Ivan Calbérac

Une sacrée surprise que ce roman acheté un peu sur un coup de tête et parce que le titre me plaisait par son paradoxe car s'il y a des Venise un peu partout dans le monde la seule et unique est bel et bien en Italie.



Dans ce roman nous accompagnons Emile, un jeune garçon qui vit avec sa famille un peu spéciale dans une caravane à Montargis en attendant que la maison familiale soit construite.

Emile est amoureux de Pauline, une ravissante jeune fille qui elle vit au sein d'une famille beaucoup plus bourgeoise. Pauline est musicienne et doit se produire avec sa formation à la Fenice à Venise, elle invite donc Emile à les accompagner en Italie.

Fou de joie celui-ci demande à ses parents qui acceptent de le voir partir avec Pauline. Hélas une série de contretemps vont amener la famille d'Emile à décider de faire le voyage également emportant la caravane avec eux. C'est le début de la fin....

D'autres personnages vont se joindre à cette aventure et l'histoire gagnera encore en humour mais aussi parfois en émotion.



Ce roman est un petit bijou de fraicheur et d'humour, on rit énormément en le lisant et on s'attache beaucoup aux personnages.



L'écriture est vraiment vivante, un peu comme du langage parlé mais l'auteur parvient vraiment à faire passer tout un panel d'émotions au travers de ces mots et des situations vécues par ses personnages.



En conclusion... un presque coup de cœur pour cette histoire, pour Emile et Pauline... alors qu'attendez-vous pour le lire aussi?


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C'est rare qu'un roman me fasse sourire, mais quand il me fait rire aux éclats c'est encore plus surprenant ^^ Je ne regrette absolument pas de m'être laissée convaincre par l'auteur, puisque j'ai passé un très bon moment de lecture entre les pages de ce joli voyage! Malgré quelques longueurs et de légères imprécisions dans l'écriture, je me suis pleinement plongée dans ce roman au ton léger.

Un super petit roman drôle et émouvant à la fois. Très bien écrit

Roman lu en diagonale avec une impression d'avoir perdu mon temps.



Cela se présente sous la forme d'un journal intime écrit par un adolescent, sur un ton qui se veut humoristique, mais, qui m'a profondément ennuyée ainsi que pas intéressé du tout.



Même si je n'ai pas adhéré au style, à l'écriture de l'auteur ainsi qu'au fil conducteur de l'intrigue, je reconnais que ce petit roman peut plaire à certain(e)s.

Livre a lire absolument en vacances. Pas de prise de tête, on ne se noie pas dans les personnages. Livre attendrissant et pleins d'humour.

J’ai pris plaisir à lire ce livre, même si le sens de son titre – Venise n’est pas en Italie – m’échappe un peu. Il faut que je vérifie si c’est une citation. Sinon, cela signifie peut-être quelque chose du genre « Le bonheur n’est pas forcément là où on l’attend. » Cette formulation un peu facile que je viens d’utiliser résume assez bien le style et le contenu de ce roman. Autrement dit, je le trouve plutôt bien écrit, assez simplement, je trouve aussi que ce qu’il dit n’est pas faux, ou plutôt ne sonne pas faux, puisqu’il s’agit d’une fiction et qu’il n’est pas d’une grande originalité. « Two out of three ain’t bad » comme on dit outre-Atlantique et pour ma part les petites scènes qui racontent d’abord le quotidien puis l’aventure d’un adolescent étaient suffisamment bien senties et racontées pour combler le manque de grande originalité.



Émile, le narrateur, a quinze ans et il nous raconte sa vie dans son journal intime. Il n’a pas la meilleure vie du monde et pas la pire non plus. Il aimes ses parents et son frère et est aimé d’eux, mais ce n’est pas la famille idéale. D’ailleurs, c’est ce que j’ai préféré dans ce livre : je trouve la description des relations enfant-parents plutôt fine. Je lis sur la quatrième de couv que le père est un « doux-dingue » mais ce n’est pas l’impression que je retiens du bonhomme – je ne le trouve pas très doux, en tout cas. Le portrait de la maman me semble être un peu moins haut en couleur mais peut être qu’un personnage flamboyant par famille suffit. Je me suis plutôt attaché à Émile, cet adolescent réfléchi et sa plume m’a paru assez habilement guidée par Ivan Calbérac pour lui donner une voix « authentique », le défi ultime de l’auteur.



