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Critiques de Gérard de Villiers (285)
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SAS, tome 56 : Opération Matador

Un membre de la mafia fait chanter la CIA. SAS doit découvrir qui est le maître chanteur et retrouver les documents volés.

Un bon SAS, les ingrédients sont tous présents y compris mes deux barbouzes préférés : Milton et Chris et leur inséparable artillerie lourde.

La particularité de cette aventure est qu'elle est l'une des rares qui se passe sur le sol américain.
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SAS, tome 43 : Compte à rebours en Rhodésie

Les SAS sont, grosso modo, tous faits dans la même veine : sur fond de conflits géopolitiques, l'auteur parsème ses propos de grosses bastons et tente d'érotiser des scènes de viols. On évoquera pas l'égalité hommes/femmes qui est totalement inexistante. C'est un condensé de vulgarité et de fausse virilité. Pour ma part, c'est carton rouge. Rien n'est rattrapable là-dedans.
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Nick Carter, tome 1 : Coyote connection

nick carter travaille pour l.

axe un service secret américain qui n'a de compte à rendre qu'au président.son rôle et son but éliminer tout danger pour les états unis.son rôle

commence où celui de la c i a fini.nick carter est un tueur d,élite,spécialiste des missions les plus dangereuses, les plus secrètes, et les plus vitales.

une série d,espionnage

captivante, avec de l,action,

de l.humour, et chose rare pour une série au fil de ses aventures il croisera d,autres héros comme James Bond, et malko linge

( s a s ).

pour passer un bon moment de détente,sa se li

vite .

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SAS, tome 76 : Putsch à Ouagadougou

une histoire d,espionnage aussi glaçante qu ,instructife.
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Skal, tome 10 : L'Odeur du sang

Qui pourrait se douter qu'une simple partie de chasse au sanglier pouvait conduire loin, très loin. Au fin fond de l'URSS, par exemple ! Où il n'est pas jamais bon de soulever un lièvre : Et si la catastrophe de Tchernobyl n'était pas un simple accident ?



Une histoire pareille, peu de personnes peuvent se vanter de l'avoir vécue sauf peut-être Robert Czskalszski. Robert Czskalszski. Vous ne voyez pas ? le squale ! Non toujours pas ? le squale ... ne me demandez pas pourquoi un tel nom ... vous n'avez qu'à lire le livre ! le squale ... mais si le meilleur agent des K. L'agent secret qui manie l'humour et les flingues à la perfection ... non ce n'est pas James Bond ... qui séduit une femme dès le premier regard ... si je vous dis que ce n'est pas James Bond ... qui tout au long de ses missions boit de la vodka martini au ... non ! non ! voilà que je m'y mets aussi. le squale ne boit pas ce genre de cocktail, lui la vodka, il la boit pure. C'est un homme. Un vrai. Ses ennemis pourront vous le dire, s'ils arrivent à survivre à sa rencontre.



Robert Czskalszski, une consonance moins harmonieuse que le célébrissime Bond, James Bond. Pour le reste, les méthodes sont identiques et pour cause : grâce à Ian Fleming, le public a repris goût aux agents secrets. Alors, pourquoi ne pas profiter de la vague en créant un espion 100% français ?



Ressemblance il y a, mais elle est vite oubliée. C'est là la force de l'ouvrage. Déjà que la couverture du livre ne me semblait pas particulièrement réussie, s'attendre à du réchauffé aurait pu me décourager rapidement. Et bien pas du tout ! Dès les premières pages, l'action nous entraîne sans que l'on ait le temps de reprendre son souffle, comme le héros, sauf pour prendre un verre ou une cigarette. Je ne compte pas le nombre de cigarettes et de cigares fumés dans ce livre. Une autre époque !



Que dire des assassinats de certains personnages. Une description froide, sans fioriture. Un travail de pro. Comme un tueur à gage. le roman est court, les descriptions vont à l'essentiel mais elles sont efficaces car on ne peut s'empêcher d'être choqué, meurtri, peiné de leur mort.



Une belle découverte !
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SAS, tome 3 : Opération Apocalypse

un très original roman

d, espionnage
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Les fantasmes de la comtesse Alexandra : Le..

