Isabelle Wlodarczyk

Ce livre se regarde, ou s'écoute.

Ou les deux, dans une touchante complémentarité.

On peut donc découvrir l'histoire de Victor, jeune peintre plein de rêves, par un magnifique ouvrage aux dessins estompés, ou par son adaptation audio avec des ambiances musicales prenantes.

Victor, dont les jeunes rêves vont se retrouver écrasés par la redoutable première guerre mondiale, la grande guerre...

En contraste avec l'enfance du début d'ouvrage, comme un paradis perdu, la sombre réalité rattrappe notre héros, et le lecteur avec lui.

Sombre mais puissant. Je ne manquerai pas de le faire lire à mes enfants quand ils seront en âge d'étudier cet épisode si dramatique de notre histoire.

Résumé : Manolo a embarqué avec Christophe Colomb sur la Santa Maria, direction les Indes. Mais cela fait plus de six semaines que l’équipage navigue sans voir de terre, et la révolte commence à gronder à bord. Arriveront-ils à poser le pied sur une terre, ou mourront-ils broyés par les vagues et les monstres marins ?



Mon avis : Ce court récit nous emmène à bord de la Santa Maria, direction les Amériques, mais ça, personne ne le sait encore, car Christophe Colomb souhaite découvrir un chemin maritime vers les Indes en passant par l’ouest.



Nous suivons les derniers jours à bord du bateau, en compagnie de Manolo, qui s’est embarqué volontairement en trichant sur son âge, car il sent que son destin va se jouer dans cette aventure, au lieu d’une vie toute tracée chez les moines. Mais les derniers jours de traversée sont les plus rudes, entre l’équipage proche de la mutinerie, et la peur qui empoisonne l’esprit des hommes au sujet d’un monstre marin qui pourrait les dévorer.



Chaque chapitre forme un compte à rebours avant l’accostage et la découverte officielle des Amériques par Colomb.



Point fort de ce récit, il existe une version uchronique du récit : et si l’équipage avait fait marche arrière, que serait-il arrivé ? Cela aurait-il changé l’histoire du monde ?



Une histoire courte qui mène en haleine le lecteur, et permet de comprendre comment on naviguait à l’époque, ainsi que le pari un peu fou, mais gagné, de Christophe Colomb.
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Partir d'un virelangue : Les chaussettes de l'archiduchesse sont-elles sèches, archi-sèches, faire de ce texte « archi » connu et apparemment absurde la base d'un livre jeunesse destiné aux petits, sympathique et original – voici un défi relevé par Isabelle Wlodarczyk et Morgane David – et la réussite est là.

A sa naissance, la petite archiduchesse a été victime d'un sort particulièrement maléfique lancé par une sorcière au nez rouge : elle aura toujours les pieds mouillés….Rien n'y fait, la fillette grandit, inonde le palais qui se transforme en mare aux canards…

Le père de l'archiduchesse, conseillé par un magicien, propose d'offrir des sandales d'or à qui trouvera les chaussettes qui permettront enfin à sa fille de garder les pieds au sec.

Et c'est ainsi que l'on propose à la fillette des chaussettes en poil de mammouth, ou des chaussettes intergalactiques, et même des chaussettes en plastique. Mais rien n'y fait.

La jeune archiduchesse, qui rêve de se rendre au bal costumé organisé par son cousin, accepte l'offre d'un crapaud qui, lui dit-il, a la solution à tous ses problèmes. Elle l'embrasse et se transforme en grenouille….Et voilà comment on écrit l'histoire.

Tout au long de ce récit mené tambour battant, on s'amuse à lire un texte plein d'humour, on découvre des illustrations simples, colorées qui mettent en valeur le texte.

Les chaussettes de l'archiduchesse sont un album qui permet au lecteur de s'attarder sur un détail, de lire et relire une histoire vraiment faite pour les petits. le livre est bien relié, il peut être lu et relu sans que les pages ne se décollent, et c'est vraiment un plus.

Pour tout vous dire j'ai hâte de lire ce texte à deux petites coquines de ma connaissance, dès qu'elles seront en âge d'apprécier les textes bien écrits et les illustrations qui donnent envie de reprendre un récit encore et encore sans se lasser…

Je remercie les éditions Kilowatt et Masse Critique de Babelio qui m'ont fait connaître Les Chaussettes de l'Archiduchesse, d'Isabelle Wlodarczyk et Morgane David et m'ont permis d'en faire la critique.

Pour Étienne ado

Depuis que ce livre est arrivé la maison, je me plonge régulièrement dans ses pages : j’ai été conquise d’emblée par la délicatesse, la finesse des couleurs et des motifs dessinés par Sacha Poliakova pour illustrer ce conte initiatique, cette belle histoire de transmission et de respect entre un maître peintre et son élève. Me perdre dans la montagne dès la première double page, chercher dans ce bleu le chemin de la maison d’Otonashi, ça m’a carrément séduite.



