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Critiques de Gérard Guégan (29)
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Qui dira la souffrance d'Aragon ?

C'est un très étrange livre qu'a écrit Gérard Guégan, sorte de théâtre d'ombres politico-sentimental. Livre audacieux, aussi, car nous sommes deux décennies avant le subliminal coming out homosexuel de l'écrivain, à une époque où son épouse, Elsa, vivait encore et où le Parti ne badinait pas avec l'amour.


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Nikolaï le bolchevik amoureux

Décidément j’aime beaucoup cet auteur. Si c’est votre cas ce nouveau roman vous plaira j’en suis sûr. Pour les autres une bonne occasion de diversifier ses lectures.
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Le sang dans la tête

En débutant « le sang dans la tête » on fait un plongeon direct dans le passé. du côté du sang, de la peur, du racisme, de la violence. Depuis des années l'immigration des anciennes colonies, l'immigration après guerre, l'immigration économique, la clandestinité tout cela avait créé des communautés. Et attisé la haine de certains.



On se dit que certaines choses ne disparaissent pas, sauf qu'aujourd'hui il est de bon ton de lisser tout cela avec le politiquement correct.



Les faits divers sont encore une source d'inspiration comme ici.



Gérard Guégan (que je découvre) n'y va pas avec le dos de la cuillère tout le monde en prend pour son grade. La police n'est pas épargnée bien au contraire.



Ça fume, ça boit, ça dégaine facilement, ça n'y va pas mollo avec les témoins ou pendant l'interrogatoire des suspects.



On est dans un polar alors les travers de la société sont exacerbés et le trait légèrement noircie (enfin j'espère).



Le proxénétisme « familial » et la pédophilie fond partie de la toile de fond. Cela se savait mais personne ne cherchait à enquêter à enrailler le problème.



Le monde du travail n'était guère plus tendre.



Le personnage de l'inspecteur divisionnaire Ruggieri, ne respire pas la joie de vivre, il vit mal son veuvage. Son franc parler ne plaît pas à tout le monde.



Les personnages que nous croisons en suivant Ruggieri sont hauts en couleur. On découvre des intérieurs à l'image de leurs habitants avec leurs manies, leurs obsessions, leur monde clos. Chacun cache ses démons derrière la porte de sa maison.



Ce qui est drôle aussi, c'est que l'informatique, le téléphone portable n'étaient pas là pour informer. C'était d'humain à humain. Chacun son mode de classement. Alors il fallait savoir les bonnes questions aux bonnes personnes pour essayer de recouper toutes les informations. On tapait les rapports à la machine avec toutes les erreurs de frappe que cela impliquait…



Ce roman comporte deux (vois trois) enquêtes. On découvre la frustration de connaître les coupables et de ne pouvoir les appréhender ou remonter la filière plus que les hommes de main.



La deuxième enquête on suit plus les étapes. L'enquête de terrain, enquête de voisinage, la pêche aux infos, les indics, l'attente…



Et puis il y a les femmes… mais ça c'est un autre programme.



Le seul petit bémol c'est le dernier jour … c'était en trop pour moi… un dernier barouf d'honneur. Une autre facette de la criminalité.



J'ai aimé retrouver certaines expressions ou références qui passeront inaperçues aux plus jeunes. Ainsi que les références culinaires, boeuf carotte, blanquette, sole meunière, et terrine de poisson...



Un roman ou on n'a pas le temps de s'ennuyer et qui se lit d'un trait.
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Hemingway, Hammett, dernière

Gérard Guégan, qui sait décidément l'art de faire parler les morts, raconte les deux H majuscules de la littérature américaine.
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Qui dira la souffrance d'Aragon ?

Sujet très intéressant mais j'ai capitulé rapidement. Je n'ai pas été captivée par le style de l'écriture. Dommage.
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Qui dira la souffrance d'Aragon ?

Dans "Qui dira la souffrance d'Aragon?", Gérard Guégan raconte, sur fond de guerre froide, comment les communistes prohibaient l'homosexualité. Un livre diabolique.
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Appelle-moi Stendhal

cet Appelle-moi Stendhal déçoit un peu avec sa manière désinvolte de tutoyer son "héros" et ses digressions sur Cendrars ou Nimier, qui tombent comme des cheveux sur la soupe .
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Fontenoy ne reviendra plus

On sent le biographe d’abord fasciné, puis révulsé, par cet homme devenu une crapule par intégrité rageuse, incapacité à se fixer et à se contenter d’idées reçues, éternel insatisfait, sans peur, brûlant tout par volonté farouche d’être au cœur du réacteur « de la forteresse révolutionnaire ».
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Fontenoy ne reviendra plus

A travers cette biographie, Gérard Guégan dit avoir voulu « comprendre de quoi nous sommes faits et à quoi tiennent nos destinées ». Avec Fontenoy, il a déniché un archétype détonant et, par la même occasion, il signe un grand livre.
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