J.R.R. Tolkien

4,5 étoiles



Oui, certes, c'est un Chef d'Oeuvre de la Fantasy, qui sert d'étalon pour les décennies à venir et qu'il faut avoir lu, un monument de world-building (les annexes, que je n'ai que parcouru brièvement, sont hallucinantes de détails, je tremble devant le Silmarilion :) )



Mais, relu quelques 30 ans après (avec des souvenirs plus liés aux films qu'à ma précédente lecture), j'oscille entre fascination pour ce roman et petite déception du fait, convenons-en néanmoins, de certaines longueurs par ci par là...

Certaines scènes (l'apprivoisement de Gollum, la négociation en vallée des Morts, la fin de l'anneau..) m'ont semblé étonnamment vite évacuées en comparaison.



Quoi qu'il en soit, cela reste un événement littéraire du XXeme siècle, un grand classique à lire absolument, avec quelques surprises bienvenue par rapport aux films (Bombadil, les évènements post destruction de l'anneau par exemple que j'avais complètement oublié !).



Longue vie à le (/la...) Comté :) !

Chef d’œuvre fondateur, qui a inspiré et continuera à inspirer de nombreux écrivains et autres artistes, ce roman d'aventure fantastique nous plonge dans un univers inspiré de nombreuses légendes pour les sublimer. Ne pas tenter l'expérience si l'on est allergiques aux romans longs car les trois tomes sont d'une longueur certaine, et si les thèmes propres à la fantasy vous rebutent. Pour tous les autres il sera un ami fidèle aux suites de nombreuses relectures.

Enfin, ce livre rejoint les incontournables de la fantasy non plus “à lire” mais “lu” !



Quelle joie de découvrir une aventure, parfois tirant vers le conte, avec un protagoniste qui n’a pas la carrure du “Héros” (Gandalf le dit lui-même «les héros sont rares, ou simplement introuvables.») souvent dépeint en fantasy ou en science-fiction.



Ce que j’ai aimé 💗 la tendresse avec laquelle J.R.R. Tolkien conte l’aventure de Bilbo, j’imagine qu’il s’est fortement attaché à lui. Pourtant, ce n’est pas un fin limier, un extravagant ou preux chevalier, non, c’est un “simple” hobbit (riche, rappelons-le, il n’a jamais connu le besoin) curieux, intelligent, malin et généreux qui, pendant cinquante ans, n’a cessé de réprimer un désir d’aventure latent qui se révèle grâce à Gandalf et en la compagnie de nos 13 nains.



C’est un récit de fantasy, dont on rappelle souvent qu’il est destiné aux enfants, pourtant, en tant qu’adulte, il se lit très bien. La plume est belle et fluide, le vocabulaire recherché mais accessible. Et le récit est très vivant : après leur départ de la Colline, Bilbo et la compagnie de nains partent pendant des mois à travers une “parcelle” de la Terre du Milieu. Ils franchissent la Lisière de la Sauvagerie et, là, les ennuis commencent et se succèdent, à tel point qu’on en oublierait presque le temps qui passe, même si les rappels de changements de saison, des jours et semaines qui s’écoulent sont bien présents, tout comme la fatigue et parfois le “mal du pays”.



Les énigmes, tours de passe-passe et autres surprises que nous réserve Bilbo sont amusants et bien menés. J’ai particulièrement apprécié le passage avec Gollum, personnage dont j’ai découvert une nouvelle nuance à travers les mots de Tolkien. J’ai beaucoup aimé aussi leur égarement dans la forêt de Grand’Peur, quand ils se font piéger par les araignées. Bilbo fait montre de stratégie autant que de cou(ardise)rage ! Il se bat à l’épée et on peut dire que les Nains sont souvent bien moins débrouillards et dégourdis que notre hobbit. J’ai également découvert la “vraie” scène quand ils arrivent à la Montagne Solitaire et qu’ils réveillent Smaug. Je suis ravie de la tournure des événements, beaucoup moins extravagants que dans l’adaptation (c’est tout le “problème” au cinéma, tout doit être héroïque, en accéléré et romancé !).