Ensuite je me suis laissé porter par la grâce d’une histoire à la fois grave et simple, qui met en jeu des valeurs de paix, d’harmonie, de respect, de transmission, de pudeur et de partage. Le maître perd peu à peu la vue – le dessin est alors rayé de gris, il perd de son éclat – et son apprenti protège le secret du vieux peintre tout en peignant à son tour des toiles rayonnantes qu’il ne s’appropriera vraiment que quand Otonashi lui laissera humblement toute la place.



Cette histoire pleine d’humanité nous enseigne aussi la patience, la persévérance : Otonashi aura passé toute sa vie au pied de la même montagne, peignant inlassablement les moindres détails, les moindres jeux de lumière, guettant la moindre variation au coeur de l’immuable. Quelle leçon de vie dans ce récit d’Isabelle Wlodarczyk, qui s’st inspirée de peintures japonaises médiévales mais aussi des préceptes de sagesse de son propre grand-père.



Cette inspiration japonisante mais aussi cette tendresse entre les personnages sont vraiment bien rendues dans les illustrations de Sacha Poliakova. Finesse du trait et des détails, délicatesse des couleurs, soin de la mise en page : de nombreux éléments qui ne sont pas sans rappeler l’art de l’estampe et du théâtre japonais (avec un tout petit bémol concernant sa manière de dessiner les personnages, mais la variété des motifs vestimentaires compense pour moi les traits de visages beaucoup moins fins que les décors).



Si vous ouvrez cet album, Les Yeux d’Otonashi vous feront passer un délicieux moment hors du temps.
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Le ton se veut vivant, mais ne sonne pas très juste, comme un peu forcé, préférant le discours général à l'individualisation. L'équilibre entre faits et lyrisme est certes difficile à trouver, mais Geneviève de Gaulle ne « revit » pas vraiment sous les mots exprimés.
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La volonté de bien finir prive le texte de sa dimension existentielle. [...] Un album qui cultive le charme au risque d’une certaine tiédeur.
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Subtil mélange de dessin au crayon, de dragons en laine bouillie, et d'aplat de couture : illustrations très originales. Histoire subtile, tendre et en rimes, de toute beauté. Un délice.

Une histoire poétique et touchante, celle d'un loup pas comme les autres, attiré par la mer, et d'un pêcheur qui aime regarder les étoiles et respirer les embruns. Lorsque leurs solitudes se rencontrent, une grande amitié nait, pour la vie. Un superbe album, délicat et sensible, à ne pas manquer.

📚Les albums évoquant la ségrégation raciale aux Etats Unis et la lutte pour les droits civiques sont nombreux. De Ruby tête haute d'Irène Cohen-Janca et Marc Daniau au Bus de Rosa de Fabrizio Silei et Maurizio A. C. Quarello. Cependant, ce qui a attiré mon regard vers Le Train de la liberté d'Isabelle Wlodarczyk et Juan Bernabeu c'est sa mise en page et ses illustrations influencées par la sérigraphie. Puis j'ai tourné les premières pages et j'ai découvert l'histoire de "la petite fille noire de Topeka".



🖊L'album d'Isabelle Wlodarczyk et Juan Bernabeu réussit à toucher et à embarquer les lecteurs dans ce récit de cette petite fille noire et de sa famille qui mènent un combat historique. Un combat qui va non seulement changer leur quotidien mais également celui de tous les enfants noirs des Etats Unis. Le combat de Brown v. Board of Education.Le train de la liberté est lancé et rien ne pourra l'arrêter !



👩Chronique complète :
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Vous savez mon amour pour les loups, bêtes souvent malmenés dans la littérature jeunesse alors quand j’ai vu les illustrations de cet adorable loup, elles m’ont immédiatement conquises !



Nemo se sent différent de la meute de loups à laquelle il appartient. Il aspire à un monde paisible et à la liberté de grands espaces. En loup solitaire, il quitte la meute et entame une quête afin de rejoindre la mer. Muni d’un radeau de fortune, il cède à l’appel du large.



De l’autre côté de l’estuaire, un vieux pêcheur quitte le port pour pêcher au large, bien plus loin que ses congénères, même s’il n’aspire pas à la même rentabilité. C’est un amoureux des étoiles et il se revigore des embruns.



Dès que leurs embarcations se rejoignent, le loup, le vieil homme ne se quitteront plus. La mer a scellé pour toujours, une amitié forte.



C’est une très belle histoire de différence et d’amitié entre deux personnages que tout oppose. C’est poétique, tout en sensibilité et plein de douceur !



