Ivan Calbérac

Une drôlerie attachante cet ouvrage. On dirait qu'on revoit "The play that goes wrong" ou autre scénario des Monty python, avec une variante française. C'est drôle, et c'est intéressant car au delà des situations burlesques, l'optimisme donne des leçons à qui veut les entendre, et l'amour est toujours là, en note de fond.

A lire après un récit qui nous aura pris la tête !

Quelle jolie plume que je viens de découvrir, celle de Ivan Calbérac ! Originale, franc-parler et remplie de vérité et de justesse.



Jolie histoire toute en délicatesse, en poétesse dans laquelle on suit Emile (et sa famille) dans ce qu’il y a de plus cher, son intimité. Il nous raconte ses coups de gueule, ses coups de cœur et ses coups de poings au travers d’un périple, pas de tout repos, en quête d’un bonheur.

Un roman coup de cœur.

De suite lors des premières pages j'ai voulu notifier des passages dans la rubrique citation, mais il aurait fallu y mettre la moitié du roman.

J'ai été charmé par l'écriture, par la façon de voir la vie à travers les yeux de Émile, 15 ans, forcément à un moment vous allez vous dire, bon sang mais ce gamin a raison.

Une écriture fluide et pleins de poésie que je conseil à tous le monde.

Livre savoureux que j'ai eu grand plaisir à relire tellement c'est rafraichissant ! Emile nous entraîne à sa suite sans aucune difficulté, ses pensées couchées dans son journal intime font très souvent sourire, voire même rire. On suit son histoire avec enchantement en dépit des difficultés qu'il évoque, sa famille et son voyage sont de l'ordre du fabuleux. Et puis surtout, Emile dégaine les bons mots telle une mitraillette, chaque cartouche est venue me percuter pour résonner assez longtemps. J'ai adoré ces traits d'esprit, que j'ai même encore plus appréciés à la relecture.

Un roman divertissant qui se lit vite et qui aère la tête en cas de besoin, remède à consommer sans modération !

Et voilà, un livre encensé par Gérard Collard qui dit que c'est une pépite ... et bien parfois ça ne me plait pas, enfin je n'ai pas vraiment aimé.



Il y avait des moments intéressants comme le rapport d'Emile avec sa famille dont il a honte faut dire qu'ils sont un peu "hors norme" et du coup Emile se trouve éclaboussé par leur façon d'être. L'histoire d'amitié entre Emile et Pauline et sa progression vers peut être autre chose était agréable à lire car inattendue. Pauline va l'inviter à venir la voir à Venise et les parents d'Emile vont s'inviter à leur tour.

Ensuite, j'ai trouvé le voyage long, il y avait des rebondissements mais j'ai trouvé le rythme lent, je me suis ennuyée par moment alors peut être que ce n'était pas le bon moment pour cette lecture ou peut être que j'en attendais trop et du coup je suis déçue

Émile, 15 ans, follement amoureux de Pauline. Quand celle-ci l'invite à un récital à Venise, il est fou de joie. C'est compter sans la présence de ses envahissants parents qui décident de l'y mener dans le camping-car familial.



une histoire pleine de rebondissements, d'humour mais également d'émotions. Écrit à la première personne via ke personnage d'Émile, les aventures un peu folles de cette drôle de famille se lisent avec un grand plaisir.





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J'ai passé un bon moment lecture avec Emile. J'ai beaucoup ri. Un roman tendre rempli d'amour et de fraîcheur. L'auteur nous emmène au fil de son récit, la vie d'Emile est remplie de péripéties, la vie n'est pas toujours rose. Le personnage principal est attendrissant

Journal intime d'un jeune adolescent vivvant ses premiers émois. Quand il a l'occasion d'aller à Venis voir celle pour qui il a le béguin, toute sa famille qu'il juge honteuse part avec lui.

J'avoue n'avoir pas accroché au personnage principal d'Emile, ni aux secondaires.

Emile est criant de réalisme mais ses digressions constantes dans son récit m'ont donné l'impression de perdre mon temps. L'image qu'il donne de sa famille a été trop caricaturale pour moi. Le personnage de Pauline est assez incompréhensible.

J'ai donc lu ce récit sans rentrer dans l'histoire même s'il n'est pas dénué de morale. Celle-ci est assez classique mais toujours bonne à rappeler.

Bienvenue dans le journal intime d’un ado qui se livre sans masque : Émile. Ivan Calberac nous conte une histoire fraîche et tendre, débordante d’humour et de dérision.



Venise n’est pas en Italie est un roman touchant et empreint d’humour qui montre le cheminement d’un jeune homme dans sa quête de vérité et d’acceptation de la réalité. À travers les péripéties d’Emile, nous réfléchissons sur les illusions de l’adolescence et sur l’importance de voir la beauté dans les petites choses de la vie quotidienne plutôt que de chercher le bonheur dans des idéaux inaccessibles.



