Gonzague Saint Bris

François 1er veut que "les honnêtes gentils-hommes de sa cour ne fussent jamais sans des maîtresses". Le roi s'amuse et veut s'amuser, il aime faire la fête avec quelques familiers triés sur le volet.

En attendant, c'est bien un français qui a découvert le Canada - c'est à dire "l'Aqua nada" des Portugais (une eau avec rien derrière) - qui restera français, jusqu'à ce que, deux siècles plus tard, un autre roi de France, Louis XV, cède ces "quelques arpents de neige" à l'Angleterre, laissant les français d'outre manche se replier sur la "belle province", Québec, dont Cartier reconnait le site lors de son second voyage...

Il y eut effectivement un couvent de nonnes à Lyon, l'abbaye Saint-Pierre-les-Nonnains, qui, sous Louis XII, s'organisa en bordel. Les religieuses y assuraient elles-mêmes les prestations.

Au reste, la Révolution, parallèlement, légalisa la prostitution. Désormais, elle pouvait s'afficher sans risque (...). De même, elle dépénalisa la sodomie, jusque-là considérée comme un crime.

En conséquence, l'Église, consciente de l'infidélité chronique de l'homme, de même que des besoins des jeunes gens non encore mariés, ne tarda pas à organiser, voire à institutionnaliser la prostitution, en ouvrant des bordels qu'elle contrôlait et dont, naturellement, elle touchait de copieux revenus, souvent plus élevés que celui de ses terres.

Il faut prendre le ton qui convient pour que les peuples obéissent et obéir, en général, c'est craindre. (Napoléon Bonaparte)

Encore et toujours, cher Orson Welles, vous le voyez, perdure cette image flottante, dans le bleu du ciel et de la mer, d'un "ruban de rêve" dans la Baie des Anges.

"Le ciel qui était d'une beauté parfaite se chargea en un moment d'énormes nuages et un orage ou plutôt un ouragan s'abattit sur les dineurs . Le bruit de tonnerre semblait celui d'une formidable artillerie. Les moins superstitieux y virent un présage ..." Le lendemain le premier film était visionner . Ce premier festival consacrera Michèle Morgan pour sa prestation dans Symphonie pastorale film dans lequel elle incarne une aveugle. "

Les Feuillantines.
Un lieu totalement onirique et oublié de tous, aussi vaste que discret et pour cause : dans l'ancienne chapelle du jardin vit le parrain de Victor, le général Victor Fanneau de la Horie, ancien collègue de son père et depuis quelques temps amant de Madame Hugo [...] dans lequel sans doute à tort, certains ont voulu voir le véritable père de Victor Hugo.

Celui qui a le droit de manger du fruit d'un arbre peut assurément le cueillir mûr ou vert, selon son goût. N'est-ce pas, au fond, au-delà des outrances, ce qu'on appelle la tolérance ?

ce n'est pas aux bancals à se moquer de boiteux, ni aux aveugles à vouloir mener des borgnes.

Il s'exprime à dessein sur ces sujets avec une telle violence et une telle outrance qu'il espère avoir dépassé tous ses prédécesseurs et n'être jamais surpassé par un successeur ou un quelconque imitateur, y compris cet auteur contemporain qui fait du "soft Sade" pour quelques nuances de Grey...

Les romantiques sont toujours des pluridisciplinaires