Les personnages sont très attachants et les illustrations débordent de tendresse !
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" Les yeux d'Otonashi" est un conte original imaginé par l'auteure Isabelle Wlodarczyk.

Nous sommes au Japon dans une époque lointaine et nous savons déja au travers de nombreuses histoires et dans la connaissance des valeurs de cette culture que le rapport aux anciens y est très fort.

Ils nous ont donné et nous leur devrons en retour quand ils seront vieux.

Nous retrouverons ceci dans l'histoire émouvante du disciple peintre Mirzu.



Il est est placé chez le grand Maître Otonashi pour apprendre mais, réservé et humble, Mirzu doutera toujours, même après quelques temps, d'approcher le talent du Maître, de rendre fier la qualité de son enseignement.

Aussi cachera t-il toutes ses esquisses, même à son maître. Quand sera t-il prêt? A t-il au moins du talent ( difficile pour le Maître de le dire)?



L'auteure posera un rebondissement dramatique qui obligera le jeune Mirzu à sortir de sa retraite et ceci illustrera son bon coeur.

La santé d'Otonashi déclinant, ses yeux se voilant complètement comme il le dit, Mirzu aura coeur de sauver la réputation du grand peintre: il remplacera donc les dernières voilées sans couleurs par les siennes devant les visiteurs...

Le pari semblera risqué pour les lecteurs mais même si il échouait dans son entreprise de substitution, nous resterions captés par la démarche généreuse du disciple, sacrifiant peut-être sa propre réputation si son art ne se montrait pas à la hauteur.



C'est un conte empli d'humanité, de sensibilité, d'amitié même, plus que d'honneur.

C'est aussi contre toutes attentes un conte facétieux, vous verrez.

On aime.

D’abord je remercie à Babelio pour m’avoir offert ce livre.

C’était l’histoire de Jules qui n’a que 18 ans et qui voulait être un peintre connu à Paris. Ces parents étaient contre ils voulaient qu’il soit comme les autres. Mais lui il était décidé pour faire une carrière à Paris. Il est parti pour être peintre mais il est devenu un soldat.. J’ai aimé ce livre qui était plutôt court à mon avis mais qui était captivant.

Si j'ai apprécié les illustrations sans pour autant avoir de coup de cœur, j'ai en revanche été bouleversée par l'histoire. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit d'une pareille intensité, notamment son dénouement. L'histoire parle de la filiation, du désir d'être aimé, d'être libre, mais aussi de la bêtise humaine. Cet album expose la cruauté humaine et montre que la bête féroce n'est pas toujours celle que l'on croit... En filigrane se dessine également un plaidoyer pour la protection animale, thème auquel je suis très sensible. A titre informatif, la fin de cet album n'est pas heureuse. Il conviendra donc de ne pas le lire à de trop jeunes enfants à qui la "morale" de l'histoire pourrait échapper.

C'est l'histoire de Jules Victor jeune artiste qui rêve de monter à Paris pour faire carrière. Alors qu'il prend la décision de sauter le pas, contre l'avis de ses parents, il est rattrapé par la guerre, missionné au camouflage il va pouvoir utiliser ses dons de bien étrangesmanière et bien loin de ce qu'il avait imaginé.



Un album tout en finesse et poésie, même si le sujet est grave et tragique. Les illustrations en teintes de gris s'assombrissent au fil des pages. Le texte reste doux, rythmé et a une double lecture pour ne pas traumatisé les plus jeunes.



En fin de recueil on nous invite à en écouter la lecture, mis en musique par Pierre Diaz quelques images d'archives accompagnent les illustrations du livre. Un visionnage entre plus fort.



Ce recueil est d'autant plus touchant qu'il est né d'un atelier d'écriture avec des élèves des 3èmes.



"Un livre-musique poignant aux illustrations délicates, pour découvrir une réalité peu connue : la vie des peintres camoufleurs. " Tout est dit

Pour les adultes et les enfants à partir de 10 ans.
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Dans la collection de poche des Classiques à hauteur d'enfants, deux à associer et qui se montreront complémentaires.



Nous sommes sur la légende d'Ulysse du poète grec aveugle Homère ( VIIIè siècle avant J-C).







Il est parfois compliqué de synthétiser les deux volumes de l'Illiade( la Guerre de Troie) et de l'Odyssée( l'exil d'Ulysse) qui se font suite, tellement il y a de personnages, de petites intrigues et de grands drames dans la grande trame.



"Penelope" et " Ulysse" permettront de cerner rapidement les tenants et les aboutissants de l'affaire générale, en suivant à la trace un des personnages clé: Ulysse.



Ulysse est celui qui par sa ruse accordera la victoire à son camps dans la Guerre de Troie et il est aussi celui qui en paiera le prix le plus cher, d'avoir ridiculisé les dieux grecs de l'Olympe qui avaient pris partis dans la bataille des hommes.