Émile part à Venise en caravane accompagné de toute sa famille, dans un seul et unique but : rejoindre Pauline dont il est follement amoureux.



Une bouffée d’air frais ! Un roman qui a comblé nos espérances d’humour, de détente, de naïveté, de sagesse et de tendresse.



Facile à lire, il se dévore en quelques heures 🫶



« Vivre en vaut la peine, et parfois dans des instants comme celui-ci, vivre en vaut aussi la joie » 🎭

Une histoire écrite sous forme de cahier intime, histoire d'une famille qui a une vie atypique, avec deux enfants Émile réservé et 1er de classe et Fabrice militaire et "matcho". L'histoire ne raconte rien de spécial, seulement un voyage familial à Venise car Émile est invité au concert d'une de ces amie Pauline. Pour moi je me suis un peu ennuyée... vraiment trop simple

Venise n'est pas en Italie :

🧡🧡🧡🧡🤍



Comment vivre au sein d'une famille improbable lorsqu'on a 16 ans ?



C'est l'histoire d'Emile Chamodot et cette histoire n'est vraiment pas banale.



On part de Montargis dans le département du Loiret pour finir à venise, en Italie.



Durant les 314 pages de ce roman, l'auteur nous fait passer par toutes les émotions : tristesse, joie, colère, désespoir, amour...surtout l'amour.



Ce roman est un voyage au cœur des liens familiaux qui parfois nous posent problème.

C'est un voyage dans les profondeurs des sentiments un peu comme une exploration sous-marine.

C'est une ode à la différence. Différence de classe sociale, différence de point de vue, différence de goût, différence des genres.



Venise n'est pas en Italie c'est avant tout une histoire d'amour et de famille. Une famille improbable qui fera tout pour rendre heureux ses membres peu importe les préjugés.



Je vous invite à faire le voyage sans tarder. Humour garanti et fraîcheur instantanée !



ℹ J'ai découvert qu'un film a été réalisé par l'auteur même du livre avec Benoît Poelvoorde 😉

Un journal tenu par un ado de 15 ans, plutôt surdoué, avec les hormones qui le travaille et qui ne peut résister au charme de Pauline, violoniste, belle et d’un milieu social très aisé. Lui, Emile est avec sa famille dans une caravane, en face d’un trou d’où devrait sortir une maison. Mais voilà, le permis de construire est remis en cause par la mairie, alors, la vie dans la caravane perdure. Avec cela, Emile a une maman qui lui teint les cheveux en blond, un père VRP fantasque et un frère ainé militaire, pas vraiment dans la norme non plus. Alors la rencontre avec le monde si classique de Pauline l’éblouit et quand elle lui propose de le rejoindre à Venise, Emile accourt. Enfin… son père décide de l’y emmener avec toute la famille, l’occasion de voir Venise. Evidemment, le chemin pour y arriver ne se passe pas comme prévu, ni la rencontre vénitienne entre Emile et Pauline. Mais peu importe, les voyages apprennent toujours à ceux qui s’y risquent et là, cet ado va se rendre compte que sa famille hors norme est soudée, tendre et le protège au contraire de celle de la belle et intouchable Pauline.

Le tout est tendre de par les propos tenus par cet ado intelligent, amoureux et blessé par le regard porté sur lui ou sur sa famille, un roman journal d’apprentissage agréable.

J'ai l'impression d'être à contre courant des critiques sur ce livre que j'ai pris à la bibliothèque pour en avoir entendu parler en bien.

Un journal tenu par un adolescent, si ce n'est pas vraiment bien écrit, c'est l'ennui immédiat.

L'histoire est peu originale, mais pourquoi pas. Avec une vraie narration et une autre qualité d'écriture j'aurais pu adhérer à ce roman, mais là, non. J'ai tenu quelques chapitres, puis j'ai parcouru la suite en diagonale, cherchant les péripéties ou les changements de style, en vain. Dommage, j'aimais bien le titre !

C'est faux, bien sûr, Venise est bien en Italie, sauf pour Reggiani. Enfin, sauf si l'on croit que Venise, c'est l'amour, et que l'amour est partout où on le laisse pousser.

Une histoire d'une tendresse infinie, racontée par un ado de 15 ans qui vit dans une caravane avec ses parents, le temps de construire la maison de leurs rêves (Et surtout d'obtenir de permis de construire). Ses parents un poil extravagants lui font honte, son père VRP illuminé et bouillonnant de folie douce (on voit tout à fait pourquoi Benoît Poelvoorde a remporté ce rôle !!) et sa mère qui vit au foyer (enfin, dans la caravane !). Décolorer les cheveux de son ado en blond, enchaîner les régimes drastiques et les compléments alimentaires pour lui donner plus de force, c'est peut être ça l'amour !