J’ai parlé plus haut de quotidien puis d’aventure car le roman se situe sur les deux plans. On passe d’une description de la situation familiale, du lycée, du blues des adolescents à une épopée où Venise prend effectivement sa place titulaire. Le seul bémol que j’émettrais sur la narration serait le nombre assez invraisemblables de rebondissements de situation surtout vers la fin du récit ; tout va mal, ensuite tout va très bien puis pas du tout, ça redevient génial et c’est de nouveau la catastrophe. Peut-être l’auteur a-t-il voulu simuler les sautes d’humeur bien connues des adolescents. Si oui, à mon avis, il a forcé le trait.



Fidèle à mon engagement de ne rien dévoiler de l’intrigue, je ne vais pas détailler l’action du roman sauf pour saluer cette trouvaille de l’auteur qui à elle seule symbolise tous les malentendus dans la communication parents-enfant, les errances de l’amour parental et filial, la limite entre le choix libre et la coercition : je parle des cheveux blonds …

Un roman qui m'a totalement emballée! Un très beau coup de cœur!



Émile est un adolescent qui, à travers, ce livre dresse le portrait d'une famille pas tout à fait comme les autres. En réalité, ce roman est un journal intime où l'adolescent livre les questionnements liés à cet âge de la vie. Ainsi, on apprend qu'il est amoureux d'une certaine Pauline qui est au lycée avec lui. Oui mais Émile est un garçon timide et ne sait comment l'approcher. L'occasion se présentera et voilà que peu de temps après, il accepte d'aller à Venise pour pouvoir l'écouter jouer du violon dans un orchestre. Tout content il demande à ses parents qui acceptent de lui payer un billet de train. Mais, trop beau pour être vrai il va devoir se coltiner toute la famille pour aller à Venise. Et oui, autant faire d'une pierre deux coups. Sa mère a toujours rêvée d'aller visiter cette ville si romantique.



Il faut savoir que la famille Chamodot est un brin spéciale. Ils vivent dans une caravane sur le terrain qu'ils ont acheté pour construire leur futur maison. Malheureusement, la mairie a mis en attente ce projet et il est fort possible qu'ils continuent à vivre ainsi pendant un bon moment encore.

Une famille déjantée, un peu loufoque mais terriblement attachante! Émile, tout d'abord est le petit dernier et également celui qui semble se poser le plus de questions. Il sait que quelque chose cloche chez ses parents qui n'ont rien à voir avec les autres parents de ses camarades. Son père est VRP ( trop la honte) et il parle trop, rit de ses propres blagues, tente de philosopher de façon plus que limite sur la vie.. Un sacré personnage autrement dit! Sa mère est plus dans la réserve mais elle le mène d'une poigne de fer. Il vaut mieux ne pas broncher et faire ce qu'elle dit. J'ai eu l'impression au début du livre, vu ce que nous disait Émile, qu'il vivait au sein d'une famille maltraitante. Mais ce n'est pas le cas, ce sont juste de doux dingues auxquels on s'attache terriblement.



Un livre plein d'humour et de bons mots. J'ai eu de nombreux fous rires pendant ma lecture rien qu'en imaginant les scènes. C'est une vraie réussite. L'auteur a relever le défi de prendre des gens ordinaires et de les magnifier une fois réunis. Cela m'a rappelé les livres de Marie-Sabine Roger que j'avais également beaucoup aimé. Il y a de la poésie, de la philosophie (oui oui), de la tendresse et de l'amour. Surtout beaucoup d'amour. On prend le temps de suivre Émile qui va essayer de passer au dessus des qu’en-dira-t-on et accepter sa famille comme elle est ainsi que lui-même.



