Citations de Jean-Luc Istin (573)
L'homme recèle en son âme nombre de frustrations. Il n'est pas immortel comme un Elfe, il n'est pas puissant comme un Orc, il n'a pas la ténacité et le savoir faire d'un Nain. Au fond, il se sent faible, et c'est là la raison qui explique son envie de tous les détruire. De sa faiblesse naît la frustration, de cette frustration naît l'envie de supplanter les anciennes races, de les tuer, de devenir le seul maître des Terres d'Arran.
- Si je touche à une seule de ses nattes, ma femme ne me le pardonera jamais.
- Et ce que femme veut...
- Ne te moque pas. Elle est la seule personne que je crains en ce monde.
- Sarah : Je parie que l’autre gros con se réjouit qu’on soit dans la merde.
- Evangelisti : Tu ne peux pas faire une phrase sans la moindre vulgarité ?
- Sarah : Sans doute… Mais ça me réclamerait un effort et je préfère rester concentrée sur notre affaire.
- Colboung : Y avait quoi dans ton rêve ?
- Wilson : J’étais en mode gros câlin avec Jones.
- Colboung : Tu crois que c’est ta femme ?
- Wilson : D’après la photo près du lit, c’est plutôt celle de Taylor.
- Colboung : Putain, si c’est un souvenir et que le Taylor est au courant, ça va devenir dangereux ! Des gars comme ça, j’en ai connu, c’est pas le genre à te laisser baiser sa femme sans réagir.
Comme convenu, mon bienfaiteur pouvait consacrer de plus en plus de temps à ses trois grandes passions : se goinfrer, s’aviner et chevaucher tout ce qui portait une paire de miches, me laissant ainsi le champ libre.
- Rabba Karoslav : Pas si vite, tu pourrais au moins apprécier ce vin.
- Kronan : J’ai soif.
- Rabba Karoslav : Un être civilisé sait apprécier les bonnes choses.
- Kronan : J’emmerde les êtres civilisés.
Les livres, ma petite Shannon, c’est la vie !
Il est décédé le 31 décembre au soir peu avant minuit et qu'importe qu'il eut été femme, vieillard ou enfant, le dernier mort de l'année sera l'Ankou pour les 4 saisons à venir.
Tu aimes la vie et tu t'y attaches mais sache que la vie ne s'attache à personne.
- J'ai dans l'idée que ce qui court là dehors est dangereux.
- Je le confirme. Je ressens un puissant désir de meurtre et d'expansion qui émane d'eux !
- Bien. Athé'non et Valamen ! Vous barricadez les issues ! Vite !
- Si je puis me permettre : faites cela le plus silencieusement possible. Ce qui se tapit dans la brume n'est pas sourd ! (p.29)
On ne saura jamais s’il a survécu ou non.
- On sait déjà qu’il a survécu à une nuit qui aurait dû lui être fatale. Le pari est donc gagné.
Et ça ne me dérange pas d’avoir perdu. Cet enfant possède une forte volonté. Il mérite de vivre…
Cet après-midi là, cet après-midi si funeste, la famille de Kulu se laissait aller à ce qu'elle faisait de mieux : manger et rire auprès d'un bon feu.
J'ajouterai qu'il fut fort triste qu'ils n'aient pas été plus discrets...
Nous sommes nés de la lave, du feu qui consume l'ennemi, qui sert le clan lorsqu'il n'est qu'un foyer. Indomptable lorsqu'il se répand poussé par le vent. Nos coeurs abritent ce feu prêt à s'embraser lorsque nécessaire. Toujours prêts à combattre, toujours prêts à vaincre, nous sommes ceux d'Yress.
Nous sommes le vent qui souffle sur les terres d'Ogon, nous sommes le tambour qui frappe inlassablement, et nous sommes le feu qui détruit tout et renouvelle. Nous sommes la fureur! Nous sommes les dieux du volcan! Nous sommes les Zul Kassaï!
Je ne vous ferai pas de mal pour prouver quoi que ce soit. Je vois ferai du mal parce que cela me procure du plaisir! Et parce que j'aime planter mes crocs dans vos chairs bien chaudes et juteuses.
"_Les Orks...je hais cette race.
_Ne te fie pas à ce qu'on raconte sur eux. Oui, ils sont sauvages. Oui, ils sont laids. Oui, ils détestent les Elfes mais ils sont loin d'être idiots."
"La perfection ne peut exister sans la force et la faiblesse, sans la lumière et les ténèbres."
Je suis né picte et je mourrai breton, quelle ironie !
[Lettre d’Irinild à son père] : Vieux croûton !
Ne m’attends pas.
Je suis partie avec ton vieil ami Belthoran et deux autres abrutis pour les terres d’Ogon.
J’ai pris la carte.
Si je ne reviens pas, t’auras qu’à en dessiner une autre.
Ah, ben non, tu peux pas, t’as pas de mémoire.
Tant pis !
Ta fille.
PS : Je leur ai dit que t’étais mort.
- Lea'saa : Qui les a envoyés ?
- Feda'saa : Leur capitaine n'a pas pu nous renseigner. Ni les autres d'ailleurs...
- Lea'saa : Forcément, je suppose que Turuk l'a tué avant.
- Turuk : Ce n'est pas évident de garder le capitaine en vie. Il est devant, il dit un tas de conneries, puis il veut en découdre pour montrer qu'il en a deux bien grosses ce qui me contraint à mettre un point final à sa misère ! Dommage !