Ce qui m’a surprise ⚡ ayant vu les films en premier, j’ai n’ai donc pas été étonnée par le récit de manière générale (pas de suspens), mais j’ai trouvé à plusieurs reprises des points divergents et d’intérêts qui ont pimenté ma lecture. Comme dit précédemment, à la fin quand ils arrivent à destination et qu’ils doivent s’infiltrer dans la Montagne Solitaire, les évènements sont tout autres et moins précipités. Il se passe plusieurs semaines entre le moment où Bilbo descend seul dans les grandes salles inférieures et découvre Smaug et le moment où les nains récupèrent leurs biens.



(*Spoiler*) La mort de Smaug, en partie grâce à Bilbo, et enfin, la bataille des cinq armés, avec une alliance de dernière minute face aux Gobelins et aux Wargs.



Autres points, l’entêtement de Thorin le rend (et bien avant que l’or ne lui monte à la tête) assez antipathique. Les Elfes, pardi ! quelle surprise de découvrir ceux de Fendeval guillerets, joyeux lurons, loin de l’image très impassible et froide que véhicule les films (je confirmerai cette tendance - ou pas - en lisant Le Seigneur des Anneaux).



Et enfin, la dernière surprise, c'est le narrateur (extérieur et omniscient) ! Un conteur très présent qui s’adresse directement au lecteur, utilise parfois le présent, les analepses et prolepses, ose aussi la comparaison avec des anachronismes (qui vont au-delà de l’invention du Golf). Je ne m’y attendais vraiment pas. Je pense que c’est propre à ce récit qui se destinait à ses propres enfants, c’est une proximité de plus avec eux, la recherche d’une étroite connivence et d’une oralité. C’est autant amusant que déstabilisant.



Comme beaucoup d'autres lecteurs et lectrices, je pense que sa lecture préalable aux "Seigneurs des Anneaux" est préférable. C'est un premier pas - plutôt accessible - dans l'univers de Tolkien.
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Que dire sur Le Hobbit à part qu il a changé ma vision sur la littérature de voyage. En effet, voir comment tous les personnages évoluent dans autant d environnements différents, passant de la découverte à la surprise ou à la tristesse, est prenant. Malgré le fait que le livre soit court, l histoire est très complète et bien emmenée, on a envie de voir la fin du périple de Bilbo ! Les films sortis plus tard ne rendent malheureusement pas honneur à ce livre et cela est dommageable… en résumé, que vous soyez petits ou grands lecteurs, amateurs de fantasy ou non, foncez !

Dans ce tome 2, la Communauté se sépare et on entre davantage dans l'action : batailles, fuite, enlèvement... On a définitivement quitté la Comté pour se diriger vers les terres sombres du Mordor ! Comme le tome 1 : toujours un classique, toujours à lire !

Oui, ce roman ne correspond plus vraiment aux codes de la fantasy actuelle. Oui, on peut parfois avoir l'impression d'être dans un cours d'histoire-géographie de la Terre du Milieu plutôt que dans une folle aventure... Mais wahou ! On se laisse emporter dans cet univers si riche, si bien travaillé et si simple à imaginer. Un classique !

J'ai trouvé ce second tome beaucoup plus fluide au niveau de l'histoire. Sûrement parce que les bases sont déjà posées. J'ai quand même eu un peu de mal au niveau des descriptions, qui des fois pouvaient être un peu longue. J'avais aussi un peu peur de trouver la partie où l'on suit Frodon et Sam longue. Mais finalement pas du tout, car eux aussi connaissent leur lot de surprises et de mésaventures.

Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est oui, notamment car les films sont fantastiques alors que ce premier tome m'avait semblé bien indigeste à l'époque lors de ma première lecture.

LE HOBBIT

Grande fan de Tolkien.