Le style écrit du roman est bizarre, beaucoup de passages semblent vouloir devenir de la poésie est  je me suis souvent senti perdu. Le début est un peu dérangeant et je me suis dépêché de passer à la seconde partie. Alexandre a-t-elle vécu ce qui est écrit comme un journal intime ? Ou est-ce que les fantasmes sont emberlificotés avec la réalité ?  Les auteurs des livres sur Alexandre ne sont pas Gérard de Villiers. Ce livre a été écrit par une femme si je ne fais pas erreur. Babelio pourrait la créditer. Livre érotique sympa pour sa seconde partie.
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SAS, tome 21 : Le bal de la comtesse Adler

En plein hiver, à la frontière autrichienne, SAS s'apprête à fêter l'anniversaire de sa maîtresse dans sa luxueuse propriété. Une mission de dernière minute vient chambouler l'organisation de ce bal, accueillir un transfuge russe avec bien sur de nombreux tueurs et espions à ses trousses. Les salles du château vont se transformer en pièges parfois mortel, dans une atmosphère raffinée, mêlant séduction et méfiance, jalousie et plaisirs, excitation et peur, Malko va être confronté à un redoutable adversaire.
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SAS, tome 200 : La vengeance du Kremlin

ce 200° épisode des aventures de SAS avait donné lieu, à l'époque, à des articles dans le NY Times, le nouvel obs, le magazine du Monde, le Figaro. Ces recensions insistaient sur le fait que cet auteur, méprisé traditionnellement par l'intelligentsia pour son anticommunisme primaire (et plus tard son islamophobie) aurait eu des sources d'une telle fiabilité et une vision géopolitique d'une telle pénétration que des hauts responsables du quai d'Orsay (notamment Jean Louis Gergorin) et plusieurs ministres (dont Hubert Védrine) s'étaient fait une obligation, quand ils se penchaient sur un pays, de lire ceux de ses romans qui en traitaient.

Et certains de ses romans ont, paraît il, su prévoir des événements ultérieurs (l'assassinat de Sadate, celui de l'ambassadeur américain en Lybie, etc...)

Il est vrai que l'écriture se ressent de la rapidité de la rédaction. Mais c'est en effet extraordinaire de précision dans la description des ressorts de la décision de grands de ce monde (en l’occurrence, dans ce volume, Poutine, et dans une moindre mesure, Cameron)

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SAS, tome 17 : Amok à Bali

Un 17ème SAS assez loin du niveau des précédents. L'action se déroule en Indonésie et notamment à Bali au début des années 1970, pas le paradis balnéaire actuel mais une ile de bidonvilles très pauvre et gangrenée par la corruption. Toutefois, les scènes de torture et de mise à mort récurrentes fatiguent le lecteur qui navigue dans une histoire assez peu vraisemblable.
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SAS, tome 55 : Shanghai Express

J'ai entrepris la lecture, relecture, de la série SAS, souvenirs d'adolescence.

Ayant décidé de ne recenser que les livres lus à partir de l'année 2021, comme je l'ai écris dans ma présentation, les critiques de la série ne commence qu'à partir de ce numéro 55.

La CIA s'allie avec les services secrets chinois pour démasquer un haut dignitaire chinois soupçonné d'être une taupe soviétique. Surnommé l'homme en rouge, cette taupe doit fuir le pays. Malko Linge, alias SAS, est chargé de démasquer le transfuge et de l'intercepter.

Le récit, et c'est une surprise, a du mal a démarrer. Les premières pages sont décevantes, le rythme est lent et sans saveur. Et puis tout s'emballe d'un coup, on ne lâche plus le livre. Le style de Gérard DE VILLIERS est toujours aussi percutant, vif tranchant avec souvent une pointe d'humour noir.

En fin, avec l'âge, je dois avouer que je saute systématiquement toutes les scènes de sexe, récurrentes dans les histoire de SAS, mais qui n'apportent rien à l'histoire. Conscient néanmoins que cela reste la marque de fabrique de ce style de roman qui à l'époque attirait l'adolescent que j'étais.
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SAS, tome 2 : SAS contre CIA

Publié en 1965, le deuxième roman mettant en scène Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge se déroule en Iran alors que le Chah est toujours au pouvoir mais que les forces révolutionnaires fomentent un attentat à son encontre. L’Iran des sixties plait davantage à Malko que celui qu’il visitera ultérieurement au cours de ses aventures : musique, danse, vodka, caviar et jolies filles.