Le volume " Pénélope" reprendra l'histoire du personnage à ses débuts, Ulysse, jeune homme fougueux et persévérant.



Et amoureux.



Nous passerons encore avec cette collection par des raccourcis inévitables et judicieux pour un public plus jeune que la cible des oeuvres originales.



Avec un niveau d'écriture abrégé, l'aventure de ces récits plus adultes deviennent des contes et légendes fabuleux pour l'imaginaire et très accessibles.







Nous passerons rapidement le mariage des héros, la naissance de leur enfant, Télémaque et ainsi, ce qui nous intéresse, le début des catastrophes en série, arrivera.



On nous racontera ici qu'Ulysse, nouveau souverain de l'île d'Ithaque, ne s'est pas proposé pour la Guerre de Troie mais qu'il fut appelé à un service obligatoire.



C'est avec la ruse qu'il pensait encore s'en sortir pour se faire "réformer", c'était sans compter avec une ruse de son épouse à l'égale de la sienne pour le démasquer sans le vouloir.



Comme quoi, la bonne complicité d'une équipe repose vraiment sur la concertation.



Il saura pourquoi il l'a épousé.







Oui, Pénélope a aussi de l'esprit et elle saura s'en servir le moment venu quand elle ne verra plus son époux revenir de guerre et que des prétendants au trône commenceront à affluer comme des vautours.



C'est un personnage tout aussi déterminé que son mari.



Le volume de "Pénélope" offre d'incroyables coulisses au sort de du couple dont la séparation est ordonnée par les dieux et rendue pénible par les hommes.







Le titre " Ulysse" prendra le relais avec ce qui retient notre pauvre Ulysse en mer.



10 ans environ de séparation et d'aventures( mésaventures) sur les îles magiques et sur les mers.



Ulysse, seul rescapé de la dérive de son bateau, trouvera refuge chez les Phéaciens.



Le roi sera très intéressé de connaître son incroyable périple avant d'arriver jusqu'à chez lui, petite pause de conte avant d'en découdre avec ce qui l'attend chez lui.



Les étapes sont incroyables et à dormir debout: l'oeil crevé de Polyphème le cyclope, les compagnons métamorphosés en porc par Circée l'enchanteresse, Ulysse maintenue en otage par la nymphe amoureuse Calypso, les monstres Charybde, Scylla et les sirènes à affronter...







Les deux titres seront vites lus et pourront sans contestes donner envie de rebondir sur des albums de légende plus conséquent.



Un excellent produit d'appel- passerelle que cette collection.

Une histoire d'amour à la fois tendre et hilarante entre une poule, une basse-cour et un petit hérisson.

Le Jour J arrive, celui qui va faire le monde tel que nous le connaissons. Mais si les hommes avaient agi autrement, quelle aurait été l'histoire ? Voici la question que l'on se pose en lisant les ouvrages de la collection "10 jours pour changer le monde". C'est une nouvelle série de romans dont le suspense est lié à un enjeu historique majeur et qui nous plonge au cœur de l'action durant les 10 jours qui ont donné naissance à un grand événement historique qui a changé le monde.

Ils sont conseillés dès 10 ans.
Lien : http://lapinoufamily.blogspo..

Le Jour J arrive, celui qui va faire le monde tel que nous le connaissons. Mais si les hommes avaient agi autrement, quelle aurait été l'histoire ? Voici la question que l'on se pose en lisant les ouvrages de la collection "10 jours pour changer le monde". C'est une nouvelle série de romans dont le suspense est lié à un enjeu historique majeur et qui nous plonge au cœur de l'action durant les 10 jours qui ont donné naissance à un grand événement historique qui a changé le monde.

Ils sont conseillés dès 10 ans.
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Je tiens à remercier l'éditeur Oskar et l'opération Masse critique pour l'envoi de cet album délicieux.

Le livre nous raconte le destin du jeune Ernest qui comme beaucoup de jeunes hommes nés au début du XXème siècle va devoir faire face à un drame mondial: la Guerre 14-18 et son cortège d'horreur.

J'ai aimé le ton délicat de cette histoire d'amour qui réussit à aborder un sujet douloureux sans heurter les jeunes sensibilités mais sans être mièvre non plus. Un très bon point aussi pour le carnet documentaire en fin de volume qui permet d'aborder avec les enfants les thèmes de l'impact de la guerre sur la vie quotidienne ; de la séparation; des ravages de la Première Guerre Mondiale...

J'ai aussi beaucoup apprécié le graphisme du livre à la croisée des chemins entre le dessin animé "Le Manège Enchanté " si cher à nos parents et le style du "Toy Story" de nos enfants.