En bref, un livre pour lequel j'ai craqué. Une très belle découverte.
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Un road trip émouvant, touchant, attendrissant. Des personnages attachants et uniques. Je vous conseille la lecture de ce roman pour vivre un moment unique et avoir l’impression de faire partie de cette famille!
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Un road trip à la française, entre Montargis et Venise. Une course contre la montre pour Félix qui est invité par sa meilleure amie, musicienne, qui doit donner un concert de jeune musicien à la Felice.
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Emile jeune adolescent de quinze ans aux cheveux décolorés en blond pour être encore plus beau d’après sa maman traverse comme tous les jeunes de son âge une période où l’on doute de soi, où on se trouve moche et moins intéressant que les autres. Ce qu’il trouve nul…pleins de choses mais en particulier sa famille : est-ce qu’il se réconciliera avec elle ?



Tout va changer dans sa vie le jour où il va faire la connaissance de Pauline au lycée lors d’une partie de ping pong. L’auteur nous partage toutes les pensées et les doutes par lesquels traversent Emile dans cette douce relation entre un jeune homme pauvre qui habite dans une caravane en attendant qu’un jour sa maison soit autorisée à être construite sur le terrain et une jeune fille issue d’une famille bourgeoise qui côtoie le luxe dans un quartier huppé et une belle demeure à faire pâlir plus d’un.



A cette âge on est prêt à tout pour faire plaisir à l’autre et décrocher le premier baiser …Emile lui va entraîner sa famille à Venise pour qu’il puisse répondre à l’invitation de Pauline : venir la voir jouer du violon à l’Opéra. Suivre les péripéties de cette drôle de famille jusqu’en Italie puis vivre avec eux le retour en passant par divers aléas d’événements mais aussi d’émotions, c’est une bien belle aventure humaine.



Ce que j’ai aimé c’est la grande réussite de l’auteur a nous entraîné dans les pensées d’un adolescent et avoir ce grain de folie qui nous suivra jusqu’au bout ; c’est un bel exercice de style. Ce que j’ai moins aimé la fin qui semble s’achever de manière légèrement brutale et qui laisse le lecteur sur sa faim.







Tout lecteur 1 semaine 3 / 5


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Émile 15 ans vit avec ses parents à Montargis dans une caravane et a le béguin pour une fille de son lycée. Quand cette dernière l’invite à Venise où elle va donner un concert, Émile est fou de joie. Coup de théâtre, ses parents lui annoncent qu’ils l’accompagnent. Épousant le point de vue de cet adolescent qui se confie à son journal, ce roman mêle humour et émotion, dit avec justesse les premiers émois amoureux et cette difficulté à trouver sa place dans une famille quand on se sent différent. Les parents d’Émile sont prêts à tous les sacrifices pour que leur fils réussisse et pour lui faire plaisir mais ils ont parfois de drôles de lubies (ils lui teignent les cheveux en blond !) et ne sont pas toujours très discrets. Les sentiments d’Émile à leur égard oscillent entre la honte (et la honte d’avoir honte) et des élans d’amour. Le roman prend aussi des allures de road movie initiatique quand la famille, auquel vient se joindre le grand frère, part en Italie.
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Une plongée dans une famille un peu loufoque, celle d'Emile, 14 ans au moment des faits, cela donne une tragicomédie drôle et émouvante...tout à fait à l'image de l'auteur, sympathique et sincère, qui a ce petit grain de folie qui nous ferait croire facilement que Venise c'est chez n'importe qui...Merci!

Heureuse d'avoir pu lire ce roman, je ne me serai pas pencher dessus au premier abord, merci à Babelio et Flammarion pour cette superbe découverte !



J'ai beaucoup aimé ce livre, le style de l'auteur, sa plume ; il utilise un langage simple, qui s'adresse à tout le monde. Son humour m'a fait sourire et parfois éclater de rire. J'ai été agréablement surprise.



Émile, ado de quinze ans, mal dans sa peau, mal dans sa vie comme tous les ados d'ailleurs, on peut parfois aisément s'imaginer à sa place que l'on soit garçon ou fille. Un jour, il rencontre Pauline et là, l’existence de notre jeune héros fait un virage à 180° et l'on voit Émile torturer pour l'amour qu'il a pour elle : jeune, jolie, jouant au violon et venant d'une famille aisée par rapport à lui, qui vient d'une famille modeste dont il a honte... Mais pour elle, il est prêt à tout même à aller à Venise pour l'écouter jouer du violon ! Une nouvelle "aventure" commence pour Émile, son frère fait son apparition et toute la famille se rend à Venise... Un trajet avec quelques aléas qui donne l'opportunité à Yvan Calbérac d'ajouter un autre personnage qui va ajouter un peu de piquant à l'histoire !