La CIA a été avertie par le KGB d’un futur coup d’état en vue de placer à la tête de l’Iran le général Kadjar. Schalberg, chef de la CIA dans le pays, soutient les révolutionnaires. Mais si le coup d’état réussi, les forces soviétiques envahiront le pays. Malko Linge a donc mission d’empêcher la révolution. Il débarque incognito en Iran avec dix millions de dollars, somme nécessaire à corrompre qui de droit. Mais l’argent se voit confisqué par la police au service de Schalberg et Malko doit recourir à l’aide de deux Belges traficotant dans le pays, Jean Derieux et Van der Staern. Ce-dernier est tué lors d’une reconnaissance au cours de laquelle Malko obtient la preuve de l’implication de Schalberg dans les manigances de Kadjar. SAS devra encore naviguer entre les factions rivales, les Russes, les mollah et les politiciens corrompus pour tenter de sauver le Chah.

Tout comme le précédent, SAS A ISTAMBUL, cette aventure de Malko tranche avec ce que le personnage deviendra par la suite. Nous sommes ici dans un espionnage beaucoup plus feutré, davantage porté sur la politique et les manigances de l’ombre. L’action est donc réduite (seul les derniers chapitres avec leur course-poursuite aérienne pour détruire une bombe volante relève du genre), l’érotisme quasi absent (Malko flirte mais ne coucher pas),…L’essentiel réside dans les jeux d’influences entre personnages souvent peu recommandables qui tentent de tirer leur épingle d’un jeu de dupe : trafiquant belge, agent double, fonctionnaire corrompu, général sadique se rêvant roi à la place du Chah, jeune fille amorale qui vont de l’un à l’autre par intérêt,…Le petit monde des barbouzes se trouve joliment dépeint, dans un Iran encore paradisiaque mais déjà menacé par l’extrémisme religieux : entre deux maux (communisme et islamisme) il faut choisir le moindre et Malko aura bien du mal à s’en dépêtrer, tout comme il aura du mal à choisir entre une belle Iranienne et une hôtesse de l’air suédoise.

En définitive, SAS CONTE CIA constitue un bon roman d’espionnage, beaucoup plus sérieux que les suivants qui verseront de plus en plus dans l’aventure kilométrique et l’érotisme envahissant. Conseillé pour découvrir un des personnages les plus emblématiques de la littérature de gare.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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SAS, tome 58 : Piège à Budapest

Un SAS c'est comme un San Antonio, de la littérature de gare qui détend et se lit très vite. Ce que j'apprécie chez De Villiers tient dans le fait qu'il connait très bien les services secrets de chaque pays. L'intrigue s'adapte souvent à l'actualité et le Prince Malko séduit toujours de belles étrangères. Pas de romantisme, c'est direct. Basé en général dans les grands hôtels (il affectionne particulièrement les Hilton) cet agent noir mesure le danger des situations et des manipulations.
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SAS, tome 84 : Le plan Nasser

malko se trouve en Grèce

pour une mission tranquille. faire sortir un agent de la c i a qui a infiltré un groupe de terroristes libyens. d,après

les agents sur place tout est prévu, sauf que rien va

se passer comme prévu.

et voila malko qui va être obligé de chercher qui est

responsable.

action, suspense, et érotisme . comme toujours

pour une bonne histoire.
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SAS, tome 95 : Loi martiale à Kaboul

Évidemment, ce n'est pas de la grande littérature. Mais il faut saluer l'effort réalisé pour créer un semblant d'exotisme à travers les descriptions des paysages et l'utilisation de quelques mots de la langue locale, ici l'afghan. A défaut de psychologie, il se passe cinquante mille choses à chaque page. C'est d'une lecture facile et agréable pour les lecteurs qui ne sont pas rebutés par la violence d'une extrême cruauté (les scènes de torture) et les passages sexuels vulgaires (avec une obsession pour la sodomie). Tout cela est heureusement atténué par le détachement du héros en toute circonstance. Je ne vais probablement pas lire beaucoup de SAS, car un ou vingt, c'est du pareil au même tant la construction reste mécanique et les ingrédients identiques. Mais je ne regrette pas ma lecture.
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SAS, tome 195 : Panique à Bamako

Il était temps que je termine ce bouquin car j'en avais marre de voir sa couverture indigne d'un blog de si bonne tenue que le mien -). Non, mais sérieux, je suis quelqu'un de curieux, Gérard de Villiers a sa place dans l'édition française, on voit ses bouquins un peu partout et puis il dispose d'une caution imparable : Hubert Védrine, ancien ministre socialiste des affaires étrangères, spécialiste en géo-politique, érudit et mesuré dans ses propos a affirmé qu'il ne se rendait jamais dans un pays en guerre sans avoir lu le SAS qui lui est consacré (si SAS il y a).