Livre lu et relu en papier, en ebook et aussi en audio. Je ne m en lasse pas, tout comme son grand frère "Le Seigneur des anneaux."

Les éditions Christian Bourgois nous gâtent encore avec les contes et légendes inachevés illustrés et regroupés en un unique ouvrage au format relié ! La couverture rigide bleue présente un titre en lettres dorées, tout comme le Silmarillion aux mêmes éditions. Si vous connaissez déjà le contenu, vous ne regretterez pas les 45€ d’achat pour entrer en possession d’un contenant qui embellira votre bibliothèque !

Le poids du livre ne gêne aucunement le confort de lecture. Les pages sont épaisses et les illustrations intelligemment insérées au cœur même des histoires.

On ne présente plus Tolkien et ses récits. Par cette critique j’ai plutôt à cœur de féliciter la maison d’édition Christian Bourgois qui a fait un travail remarquable. J’espère que d’autres ouvrages reliés sont en projet !

Aucune description n'égalera l'avis que vous vous ferez vous même en tournant la dernière page de ce livre.

Une fois terminé, c'est tout l'Univers étendu qui s'offre à vous, libre à chacun de le parcourir. Il faudrait des années avant de pouvoir tout lire, tout comprendre, tout retenir, et pouvoir apprécier pleinement ces trois tomes que l'auteur nous a confectionnés.

Est-il vraiment nécessaire d'ajouter une critique à une oeuvre aussi renommée ?

A ceux qui me disent que la lecture est trop difficile, qu'il ne s'y passe que très peu de choses et que l'histoire n'avance pas.

Je leur dis que planter un univers de cette taille prend du temps. Que présenter des personnages aussi profonds et complexes nécessite des pages de descriptions, de discussions, d'introspection.

Cette oeuvre récompensera les lecteurs pour leur patience et leur courage à aller au bout d'une saga qui dépasse largement la qualité des films.

Enchanteur !



Le Seigneur des Anneaux est l'un de mes meilleurs souvenirs de lecture, si ce n'est le plus grand.



Tolkien était un démiurge fabuleux, il a construit un monde avec sa géographie, son Histoire, ses peuples, ses langages, sa mythologie, ne lésinant pas sur les détails. le Seigneur des Anneaux !!! Comment parler de ce roman en quelques mots ? C'est irréalisable tellement l'oeuvre est monumentale dans tous les sens du terme ! Mais bon, je me lance malgré tout !



Ce livre m'a fait découvrir, à 12 ans, la Fantasy, m'a ouvert les portes d'un royaume gigantesque, sans frontière, où la magie vous emporte au-delà des mots, parmi les étoiles.



J'ai lu, que dis-je, dévoré ce bouquin, nuit après nuit jusqu'à la dernière page, me laissant des soleils plein la tête et les yeux, une folle envie de poursuivre cette expérience me tenaillant, une expérience qu'aucun autre livre ne m'avait fait vivre auparavant, que nulle lecture ne me fera ressentir à nouveau un jour, j'en suis quasiment certain. Ma vie de lecteur en fut changée à jamais. Je suis aujourd'hui comme un conquistador en quête d'un nouveau monde, un nouveau "Seigneur des Anneaux", mais le trouverai-je un jour ? le défi m'est lancé…pratiquement insurmontable !



Frodon, le Porteur de l'Anneau destiné à détruire celui-ci dans les feux du Mordor, est un anti-héros. Rien ne le destinait à devenir le sauveur des peuples libres de la Terre du Milieu. Qui aurait pu se douter d'ailleurs qu'il en serait capable ? L'arme secrète et ultime, en fait, que Gandalf, le mage, a su trouver pour vaincre le Mal, Sauron, qui pensait certainement que le danger pour lui viendrait de Mithrandir (autre nom de Gandalf) ou d'Aragorn, héritier d'Isildur, des anciens rois de Númenor, des royaumes d'Arnor et de Gondor.