Une histoire bien ficelée même si la fin m'a un peu déçue, je ne m'attendais pas du tout à ça

Dans ce roman écrit à la façon d’un journal intime tenu par un adolescent, on découvre une famille originale mais attachante qui malgré des moyens limités essaye de faire au mieux pour ses enfants. C’est aussi le récit d’un premier amour avec ses doutes et ses limites (jeunes issus de classes sociales très différentes). Le texte est émaillé de moments très humoristiques et se lit avec plaisir car il est plein de fraicheur. Une jolie découverte qui me donne envie de découvrir le film réalisé par l’auteur avec Benoit Poelvoorde et Valerie Bonneton dans les rôles des parents.

Bienvenue dans le journal intime d’un ado qui se livre sans masque : Émile. Ivan Calberac nous conte une histoire fraîche et tendre, débordante d’humour et de dérision.



Venise n’est pas en Italie est un roman touchant et empreint d’humour qui montre le cheminement d’un jeune homme dans sa quête de vérité et d’acceptation de la réalité. À travers les péripéties d’Emile, nous réfléchissons sur les illusions de l’adolescence et sur l’importance de voir la beauté dans les petites choses de la vie quotidienne plutôt que de chercher le bonheur dans des idéaux inaccessibles.



Émile part à Venise en caravane accompagné de toute sa famille, dans un seul et unique but : rejoindre Pauline dont il est follement amoureux.



Une bouffée d’air frais ! Un roman qui a comblé nos espérances d’humour, de détente, de naïveté, de sagesse et de tendresse.



Facile à lire, il se dévore en quelques heures 🫶



« Vivre en vaut la peine, et parfois dans des instants comme celui-ci, vivre en vaut aussi la joie » 🎭

j ai beaucoup aimé ce livre, il se lit très facilement et l auteur nous donne envie de continuer dans lire toujours un peu plus.

c est comme une conversation avec un bon ami.

les sentiments sont exprimés d une manière poétique positive et humoristique, vous permettant de les penser dans notre propre vie.

un bon moment de détente

Emile rencontre Pauline au lycée, devant un match de tennis. C'est le coup de foudre, entre la belle et le clochard, la magnifique joueuse de violon et le garçon qui vit dans une caravane en attendant de pouvoir construire une maison.



Emile a honte de sa famille, de sa mère qui lui teint les cheveux, de son père VRP, de son frère militaire. Alors, lorsque Pauline l'invite à Venise la voir en concert et que sa famille s'invite au voyage, imaginez sa tête ! ⛵ (oui, c'est une gondole)



Venise n'est pas en Italie, c'est des rires, des larmes, la honte, l'amour, l'attendrissement, les surprises, les baffes, c'est la famille avant tout. Certains scènes sont exagérées, presque irréelles, mais elles font du bien. On ne peut refermer le livre sans avoir un sourire aux lèvres.
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Initiatique et rocambolesque.
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Une histoire très drôle avec un héros particulièrement sympathique. L'amour adolescent, avec ses tourments et ses espérances. Mais tout cela est traité avec beaucoup de fraîcheur et de légèreté (au fond, on est soulagé pour une fois d'éviter l'amour malheureux). Evidemment, le détour par Venise ne peut que plaire à ceux qui aiment le bon goût, c'est-à-dire la culture italienne.

L'épopée d'une famille qui se mobilise (à l'insu de son plein gré comme dirait l'autre) pour que leur fils puisse retrouver la fille dont il est amoureux.

Alors cette famille hors normes va-t-elle parvenir à son objectif ?

C'est drôle, plein d'embûches, poétique et les personnages sont tous très attachants.

Ce récit est rafraîchissant, philosophique sans en faire trop.