Le sous-titre de ce roman sorti en 2012 dit tout 'Qui stoppera les Islamistes en route pour Bamako ?'. le héros de ce roman est Malko Linge, un héros récurrent des SAS, une espèce de mercenaire qui bosse pour la CIA dans les endroits sensibles. Il se retrouve ici à Bamako en pleine panique (dont l'actualité s'est largement fait l'écho) puisque des islamistes de tous poils (au sens propre comme au figuré), AQMI, MUJAO, Ansar-Dine ont pris contrôle du nord du territoire et je ne sais plus lequel tient des algériens en otage que Malko a pour mission de libérer. Mais Malko n'est pas qu'un va-t-en guerre et c'est ce qui fait que les romans De Villiers ont un tel succès : Malko aime le sexe, les beautés noires ou blanches et plus généralement, un quart du livre est consacré a des parties de baise trash. On peut trouver ça un peu racoleur mais quand on commence un SAS, on sait à quoi s'en tenir, la couverture est sans ambiguïté. Les SAS réussissent donc la prouesse de mêler sexe et géo-politique car sur ce dernier point, reconnaissons que l'auteur maîtrise bien son sujet et j'admets que j'ai beaucoup appris sur le Mali en dévorant les 312 pages qui composent ce roman. Peut-être Gérard de Villiers veut-il compenser la violence de certaines scènes e guerre par des parties de plaisir, laissant au bout du compte le lecteur (ou la lectrice) indulgent.



Je ne vais pas raconter l'histoire. On est plongé au coeur de Bamako avec des excursions risqués vers le nord, des mallettes remplies d'argent se trimbalent, des gens meurent, des femmes affriolantes ne sont pas ce qu'elles prétendent être. Les rebondissement se succèdent aux accouplements. C'est du roman de gare et pourquoi pas d'aéroport, il n'y a pas de raison qu'on ne les lise pas en avion.



C'est le dernier que je lirai à moins qu'il nous sorte un "embrouilles à Lorient" ou un "mourir pour Vannes'.


Lien : http://doelan.blogspirit.com..
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SAS, tome 94 : Arnaque à Brunei

Totalement nul !!!

Il n'y a aucun doute.

Celui qui à écrit ce livre n'est pas le même qu'au début de la série.

L'arnaque n'est pas qu'a Brunei
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SAS, tome 37 : Guêpier en Angola

Lecture estivale, comme souvent avec les SAS un peu plus complexe que la caricature qu'on aime à faire de cette série. La première partie du scénario est vraiment intéressante, nous plongeant dans le décor curieux de la fin de la guerre d'indépendance angolaise, alors que le tout jeune gouvernement démocratique portugais essaie de négocier une indépendance "propre" pour l'Angola avec plusieurs mouvements nationalistes parfois soutenus en sous-main par l'URSS. La CIA ne l'entend pas ainsi, d'où la présence du prince Malko. Hélas celui-ci se répand en jugements consternants, et l'aventure rythmée du début devient la description de la lente agonie des espoirs des riches colons.
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SAS, tome 25 : L'homme de Kabul

Cette aventure en Afghanistan n'est pas la meilleure, c'est certain. Excepté le fait de décrire un royaume montagnard et la fuite d'un officiel chinois, le livre n'apporte pas grand chose, d'autant plus qu'il s'applique à décrire avec force détails des scènes particulièrement cruelles. L'immersion chez les pachtous et les hippies ne me laissera pas un grand souvenir.
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SAS, tome 16 : Escale à Pago-Pago

Ce SAS diffère des autres de part la situation géographique de la mission. Nous voyageons en Océanie, de l'île des pins en Nouvelle Calédonie à l'archipel des Samoa et des Fidji en passant par des petites iles très peu connues telles que Pago Pago. Tout part de la découverte d'un doigt avec sa chevalière dans le ventre d'une murène. Bien sur cet appendice appartient à quelqu'un d'important pour la CIA, ce qui justifie l'envoi du prince dans ces contrées lointaines. Le costume d'Alpaga n'est pas tout à fait adapté pour ces îles tropicales et Malko Linge va en faire les frais. Un tome qui marque l'évolution de la série vers plus de violence et de sexe.
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