Le périple de Frodon et de ses huit compagnons formant la Fraternité de l'Anneau fut long et périlleux. Je les ai suivis, haletant, à travers la Comté des Hobbits, la Vieille forêt où séjourne Tom Bombadil, les Hauts des Galgals, Fondcombe, la demeure d'Elrond le Semi-Elfe, la Moria, ancien royaume des Nains dominé à présent par le Balrog, un démon, et des armées d'Orques, la Lórien de Galadriel, reine des Elfes, la forêt de Fangorn protégée par son gardien, Sylvebarbe de la race des Ents, les plaines du Rohan, royaume des cavaliers Rohirrim où se déroula la bataille du Gouffre de Helm, l'Isengard et la Tour d'Orthanc, repaire du fourbe Saroumane, la sombre vallée de Minas Morgul et la sinistre passe de Cirith Ungol où Frodon risqua de mourir du venin d'Arachne, Minas Tirith, la Cité Blanche dont les murs assistèrent à la bataille des Champs du Pelennor, le désert du plateau de Gorgoroth et enfin l'Orodruin, la Montagne du Destin où l'Anneau Unique fut détruit pour vaincre Sauron. Une longue aventure dont les souvenirs sont à jamais gravés dans ma mémoire.



L'ambiance du roman a contribué fortement à m'ensorceler. Car si Gandalf est un mage, ce livre est un enchanteur. Légère au départ, elle s'est faite de plus en plus sombre au fil des pages. J'ai ri avec les personnages, tremblé avec eux, respiré leur air, entendu leurs voix.



Mon grand-père m'avait acheté les trois tomes du roman de J.R.R. Tolkien un jour de mes 11 ans. Je me souviens que l'édition était l'une de Gallimard Jeunesse, 1000 Soleils, une collection malheureusement disparue aujourd'hui…



Au début, j'ai eu énormément de mal à rentrer dans le bouquin. Il est vrai qu'un prologue comme celui du Seigneur des Anneaux, d'une longueur peu commune, ajouté à l'histoire de l'herbe à pipe m'ont quelque peu décontenancé ! Je me demandais finalement si c'était un roman ou bien un documentaire ! Et j'ai abandonné la lecture de ce livre mais celui-ci continuait de m'intriguer, les illustrations de couverture de Keleck y étaient pour quelque chose, je pense…



Je finis cependant par reprendre la lecture avec méfiance. Et là, le miracle s'est produit ! C'était la période de Noël, les vacances, et, durant quinze jours, j'ai lu en cachette toutes les nuits des centaines de pages ! Et le tome que j'ai le plus aimé, curieusement, a été le premier, La Communauté de l'Anneau. Nous ne sommes pas beaucoup à pouvoir dire cela, encore moins nombreux sont ceux qui peuvent prétendre avoir aimé le prologue, moi j'en fais partie ! Car ces dizaines de pages d'introduction, j'ai fini par les aimer, elles qui m'avaient au départ repoussé. Comme quoi, j'avais réussi à les apprivoiser !



Si j'aime ce premier tome au-delà des deux suivants, c'est aussi, j'en suis certain, parce que je l'ai lu de nuit. Car pour moi, il se lit de nuit, c'est comme ça qu'on peut l'apprécier entièrement. Autant les autres peuvent se lire à n'importe quel moment de la journée que celui-ci a quelque chose de magique lorsque les étoiles sont de sortie et dansent une ronde infinie autour d'une lune aux lueurs bienveillantes pour les lecteurs insomniaques !



Tout en lisant, je me souviens, j'écoutais de la musique. Ah, la traversée de la Vieille Forêt, la rencontre avec Tom Bombadil… Mon passage préféré ! Que de souvenirs merveilleux ! Je ne sais pas si vous pouvez me comprendre mais ce que je sais, c'est que depuis ces vacances de Noël, j'ai comme un son de grelots dans le coeur, une sorte d'ancienne magie qui s'est déposée sur mon âme et m'a emporté par delà le miroir. J'ai vu à ce moment-là la Comté, les frondaisons des forêts envoûtées, les splendeurs d'Imladris et les noirceurs de la Moria, j'y ai vécu… J'en suis reparti en grandissant, malheureusement. Peter m'avait abandonné. Mais je suis sûr qu'un jour, oui, un jour j'entendrai le soupir de la mer qui m'appellera, cette musique inoubliable que seuls certains sont capables d'entendre et, ce jour-là, je m'embarquerai pour mon dernier voyage vers la Terre du Milieu.

