sont devenus des blagues à la maison.



Au travers de cette critique, ce sont tous les albums de Geoffroy de Pennart que je recommande vivement!

"Louyétu . J'ôte mon gilet jaune citron " Un de mes auteurs illustrateurs préférés Geoffroy de Pennart qui dans cet album parodie une certaine comptine. On y retrouve évidemment Igor le loup et Petit Chapeau rond rouge, l'album carré et cartonné est parfait pour les tout-petits.

Geoffroy de Pennart, je l’ai découvert avec ses revisites de contes. Je l’ai retrouvé ensuite avec ses récits de chevalerie détournés. C’est maintenant aux tours des dinos d’être déshabillés et rhabillés par cet auteur plein d’humour !



L’an dernier, je découvrais les aventures du sympathique et un peu tête en l’air Pancrace et sa rencontre avec sa dulcinée Dorimène. Je les retrouve à nouveau pour la rentrée dans une nouvelle aventure où il donne la main à son ami Laurent Audouin pour un nouveau moment plein de rebondissement.



Les auteurs reprennent les mêmes ingrédients mais offre une histoire totalement différente qui n’a pas été sans me rappeler les histoires de Babar que je lisais moi, enfant. En effet, on retrouve Pancrace dans son univers, sa ville, qui ressemble furieusement à Paris par endroit, et entre modernité et monde des dinos, il va se retrouver à poursuivre la petite Cornélie, l’animal de compagnie chéri de sa chère Dorimène. Les mécanismes, on les connaît : une course poursuite faite de gags et de gaffes, embêtant bien les personnages croisés en chemin : du livreur de saucisses, en passant par le cafetier, le gendarme, les maraîchers ou encore le maire et sa fanfare !



C’est drôle, truculent, savoureux. L’aventure est fort simple mais particulièrement efficace. N’aurais-je pas connu l’auteur sur des textes à double sens bien plus riche, j’aurais sûrement donné une note encore meilleure à l’oeuvre, mais comparant les deux, je préfère de loin, ce qu’il a autour de son loup Igor ou du Chapeau Rond Rouge. Ici, c’est mignon, c’est drôle, mais il manque un peu quelque chose, le message final étant dans l’air du temps, nécessaire mais un peu éculé. C’est plus la dynamique du trait et de l’aventure à travers la ville qu’ils mettent sans dessus dessous qui m’ont séduite.



Voici une nouvelle série d’aventure, pour la génération qui suivra la génération Babar à laquelle j’appartiens. J’adore l’utilisation des dinos, créatures adorées des enfants. J’aime les rebondissements de l’histoire et son humour. Il me manque juste un message ou un sous-texte plus fort comme Pennart le faisait dans ses revisite de contes.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..

« Je suis la galette, la galette… » régalez-vous dans cet album de Geoffroy de Pennart qui comme à son habitude dose en humour et détourne le conte classique. Quel plaisir aussi de retrouver les personnages fétiches de notre auteur favori : la Famille Broutchou, le loup Igor…. Comment ça vous ne les connaissez-pas ! (séance de rattrapage contre une fève : « Le loup, la chèvre et les 7 chevreaux » ou encore « Il faut délivrer Gaspard »).

Dans cette histoire, c’est un petit chien qui nous conte sa vie : les balades en vélo, les câlins, les bons plats… bref, la belle vie… de chien. Jusqu’au jour où arrive un intrus : le petit ami de sa Maitresse. Un intrus qui va bien vite s’incruster et qui va changer la vie de ce petit Raoul (oui, c’est bien le nom du chien).

Une histoire plutôt sympathique et drôle. Malheureusement pour Raoul, sa Maitresse va petit à petit le délaisser pour son petit ami (et malgré les tentatives vicieuses du petit chien de faire fuir cet intrus) et évidemment, cela n’en restera pas là. La chute d’ailleurs est assez drôle et mériterait presque un tome 2.

Les dessins sont plutôt simpliste mais ils vont parfaitement avec le ton de l’histoire. Des situations peut-être un peu malheureuses pour le petit chien mais toujours drôle (et pas d’inquiétudes, pas d’abandon ou de coups dans cette histoire). On ne peut que compatir avec l’angoisse du petit chien de perdre petit à petit sa Maitresse pour un homme, puis un… surprise…

Conte détourné par excellence avec l'expert Geoffroy de Pennart. Dans "Chapeau rond rouge" l'auteur illustrateur manie avec son humour caractéristique et dérive un certain Chaperon, avis aux gourmands il est même question de deux galettes (dès 5ans)

C’est avec plaisir que nous retrouvons l’un des sept chevreaux de la famille Broutchou. Gaspard le numéro cinq, le plus gourmand de la fratrie est enfermé à la cuisine. Le loup Igor ne rode toujours pas loin non plus. Dans cet album à randonnée, l’auteur illustrateur De Pennart s’amuse à décrire la lenteur administrative ou les élus ne sont pas présentés sous leur meilleur angle à savoir qu’ils ont toujours mieux à faire que d’aider les autres !(le maire joue aux cartes, le roi dîne …). « Il faut libérer Gaspard » est un vrai portrait de la société tout en restant un vrai moment de lecture très drôle.

Avez-vous déjà vu un loup faire du shopping ? Vêtement, chaussure, parfum : c’est la folie des achats pour le loup Igor. En savez-vous la raison ? Pour le savoir, jetez vous vite dans ce conte détourné éponyme de Grimm. De Pennart s’amuse avec son héros fétiche qu’est le loup qui a une grande faim de chevreaux ! Humour garanti au lecteur tout au long de l’album, le parfum Chavignol plaira notamment aux amateurs de fromage !

Le spécialiste du conte détourné Geoffroy de Pennart sévit encore et sa griffe est toujours autant excellente et amusante à lire et à entendre ! Dans cet album inspiré de Cendrillon: le héros est Cambouis, il est exploité par son oncle et constamment ridiculisé par ses 2 cousins .Mais une certaine chanteuse Lady Wawa va passer par là et sa vie va en être totalement bouleversée.

Préparation olympique pour le retour du célèbre loup de Geoffroy de Pennart. Le fin gourmet est enfin prêt après des séances d’haltères à dévorer ses proies favorites. Adultes et enfants rirez en découvrant la Charcuterie, maison des Trois Petits cochons évidemment ! Comme à son habitude l’auteur illustrateur excelle dans le conte détourné. Fou rire garanti et approuvé à 100% par l’ensemble des lecteurs/auditeurs !

Dans cet album point de Père Noël mais un fabriquant de jouets . Observez bien les personnages tout au long de la lecture car vous reconnaîtrez les héros fétiches de l’auteur illustrateur : Balthazar, Igor le loup et évidemment Sophie la vache musicienne qui est l’héroïne de ce beau conte de Noël.

Petite histoire rigolote, joliment illustrée, grâce à laquelle, j’ai (eh, oui, du haut de mes 48 ans !) appris un nouveau mot : CADOR.

C’est apparemment de l’argot, mais qu’importe, du moment que cela rime avec FORT !

J’aime ce miroir, tout droit sorti du conte de Blanche Neige, et qui parle en vers. Hélas, il connaîtra un triste sort, et fera les frais de l’énervement d’Igor, le loup, qui ne se contente pas seulement d’être le plus chic de la forêt.