Alors quand Émile s'éprend de la belle Pauline, lui qui se sent en dessous de tout et accompagné par des moins que rien, le doute est de mise. Pauline n'appartient pas au même milieu qu'Emile, mais elle partage sa passion du tennis et un sourire à faire fondre tous les blonds décolorés !

Alors quand elle l'invite à venir la voir jouer du violon à la Fenice, la salle d'opéra extraordinaire de Venise, Émile réussi à convaincre ses parents de l'y envoyer...mais pas seul...l'aventure ne fait que commencer pour notre plsu grand bonheur !

Ce livre est une ode aux familles imparfaites, un grand cri d'amour pour tous les gestes maladroits et si touchants. C'est un recueil de poésie de la vie, avec une écriture qui, personnellement, me bouleverse :

"J'ai pas osé demander de quoi elle était morte, c'était pas le moment, en tous cas, ça devait être dans la fureur et les larmes, parce que sinon, on décède pas à quarante-trois ans. Alors pendant ces soixante secondes de silence, je me suis dit qu'une vie à crier pour une minute à se taire, l'équation tombait vraiment pas juste, elle y avait trop perdu au change".

C'est un gros coup de cœur pour moi !!

Ce roman est un feel good assez classique qui, franchement, n’a rien de bien exceptionnel. Un gamin amoureux, prêt à se rendre en Italie pour voir sa Juliette (qui est en fait une Pauline) jouer du violon ; et sa famille un peu loufoque qui décide de le suivre. Le tout dans une caravane trop petite pour 4 (et bientôt 5).



J’ai été un peu surprise par le personnage d’Émile, un lycéen qui donne l’impression de n’avoir que 12 ans… tout, dans ses réflexions, ses pensées, le rabaisse. Bon, il m’a quand même parfois fait bien rire ! Et son histoire avec Pauline est toute mignonne (ah, les premiers amours!)



Ce road trip direction l’Italie est mouvementé, et c’est finalement la meilleure partie du livre : des problèmes, des solutions bancales, de l’humour et du n’importe quoi (un peu comme les cheveux d’Emile). Dans cette histoire, j’ai quand même adoré le personnage de Natacha !



Il y a un film français, du même nom, qui a été adapté du roman. Du peu de retour que j’en ai eu, c’est pas la joie ! J’ai regardé la BA par curiosité, et il y a déjà des détails qui changent (des détails ridicules, alors pourquoi changer ?), donc franchement : pas pour moi !

Critique du Phoenix. "Venise n'est pas en Italie" de Ivan Calbérac. 315 pages. le livre de Poche.



L'auteur précise ce qu'il entend par ce titre énigmatique. Venise est là où le coeur est en fête. Venise, c'est un état d'esprit!



Émile vient d'une famille à problèmes, avec son frère Fabrice. Son paternel trompe sa mère, travaille dans une autre ville et n'est pas tout le temps à la maison. Il est fort. Il est dangereux. Mais qu'est ce qu'il peut être drôle.

Sa mère est un peu pareille, "c'est pour ton bien" mon fils. Peut-être a-t-elle raison! Mais cela, aucun enfant de 15 ans ne peut le concevoir.



Émile a entendu une fille de sa classe parler d'un journal intime. Alors il s'en est acheté un. Onéreux. Avec un beau stylo. Pas facile, quand on habite à 4 dans un caravane.



Émile pense à parler de sa famille, mais ce qu'il a surtout envie de relater, c'est son amour pour Pauline. Amour coup de foudre au premier regard, il se demande tellement si c'est réciproque! Émile est poli, respectueux, calme, les pieds sur terre... Sa mère lui décolore les cheveux, l'oblige à faire beaucoup de natation... Sans doute agit-t-elle pour son bien mais il est de bon ton de rechigner...



Un jour, Pauline vient s'asseoir à ses côtés pour regarder un match de tennis. Et ils sympathisent très vite. Là où tout le monde lui demande si c'est sa petite amie, s'il en a envie, il répond que c'est trop tôt, un vrai gentleman.



Son frère Fabrice veut lui faire essayer Natacha, un super coup. Mais Émile renâcle, il veut faire "ça" avec une personne pour qui il éprouve des sentiments. Son frère proteste, la première fois, c'est toujours nul, alors autant essayer un brouillon...



Mais Natacha prend de la place dans cette histoire! Une fille super belle, rayonnante, bienveillante... J'aurais presque aimé qu'ils finissent ensembles...