Avec le Silmarillion préparé, vous a voyagé à la vitesse de la lumière sur des milliers d'années en terre du milieu.



Honnêtement, je n'ai rien ou presque rien retenu de cette lecture qui est un peu la bible, de l'univers de cette chère Mr J.R.R. Tolkien écrit par lui, mais regroupé dans un livre par son fils qui a essayé de rester cohérent tout en restant agréable à lire et j'imagine que la tâche a devait être loin d'une mince affaire.



Du cou, je n'ai pas spécialement retrouvé la plume de l'auteur du seigneur des anneaux à travers ce recueil, mais j'ai pris un certain plaisir à découvrir certaines origines de nos races et personnages qui nous ont fait tellement rêver dans les films ou livres de ce monde merveilleux des terres du milieu.

C'est un livre avec lequel il faut prendre son temps, on entre dans cette histoire lentement, en s'imprégnant tranquillement de la description d'un monde, d'êtres improbables, d'elfes et de magie, un univers à part entière qui vous emporte et vous transporte. C'est l'histoire d'une quête, d'amitiés qui se nouent et s'éprouvent, de la lutte éternelle du bien et du mal.

Le hobbit de Tolkien sublime conte que j'espère lire à mes enfants chaque soir, un magnifique voyage en, c'est terre du milieu crée de toute pièce par ce grand monsieur qui ferra rêvé petit et grand





Je conseille vraiment de commencer par le hobbit qui vous permettra de voir si vous accrochez au monde et à la plume de j.r.r Tolkien pour vous lancer dans un monde sans trop vous compliqué la vie avec tous ces lieux et personnage créé . 

Fan de l’univers Tolkien, j’étais obligée de me lancer dans « Les enfants de Hurin ». Malgré une bonne connaissance des mondes et des personnages, je dois admettre que l’introduction est assez décourageante car complexe et trop riche en noms. C’est nécessaire pour le lecteur d’avoir les bases, mais elle mériterait d’être simplifiée. Pour le reste du récit par contre rien à redire ! Christopher (fils de JRR Tolkien) s’est plongé dans un travail de fourmis en reprenant les divers textes inachevés de son père et leurs différentes variantes. Ses choix l’ont mené à une version qui tient la route et qui s’intègre parfaitement dans les autres oeuvres de son père. Merci à lui de continuer à faire vivre la magie Tolkien.

Bien, par où commencer… j’adore l’univers de Tolkien, mais je connais principalement le côté cinématographique. Voulant en connaître plus, j’ai décidé de lire

ses livres étant plus jeune et après plusieurs tentatives j’avais laissé tomber. C’est donc aujourd’hui, avec plus de maturité et grâce à une lecture commune que je me suis enfin lancée.





A chaque chapitre j’ai essayé de me détacher un maximum de l’histoire du film. Pas facile mais pour vivre pleinement ce que l’on nous raconte, il le faut.



Tolkien nous raconte donc le voyage inattendu de Bilbo Baggins, parti avec la compagnie de Thorin qu’il vient à peine de connaître par l’intermédiaire de Gandalf.

Leurs péripéties sont intéressantes et cohérentes, cependant la compagnie de Thorin s’en tire facilement à mon goût, tout leur est presque servi sur un plateau.



Les descriptions de paysages très précises m’ont parfois plus embrouillé le cerveau que servie à me les imaginer.



J’ai adoré le passage des énigmes avec Gollum, c’était oppressant, presque anxiogène, et en même temps très important pour ce qui se passe dans les livres du SDA.



C’est une lecture que je recommande évidemment.

Nouvelle aventure en terre du milieu

Après mes aventures avec BILBO , le hobbit, je continu a explorer l'univers de TOLKIEN, et donc la suite logique est le seigneur des anneaux.



-Tout d'abord, je dois dire que l'édition 2022, illustré par ALAN LEE es vraiment superbe, la couverture et les 18 illustrations sont vraiment très jolies. Les 2 cartes, 1 représentant un partie de la comté et l'autre l'ouest de la terre du milieu a la fin du TA sont très bien détaillées, mais dommage qu'elles se trouvent trop loin dans le livre, placées au début ou a la fin aurait été beaucoup plus facile pour les consultées.

- Ensuite la traduction de DANIEL LAUZON, hormis les changements de noms des personnages et des lieux qui est un peu déstabilisant au début, c'est la façon de parler des gens qui est différente des autres traductions, chaque personnage a son parlé qui lui est propre. Dans les chansons ou poèmes,DANIEL LAUZON a aussi suivi certaines contraintes poétiques pour nous faire rappeler que TOLKIEN était aussi un poète.



Ce premier tome, est composé de 3 parties.

Dans la première,le prologue, TOLKIEN, nous décrit avec précision les habitudes et l'histoire des hobbits.L'herbe a pipe et la découverte de l'anneau y sont également détaillés.

Dans le livre 1, c'est le début de l'aventure, qui va mené FRODO, SAM, MERRY et PIPPIN a FENDEVAL au domaine d'ELROND, suite à l'annonce de GANDALF le magicien, qui a annoncé a FRODO que l'anneau que BILBO lui avait légué le jour de son départ était l' UNIQUE et qu'il devait être détruit. Sur leur chemin, ils feront la rencontre de TOM BOMBADIL, personnage mystérieux et de l'ARPENTEUR, nommé plus précisément ARAGORN et qui les accompagnera jusqu'à FENDEVAL en les protégera des cavaliers noirs qui les suivent depuis leurs départ de la COMTE.

Dans le livre 2, nous apprenons la constitution de la fraternité de l'anneau, qui sera chargée par ELROND, le semi elfe, d'accompagnée FRODO dans sa quête de détruire l'anneau unique, en l'emmenant au coeur du MORDOR, et le jeté dans la lave des crevasses du destin ou il y fut forgé.

Elle sera constituée de 9 personnes: 4 hobbits (FRODO, SAM, PIPPIN et MERRY),1 nain (GIMLI), 1 elfe (LEGOLAS), 2 hommes (BOROMIR et ARAGORN) et d'un magicien (GANDALF).

Nous apprendront également lors du conseil d'ELROND, la trahison de SAROUMANE dévoilée par GANDALF. Sur leur chemin, ils feront la rencontre en LOTHLORIEN des elfes GALADRIEL et de CELEBORN, qui les aideront à poursuivre leur route. Mais la fraternité connaitra leurs premiers drames, la disparition de GANDALF dans la MORIA, la trahison de BOROMIR et la dissolution de la fraternité.



Ce premier tome est assez long à lire car TOLKIEN nous fait de amples descriptions des personnages et des lieux, mais c'est vraiment captivant en même temps, car on a vraiment l'impression de voyager avec FRODO, d'écouter des chansons autour d'un feu ou dans une auberge. Cet univers qu TOLKIEN a crée est tellement bien décrit, qu'il donne l'impression d'être réel.

C'est surtout a partir du livre 2 que l'histoire va vraiment débuter.

Ce qui ma également plu dans la composition de la fraternité, c'est ce mélange de différents peuples, et qui malgré leurs différence d'opinions où de conflit entre eux (les nains et les elfes), des liens fort se tissent et tous restent soudé dans les épreuves qui leurs arrivent.



Un livre qui nous fait voyager, qui émeut,un peu dure a lire c'est un faite mais qui est vraiment captivant. Pour un public de 12 à 99 ans