À la fin on apprend que Pauline aimait Émile en retour!! Attention super touchante, elle avait gardée la balle de ping pong de leur première rencontre et dessinée son coeur et son initiale dessus... C'est à la fois mignon, beau et tragique, car ses parents, des gens vraiment méchants, ont fui le pays...



Voilà! Après, ce que j'en ai pensé? Malgré les violences familiales (qui auraient pu être pires, hein!) c'est une belle histoire d'amour un peu feel good qui m'a complétement convenu. Certains moments sont drôles (j'ai ri!). D'autres touchants, injustes...

Émile, ce garçon, c'est un peu moi à son âge. Et puis quand on est petit, c'est sans doute là qu'on rencontre le premier amour avant que le coeur ne s'émousse...

Je vous souhaite une belle soirée.... A demain, à priori ! ; )
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Pour Emile, c'est une évidence: Pauline est l'amour de sa vie.

Mais à 15 ans, lorsqu'on est timide et peu sûr de soi, il est difficile de faire sa déclaration. D'autant plus si la fille que l'on aime est issue d'une famille bourgeoise distinguée alors qu'on a pour parents un VRP aux discours farfelus et une exubérante mère au foyer qui parle à n'importe qui. Bref, une famille qui, même si on l'aime, vous met une "honte stratosphérique".



Lorsque Pauline, qui est violoniste, invite Emile à assister à l'une de ses représentations, il accepte immédiatement avant d'apprendre que celle-ci aura lieu à Venise. Alors qu'il pense la partie perdue d'avance (le budget est serré chez les Chamodot), son père décide que toute la famille partira en Italie à bord de leur vieille caravane. C'est la douche froide pour Emile, désespéré à l'idée que la famille de Pauline rencontre la sienne.

Au cours de ce voyage, ballotté entre honte et amour pour sa famille, l'adolescent va apprendre à assumer cette part de lui et à apprécier ces moments farfelus qui sont aussi ceux qui l'ont construit.



Dans son journal intime, Emile nous présente cette famille haute en couleurs. Des êtres encombrants, envahissants, peu soucieux des codes de la bienséance mais très attachants.

Des situations cocasses, des répliques qui font mouche, beaucoup d'humour et de la tendresse. Car, malgré tous les reproches que l'on pourrait faire aux personnages, on s'aperçoit très vite que tous font de leur mieux. Ils sont unis malgré leurs problèmes, aimant malgré leur maladresse.

Alors, même si honnêtement, j'aurai bien du mal à assumer cette famille hors-norme si j'en faisais partie, j'ai beaucoup aimé les suivre jusqu'en Italie!



Ivan Calbérac a adapté son roman au théâtre et au cinéma (avec un Benoît Poelvoorde plus vrai que nature!).

C'est l'histoire de Emile, 15 ans qui vit dans une famille d'excentriques au coeur d'or, je le cite "mes parents, ils n'ont pas d'amis, ils n'ont aucune vie sociale". Il se confie à son journal et il ne comprend pas pourquoi sa maman veut qu'il mange de la nourriture saine.

Ce livre est un coup de coeur pour moi. Je l'ai trouvé très agréable à lire.

J'ai adoré le ton humoristique, ironique, plein de drôlerie.

Bref, c'est un délice à lire et à relire juste pour le plaisir.

J'ai vu l'adaptation au cinéma, elle est plutôt réussie et fidèle au livre.

C'est la première fois que je trouve autant de citations géniales,

elles sont innombrables.

Par exemple celle des chaussettes, des divisions, de l'arbuste, du premier baiser ou celle des maisons que voilà : "C'est un quartier avec quasiment que des belles maisons, comme si elles s'étaient regroupées entre elles de leur plein gré et formaient un club, une amicale"

Derrière tout cela il y a un profond désespoir, une souffrance sociale, une grande précarité mais tout cela est dit avec beaucoup d'humour et d'espièglerie.

Le style de ce roman m'a immédiatement séduite : clair, phrases courtes, percutantes, langage de jeunes. L'auteur interpelle familièrement le lecteur avec humour.

La Famille Chamodot vit dans une caravane, faute de permis de construire sa maison. Famille déjantée, haute en couleurs, pleine d'amour et de principes (on se doit d'être fier d'en être membre, on est tous solidaires, on forme une équipe).

J'ai aimé ce livre qui m'a "reposé la tête" en me faisant sourire et en m'entraînant dans une folle aventure à Venise.

Dans cette douce lecture, j ai retrouver mes 15 ans 🙊 ( oui c était il y a pas longtemps, mais quand même !! ). J ai vraiment beaucoup aimer cette lecture. Je découvre la plume d’Ivan Calbérac et elle est superbe. Un livre très sympa sans prise de tête qui fait du bien 😊
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